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Bonjour à tous,
Je vous retrouve pour une nouvelle série de 4 vols, qui m'emmène avec mon meilleur ami à travers le Yucatan !
Cette fois-ci, pas de routings alambiqués, pas de mileage run, on a opté pour le plus direct possible et ça a été possible grâce à la Flying Blue Special Edition Promo Awards.
Un aller-retour Paris-Mexico en classe Affaires pour 72 000 miles par personne (et 500 euros de taxes). Ni une ni deux, je réserve deux billets et voilà un sujet qui va nous animer pendant bien des semaines.
On a bien entendu regardé les vols pour Cancun, histoire de gagner du temps… mais ceux-ci étaient affichés au tarif standard (entre 59000 et 72000 miles par tête pour un aller simple), ce qui rendait non seulement l'opération moins attractive et achevait définitivement mon compte Flying Blue.
Notre périple commence à Izamal, charmante petite ville située à moins d'une heure de Chichen Itza. L'aéroport le plus proche est Mérida et nous trouvons un vol Aeromexico de Mexico à Mérida partant à 21h (nous atterrissons à 16h55 à Mexico). De Mérida, nous louons une voiture que nous rendrons à Chetumal, après avoir séjourné à Holbox, Tulum et Bacalar.
Rejoindre Mexico depuis Chetumal est plutôt aisé : seules Interjet et Volaris opérent des vols à destination de Mexico City.
Nous choisirons Interjet.
Voici donc, sans plus attendre, le routing !
Je ne saurais commencer ce report sans situer un peu nos situations personnelles au début du voyage : mon meilleur ami et moi avons chacun, de notre côté, eu un début d'année franchement pourri et sans tourner autour du pot, on est tous les deux devenus célibataires !
On vous passe les détails, mais Janvier a été un mois émotionnellement tout dégueulasse et Février sentait encore franchement le rance - les vacances ont fini par presque virer à l'obsession, tellement on avait besoin de changer d'air… !
On arrive donc survolté à l'aéroport - j'avais, ce jour là, un véhicule de location. L'hôtesse Avis en charge du drop-off en vient même à nous demander si on ne revient pas de soirée … :)
Le terminal 2E est bondé ce matin là, et inutile d'espérer récupérer notre BP auprès d'une hôtesse : la file est bondée.
On trouvera notre bonheur auprès de ces bornes.
Ce jour-là, PARAFE est inopérant et on se résout à patienter quelques minutes pour entendre deux agents, visiblement de bonne humeur, nous lancer un "bonne journée et à bientôt". Suffisament rare à CDG pour être souligné.
On se dirige vers le LISA qui nous amène vers les portes M et là… une file d'attente comme j'en ai rarement vu, aussi bien en accès général qu'en Accès n°1. On en est quitte pour plus de 30 minutes d'attente…
Une fois libéré, on traverse le duty free et la zone marchande pour prendre un petit déjeuner au salon. Pour la petite histoire, on a bouclé nos sacs à 02H30, réveillé à 6h30 et on a faim !
Accueil sympathique par les agents et on part en quête de deux places.
On se posera ici !
Un peu d'agitation autour des buffets, mais rien d'excessif.
Tadaaaaaaam !
Le temps passe assez vite et on se dirige vers notre porte d'embarquement, où de longues files se sont déjà formées. On voit au loin le gros bus qui nous acheminera vers Mexico.
On n'était vraisemblablement pas en avance…
On est même les derniers passagers de la zone 1.
On patientera encore une bonne dizaine de minutes avant de pouvoir rejoindre notre appareil.
Et au bout d'un moment, en ordre, on rejoint notre aéronef.
Siège et écran qu'on ne présente plus… mais on est par contre très bien reçu par le chef de cabine et l'équipage semble être de bonne humeur : ça laisse présager un très bon vol.
Durant l'embarquement, la trousse de confort et un flyer "Préference" seront distribués. Ils seront rangés tous les deux à côté de l'écran.
Ce qui nous importe, c'est qu'on est en vacances ! Santé !
Un oshibori chaud nous est remis.
Ainsi que le tant attendu menu (parce qu'on a encore faim, on est comme ça nous).
On part tous les deux sur la pintade !
Pour la collation, on a aussi fait un choix similaire : le poulet basquaise.
Les traditionnelles cartes de vins et cocktails.
Le pushback se fait dans les temps.
Les démonstrations de sécurité sont diffusées à l'écran, pendant le roulage.
Take off !
Je trouve cette petite bouteille d'Evian nichée à ma gauche.
Assez vite après le décollage, l'apéritif nous est proposé avec un trolley masqué.
On demande deux Cocktails Signature qui nous sont servi avec le sourire par une hôtesse taquine et souriante, et qui nous proposera aussi une panna cotta salée - inutile de vous dire que ce cocktail annonce le début de la fin :)
Aux vacances !
La panna cotta salée était correcte.
"En Champagne Ardenne on n'a pas de montagne mais on a une bonne descente", valable en 2008, toujours valable en 2020.
Après cet apéritif, notre hôtesse revient nous voir et nous étend les nappes sur nos tablettes.
L'entrée nous est servie et je pars sur un Chardonnay. Tout sur ce plateau sera à la hauteur.
Benjamin n'aimant pas le saumon, il m'en fera donc pour que je puisse agrémenter ma salade.
