#24 sur 94 Compagnies Un minimum de 10 flights-reports sur les deux dernières années est nécessaire pour apparaitre dans le classement.
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Après une nuit dans mon hôtel, au centre de Lisbonne et quelques visites expresse de certains monuments iconiques de la capitale Portugaise, il est temps pour moi de rentrer en France.
Je tiens tout d'abord à vous remercier pour l'accueil fait à mon égard pour mon premier flight report, ce report sera moins complet niveau photos. Les rendus de nuit rendants mes photos floues, je préfère la qualité à la quantité.
Allez en route pour le vol retour !
Arrivé à l'aéroport de Lisbonne Humberto à 13H, en raison de la crise sanitaire "l'entrée" qui fait aussi office de sortie en temps normal, n'est plus que dans un sens, il m'aura fallu emprunter une entrée isolée vers la gauche.
Vient ensuite la recherche des comptoirs Air France, et là je cherche pendant 10 bonnes minutes.
Comme la mentionné "AIRBRETZEL" sur ce même tronçon, la signalétique n'est vraiment pas claire, il faut prendre un escalator qui vous fait monter d'un étage pour trouver un panneau nous dirigeant vers la zone B qui se trouve plus loin encore…
Le FIDS d'aujourd'hui.
Une fois la PIF passée très rapidement, j'essaie de prendre quelques photos des Aéronefs présents sur le tarmac, mais l'aéroport de Lisbonne, n'aime pas trop que l'on prenne des photos avec ce filtre opaque posé sur toutes les vitres donnant sur l'extérieur.
Un A319 de la TAP.
Deux autres A319 de la TAP.
Un 737-800 KLM venant d'Amsterdam.
Notre A220-300 en finale sur la 03, avec 20 mn de retard sur l'horaire initiale.
Une follow me car aide notre oiseau à trouver sa porte, beaucoup de ces véhicules accompagnent les avions à leurs parkings sur cet aéroport !
(Y a-t-il des follow me car sur CDG qui guide des aéronefs comme ici, à part par temps de brouillard épais ?).
16H10 soit 10 mn de retard sur l'horaire prévu, une annonce est faite dans l'aéroport et nous indique le début de l'embarquement. Est là, je pensais être dans les premiers, mais il y a déjà énormément de personnes présentes.
Les priorités sont respectées et l'embarquement se fait par zone, embarquement passé en une dizaine de minutes, ce sera le F-HZUE "Giverny" qui me transportera pour Paris.
Contrairement à CDG, l'on fait embarquer les passagers assis à l'avant de l'avion d'abord et ensuite les passagers assis à l'arrière. Donc tout le monde se croise à l'intérieur de l'avion et ce n'est pas très logique en ces temps de crises sanitaires, mais bon…
Toujours cette excellente impression globale de la cabine en entrant, moderne, sobre luminese et ça sent le neuf, le vol sera plein en ce dimanche après-midi.
Je m'installe au 22A avec cette superbe vue arrière sur l'aile gauche, et le magnifique winglet avec l'hippocampe inscrit dessus.
Le commandant de bord prend la parole d'abord en Français et ensuite en Anglais, il se présente à nous et présente sa copilote, il nous souhaite la bienvenue dans cet A220 et s'excuse du retard dès le départ de CDG, il fera tout sont possible pour rattraper le retard, un temps partiellement dégagé à l'arrivée avec 8°C et nous souhaite un bon vol.
Embarquement très rapide sans que l'on s'aperçoive du "stress" dans l'attitude des PNC".
Nous repoussons à 16H20, soit avec 20 mn de retard, consignes de sécurité déjà prêt-enregistrées en portugais elle sera lancée pour les passagers nationaux, le geste et appréciable. Vient ensuite celle en Français et en Anglais d'une PNC.
De nombreuses dérives TAP et un A321-271NX partants pour Istanbul.
Mise en route des moteurs.
Et flaps sur 1.
Le push est terminé, l'agent de piste s'éloigne de l'avion, plus qu'à rouler pour nous au point d'arrêt M5.
