Bonjour à tous,
Je vous retrouve pour le vol retour d'un A/R coutumier vers TUN à bord d'Air France. Moins coutumier est l'appareil qui opère ce vol : pour ceux qui avaient déjà lu le vol aller, vous savez désormais qu'AF a positionné un A330-200 vers TUN sur certaines rotations et certains jours de la semaine, seulement pour les deux mois d'été.
Rappel du routing très classique :
Enchainement de vols
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- 2AF1085 - Business - Tunis (TUN) → Tunis (CDG) - Airbus A330-200
Si j'avais pu profiter d'un upgrade de dernière minute alléchant sur le vol aller, j'ai directement pris le billet du vol retour en Business, le tarif de base étant déjà très intéressant au moment de la réservation (seulement 80 euros de différence avec le billet Y).
ACHEMINEMENT ET ARRIVÉE À TUN
C'est en voiture que je suis déposé à l'aéroport, directement depuis la passerelle du niveau départ qui était ouverte.
Cette passerelle est régulièrement close lorsque le trafic ne justifie pas son ouverture, ou que la situation sécuritaire est instable, typiquement lors de la révolution tunisienne en 2011.

Des rumeurs avaient couru lors des jours précédant mon départ sur le fait que les passagers devaient prévoir une arrivée anticipée à l'aéroport (au moins 4h avant). N'ayant pas été averti par AF d'une telle mesure, je choisis de me rendre à l'aéroport 2h avant l'heure de départ de mon vol.
Un seul portique de sécurité sera ouvert à l'entrée de l'aérogare et seuls les passagers munis d'un billet sont autorisés à pénétrer dans l'enceinte du terminal.

Je retrouve un aéroport relativement vide à une heure où l'on aurait vu une affluence plus importante en temps normal.

Je me dirige vers le hall d'enregistrement à l'entrée duquel se trouve un FIDS qui indique les départs de la journée.

De la manière dont est agencé le hall, je crois comprendre que seuls sont autorisés à aller au-delà de ce FIDS les passagers dont l'enregistrement du vol a effectivement ouvert.
ENREGISTREMENT SKY PRIORITY
Traditionnellement effectué depuis le hall secondaire qui se situe derrière celui-ci, l'enregistrement Air France est maintenant déplacé dans le hall principal.

A l'occasion, tous les comptoirs d'enregistrement ont été équipés de poteaux de séparation à rubans, ce qui n'était pas le cas auparavant.
Les rumeurs d'arrivée anticipée à l'aéroport ont eu raison des files d'enregistrement, puisqu'un goulot d'étranglement s'est formé au lancement de l'enregistrement avec une grande partie des passagers arrivés bien avant l'heure d'ouverture des comptoirs.
Beaucoup de monde donc à l'enregistrement AF réparti en 2 files ; et je crois distinguer au loin une file supplémentaire Sky Priority qui n'est ceci-dit accessible qu'après avoir entamé une bonne partie de la queue dans l'une des 2 files initiales.
C'est lorsque je vois quelqu'un enjamber le ruban au loin pour accéder à la file Sky Priority que je décide de faire de même. L'attente sera donc écourtée, mais néanmoins importante pour un service fast track.

Un agent de l'aéroport passera vérifier l'éligibilité Sky Priority des passagers dans cette file, ce qui me permettra de gagner 3 places dans la file. Je me suis demandé au cours de cet épisode comment faisaient les passagers sans bagage à TUN pour récupérer leur carte d'embarquement (dont la version électronique n'est pas disponible sur AF pour les vols au départ de TUN) sans subir toute cette attente ?
Je profite de l'attente pour remarquer ces affiches d'information (exclusivement en arabe) sur le coronavirus.

Mis à part les comptoirs TU, les autres sont quasiment tous fermés.

Arrivé au comptoir, l'enregistrement est efficace et je me dirige directement vers les filtres.
DANS LE TERMINAL
J'aurai rarement passé aussi peu de temps à la PAF à TUN où il n'y avait aucune attente.
Un seul PIF ouvert, mais encore une fois cela suffira à passer airside en un temps record avec très peu d'attente (et un simili respect de la distanciation sociale qu'on peut deviner sur la photo ci-dessous).

Une fois airside, on retrouve un terminal plutôt animé où la plupart des commerces sont ouverts. Ici le duty free.

Par curiosité, je passe devant le salon AVS qui n'est pas le salon choisi par AF. Je suis agréablement étonné de le voir ouvert, un bon point.


