43 avis
Bonjour à toutes et tous, et bienvenue sur ce FR retour d'un week-end express aux îles Pescadores fin Mars dernier. Pour ceux qui le souhaitent (et pour équilibrer un peu l'absence de photos en vol sur ce "saut de puce" de nuit), rendez-vous en fin de FR pour un bonus de notre visite des îles Pescadores.
Si vous souhaitez vous remémorer (voire découvrir) la genèse de ce routing tout simple, j'ai intégré un copié-collé des explications faites dans le FR précédent.
Sinon, vous pouvez passer directement au vif du sujet! Bonne lecture!
Pour rappel, on a donc le routing suivant:
Étant donné l'horaire tardif du départ (21h00), nous nous autorisons un dernier dîner à Magong dans un sympathique restaurant japonais avant de prendre la route de l'aéroport…
…Tant et si bien qu'il est déjà 19h45 lorsque nous terminons nos agapes. Pas de panique, il suffit d'avoir une avance de 30mn à l'aéroport pour pouvoir récupérer nos BP aux comptoirs, qui ferment à 20h30. Avec 15 minutes de trajet en taxi entre Magong et l'aéroport, c'est largement jouable.
Sauf que, voilà bien notre chance, nous avons rendu nos électrobécanes Nice Rich plus tôt dans la soirée, et nous ne trouvons aucun taxi à proximité du restaurant. Après avoir erré 15 minutes à la recherche d'un taxi, nous finissons par en repérer un dans la rue principale. Lui, en revanche, ne nous a pas repérés: s'engage alors une course effrénée sur les trottoirs à la poursuite de la Toyota jaune. Après 3 minutes de ce pénible exercice, nous nous sommes faits remarquer par tout le monde dans la rue… sauf par le taxi…
Bref, nous voici à 20h05 et il n'y a plus aucun taxi à l'horizon. A 20h10, soit 20 minutes avant la fermeture des comptoirs, nous décidons d'appeler une société de taxi. Réponse: plus aucune voiture disponible. Je n'ai jamais loupé un seul vol/train de ma vie; ça ne va pas commencer à Magong… Et ce serait d'autant plus fâcheux que notre vol est dernier départ de la soirée. Trois appels plus tard, nous finissons par tomber sur une société de taxi qui a une voiture disponible à quelques centaines de mètres de nous.
A 20h15, nous voici donc dans un taxi. Nous ferons comprendre à la chauffeure (particulièrement sympa au demeurant) que le temps presse. Elle fera le nécessaire pour nous amener à l'aéroport en moins de 10 minutes. En plus, devant nos difficultés à trier notre petite monnaie, elle nous fera cadeau de 50twd (soit environ 1,5€). On aimerait avoir partout des chauffeurs de taxi comme ça!
Nous voici donc, vers 20h25, devant le terminal.
Direction les comptoirs UNI Air, où nous récupérons nos BP.
J'avais à nouveau sélectionné le 2K lors de l'OLCI… OLCI qui n'a d'utilité que pour la sélection de sièges puisqu'il est impossible d'obtenir son BP en ligne: j'ai appris en me renseignant ultérieurement que c'était une mesure exceptionnelle, pour permettre aux agents de vérifier les passeports des pax afin de s'assurer qu'ils étaient bien entrés sur le territoire taïwanais plus de deux semaines avant la date du vol.
Nous voici donc en possession du sésame qui nous ouvrira les portes de la caverne d'Uni-Baba. Mon ami a pu obtenir le siège voisin du mien, le 2H.
Pour prendre le chemin du PIF, il nous faut traverser ce hall d'enregistrement. Il semble relativement grand pour un aéroport exclusivement destiné à des vols intérieurs mais avec plus de 20 vols par jour de/vers TSA et une dizaine d'autres de/vers d'autres villes à Taiwan, MZG accueille tout de même 2,5 millions de passagers par an. C'est équivalent au trafic d'un aéroport comme RUN ou PTP.
Voilà en revanche des comptoirs qui ne doivent plus accueillir grand monde.
Un peu plus loin, un autre comptoir qui ne fait guère recette non plus.
Insensibles aux sirènes de l'office de tourisme de Pengu, nous poursuivons notre route vers les portes.