Un petit peu de spotting au roulage, notre voisin de droite était un A320neo Lufthansa avec l'ancienne livrée.
Un A321neo de la compagnie nationale Portugaise.
Un ATR 72-600 TAP express.
Ayant comme voisin une compagnie peu commune en France, Sata International en A320-214.
Un A321neo TAP, un A320neo de la TAP encore et au milieu surement un A320neo Iberia.
Stocké sur le seuil de piste de la 35, un Embraer195 TAP, un A320ceo d'EasyJet un 737-800 de chez Ryanair.
Et un magnifique gros porteur, un des A330-900 TAP se nommant "Batrolomeu Perestrelo", âgé de 3,1 ans, livré le 08/03/2019, avec ces 2 moteurs RR Trent 7000.
Un A320ceo EasyJet, un A320neo TAP, un Airbus sûrement lui aussi un 320 de la TAP et un 737-800 Ryanair.
Au terminal 2, un A320-200 de la compagnie Autrichienne Lauda Air.
Et un dernier 737-800 de la compagnie réputé pour ces atterrissages tout en douceur.
Nous laissons cet A321neo TAP atterrir.
Vous l'aurez remarqué, le temps se voile.
On s'aligne et nous nous stoppons en attendent le dégagement de la piste.
1 mn après à 16H26, plein gaz.
Le terminal cargo de l'aéroport.
Rotate.
Et pour finir mon spotting sur LIS, un A330-200 cargo de la TAP.
Virage à droite, et nous survolerons l'ile de Mouchão da Póvoa.
Le poste péage Alverca toll.
Et nous continuons de monter, avec une vue sur le viaduc de Loureiro achevé en 2003.
Une annonce est faite par une PNC, pour nous dire que les prises USB sont momentanément inopérante (mince je voulais charger mon téléphone) elle s'excuse de cette gêne.
Bon, au vu d'autres récits sur différents A220, le problème à l'air de persistés si je ne m'abuse seulement chez Air France sur leurs 220 ?
Il me semble qu'ils sont en train de trouver une solution à ce problème, mais pour un avion neuf, c'est vraiment embêtant…
Nous passerons après les annonces, ce voile nuageux pour retrouver ce bleu singulier.
Au niveau de la ville de Léon le trolley fait son apparition, la PNC tirant le chariot me demande ce que je souhaite boire et me demande si je veux un sandwich au jambon beurre ou au chèvre.
Allez je tente le chèvre, qui sera enfaite un sandwich aux concombres et au chèvre, je préfère mon choix de l'aller, celui-là est assez sec en bouche. Mais comme dit dans mon précédent récit, ne crachons pas dessus étant en éco.
Après 1H assis sur ce siège, mon avis ne change pas, il est confortable et le pitch est correct pour 2H de vol.
Le temps devient plus dégagé et j'aperçois le parc national des Picos de Europa avec ces montagnes enneigés, avec le coucher du soleil qui commence.
La mer de nuages de l'aller refait son apparition au-dessus du Golfe de Gascogne.
Pas besoins d'IFE à ce moment, le spectacle dehors est plus divertissant et plus somptueux avec ce magnifique coucher de soleil.
Air to air (au loin) et non ce n'est pas un OVNI, en haut à droite de la photo mais bien les lumières du palonnier reflétant dans le hublot.
Et un dernier pour la route.
Dernière lueur du soleil.
Magnifiques couleurs du crépuscule, comment sans lasser ?
Le commandant de bord prend la dernière fois la parole pour nous prévenir de notre début de descente sur Paris, nous aurons rattrapé nos 20 mn de retard au cours du vol.
L'éclairage change au bleu ciel et la luminosité est atténuée en vue de notre atterrissage imminent.
"Dommage que je n'ai pu constater l'éclairage bleu, blanc, rouge vu sur certain report…"
Quelques éclaircies nuageuses me permettant de prendre en photo Satrouville de nuit, ainsi que la partie Sud de la forêt de Saint-Germain-en-Laye. Nous survolons alors Nanterre et la Défense.