De retour du côté du Duty Free vers le salon Privilège Tunisair qui est celui proposé par AF.

Ici les consignes sont cette fois-ci en français et en anglais.

La plupart des autres commerces du terminal sont également ouverts.


SALON PRIVILÈGE TUNISAIR
J'arrive au salon Tunisair où l'accueil est cordial. L'aménagement a encore une fois changé depuis ma dernière visite sans que je n'arrive à savoir si cela va vraiment dans le bon sens.
Je n'aurai néanmoins pas le temps de correctement reporter ce salon puisque c'est à ce moment-là que je retrouve un ami qui prend le même vol que moi.

Le service est effectué directement à table pour limiter les interactions.
Dès mon entrée au salon, une hôtesse vient m'apporter un plateau accompagné d'une bouteille d'eau et me demande si j'ai besoin d'autre chose. Je ne demanderai rien et je ne toucherai pas au plateau (qui n'avait pas l'air très appétissant).

Je note néanmoins les efforts et le sérieux du personnel du salon, disponible et attentif à l'entrée et la sortie de chaque passager pour venir débarrasser et nettoyer en conséquence.

Je ne m'attarde pas plus de 15 minutes au salon ; l'embarquement du vol a déjà commencé avec beaucoup d'avance.
Le temps de rotation de l'A330 d'AF à TUN est d'environ 2h, contre 1h pour un vol effectué par un appareil de la famille A320. Cela a l'avantage de permettre de débuter l'embarquement plus tôt.
Je ne sais pas si cette information est portée à l'attention de l'équipe du salon, qui a pour habitude d'annoncer le début de l'embarquement des différents vols dans le salon, mais qui ne le fera pas pour mon vol.
embarquement sky priority
J'arrive en porte 40 minutes avant l'heure de départ théorique du vol. Je me retrouve face à un contrôle d'identité accompagné d'un contrôle aléatoire de détection d'explosifs. J'aurai le luxe de bénéficier du contrôle aléatoire qui sera expédié en moins d'1 minute.

Je peux enfin immortaliser notre A330-200 du jour : le F-GZCH.

L'embarquement ayant commencé plus tôt, il n'y a quasiment personne devant moi au moment où j'embarque (aussi bien en file standard qu'en file Sky Priority).

Contrôles d'identité supplémentaires en passerelle.


Ça bouchonne un peu à l'entrée de l'avion, une seule passerelle sera connectée à TUN aujourd'hui.

Instant porte, où le PNC qui accueillera les PAX à ce moment-là est celui qui officiera en Business dans ma rangée durant l'intégralité du vol.
Comme vous pouvez le voir, notre avion est équipé de WIFI (que je ne l'utiliserai pas).

À BORD
Accueil cordial en porte ; je retrouve ce siège Business avec lequel je suis plus familier que la dernière fois, que je ne représenterai pas en détails dans ce report mais qui m'avait laissé une très belle impression sur le vol aller.

J'ai pris soin, comme à l'aller, de choisir un siège hublot où le siège couloir est vide et le restera. Seul mon ami, assis en 1D, viendra prendre place sur le siège quelques minutes pour discuter avant le départ. Le PNC en charge de notre rangée viendra s'adresser à lui par son nom de famille en s'étonnant de le voir assis à cette place, et nous demandera si nous voyageons ensemble, auquel cas il lui propose d'occuper ce siège qui n'est pas occupé.
Nous déclinerons sa proposition mais c'est une attention tout à fait louable, et témoigne de l'investissement et du sérieux de notre PNC du jour.
Notre reflet sur la passerelle, et notre voisin, un A321 de TK, en arrière-plan.

Le nettoyage est très sommaire puisque je retrouve des saletés sur l'ottoman (certainement laissées par un passager qui, comme moi, avait certainement omis de retirer ses chaussures avant de poser ses pieds, une faute que j'avais commis sur le vol aller et qui m'a bien servi de leçon pour cette fois-ci et les prochaines).

C'est regrettable, notamment en cette période de crise sanitaire où le passager a besoin de se sentir en sécurité, et à l'heure où Air France communique beaucoup sur les nouvelles mesures d'hygiène à bord des appareils.
Ce n'est que 20 minutes après l'embarquement que j'ai l'agréable surprise de me voir distribuer un oshibori (une lingette désinfectante a également été distribuée, sans que je ne me souvienne exactement à quel moment). Sur mon vol aller en Juillet, je n'avais reçu qu'une lingette désinfectante, et je suis donc content de constater le retour de cet élément du protocole Business sur AF.
Il manque en revanche la petite bouteille d'eau traditionnellement distribuée avec l'oshibori.


