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1005 avis
Bonjour à tous, suite du précédent opus.
Le rappel de la construction de ce routing est consultable ci-dessous :
C'est fraichement débarqué de mon vol en provenance de Paris que je rejoins les portes d'embarquement. Le cheminement en correspondance est ultra rapide.
Il y a pas mal de monde dans le terminal, cela fait plaisir à voir.
Les agents en porte sont presque prêts, l'embarquement devrait bientôt commencer.
Et après les inévitables priorités d'usage, hop! me revoici sur le chemin des airs. Pas le temps de chômer !
Notre Embraer a un joli nez. Mais peut-être pas autant que celui de Cléopâtre ^^
L'instant porte
Et je pénètre mon tout premier Embraer 190. Bon, ce n'est pas une totale nouveauté en terme de cabine puisque j'avais déjà volé sur E170 Hop! et E195 Flybe, mais c'est mon premier vol dans cette version E190, et le 3e dans cette famille d'appareils.
Je rejoins mon siège et, comme d'habitude, je me retrouve avec un hublot on ne peut plus mal aligné. C'est la raison pour laquelle je ne suis pas fan des E-Jet : les hublots sont très espacés et dans la situation présente, observer le paysage s'avère peu pratique. Il me semble que les bons alignement sur E-Jet sont surtout à l'avant et l'arrière. La fois prochaine, ce sera à fond de cale !
Ma journée va encore se finir avec un torticolis je sens ^^
Ce détail mis à part, la cabine est très confortable et le pas plutôt généreux.
Petit instant bibi ^^
Et l'inévitable safety card :)
Mes voisins au contact seront un A318 AF et un A320 Easyjet Europe.
Focus sur le 318.
Embarquement terminé et passerelle repoussée à 16h10, soit 5min en avance sur l'horaire : bonne nouvelle :)
Au loin, pas mal d'Easyjet Europe, ainsi qu'un CRJ-900 Lufthansa CityLine.
On repousse face au nord. Ça sera donc un décollage en 18 droite.
En passant devant les portes U et S, c'est le bon vieux repère de Hop. Pas mal de CR7 et CRK encore. Profitons-en, ils devraient bientôt disparaître.
Gulfstream G650 privé, basé semble-t-il à Genève.
Un objet non volant non identifié, subtil croisement entre un X15 (après sa rentrée dans l'atmosphère) et un sous-marin, utilisé comme banc d'entrainement pour les pompiers.
Là, ça vole mieux. Beechcraft 1900D Twin Jet, assurant entre autres le vol Lyon <> Metz-Nancy abandonné il y a peu par Hop!
Ready for takeoff ?
Avanti !
Au loin, les premiers contreforts alpins.
Tiens tiens… Le massif du Mont-Blanc daigne faire une petite apparition sous l'épaisse couette nuageuse.
J'aime beaucoup les couleurs de ce ciel changeant.
Bourgoin-Jallieu, sa ligne ferroviaire en direction de Grenoble et Chambéry, et son autoroute A43.
L'omniprésence de nuages ne me laisse guère espérer entrapercevoir les sommets du Massif Central.
En revanche, j'adore cette ambiance "entre-deux".
De retour au pays du beau temps éternel :)
ça secoue pas mal et les consignes resteront allumées encore un petit moment.
Cela n'empêchera pas le bon déroulement du service. A l'époque, il fallait se contenter d'une offre liquide exclusivement. Je réussirai à négocier un chocolat chaud ET un jus de pomme. C'est Bizance ^^
Alors que nous commençons déjà notre descente sur Bordeaux, le ciel finit par se découvrir partiellement. On change complètement d'ambiance avec l'apparition de jolis cumulonimbus qu'il va falloir éviter.
Celui-là nous a bien secoué !
Celui-là, ça doit pas être mal non plus.
Encore un petit détour par-ci par-là, spoilers déployés.
Là, ça se calme. Pile poil pour la préparation de la cabine.
La Dordogne est en vue, signe que nous approchons de notre destination.
Magnifique survol de la Dordogne.
Pas mal de pont la franchissent.
De haut en bas, on retrouve :
- la LGV Océane.
- l'autoroute A10.
- l'ex-nationale N10 (D1010)
- la ligne Chartres-Bordeaux, sur sa section sud Saintes-Bordeaux.
Focus sur ces grands axes routiers et ferroviaires, ces derniers continuant leurs trajets sur viaducs à travers champs pour ne pas subir les éventuelles inondations de la Dordogne.
Après la Dordogne, c'est au tour de la Garonne !