Un panneau indique l'unique porte destinée aux vols internationaux. Une porte "internationale" c'est peu, mais c'est toujours une de plus que le nombre de vols internationaux à MZG.
Non loin de là, un espace est dédié aux (très) jeunes passagers.
Un petit musée a été aménagé avant le passage du PIF.
Il n'y a aucune attente et le passage prendra moins d'une minute. A la sortie, le passager est accueilli par des étagères où sont disposés des livres. Après la peinture, la littérature: entre Paris qui vous aime et Penghu qui vous cultive, mon cœur balance.
En tous cas, le mobilier de la salle d'embarquement est moderne et la propreté est irréprochable. Il manque juste des prises électriques, celles-ci étant centralisées dans un seul endroit, ce qui est toujours nettement moins pratique que de les avoir au niveau des sièges.
Sur les murs, les fonds marins de Penghu sont à l'honneur avec de jolis poissons bleus et, à droite, une horrible raie.
Les passagers, effrayés, ont déserté les lieux.
Heureusement, ils pourront se changer les idées en faisant quelques achats.
Là encore, pour un petit aéroport, c'est relativement fourni (en tous cas bien plus qu'au terminal domestique de TSA).
Il y a même un petit café/restaurant où nous irons passer 5 minutes pour charger nos téléphones…
…Et nous désaltérer d'un breuvage, commandé au hasard sur la carte, dont je n'ai toujours pas réussi à déterminer la nature.
Le hasard ne fait pas toujours bien les choses.
En chemin vers la porte d'embarquement, nous repassons par une autre zone fort bien aménagée.
Il y a même des ordinateurs et un téléphone. Penghu Airport a aussi installé quelques mini-bureaux pour s'adonner à l'écriture. Tout a été fait pour éveiller les sens de l’écrivain-voyageur: sa vue est ravie par un paysage idyllique, tandis que les toilettes toutes proches se chargent de caresser son ouïe et son odorat.
Évidemment je suis mauvaise langue car les communs sont, à l'image du reste de l'aéroport, très propres. Des distributeurs de solution hydroalcoolique sont également à disposition un peu partout.
Un peu plus loin sur le chemin de la porte d'embarquement, nous tombons sur ces maquettes représentatives de toutes les compagnies qui desservent l'aéroport…
…Même si la collection n'a pas été tout à fait actualisée :/
Voilà en revanche notre monture du soir.
Juste à côté trône un Dornier de Daily Air, qui devrait normalement faire l'objet d'un routing au mois de Juin.
Plus classique, un ATR de Mandarin Airlines que je vous présenterai dans mon prochain FR.
Je digresse, mais les hauts-parleurs crachotants de la salle d'embarquement se chargent de rappeler UNI Air à mon bon souvenir: la fermeture des portes est annoncée dans cinq minutes. Une fois n'est pas coutume, je suis le dernier à rejoindre, avec mon ami, la file en porte 3…
Une fois effectué le contrôle des documents de voyage, nous sommes invités à descendre au niveau du tarmac et à emprunter un cheminement pédestre jusqu'à notre avion.
Il s'agira ce soir de B-17002, le deuxième des ATR 72-600 d'UNI Air, livré fin 2012.
Histoire de varier les plaisirs, l'immatriculation se décline aussi sur fond vert.
L'étoile B7 veille sur les opérations d'embarquement.
Fuselage shot règlementaire…
…Qui me vaudra un accueil peu chaleureux de la part de la CC qui officie en porte: "No! No! No! No photo! Military airport!". Pas de "no photo" au sol mais une réprimande à l'arrivée bord, c'est bien la première fois que je vois ça.
Une subtilité enseignée à la MSIH (Pour rappel, Monique School of Inflight Hospitality^^) dans le module SEUPRA (Savoir Engueuler Un Passager dans les Règles de l'Art) conçu et enseigné par la Professeure Monique en personne, docteure honoris causa en la matière.
Entre la PNC du vol précédent et la CC de ce vol, UNI Air semble avoir recruté quelques disciples de la MSIH…
Heureusement l'hôtesse qui officie à l'avant de la cabine, sans être particulièrement affable, se montrera un peu plus cordiale avec un "welcome aboard" du bout des lèvres.