On repousse à l'heure pile, la passerelle est retirée.

Le TK qui repartira bientôt pour IST.

Une dernière vue sur l'aérogare et notre point de stationnement, le P57.

En raison d'un problème technique, les consignes de sécurité n'ont pas pu être diffusées sur les IFE et seront donc effectuées manuellement par l'équipage. On reconnaît que ce sont bien des équipages formés sur gros porteurs puisqu'on sent qu'ils ne sont pas vraiment rodés aux consignes de sécurité manuelles.

Le moodlighting est activé peu avant le décollage.

Alignement en piste 11 et décollage dans la foulée.

On passe devant les hangars de Tunisair Technics qui ne désemplissent pas.
Avant l'épisode Covid, la compagnie tunisienne avait déjà une bonne partie de sa flotte clouée au sol en raison de problèmes techniques qui tardaient à être résolus. Cela avait notamment animé le débat public en Tunisie, portant un nouveau coup de projecteur sur la santé financière de Tunisair et sa capacité à payer ses fournisseurs.

De très belles vues de la banlieue nord de Tunis alors que nous prenons rapidement de l'altitude


On passe au large des littoraux nord et nord-est du pays qui offrent de magnifiques plages et criques.

On atteint notre niveau de croisière peu avant d'arriver sur les côtes de la Sardaigne

PRESTATION À BORD
Le service débute au chariot 20 minutes après le décollage.

Je m'étais étonné du fait qu'on ne m'ait pas demandé mon choix de plat chaud au sol, comme ça avait été le cas au départ de Paris lors de mon vol aller, et espérais que le choix serait proposé directement au moment du service.
Mais il n'y avait en réalité pas de choix de plat chaud : ce sera poisson pour tout le monde. Le choix n'est peut-être donc laissé qu'au départ de Paris et pas en escale.
Le plateau tel que déposé par le PNC. Je l'accompagnerai d'un verre d'eau ainsi que de champagne (Laurent Perrier).
Le pain est servi froid dans un emballage en plastique.

Voici le plateau une fois les plastiques retirés.

Le plat du jour : en goutant le plat sans sa sauce, je l'avais trouvé plutôt insipide et sans intérêt. Mais une fois la sauce ajoutée, le mets prend tout son sens et sera très agréable en bouche. J'ai néanmoins préféré le plat de l'aller.

L'entrée est composée d'une tranche de saumon et d'une boule non-identifiée. Le tout est frais et bon.

Le dessert : deux mini-cheese cakes sans grand intérêt.

Contrairement à l'aller, le PNC fera plusieurs passages et repassera notamment pour proposer des boissons chaudes.
Je demande un café qui sera déposé sur la tablette en-dessous de l'écran.

En revanche, l'oshibori et la lingette distribués à l'embarquement ne seront pas encore débarrassés (et ne le seront finalement que plus tard pendant le vol).

FIN DU VOL ET DESCENTE
A la fin du repas, je décide d'aller faire un tour aux toilettes.
Je suis agréablement surpris de constater l'espace qu'offre cette cabine de toilettes.


Avec notamment un long miroir et un grand hublot au-dessus de la cuvette des toilettes.


Je retourne à ma place pour la fin du vol. Je sirote mon café en attendant la descente.
C'est à ce moment que l'équipage distribue les fiches sanitaires à leur retourner quelques minutes plus tard pour notre arrivée en France.

Quelques mignardises sont proposées par l'équipage alors que nous débutons la descente.

Je n'avais pas fait attention à l'orientation de CDG ce jour-là avant que l'on décolle, mais j'espère que nous atterrirons face à l'est. Etant assis à gauche de l'appareil, cela permettrait d'avoir une belle vue sur Paris.
C'est lorsque nous virons à gauche et en apercevant le cercle caractéristique de Disneyland que je comprends qu'il s'agira bien d'un atterrissage face à l'est.

Une belle vue dégagée de Paris sous la canicule (on peut également distinguer Orly au fond).

Virage à 180° par la droite pour rejoindre l'ILS de la piste 08R.



On pose les roues avec 15 minutes d'avance sur notre horaire théorique d'arrivée.

Et on traverse la piste 08L pour rejoindre notre porte d'arrivée au hall L.
À ce moment, les PNC annoncent un débarquement par bus pensant qu'on sera en faux contact au satellite S3.