Naissance d'un bébé cunimb ^^ pour l'instant en face cumulus congestus.
Focus sur la Garonne et ses rives beaucoup moins sauvages.
Visiblement, nous sommes à basse mer.
Ce lac, en forme de coeur et traversé par la rocade nord A630, est baptisé officiellement sur les cartes topographiques… "Le Lac" ! ^^
Le centre ville de Bordeaux est en vue.
Courte finale
Et nous y voilà :)
Premier posé à l'aéroport de Bordeaux :)
Un petit peu de "Bonne Maman" en A319.
Celui-là, il est pour Akivi ;)
Pleines couleurs Chalair.
Bigre ! Joli grain en approche. J'espère que l'on va se mettre au contact !
Ouf !
Parce que comment dire là…
C'est mieux de débarquer au sec ! (Et tant pis pour le flou artistique du traditionnel fuselage shot).
Merci pour ce bon vol et les 2 nouvelles entrées au flightlog.
C'est par ici…
…puis par là.
Pour rejoindre la gare, j'hésite entre le bus direct, un peu cher mais relativement rapide…
Et le bus urbain qui lui, met 1 heure pour un tarif normal.
Comme j'ai une grosse marge devant moi, j'opte pour le bus !
Et nous partirons sous un magnifique arc-en-ciel, légèrement double ^^
Une bonne heure plus tard, me voici à la Gare St-Jean…
…pour enfin attraper le dernier tronçon qui me mènera à la destination finale.
Lors de l'élaboration de mon routing, ce trajet n'était pas disponible avec mon abonnement TGV Max. J'avais alors opté pour le tarif carte jeune en 1e pour seulement 15€. J'avais espoir que des places TGV Max soient libérées à la dernière minute, mais en vain.
Qu'à cela ne tienne, je profiterai des fameux compartiments des TGV Atlantiques.
Avec à la clé un petit souvenir #jefaismescoursesdanslavion ^^
Habituellement, le dimanche, je partais de chez moi à 21h15 pour attraper le TGV à Montparnasse à 22h00, arrivée à 23h40 à Poitiers et 23h50 dans mon petit pied-à-terre local ; soit 2h35 porte-à-porte pour 350Km parcourus.
Ce jour-là, je serai parti de chez moi à 10h30 pour arriver à 22h30 à Poitiers, soit 12h porte-à-porte.
Le plaisir du voyage ne s'obtient pas toujours pas sa rapidité mais son originalité et le temps qu'on y consacre :) Et voler, quel éternel bonheur ! De quoi entamer une longue semaine avec le sourire :)
Merci pour votre lecture
A bientôt ! :)
---- Hop! ----
Un très bon vol dans l'ensemble. La cabine des E-Jet est vraiment confortable. Les 2 PNC étaient très sympathiques.
Le point noir du moment était évidemment l'absence d'offre solide compte tenu du contexte sanitaire. Heureusement, elle est depuis revenue.
---- Lyon ----
Un aéroport très fiable et très efficace pour les correspondances Air France/Hop!. What else ? ^^
---- Bordeaux ----
Un parcours de sortie rapide et un accès au centre ville (et la gare) que je qualifierai véritablement de "parfait" :
une ligne directe rapide et confortable à un prix justifié ; et une ligne urbaine relativement longue mais fiable et peu onéreuse, desservant la gare et tout le centre ville.
Les contributeurs de Flight-Report ont posté 47 avis concernant 3 compagnies sur la ligne Lyon (LYS) → Bordeaux (BOD).
La compagnie qui obtient la meilleure moyenne est Air France avec 7,5/10.
La durée moyenne des vols est de 1 heures et 6 minutes.
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4 Commentaires
Jolie approche sur Bordeaux !
Oui, Bordeaux-Lac est un quartier nouveau, créé sous Chaban-Delmas, le point d'eau est artificiel.
A part le centre commercial, le palais des congrès et le Stade de foot, rien d'intéressant néanmoins.
Prestation classique chez Hop!, l'E190 est quand même très confortable, plus que les A319-A320 que j'avais l'occasion de prendre sur cette ligne avant le COVID.
Un détail que j'ignorais ^^
La cabine est en effet bien plus confortable que les A318>321 aménagés "métropole" et leurs célèbres planches à repasser.
A bientôt :)
Traversée de la France d’Est en Ouest assez rapide. La boisson est un petit plus.
Merci pour ce Fr
En effet, j'avais oublié qu'eux aussi étaient pénibles sur ce point là.
A bientôt :)
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