Je ne me risquerai pas à prendre des photos d'ensemble de la cabine, mais il s'agit de la même que lors du vol aller avec des sièges récents dans les tons gris, dégageant une relative impression d'espace.
Voici notre duo de sièges (photo prise à la fin du vol).
Le pitch est toujours aussi bon pour mon 1m89. C'est mieux que la plupart des Cies européennes que j'ai eu l'occasion d'emprunter en monocouloir.
Un regard au PSU alors que l'embarquement se termine (le vol sera presque plein). Comme à l'aller, c'est la version la plus moderne des PSU ATR, avec moodlighting intégré.
Une fois les portes fermées, les PNC procèdent aux annonces et démonstrations de rigueur, pendant que le roulage commence. La cheffe de cabine se présente et nous fait part de sa joie infinie, authentique et profonde d'accueillir ses "special passengers" à bord. Elle n'a pas perdu une miette de son module intensif de CTJ (Cache Ta Joie) à la MSIH.
Comme je ne voulais pas avoir affaire aux militaires (et encore moins à la cheffe de cabine), je me suis abstenu de prendre des photos du roulage et du décollage. Je laisse donc libre cours à votre imagination pour reconstituer ce décollage de nuit dans un vacarme de tondeuse.
Nous nous retrouvons en fin de montée, une fois le régime moteur diminué et le volume sonore devenu supportable.
Aussitôt la montée terminée, la PNC assise sur son strapontin à l'avant de la cabine part rejoindre la CC dans le galley arrière.
Comme lors du vol aller, je déploie ma tablette au cas où l'on se déciderait à nous servir quelque chose. Le festin sera tout aussi consistant que lors du vol aller…
…Et pour cause: après de plus amples vérifications (et contrairement à ce que j'avais écrit dans le FR du vol aller), il y avait bien un service de boissons avant la pandémie mais il a été suspendu à la mi-Mars afin de limiter les interactions (pour le plus grand plaisir de notre CC).
J'ai corrigé le FR précédent en conséquence (merci à Akivi de m'avoir mis la puce à l'oreille avec son commentaire).
Je pense que sur des vols intérieurs taïwanais, cela relève plus d'une mesure marketing pour rassurer les passagers qu'autre chose: d'une part, le virus ne circule pas sur le territoire (mais évidemment, on n'est jamais trop prudent là-dessus) et d'autre part le reste du protocole est totalement inchangé (les PNC touchent les BP lors de l'accueil à bord…).
Quoi qu'il en soit, il serait souhaitable de faire une annonce en début de vol pour expliquer aux pax qu'il n'y aura pas le service de boissons auquel ils seraient normalement en doit de s'attendre.
Pour se faire pardonner, UNI Air offre gracieusement à ses chanceux passagers un traitement expérimental à la lumière bleue.
Une fois sa pleine santé retrouvée, le passager a tout le loisir de se divertir avec la littérature offerte par UNI Air.
J'avais déjà lu la première page lors du vol aller…
…Mais je m'étais réservé la découverte de la deuxième page pour le vol retour. Autant vous dire que l'attente fut insoutenable.
Une fois achevée la lecture, il ne reste plus qu'une vingtaine de minutes de vol, que je passerai à discuter avec mon ami. La descente est très rapidement annoncée, et je dois dire que ce n'est pas pour me déplaire: j'ai trouvé les sièges particulièrement durs sur ce vol. Je m'étais déjà fait la réflexion lors du vol aller mais là, ça m'a vraiment frappé. Il faut dire que l'appareil étant deux fois plus ancien que celui de l'aller, les sièges ont eu plus de temps pour s'user.
En revanche, la forme des sièges est plutôt ergonomique: malgré l'impossibilité d'incliner les dossiers, ils sont dessinés pour ne pas être trop raides.
Après à peine plus d'une demie-heure de vol, soit vingt minutes de moins qu'à l'aller, nous traversons la couche nuageuse pour aller nous poser à TSA.