Viendra ensuite la pintade à la sauce sangria… c'est bien cuit mais le goût de la sauce sangria n'est pas au rendez-vous.
On se rattrape sur les fromages !
Le Pessac-Léognan a été largement à la hauteur !
Il est temps de siffler la fin des bêtises : une infusion … et une chartreuse :')
Les desserts seront à la hauteur du choix !
On est ici lorsque le repas se termine.
Je vais me brosser les dents et je décide d'ensuite aller me dégourdir les jambes à travers l'avion. La cabine éco du pont supérieur.
La Premium Economy, au pont supérieur également.
Une fois mon film terminé et suffisamment hydraté, j'incline le siège en vue de faire une sieste.
Je me réveille une heure plus tard… et Benjamin aussi quelques minutes plus tard.
Du coup c'est l'heure du goûter : Haagen-Dazs est notre sponsor.
Puis une fois nos glaces dégustées, on va au "bar" situé au niveau du galley, où sont disponibles des boissons.
On reprend notre marche et on retrouve les glaces mangées quelques mois plus tôt en classe Eco sur un autre transatlantique que je publierai dans quelques jours.
On se dégourdit les jambes et en revenant au bar de la classe Affaires, on trouve ces petites victuailles.
Pendant que le steward nous fait chauffé un petit sandwich au fromage, j'en profite pour reboire un verre d'eau. L'A380 est un avion qui ne me sied pas (l'air y est sec et j'ai souvent des migraines comparable à un mal des montagnes).
En attendant la petite collation, je remplis cette fiche distribuée au début du vol.
Le sandwich arrive, c'est plutôt bon !
Mais l'hôtesse qui nous l'amène reste discuter avec nous pendant un long moment - sur son parcours, comment elle s'est retrouvée chez Air France, son quotidien… et elle nous amène de quoi agrémenter la discussion. Une autre hôtesse était déjà venu discuter avec nous après le déjeuner et le chef de cabine prendra le temps d'échanger (et de rigoler à nos blagues à l'humour imparable).
Le temps est un peu long, on referme le hublot et on relance un énième film.
1h30 avant l'atterrissage, notre hôtesse favorite revient et nous demande si on a été sage - évidemment !
Le trolley refait son apparition.
Comme indiqué un peu avant, on a retenu le poulet basquaise. C'était succulent ! Bien meilleur que la pintade à la sauce sangria !
On arrête l'alcool et je bascule sur de l'eau gazeuse.
Le dessert demandera un ajout de sucre pour agrémenter le fromage blanc.
Un dernier oshibori chaud nous sera distribué un peu avant la descente.
Le commandant de bord prend la parole pour nous donner les informations relatives à notre arrivée, et nous remercier d'avoir choisi de voler avec Air France.
Côté hublot, on commence à mitrailler !
Quelques vues de l'approche… de mon IFE.
Touchdown!
Le taxiing sera long mais une fois à notre point de stationnement, nous sortons rapidement.
La suite, au prochain épisode !
Difficile d'être objectif tant ce vol et ce moment ont été attendus ... !
On est d'accord sur un point : la cabine Business est inadéquate avec cette décennie.
Le catering était plutôt créatif et si la sauce sangria accompagnant la pintade a fait flop, le reste nous a beaucoup plu !
Le point fort de ce vol a clairement été l'humain ! Ils ont tous été très sympa, du chef de cabine aux différentes hôtesses et stewards qui se sont succédés à bord. Ils ont été drôles, attentionnés, prompts à discuter et ils ont tout fait pour rendre le vol agréable au plus grand nombre.
Alors oui, ce n'est pas l'avion le plus branché de la flotte Air France mais franchement, merci pour ce moment.
Les contributeurs de Flight-Report ont posté 19 avis concernant 2 compagnies sur la ligne Paris (CDG) → Mexico City (MEX).
La compagnie qui obtient la meilleure moyenne est AeroMexico avec 7,5/10.
La durée moyenne des vols est de 12 heures et 3 minutes.
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10 Commentaires
Un équipage au top, un catering très appétissant, que demander de plus si ce n'est un fauteuil plat ?
À bientôt pour la suite du voyage !
A bientôt pour la suite
Merci Ilyes pour ce partage!
elle est bien "jaune" cette eau.
Une cabine d'un autre âge mais c'est le prix à payer pour ce bon tarif.
A bientôt
La cabine de l'A380 a vécu mais c'est secondaire tant l'équipage a été adorable et l'excitation des vacances fait oublier les défauts.
Merci pour ce Fr. J'espère que les vacances ont été à la hauteur des attentes :)
J'adore comment tu as écrit ce FR, ça sent la bonne joie entre potes.
Salon des portes de M que j'adore, l'offre y est correcte et il y a de l'espace.
Mon dieu quel horreur cette cabine NEV3.
Comment était le cocktail signature ?
Dommage de pas avoir goûter à l'agneau confit c'est une tuerie.
A bientôt
Malgré l'A380, c'est un bon deal en miles promo.
Comment avez-vous fait pour commander le cocktail signature car il n'est plus indiqué au menu? Proposition spontanée de votre hotesse?
Beaucoup de mélanges d'alcools sur ce vol, attention ^^
Catering sans surprise, dommage pour le plat signature qui n'est pas à la hauteur, c'est un comble quand la seconde prestation fait mieux.
A+ et vivement la suite de ce routing sous le signe de la bonne humeur ;)
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