Durant ces vacances en nouvelle zélande nous avons fait un saut par Rotorua, une ville à 250 km au sud d'Auckland. Comptez environ 3h de voiture.
Rotorua est surtout connue pour ses geysers et stations thermales. C'est une ancienne zone volcanique. De nombreux points chauds abordent la ville et rejettent du souffre. Au début, cela surprend. Imaginez vous en train de sentir les oeufs pourris … c'est exactement l'odeur qui y règne. Mais à force on s'y habitue.
Nous avons fait un tour au WAI-O TAPU Park
les cratères offrent des paysages très intéressants. Ils sont parfois composé de pétrole, d'arsenic, de souffre donc de matières très toxiques. Il est interdit de fumer dans ce parc pour des raisons de sécurité.
Le clou de la visite –> cette étendue d'eau verte pistache mélange de toutes sortes de minéraux. Le vert présent est surtout dû à la présence de souffre en très grande quantité.
Rotorua est une ville calme, parfaite pour se reposer et se déconnecter de la ville. Il fait souvent plus froid qu'à Auckland et le temps est plus venteux.
REPORT
Arrivé à l'aéroport il y avait pas grand monde. l'enregistrement a été effectué rapidement. Un de notre groupe voyageant en classe affaires, on nous a autorisé exceptionnellement l'accès au salon.
Il s'agit du Qantas Lounge, situé juste à coté du Emirates Lounge
Il sert de salon à pas mal de compagnies de l'alliance OneWorld.
En passant, une petite publicité de China Southern Airlines avec son 787 au départ d'Auckland.
Voici le buffet proposé au Salon Qantas Lounge.
La sélection du jour. Idéal pour se caler. sinon le choix est correct mais assez peu varié. Il y a aussi des magasines, connexion wifi gratuite.
Une douche est également proposée.
Le duty free de l'aéroport est grand et varié. L'aéroport est classe.
Vers 15h00 on nous appelle pour l'embarquement. J'ai à peine le temps de photographier notre coucou, qui sera le même qu'à l'aller : le Mangareva ! D'un côté ouf, l'appareil est rétrofité ;)
Ma place est la première en classe économique. Celle où les personnes voyageant avec des enfants en bas âge sont prioritaires.
Le pitch y est … royal !
Voici ce que les personnes aperçoivent en premier lorsqu'elles rentrent dans l'avion.
L'IFE est toujours aussi imposant. Malheureusement, il faut l'enlever lors des phases de décollage et d'atterrissage.
Après le décollage, je décide de consulter le menu de ce soir.
Le commandant de bord nous annonce un temps de vol de 4h30 minutes grâce à des vents favorables. Nous sommes partis 20 minutes en retard car nous attendions un dernier passager qui a mis du temps à se manifester. Du coup l'attente avant le décollage était grande.
Le repas nous est servi.
Bon en général. Poisson sans arêtes; sauce correct. Dessert excellent !
PS : je ne sais pas si c'est pareil, mais avez vous déja eu cette impression de vous essuyer avec une serviette au gout de poivre ? Comme le sel & le poivre sont présentés avec les couverts, à chaque fois j'ai l'impression de sentir à fond le poivre.
Vers la fin du parcours, on frôle les 1000 km/h : l'avion doit rattraper son retard.
Atterrissage à l'aéroport à 22h05. 10 minutes de retard mais rien comparé aux 35 minutes de retard au départ.
Petit passage par la classe affaires
Impressions : grand espace, confort à l'air supérieur aux NEV d'AF par exemple. Grand IFE.
ATN Rangiroa stationné à coté de nous et attendant son départ pour LAX/CDG.
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Verdict
Air Tahiti Nui
9.6/10
Cabine9.0
Equipage10.0
Divertissements10.0
Restauration9.5
Qantas Business Lounge
8.0/10
Confort8.0
Restauration8.0
Divertissements8.0
Services8.0
Auckland - AKL
9.5/10
Fluidité8.5
Accès10.0
Services10.0
Propreté9.5
Papeete - PPT
6.2/10
Fluidité5.5
Accès6.5
Services6.5
Propreté6.5
Conclusion
Un vol quasi parfait encore une fois sur ATN !
