Après 4 jours passés en Martinique, il est temps pour moi de rebrousser chemin !
J’arrive 2 heures avant le vol à l’aéroport de Fort de France. Les formalités de restitution de la voiture de location ont été rapides et la navette me dépose devant le terminal où Air Canada opère.



Je suis accueilli par une file d’attente assez longue : par sécurité, les agents de l’aéroport ont une liste des passagers qu’ils orientent selon le statut de leur réservation.


C’est dans ces moments-là que je bénis la priorité : une fois autorisé à rejoindre la file, tout va aller très vite…
… mais l’agent au sol sera un peu perdue et ne semble pas avoir l’habitude des passagers en transit vers l’Europe depuis FDF avec Air Canada : dois-je récupérer mon bagage et le ré-enregistrer ? Dois-je le laisser sur place ? Elle me demandera d’aller le récupérer à Montreal et le ré-enregistrer (ah bah super, avec la courte escale de 55 minutes que j’ai …)
Quoiqu'il en soit, elle me remet mes 3 cartes d'embarquements avec une petite bizzarerie sur l'une d'entre elles (à vous de la trouver)



Le PIF et la PAF me prendront 10 minutes en tout et pour tout.

Etant donné qu’Air Canada ne propose pas de salons pour les passagers éligibles, je patiente avec un sandwich et une bouchée au thon.

L’embarquement commence avec une dizaine de minutes de retard et dans un cafouillage encore maitrisable.
Le passage par le jetbridge vitré me permet de vous offrir ce beau soleil martiniquais du mois de Février.


Feu XL Airways…

Je retrouve la cabine empruntée quelques jours plus tôt.

Le pitch est toujours aussi bon.

Mon sac trône fièrement sur le siège passager, vide.

Une boisson est proposée : de l’eau pour commencer !

Je profite de l’embarquement et des IFE déjà disponibles pour lancer un beau film : Ava.

Vingt minutes après avoir lancé le film, le jetbridge nous dit au revoir et on peut décoller.

Le roulage prendra plus de 10 minutes, étonnant pour un aéroport avec une activité aussi restreinte à cette plage horaire de la journée.



« Que des numéros 10 dans ma team »

Décollage !

Les vues sont saisissantes et j’en profite jusqu’à ce que nous montions au-dessus des nuages.



Le menu est distribué, que voici.

Les boissons sont indiquées sur le verso.

Je profite de l’absence de voisin pour lancer la géolocalisation sur l’IFE du siège vide et lancer un film sur mon IFE.

Un oshibori chaud est distribué, puis repris une minute plus tard.

Vingt minutes après, un chariot fait son apparition avec un choix de boisson alcoolisées et non-alcoolisées.
On part sur « un blanc de Nouveau Zélande », pas marquant.

Un refill est proposée et je le décline au profit d’un verre d’eau pétillante.
A ce moment-là, notre commande est prise et je demande un poulet.
Le plateau m’est donné comme suit, avec une luminosité qui ne rend pas justice au plat principal.

La salade n’avait pas grand intérêt.

De mémoire, c’est un blanc chilien qui m’est servi pendant le repas. Meilleur que le vin précédent.

Je n’ai mangé que le poulet qui m’a plu, contrairement au dessert que j’ai trouvé bien trop sucré.

Mon plateau est vite repris et je peux travailler en ayant pour fond sonore un film.

Une boisson chaude est proposée : ce sera un thé vert à la menthe poivrée.

Je retourne vous présenter le petit coin.


A mi-vol, des « grignotines » sont proposées.

1h30 plus tard, on commence à s’approcher de Montreal…


… jusqu’à arriver au point où…

On touche !

Excepté le Dreamliner de BA et le 767 Air Canada Rouge, on est sur une belle brochette de gros porteur AC.

Mais on ne prendra pas ce chemin là et on se retrouve à côté d’un single-aisle Air Transat.

Ma correspondance étant plutôt short (je dois aller chercher mon sac et le ré-enregistrer), je ne ferai pas d’autres photos et je mettrais mon énergie à courir pour vite receptionner mon sac… la suite à venir
Hello Ilyes ! 100 % d'accord avec toi c'est l'humain qui fait l'essentiel dans l'expérience client. Avec les quaisment les mêmes ingredients que sur le vol aller ton ressenti est nettement moins bon pour cette raison. La cabine me parait pas mal du tout et le repas honnête meme si une vraie entrée et non une salde serait plus adaptée à la durée du vol. A bientot BG.
Bizarre oui ce siege 155.’
Merci pour ce reportage. Effectivement l’escale est assez courte pour cette correspondance, j’ai hâte de lire le prochain . Pour un vol de 5h25 je me serai attendu a une collation un peu plus consistante,