La CC ne manquera pas de faire une annonce demandant aux passagers de ne pas prendre de photos de l'aéroport, TSA étant (aussi) un aéroport militaire. L'annonce est récurrente sur tous les vols arrivant à TSA, que j'ai pris par la suite mais je n'ai encore jamais rien entendu au sujet des photos sur les vols ex-TSA (ni au sol, ni à bord)…
Bref, voici donc la seule photo que j'ai prise de l'approche. Vu la qualité, vous ne perdez pas grand-chose^^
En plus, comme les mouvements à TSA se font presque toujours de la piste 10 (atterrissages comme décollages), on peut voir la Taipei 101 au décollage mais pas à l'atterrissage.
L'atterrissage est doux et le roulage rapide.
Une fois arrivés au point de stationnement, l'escalier est vite apprêté et le débarquement peut commencer. En quittant mon siège (avec un peu trop d'enthousiasme) je me cognerai à la tête sur les coffres à bagages, ce qui aura pour effet de bien faire rire la PNC qui s'occupe des rangées avant. Que ne faut-il pas endurer pour arracher un sourire à sa PNC…
Mon exploit me vaudra même un "Thank you, goodbye Sir!" de sa part. La CC se montrera moins prolixe, mais articulera quand même un "bye" du bout des lèvres.
Un paxbus d'aspect rétro nous attend au pied de l'avion et nous conduira sur les quelques dizaines de mètres qui nous séparent du terminal.
Une fois dans l'aérogare, le parcours de sortie est très rapide…
…Et nous voici dans la direction de la station de métro après un rapide contrôle de température par caméra thermique.
Aux alentours de 22h05, nous prenons la ligne brune…
…Pour arriver une grosse quinzaine de minutes plus tard à nos domiciles respectifs. Encore un carton plein pour TSA en termes d'accessibilité et de fluidité.
C'est sur cette belle note que s'achève ce FR; rendez-vous très bientôt pour un routing Mandarin Airlines / EVA Air à l'occasion d'un weekend à Kinmen, île taïwanaise à quelques kilomètres des côtes chinoises.
Pour ceux qui le souhaitent, le bonus des Pescadores est disponible juste en-dessous.
Une cabine moderne et agréable avec un très bon pitch et des sièges ergonomiques. Cependant, heureusement que le vol a été particulièrement court car lesdits sièges ne sont pas extrêmement confortables... C'est même un peu moins bine que sur le vol aller, effectué dans un appareil plus récent. 7,5.
Une CC assez désagréable et une PNC tout juste cordiale, voilà un équipage peu représentatif du sens taïwanais du service client. C'est un peu dommage, d'autant que ce ne fut guère mieux à l'aller. 5.
Même si l'absence de divertissements est tout à fait supportable sur un vol aussi court, je pénalise le fait qu'UNI Air ne propose pas de magazine de bord ou d'options de divertissement en ligne (type AF Play). Alors oui, me direz-vous, le magazine de bord aurait probablement été retiré à cause de la pandémie en cours... S'il avait existé (et auquel cas, je n'aurais pas autant pénalisé B7). 4,5.
Protocole amendé pour ce qui concerne le service d'en cas/boissons, mais les raisons de cette suspension de service sont compréhensibles (J'ai d'ailleurs changé la note "restauration" du vol aller). Il serait tout de même plus correct de l'annoncer aux passagers en début de vol et, pourquoi pas, à plus long terme, de disposer une petite bouteille d'eau sur chaque siège. 4,5.
Encore un vol utilitaire sur UNI Air. Comme à l'aller, cela s'apparente plutôt à un voyage en train régional ou en bus: le job est fait, mais on n'y retrouve pas toutes les petites choses qui font la spécificité (et le charme) du transport aérien, et ce encore moins en cette période peu fastueuse pour le secteur (pas de divertissement, PNC peu agréables, pas d'offre de restauration...). Mais ce n'est pas une fatalité: la perception du vol aurait certainement été tout à fait différente si les PNC avaient été plus agréables et s'il avait été possible de voir des paysages; mes deux prochaines expériences de vol à Taiwan le démontreront.
MZG est un aéroport fluide et agréable, avec une offre honorable de services airside comparé à TSA. La propreté m'a également semblé irréprochable.