On vient se parquer à droite de cet A350 d'AF.


DÉBARQUEMENT ET ARRIVÉE
Un long moment d'attente s'écoule une fois les moteurs coupés, moment pendant lequel j'attends de voir arriver des bus à gauche de l'appareil.
Mais les passerelles seront finalement connectées et nous débarquerons bien directement au hall L (ce qui vaudra de nombreux <i style="font-weight: bold;">"Mais ils avaient pas dit bus ?" de la part de certains passagers un peu déboussolés).

Le hall L reprend vie, mais il semble qu'il ne soit utilisé que pour les arrivées à ce stade.


Je retrouve donc le LISA qui a repris un peu de service ces derniers jours.

La PAF est passée rapidement, et ma valise sera la première à entrer sur le tapis bagage après quelques minutes d'attente. Une première pour moi.
Je rejoins le Roissybus pour Opéra qui nous mènera à Paris en moins de 30 minutes.

Merci de m'avoir lu et à bientôt !
Merci pour le partage !
Un bon vol AF, équipage aux petits soins.
Très belles vues tout au long du vol !
Je n’ai jamais connu le hall L comme ceci...
A bientôt
Merci pour le commentaire.
Effectivement, la qualité de service de l'équipage apporte beaucoup à ce vol.
A bientôt !
Merci pour ce FR et cette belle prestation d'AF.
Bon week-end
Merci pour le commentaire.
Une belle prestation qu'il faudrait renouveler en effet.
Merci pour ce FR, un gros porteur qui change tout au niveau de la prestation business sur cette destination et ce qui n'est pas fait pour vous déplaire. Un personnel au top, par contre le nettoyage de l'avion à Tunis semble un peu bâclé mais bon.
Belles photos en vol et au départ.
À bientôt
Merci pour le commentaire.
Le gros porteur, qui est a priori positionné sur TUN pour des raisons opérationnelles, devient un vrai argument commercial pour le passager attentif et fréquent sur cette ligne. D'autant plus qu'en face, TU propose un A330 sur certaines rotations vers ORY toute l'année.
Ce serait une belle surprise que de voir d'autres rotations assurées par l'A330 d'AF pendant le reste de l'année.
A bientôt !
Merci Skander pour ce vol retour !
Un vol très confortable forcément :) Quel était le remplissage ?
Le catering est très complet, bien mieux que ce qui est servi parfois en Business sur des vols européens de la même durée,
A + !
Merci Nicolas pour ton commentaire.
Le vol était quasiment complet, avec seulement 5 sièges libres en Business.
Le catering AF en Business sur TUN est effectivement souvent réussi, avec quelques fois des plats adaptés au régime local.
A bientôt !
Merci pour ce FR
"seuls les passagers munis d'un billet sont autorisés à pénétrer dans l'enceinte du terminal. "
Ce qui n'était pas le cas en bas lors de mon départ du 29 juillet
Passage rapide par le salon où la collation offerte, qui a le mérite d'exister, n'est pas enthousiasmante
A bord on retrouve la cabine du vol aller
" avait certainement omis de retirer ses chaussures avant de poser ses pieds"
J'ai vu de nombreux pax utiliser l'ottoman avec leurs chaussures, d'autant lorsque des pantoufles/chaussettes ne sont
pas distribuées
"Le choix n'est peut-être donc laissé qu'au départ de Paris et pas en escale."
Il semble pourtant qu'il s'agisse d'un double emport au départ de CDG puisque les étiquettes des entrées/desserts
semblent indiquer un catering ex-CDG
De jolies vues aériennes au décollage et à l'atterrissage
Un très bon vol AF avec le retour du protocole business habituel
A bientôt
Merci pour le commentaire.
Les mesures de protection à TUN ont effectivement été renforcées depuis la contamination de plusieurs douaniers de l'aéroport début Août (ce qui a même laissé planer la possibilité de fermeture temporaire de l'aérogare).
Concernant l'ottoman, il me paraît difficile pour AF de distribuer des chaussettes/chaussons sur des vols aussi courts ; mais une sensibilisation du passager (je ne sais pas quelle forme cela pourrait prendre) permettrait à ces cabines de se détériorer moins vite et faciliterait les travaux de ménage.
Concernant le catering, ma supposition est que l'entrée et le dessert sont emportés de CDG avec le plateau et que les plats chauds viennent s'ajouter par la suite. On peut voir que le couvercle du plat chaud siglé AF n'est pas présent ici contrairement au vol aller.