Nous atterrirons en 26L, dernier virage 180 degrés, et passage dans la seule couverture nuageuse sur Paris ce soir, avec une ambiance boîte de nuit.
En approche finale, au niveau de la commune de Monthyon, ce sera une première pour moi et j'espère la dernière, nous nous prendrons un coup de laser depuis une habitation…
Il faut vraiment être mal dans sa vie pour faire ce genre de choses… Y a-t-il des solutions au niveau préfectoral contre ce type personnes dangereuses?
Atterrissage à 19H40, suivi d'un freinage ferme et très inconstant au niveau de l'intensité.
Je me demande si sur A220 le freinage se fait à l'aide du palonnier ?
Nous nous parquerons au terminal 2F et débarquement par passerelle.
Spotting au sol se résumant à la domination d'Air France, un A321-200 Air France.
Et un Embaer 170 Hop ! au ravitaillement en catering et en kérosène.
Encore une fois, avec le contexte actuel, je ne trouve pas ça normal qu'Air France n'applique aucun protocole pour le débarquement des passagers.
Tout le monde se lève une fois le signal de la ceinture éteinte, les pax s'agglutinent alors que la passerelle n'a même pas encore bougé…
Allez comprendre certaines logiques et savoir vivre de certains…
J'attends donc que la plupart des pax devant moi débarque, je récupère ma valise cabine dans le coffre à bagages et à la sortie de l'appareil, c'est le captain lui-même qui me salue avec à ses côtés le chef de cabine.
Très belle intention du pilote de saluer les passagers, ce sont les petites intentions comme celle-ci qui me font avoir une meilleure expérience de vol et une bonne image d'une compagnie.
"Paris vous aime", ce n'est pas réciproque.
Il me faudra 10 mn à pied pour rejoindre la station Terminale 2 du CDG VAL, pour aller dormir une nuit au Hilton, prenant le premier TGV matinal de la gare CDG.
Nous aurons que 6 mn de retard à cause du long roulage, 14 mn de rattraper c'est déjà bien.
En conclusion,
À LIS:
- Un aéroport propre, mais avec une architecture ancienne.
À CDG:
- L'aéroport était propre.
- Signalétique simple à la sortie de l'avion.
L'A220-300 est particulièrement agréable, la cabine et lumineuse, sobre et moderne, les sièges confortables pour 2H de vol, situé à l'arriéré sur le retour, le souffle des réacteurs est bruyant).
Un équipage professionnel, mais ma foi bien plus discret et moins d'échanges qu'à l'aller.
Le commandant de bord a fait plusieurs annonces et a même salué les passagers, très belle intention.
Les contributeurs de Flight-Report ont posté 34 avis concernant 3 compagnies sur la ligne Lisbon (LIS) → Paris (CDG).
La compagnie qui obtient la meilleure moyenne est Air France avec 7,5/10.
La durée moyenne des vols est de 2 heures et 29 minutes.
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4 Commentaires
A lire les FR sur A220, le problème des prises est récurent chez AF et ça la fou mal pour un avion neuf.
Le sandwich sec : quand je vous disais que le pain viennois était moins étouffe chrétien !!
Le protocole de débarquement rangée par rangée n'aura pas duré longtemps ; pourtant on mettait pas plus de temps quand tout se faisait dans l'ordre : la paperasse administrative anti-Covid semble plus important que l'efficace distanciation...
A bientôt
Pour le sandwich en économie, c’est toujours appréciable d’en avoir un, mais il est vrai que c’est très sec en bouche.
Dommage en effet pour le protocole d’embarquement et de débarquement qui manque d’une certaine logique et de sérieux en ces temps tumultueux, la « paperasse » qui entoure les formalités anti-Covid reste un bon point (même si nous aimerions ne plus avoir à faire à cela dans un futur proche).
Un plaisir de pouvoir partager ma passion et sûrement m’améliorer dans de futurs reports, merci pour votre commentaire !
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