Confort cabine : excellent mais dommage que la cabine m'a paru chaude cette fois ci. Equipage parfait : belle hégémonie d'équipage. Ils me semblent que certains validaient leur stage car une avait le logo instructeur. A moins que je me trompe. Repas : Bon pour une classe économique. Les repas ex-AKL sont généralement 100x meilleurs que les ex-LAX par ex. IFE : TB Ponctualité : léger retard mais pas dû au pilote.
Salon Qantas :
Confort correct - gens polis qui ne parlaient pas fort Wifi gratuit - presse en assez bonne quantité Personnel attentioné et qui nous a laissé l'accès alors que nous allions voyager en éco. Restauration bonne et correcte.
A bientot :)
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merci :) Oui elles sont belles et elles reflètent bien une certaine identité polynésienne tout en restant sur la modernité. En nouvelle zélande il y a pas mal de Français je trouve qui sont allés s'installer là bas, un peu comme l'Australie. A rotorua il y avait un café français très bon le café de Paris
Par contre petite correction à une idée souvent très (trop) répandue : Vers la fin du parcours, on frôle les 1000 km/h : l'avion doit rattraper son retard.
N'oubliez pas qu'en matière de pilotage, la vitesse prise en compte est la IAS (vitesse air indiquée) obtenue par les sondes pitot. Cette vitesse dépend de la densité de l'air, densité qui est le paramètre le plus important en ce qui concerne les vitesses limites basses (décrochage) et haute (survitesse). Il faut savoir que les vitesses sont organisées par palier. L'équipage ne peut en aucun cas accélérer l'avion pour gagner du temps. Sur votre IFE, la vitesse indiquée est la vitesse sol donnée par GPS. Cette vitesse sol est très variable puisqu'elle peut être diminuée ou augmentée en fonction de la présence d'un vent contraire ou non. Généralement, lors de la préparation, on essaye de choisir une route qui privilégiera les zones ayant le moins de vent de face ou le plus de vent dans le dos afin d'avoir le trajet le plus rapide, mais ça ne peut se faire qu'au sol et non là haut, surtout pour rattraper un quelconque retard imprévu.
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8 Commentaires
Beau bonus touristique :)
Les cabines sont très belle comme je l'ai dit lors de votre précédent FR ^^
En nouvelle zélande il y a pas mal de Français je trouve qui sont allés s'installer là bas, un peu comme l'Australie.
A rotorua il y avait un café français très bon le café de Paris
Bon reportage avec de belles photos, pouvez vous me donner le nom de l application utilisé pour l aéroport d'Auckland ?
l'application est Flight Radar 24
ou sinon sur leur site internet : data.flight24.com
Par contre petite correction à une idée souvent très (trop) répandue :
Vers la fin du parcours, on frôle les 1000 km/h : l'avion doit rattraper son retard.
N'oubliez pas qu'en matière de pilotage, la vitesse prise en compte est la IAS (vitesse air indiquée) obtenue par les sondes pitot. Cette vitesse dépend de la densité de l'air, densité qui est le paramètre le plus important en ce qui concerne les vitesses limites basses (décrochage) et haute (survitesse). Il faut savoir que les vitesses sont organisées par palier. L'équipage ne peut en aucun cas accélérer l'avion pour gagner du temps.
Sur votre IFE, la vitesse indiquée est la vitesse sol donnée par GPS. Cette vitesse sol est très variable puisqu'elle peut être diminuée ou augmentée en fonction de la présence d'un vent contraire ou non.
Généralement, lors de la préparation, on essaye de choisir une route qui privilégiera les zones ayant le moins de vent de face ou le plus de vent dans le dos afin d'avoir le trajet le plus rapide, mais ça ne peut se faire qu'au sol et non là haut, surtout pour rattraper un quelconque retard imprévu.
Sympa cette nouvelle cabine !
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