A bientôt !
Merci Skander pour le partage de ce vol retour,
Effectivement le plateau proposé au salon n'est pas terrible mais au moins celui ci est ouvert et propose quelque chose.
A bord c'est très correct, pas grand chose à reprocher à AF sur ce tronçon.
A bientôt !
Merci Stephan pour ton commentaire.
C'est vrai qu'il faut reconnaître qu'en ces temps difficiles pour l'aérien, le salon a au moins le mérite d'être ouvert et de proposer un service décent.
A bientôt !
Merci Skander pour ce FR.
Tu as bien raison de profiter d'un vol en J avec une différence de prix qui est minime.
Au salon imposer un plateau type n'est peut être pas la meilleure idée qui soit.
A bord c'est une cabine confortable surtout sans voisin. le plat est à mon goût mais pour ceux qui détestent le poisson c'est bien dommage.
A bientôt
Merci Valérie pour ton commentaire.
Les tarifs en J au départ de TUN (même sans escale à CDG) sont souvent intéressants. Beaucoup plus intéressants que si le billet est émis au départ de Paris.
Concernant le poisson, il faut espérer que les végétariens par exemple aient eu la présence d'esprit de sélectionner un menu végétarienne avant le vol, auquel cas c'est problématique.
A bientôt !
Merci pour votre post intéressant... Quelle piètre prestation en business.... J'en arrive à me demander quel intèret de voyager en business sur AF.... Un accès salon avec une carte Priority Pass, une carte EasyJet plus qui nous assure le fast track et le choix du siège en vol... En ajoutant le prix du billet EasyJet versus AF.... Mon choix est fait.... EasyJet si présent sur la destination.... En plus EasyJet offre aux clients réguliers un service Flight Club tout à fait honorable pour une low cost....
Présent sur la destination mais pas à l'origine alors ça rend la chose un peu compliquée même avec une carte Priority Pass et une carte Easyjet Plus ^^
Merci pour ce FR!
Le salon à TUN ne fait pas rêver; le plateau n'est guère qualitatif...
A bord, en revanche, on trouve cette cabine qui est certes un peu juste pour du LC mais qui est parfaite pour un MC comme celui-ci. Les couleurs sont très belles et le confort est royal pour 2h30 de vol.
Le plateau au choix "imposé", c'est un peu dommage mais l'ensemble reste correct. Je tique juste sur la présentation, avec notamment les desserts qui se battent en duel dans leur récipient.
Au global, une belle prestation au vu du prix payé.
À bientôt!
Merci pour le commentaire.
Effectivement un produit qui est vraiment appréciable sur moyen-courrier.
Ce serait vraiment une bonne nouvelle pour l'offre sur TUN si AF pouvait renouveler ces rotations 330 à d'autres moment pendant l'année.
A bientôt !
Merci pour ce FR !
Un gros porteur, ça change tout de suite la donne sur ce type de distance, et ça apporte vraiment du confort. Le catering reste celui du MC, mais c'est après tout normal !
A bientôt !
Merci pour le commentaire.
Le gain en terme de confort change complètement la perspective effectivement.
Même le service, qui est pourtant le même, en devient presque plus appréciable (peut-être le biais de se retrouver dans un gros porteur).
A bientôt !
Merci pour ce FR retour.
Nettoyage loupé sur l’ottoman, autre même temps le reste semble top.
On est meme au dessus de certaines prestations Europe habituelle avant Covid.
Le siege que j’ai étrenné pendant 10h en A/R sur CDG/BLR, est tout simplement top sur un trajet de 2h30. Le non full access n’est pas déménageant pour cette durée.
A bientôt.
Merci pour le commentaire.
Effectivement le non-full access n'est pas dérangeant pour cette durée, surtout quand le remplissage des cabines permet de choisir des duos de sièges où le siège couloir n'est pas occupé.
Une cabine idéale pour ce type de moyen-courrier.
A bientôt !
Merci Skander pour ton FR retour.
La différence de prix vaut le coup de se surclasser dès l’achat du billet.
Bien de voir une certaine normalité entre les boutiques et salons ouverts. Le plateau n’est pas très engageant mais il a le mérite d’exister si on a faim.
À bord, on retrouve cette belle cabine, la prestation est bien même si en effet l’absence de choix est surprenant surtout en imposant un choix « poisson ».
En effet le S3/L a rouvert pour les arrivées.
A+