TSA est un pur plaisir en termes d'accessibilité et de fluidité. Pour ce qui concerne les services, c'est un peu mieux en zone des arrivées (zone publique) que côté airside où l'offre se réduit vraiment à peau de chagrin. La note "services" est donc plus élevée que dans le FR précédent.
Les contributeurs de Flight-Report ont posté 6 avis concernant 3 compagnies sur la ligne Makung City (MZG) → Taipei City (TSA).
La compagnie qui obtient la meilleure moyenne est Tigerair Taiwan avec 8,3/10.
La durée moyenne des vols est de 0 heures et 53 minutes.
Plus d'informations
22 Commentaires
"nous ne trouvons aucun taxi à proximité du restaurant"
Je vous ai connu plus organisé ;)
"On aimerait avoir partout des chauffeurs de taxi comme ça!"
Des taxis qui financent (partiellement) vos déplacements ? ^^
Les 50twd représentaient quel pourcentage de la course ?
"entre Paris qui vous aime et Penghu qui vous cultive, mon cœur balance."
La culture penghuite est plus tangible
"une horrible raie."
Un a priori :(
"Heureusement, ils pourront se changer les idées en faisant quelques achats."
C'est le shopaholic qui parle ?
"…Et nous désaltérer d'un breuvage, commandé au hasard sur la carte,"
ç'eût été aux Etats-Unis j'aurais pensé à un Trump Bleach Covid-19 Cocktail
"tandis que les toilettes toutes proches se chargent de caresser son ouïe et son odorat."
Je suis admiratif devant l'aménagement de Penghu Airport : qualité, espace et sens du détail avec
le bruit des chasses d'eau en harmonie avec la superbe photo de la plage
"…Même si la collection n'a pas été tout à fait actualisée :/"
Vous êtes un peu lourd avec FAT : chaque rappel doit être une insupportable douleur pour notre cher Akivi
"je suis le dernier à rejoindre, avec mon ami, la file en porte 3…"
Les derniers seront les premiers...
Belles photos de l'ATR sur le tarmac
""welcome aboard" du bout des lèvres"
Elle voulait rester discrète pour ne pas paraître pactiser avec les pax
qui avaient agacé sa CC
"Elle n'a pas perdu une miette de ses cours de CTJ (Cache Ta Joie) à la MSIH."
Il va falloir donner les coordonnées de cette MSIH pour que certain(e)s PNCs
puissent parfaire leur formation
"(merci à Akivi de m'avoir mis la puce à l'oreille avec son commentaire)."
Désormais avec Bill Gates la puce se mettra aussi dans d'autres endroits de son corps ^^
"pour expliquer aux pax qu'il n'y aura pas le service de boissons auquel ils seraient normalement en doit de s'attendre."
Non justement car comme cela ils oublieront ce auquel ils avaient droit ;)
" Autant vous dire que l'attente fut insoutenable."
Ce FR récèle des exclus et des perles multiples (pour le pourceau que je suis)
"mais articulera quand même un "bye" du bout des lèvres."
Elle aurait pourtant du être soulagée de voir partir ces espions occidentaux
"après un rapide contrôle de température par caméra thermique."
Encore une mesure psychologique saupoudrée pour rassurer les pax
Joli et intéressant bonus mais pas vraiment incitatif d'aller se perdre là bas
"…Où nous irons déjeuner dans un restaurant de sashimi."
Miam !
"On se croirait dans une de ces capitales construites ex-nihilo."
Yamoussoukro me vient à l'esprit
"je ne résisterai pas à la tentation d'en acheter une autre boîte"
Pourquoi ne suis-je pas étonné ?^^
En résumé un vol qui fait le job mais un peu décevant
A bientôt pour d'autres aventures, tellement réjouissantes dans ces temps de disette
De mémoire, le total était tout de même de 350twd, donc 1/7ème de la course.
Non, puisque j'ai préféré noyer ma peur dans le Trump Bleach Cocktail^^
Lol
puissent parfaire leur formation
Top secret, seule l'élite peut y accéder^^
Oui et non, car si je ne m'abuse ces caméras ont permis de détecter quelques cas à l'arrivée à l'aéroport de Taoyuan (qui auraient probablement été détectés lors de leur quarantaine obligatoire, mais le plus tôt est le mieux). Après, c'est évidemment loin de marcher à tous les couos et ça ne vaut pas un test.
