Avis du vol entre Luxembourg et Paris en classe Affaires avec Luxair

D'abord et c'est important, félicitations au(x) webmaster(s) pour la nouvelle version qui nous fait gagner un temps considérable lors du reportage. Le fait de ne plus devoir héberger les photos sur flickr est un avantage énorme. Grand grand merci encore une fois.
Me revoilà avec un vol court et classique. Je ne vais pas le détailler outre mesure. Il y a un vol retour mais vu le peu de temps passé dans l’avion, difficile d’innover dans un 2e FR. Ce FR a pour ambition de vérifier si la qualité des années des précédentes a été maintenue ou pas.
Je pars donc de Luxembourg direction le soleil et Cancun via Paris. Le temps est gris sur Luxembourg et comme d’habitude il n’y a pas foule au Findel. Le check in se fera rapidement, j’avais obtenu les billets via la machine. Je n’étais pas sûr que mes billets Paris Cancun seraient déjà imprimés, ce n’était pas le cas l’an dernier. Cette fois pas de problème. Luxair ne permet pas de check-in online pour les clients Air France.

Le contrôle de sécurité est rapide mais plus strict qu’auparavant.

Le temps est menaçant, il neige finement, mais ça ne tient pas. Le brouillard par contre commence à tomber, il engendre parfois quelques annulations à Luxembourg. Je ne panique pas car je passe la nuit à Paris et mon vol suivant n’est qu’à 13h30 le lendemain et je possède des solutions de rechange.

Le salon business est toujours le même, confortable et spacieux pour la faible clientèle présente. Il n’y a pas de champagne mais du mousseux haut de gamme luxembourgeois. Restons local.

Un petit coup d'œil sur le vol.

Le buffet est plus pauvre, ça sent la fin de journée mais l’offre reste très raisonnable.

Je ne manquerai pas de lecture.

Le brouillard s’épaissit de plus en plus. Mon vol partira mais quelques heures après, Luxembourg se couvrira de plusieurs centimètres de poudreuse qui ne disparaitra que fin février !

Il est temps de descendre pour le vol qui est annoncé à l’heure.

Les couloirs et le duty free sont un désert. Cet aéroport ne vit réellement qu’un peu le matin et surtout pendant la période estivale.

Un petit tour en bus, car les passerelles ne fonctionnent que pour les avions plus grands.

L’embarquement se fait dans le froid, la pluie verglaçante, la neige. Brrrrrr j’en tremble encore.

Vu de l’intérieur, ce n’est pas plus engageant.

L’avion n’est pas plein.

Nous décollons avec quelques minutes de retard, bien vite rattrapées pendant le vol. Les tristes nuages bas laissent rapidement place à des couleurs oranges plus agréables.

La cabine semble endormie.

J’aime assez la petite boite que d’autres trouvent vulgaires. Mais vu les 35 minutes de vol, il faut faire court et concis. Petit bémol qui va altérer ma note, les petits pains étaient délicieux et frais mais un des deux était très dur. Je me suis cassé un bout de dent. Je devrai me débrouiller 15 jours sans (je n’ai pas trop envie de tester les dentistes mexicains). Il y a des vacances qui commencent mieux. Bah, je bois un petit verre de champagne pour me consoler. L’hôtesse m’en reproposera même un 2e puis un 3e que je déclinerai.

Je suis un amoureux du ciel et de l’astre solaire. Je vous en fais profiter.

Paris pointe déjà le bout du nez. 35 minutes c’est vraiment très peu. Nous n’aurons même pas besoin d’attendre notre tour.

L’avion se pose avec un avance de 10 minutes.

Au revoir Luxair, bonjour Air France

Encore un petit tour de bus puis direction le Terminal 2 pour rejoindre l’hôtel Sheraton Airport Paris (très confortable mais pas donné !)