Je vous ai laissé à mon arrivée au comptoir des correspondances, où je découvre qu’un agent est chargé de nous récupérer mon voisin de droite et moi pour nous emmener, sous bonne escorte, vers nos prochains vols.
La porte n’est pas à côté non plus, je presse le pas.

Cette marche rapide me donne l’occasion d’emprunter une multitude d’escalator pour deux raisons :
- Je ne voudrais pas subir le revers d’un embarquement refusé en raison du retard de l’appareil précédent (voir mon GVA-FCO-CDG de Juin 2015)
- La carte d’embarquement donnée à Fort de France pour ce troisième tronçon me donne un siège incohérent « 155 »


Cette marche rapide sera couronnée de deux bonnes nouvelles :
- Le siège 1D m’était bien attribué. Le BP est de nouveau imprimé.
- L’embarquement débutera avec un retard de 30 minutes.


L’avion arrive en porte à 11h25. L’embarquement, quant à lui, commence à 11h48, avec des priorités respectées.


Voici la cabine qui marquera le dernier vol de cette journée. Du très classique mais aussi du très confortable.

Spotted : Emirates B773.

Une fois l’embarquement terminé, une boisson d’accueil est proposée.


Je n’ai fait qu’une gorgée de ce cocktail.

Des journaux sont proposés : je choisis The New York Times.

Avant le décollage, des noisettes sont proposées.

Le pushback se fait avec pas mal de retard mais le paysage en arrière-fond devrait vous donner des indices sur la destination des vacances à venir quelques mois plus tard

B 757 non identifié !

Un Airbus de la TAP nous grille la politesse.


A notre tour de s’élancer… avec plus d’une heure de retard.


Je m’endors pendant 30 minutes et je me réveille avec ces montagnes. J’ai été réveillé par le début du service.

Je déploie ma tablette…

… qui ressemble, en quelques secondes, à ça.

Du pain est proposé.

L’entrée est très bonne et les plats sont servis assez rapidement après.

Je pars sur le poulet, très bon aussi.

Le dessert finira de parfaire ce déjeuner.

« alors le catering TK ? Bof »

La purée de pois s’épaissit au fur et à mesure que nous avançons.

Une boisson chaude est proposée : je demande un café turc.

Un oshibori nous est remis une fois les tablettes ramassées, pour marquer la fin du service.

Je dors une bonne heure puis je me réveille lorsque le commandant annonce le début de descente.

On aperçoit ici les derniers vestiges de ce qui fût, par le passé, IST.

Accueil sous la pluie mais au contact. On ne peut pas tout avoir !

Le couloir aveugle en guise d’arrivée donne tout de même une impression de bienvenue quelque peu glacial.

La sortie sera rapide, grâce au coupe-file pour les passagers Business TK à la PAF.
Mon bagage, lui, fera une petite promenade à travers l’Atlantique et sera livré 4 jours plus tard à la maison.
A très vite
Ilyes
En bonus… le CDG-IST du lendemain avec Joon, en quelques photos - globalement, le vol part à une heure du diable (4h50) et arrive en même temps que les long-courriers…








merci pour la serie ! si jamais je dois tenter le trajet je sais a quoi mattendre
Merci Ilyes pour ce FR.
Merci pour ce FR
"Voici la cabine qui marquera le dernier vol de cette journée"
Une antiquité ! GVA n'est pas pour TK une destination premium
Un repas TK classique mais toujours réussi
"« alors le catering TK ? Bof »"
Tu n'as pas touché à l'huile d'olive ;)
Un vol qui t'a permis de prendre un peu de repos avec le vol Joon
qui a du être bien éprouvant
A bientôt pour une autre série