Oui, même sans jamais y être allé j'y ai également pensé. Mais pas de brown sugar cake à Yamoussoukro :'(
À bientôt!
Dommage qu'il n'y ait pas eu FR à cette époque (pas si lointaine), car j'aurais été très curieux de voir ce que pouvait donner un LC dans le nez ou la bosse d'un des (superbes) 747 d'EVA Air.
À bientôt!
Même en arrivant à la limite de l’enregistrement, vous avez pu faire un tour complet de l’aéroport et même un arrêt par le café.
La MSIH est reconnue dans le monde entier. Il n’y a pas mieux ;)
Je trouve aussi les sièges des ATR très durs et très peu confortable quand on approche l’heure de vol.
Drôle d’hôtel! Merci pour ce FR et un bonus intéressant. La parti gastro fait envie.
Absolument, c'est l'avantage avec ces petits aéroports, impressionnants de fluidité.
Ça m'avait moins interpellé à l'aller, avec un temps de vol effectif pourtant plus long, mais là il n'aurait pas été agréable du tout d'y passer plus d'une heure.
Pour ce qui est de la gastronomie, le bonus de Kinmen à venir devrait présenter des plats un peu moins connus (mais un hôtel moins incongru, on ne peut pas tout avoir^^).
À bientôt!
En tout cas, cet aéroport est bien agréable et incroyablement bien équipé vu le peux de vols qu'il accueille.
Excellent....
Le siège à l'air bien inconfortable en effet.
Pas de service pour raison sanitaire. J'ai un peu peur que cela ne serve de prétexte dans le futur pour limiter les prestations servies.
Au moins tu aura réussi à faire rire les Moniques en punchant le coffre à bagage. Pour rire tu aurais du mimer une forte douleur et un malaise... ;)
merci pour ce FR et son bonus bien dépaysants Teidel et à bientôt pour la suite qui semble bien intéressante.
J'y ai d'ailleurs pensé en rédigeant! Mais dans mon cas, c'était aussi un peu de notre faute pour n'avoir rien prévu et avoir traîné au restaurant jusqu'à une heure si tardive...
Absolument, avec le temps il faudra vraimentvque les compagnies commencent à proposer des solutions alternatives. Là, elles ont encore l'excuse de la relative nouveauté de la situation mais d'ici quelques semaines il faudra mettre en place de nouveaux protocoles...
À faire la prochaine fois que je tombe sur un équipage comme celui-ci^^
À bientôt!
Un bon coup de stress à trouver un taxi pour l'aéroport.
Oh oui un jour je me suis retrouvé avec des tripes en prenant un truc au hasard... beurk
Génial ces maquettes dans l'aéroport.
excellent !!
Superbe bonus avec une mention spéciale pour le "township" et le gâteau au sucre brun.
A bientôt
Ça m'était aussi arrivé à Hong Kong! Je comprends que si l'on n'est pas amateur/trice de tripes il n'y a pas pire surprise. Globalement, moi qui prends très souvent des plats au hasard ou presque (ma lecture du chinois étant encore très rudimentaire), je suis rarement déçu... Mais quand je suis déçu, c'est effectivement souvent puissance 10 avec notamment souvent des choses pleines de gelée, que je ne peux vraiment pas manger...
Rien de tout cela avec les gâteaux au sucre brun heureusement^^
A bientôt pour la suite et le bonus associé qui devrait avoir son lot de townships!
Entre Tsow et Akivi nous voilà gâtés sur le plan des vols domestiques taïwanais, ce pays qui a remarquablement maîtrisé le Covid-19.
Bref, tout simplement "the place to be"... !
Merci pour le partage.
Rien que le fait de pouvoir y aller en avion est un peu un privilège en ce moment.
Effectivement, voilà d'un coup bon nombre de FRs et bonus sur Taiwan!
À bientôt!
