Avis du vol entre Paris et Toulouse en classe Economique avec Air France

Bonjour à tous,

Aujourd’hui c’est le retour à Toulouse ! Alors pour vous donner un peu de contexte, j’ai beaucoup emprunté la navette entre Paris et Toulouse lors des 3 dernières années, effectuant mes études dans une grande école de commerce de la ville rose. C’est aujourd’hui non sans une grande émotion que j’emprunte cette navette pour l’une des dernières fois.  

Arrivée à 12h30 à Orly 1 par le dépose minute, sous la pluie.

Je dépose mon bagage sans attente au comptoir Sky Priority, dont j’ai accès avec mon statut FB Silver. Pas d'attente et l'accueil est très cordial. 

Le passage au PIF sera plutôt rapide et plutôt aimable. Oui, je dis bien « plutôt » parce que Orly n’est quand même pas une référence, mais j’ai connu bien pire lors de précédents voyages.

Je profite des quelques minutes que j'ai pour consulter l'historique du vol 6122. Il fait partie des vols sacrifiés par AF (annulé le 05/12 et le 06/12) lors des journées de grève et je m'estime heureux de rentrer aujourd'hui.
   
A 13h02, l’embarquement peut commencer avec respect des priorités. J’embarque dans les premiers dans la file Sky Priority.  

Le coffre à journaux, plutôt bien rempli.  

Je traverse un jet bridge aveugle, mais bien décoré aux couleurs d'une banque connue des flight-reporters. 

Instant porte.  

Et j’entre dans le F-GKXG, un A320 âgé de 17 ans. L'accueil par l'équipage est chaleureux.

La vue depuis mon siège 8D.  

L’embarquement se poursuit avec un vol quasi-plein. Est-ce une conséquence des nombreuses annulations de train pour cette 4e journée de grève ?

Notre commandant de bord se présente à nous avant même que l’embarquement soit tout à fait terminé. Le temps de vol sera aujourd’hui d’une heure. On est donc sûr du très classique pour cette navette.

On repousse à 13h31 et on décolle à 13h41 ! 

Magnifique photo très légèrement marquée par la pluie parisienne en ce dimanche de décembre. 

A peine avons-nous décollé que les PNC-avant préparent les plateaux repas pour les pilotes. J'étais d'ailleurs assez étonné que sur un vol d'une heure, les pilotes préfèrent se restaurer à bord… Sans doute le plaisir de déjeuner à 30 000 pieds…
 
A bord, c'est encore une fois du grand classique. Les PNC commencent le service avec la prestation journée. 
Je choisis le fameux jus de tomate et son sel de céleri (que je ne bois que dans les airs — je devrais essayer sur terre mais le plaisir ne serait sans doute pas le même) avec un verre d'eau et les biscuits apéritifs du jour, ceux au poivre et au pavot.  

Nous sommes rapidement débarrassés.
 La descente commence déjà et nous nous posons à 14h38 après 57 minutes de vol. 

Depuis le jet bridge on aperçoit les copains d'Easyjet et les cousins de Ryanair.

Et on dit au revoir à notre avion du jour, tout en apercevant au loin, le fameux Beluga XL. 

Sortie par le couloir de la découverte et attente rapide ( - de 10 minutes) des bagages avant de rejoindre la ville rose par le tram

Merci de m'avoir lu pour ce flight-report on-ne-peut-plus-classique…mais à la grande valeur sentimentale pour moi.
A très vite pour de nouvelles aventures !