Frisco sans ses cable-car, Alcatraz, ses lions de mer ou le Golden Gate lorsque le brouillard monte, j'espère que vous ne pensiez pas y échapper !!
#65 sur 94 Compagnies Un minimum de 10 flights-reports sur les deux dernières années est nécessaire pour apparaitre dans le classement.
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Attention : Exclusivité : 1er report sur cette ligne !
Bonjour à toutes et à tous,
Oyez, oyez, gentes dames et damoiseaux,
Vous voilà arrivés ci-devant le premier épisode d'une saga estivale d'à peine un an, trois ans, qui vous conduira en Colombie britannique, près du Lac Salé, à Alcatraz, Cancun puis Houston.
Installez-vous confortablement, take a seat and a drink, and be aware !
Le routing initial ne sera pas des plus simples : CDG -> YVR -> SEA -> SFO/OAK -> DFW -> CUN -> DFW -> IAH -> CDG. Mais… il y aura quelques modifications en cours de route, entre un voyage réservé très longtemps avant sa réalisation et les habituels changements apportés par les compagnies aériennes.
PS : ceci est un reportage un peu réchauffé, mais j'ai plein de bonnes excuses/raisons/motifs à ceci…
Direction la plage !
Après les jours passés à Vancouver puis à San Francisco, il était indispensable de buller quelques jours, faute de quoi, les vacance se seraient résumées à des visites de villes, quartiers, églises, musées et autres. C'est bien, mais après une année vraiment difficile, une petite pause "plage" ne m'a pas semblé de trop.
De SFO à CUN, j'avais des options directes (notamment United) mais j'avais aussi des miles chez American à "griller" et ce voyage A/R réalisé partiellement en Domestic first à un tarif imbattable, mais avec escale à Dallas FW à chaque fois. Bonus notable : un segment sera effectué sur un appareil "antique" !
Oakland est un aéroport peu reporté, qui se situe de l'autre côté de la baie de San francisco, mais aisément accessible par le train qui franchit le tunnel sous-marin/souterrain de la baie et qui, finalement, se révèle assez pratique. Il est surtout orienté vers les LCC, notamment Southwest mais aussi Spirit ; il accueille aussi les 3 majors et Alaska depuis leurs hubs (DFW pour AA) et a accueilli Norvegian en LC. C'est également une grosse plate-forme cargo.
Pour les amateurs, le train passe près d'un stade d'une équipe connue.
Finalement pas trop en avance, nous arrivons devant les écrans, notre vol est bien là, et annoncé à l'heure.
Manifestement, notre avion arrivera aussi à l'heure
Et là, ce fut… long, long, long… 3 comptoirs ouverts pour notre vol, mais aussi pour des passagers naufragés d'un vol de la veille au soir qui n'était pas parti, des systèmes informatiques manifestement lents, puis une panne de tapis de bagages, je crois que nous avons passé plus de 45 minutes, sans pour autant être dans la file la moins rapide…
Cette publicité dans le couloir d'accès à la TSA me fait penser, rétrospectivement, à un autre temps…
Une fois passé les contrôles TSA, il ne fallait plus traîner et c'est au pas de charge que nous avons embrayé vers la porte.
Un achat express d'un gâteau et d'une banane, nous voilà en porte à 11h20. Mais la préposée annonce du retard à l'embarquement pour cause de réparation d'une tray table. Finalement, l'embarquement par groupe débutera à 11h35, heure de départ prévue.
Fuselage, portes et installation (le pas est très correct sur cet avion de 187 sièges)
L'embarquement se poursuit, les voisins sont presque tous bleus et l'aumonière est… déjà remplie.
11h58 :pushback.
Roulage court vers la seule piste.
12h06 : take off.
Et virage dans les 5 minutes.
Croisière calme sur un lit de nuages
12h40 :passage du chariot des snacks (payants). Un certain succès .
13h00 :arrivée du chariot des boissons (offertes).
14h00 :2ème passage.
Quelques champs irrigués du Texas
Descente bien amorcée
Posés à 17h10, mais roulage trèèèèès long, en porte à 17h25
La suite en domestic first entre Dallas et Cancun
Hormis les embrouilles à l'embarquement à Oakland, dans des conditions rendues difficiles pur le personnel, cet aéroport un peu "cheap" est un bon compromis pour venir/partir à San Francisco.
American fait bien le job de transport, dans des conditions de confort et d'accueil satisfaisantes. Sans aucun écran, difficile d'évaluer le divertissement, pour ce vol de 3 heures, qui plus est lorsqu'on a le nez collé pour partie au hublot.
Dallas : grosse machine (à suivre !)
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