Le chauffeur de taxi est bien généreux avec ce cadeau de 50 TWD... Et il m'est arrivé la même chose à un autre aéroport taiwanais (voir prochain FR qui arrive très bientôt) ! Les chauffeurs de taxi les plus sympas du monde seraient-ils taiwanais ??
J'ai rencontré la même situation en février dernier, mais ce n'était pas pour la règle des 2 semaines car celle-ci n'était pas en vigueur. Il doit donc y avoir autre chose derrière, mais je ne sais pas exactement quoi.
Je garde moi aussi un bon souvenir de MZG ; la zone airside est bien meilleure qu'à TSA, ce qui est quand même un comble !
Je me demande si vous n'êtes pas un chat noir avec Uni Air :) J'ai fait 2 vols avec eux et à chaque fois j'ai eu des PNC très sympas et aucune restriction photo, même à TSA ou MZG !
Ahah pas de souci :)
Ils auraient pu servir un verre de Javel avec, il paraît que c'est recommandé pour traiter le Covid ;)
Merci également pour le bonus sur les Pescadores, qui confirme mon impression que malgré quelques lieux sympas, ce n'est visiblement pas un endroit immanquable à Taiwan. Mais les quartiers anciens ainsi que la nourriture font plutôt envie !
A bientôt pour Mandarin Airlines !
Au vu de mes expériences jusqu'à présent, je serais tenté de dire oui! Même si je suis loin d'avoir été dans tous les pays...
Il me semble que c'est depuis fin Janvier/début Février que ces règles sont en vigueur pour certains pays (séjour sur le territoire taïwanais interdit pour les personnes s'étant rendues en Chine, à HK ou à Macau dans les deux semaines précédant leur arrivée à Taïwan, ce qui devait forcément laisser une trace sur le passeport). Après, l'OLCI n'était peut-être pas disponible non plus dans tous les aéroports, c'est assez souvent le cas.
Je pense effectivement que je n'ai pas eu de chance avec ces deux équipages UNI Air, car les autres équipages rencontrés par la suite sur vols domestiques taïwanais ont été jusqu'à présent beaucoup plus agréables.
La CC se serait peut-être fait une joie de m'en servir!
À bientôt!
Je déteste courir pour attraper un vol... Pas de taxi à l'horizon, mais une driver super arrangeante, c'est rare dans la profession !
Aérogare déserte et lugubre malgré le bon ordre régnant.
Pas de nous photo sur le tartare mais tout le contraire en arrivant à bord, frustrant.
Le pitch est très serré, heureusement le voyage est court et le siège a l'air confortable.
On regrettera le manque de catering, tout en comprenant la raison de cette absence...
En conclusion, une belle aventure d'une journée.
A bientôt.
J'avais en effet rarement vu des chaufeurs de taxi aussi "relax" que ça, mais globalement tous les chauffeurs à qui j'ai eu affaire à Taiwan étaient très sympa.
L'aéroport fait un peu "clinique"(c'est d'actualité), mais ca a au moins le mérite d'être bien aménagé.
La cabine est correcte pour cette durée de vol, mais pas beaucoup plus.
À bientôt!
PNC peu agréable, avion pas super confortable bon il faut être AVGeek pour en profiter ^^
Lol c'est vrai que ce voyage aurait pu prendre une tournure catastrophique à de multiples occasions...
C'est vrai que c'est le genre de vol qui n'a que peu d'intérêt si l'on n'aime pas spécialement prendre l'avion. Mais en cette période, c'est un peu un privilège que de pouvoir voler ainsi.
À bientôt!
Sacré aventure de taxi pour arriver à l'aéroport.
Je suis fan de tous les MSIH et autres SEUPRA :) Bravo !
A bientôt.
La Professeure Monique est pleine de ressource^^
À bientôt!
:-)
Je ne peux qu'y encourager, c'est vraiment un pays à visiter! D'ailleurs, il a un peu gagné en exposition médiatique avec sa gestion de l'épidémie et cela ne m'étonnerait pas qu'il attire plus de touristes européens et américains une fois que les barrières d'entrée seront levées (ce qui n'est malheureusement pas pour demain, avec une ouverture des frontières taïwanaises attendue pour... l'été 2021).
À bientôt pour la suite!
Connectez-vous pour poster un commentaire.