#3 sur 94 Compagnies Un minimum de 10 flights-reports sur les deux dernières années est nécessaire pour apparaitre dans le classement.
711 avis
Voici mon premier voyage de l'ère Covid-19 qui m'emmène aujourd'hui au Cambodge depuis Paris. Le trajet sera le suivant, en classe Economique :
J'arrive dans l'aérogare 3 de Changi aux alentours de 6h50 à la porte A12. Le vol pour Phnom Penh part de la porte A20, dans la zone qui fut pendant un moment une zone pour "parquer" les passagers en transit.
Voici le Boeing 737-8 MAX du jour, la présence d'un couloir derrière la vitre ne permet pas de faire de belles photos de l'avion. A postériori, il s'agit du 9V-MBH, livré à Singapore Airlines en décembre 2021 mais dont la fabrication date de début 2019 pour des raisons que nous connaissons.
Me voici à bord. Le temps de vol du jour annoncé est de 1h37.
Dans la pochette du siège, il n'y a qu'un sac pour déchets et la notice de sécurité que j'ai oublié de prendre en photos. Notez que seuls des écouteurs sont distribués. Le kit Covid et la bouteille d'eau distribuée à l'entrée de l'avion comme certains flight reports l'ont montré ont disparu en ce mois de mai 2022.
Nous repoussons avec 10 minutes de retard. Le roulage depuis la porte A20 jusqu'à la piste de décollage permet d'admirer la faune locale.
Du Boeing 737-8 MAX :
Du Boeing 737-800 NG et de l'Airbus A350-900 :
De l'Airbus A380-800 et encore un Airbus A350-900
Du Boeing 777-300ER (ici celui qui m'a emmené jusqu'ici de Paris) :
Du Boeing 787-10 :
Du Boeing 747-400F :
Nous décollons. Quelques vues de Singapour du ciel :
Le petit-déjeuner est servi. Au menu (extrait de https://inflightmenu.singaporeair.com/food) :
Je choisis les oeufs brouillés et les saucisses au poulet, accompagné d'un jus d'orange. La soupe de riz au porc, accompagné d'oeuf de cent ans ne me disait pas trop. Le soleil ne m'a pas permis de faire une meilleure photo :
Nous commençons notre descente sur Phnom Penh :
Il s'agit du premier vol à l'arrivée ce jour. C'est assez calme. L'avion stationne à l'extrémité opposée de la sortie. Il faudra longer toute l'aérogare pour atteindre la police aux frontières, la zone de livraison des bagages, la douane et la sortie.
Compagnie :
L'équipage a bien fait son travail pour ce court vol. La cabine est récente. L'offre de divertissement, certes limitée par rapport à l'offre que j'ai rencontré sur le Boeing 777-300ER depuis Paris, est suffisante pour un vol de cette durée. En ce qui concerne l'offre de restauration, la quantité est correcte. C'est appétissant.
Aéroport de départ :
Les contrôles de sécurité à Changi étaient fluides, pas de queue à signaler. La propreté est au rendez-vous. Etant en transit, je n'ai pas évalué les accès (j'ai mis 10 par défaut pour ne pas sanctionner). Je n'ai pas utilisé les services spécifiquement de l'aéroport (j'ai mis 10 par défaut pour ne pas sanctionner).
Aéroport d'arrivée :
Concernant la fluidité, le passage à la police aux frontières et aux douanes étaient fluides ainsi que la livraison des bagages qui s'est faite dans un délai acceptable. Par contre, il manquait un bagage. J'ai dû aller faire une réclamation (j'ai pu le récupérer le soir même à l'aéroport). La queue a duré longtemps : c'est ce que je sanctionne dans la note.
L'accès à l'aéroport est très embouteillé (comme la plupart des rues de Phnom Penh). L'aéroport n'y est pour pas grand chose mais je me dois de sanctionner.
En ce qui concerne les services et la propreté, c'est assez satisfaisant.
Les contributeurs de Flight-Report ont posté 4 avis concernant 2 compagnies sur la ligne Singapore (SIN) → Phnom Penh (PNH).
La compagnie qui obtient la meilleure moyenne est Singapore Airlines avec 8,7/10.
La durée moyenne des vols est de 1 heures et 51 minutes.
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10 Commentaires
Une prestation Y honorable pour SQ sur cette destination.
Le visa à l'arrivée a-t-il été rétabli à PNH?
A bientôt !
Je suis ravi de voir que le pays s'ouvre de nouveau même si c'est le gage d'une foule au rendez-vous sur les grands sites du pays.
J'ai eu la chance de visiter le Cambodge fin février 2020, amputé de son contingent de chinois et je dois dire qu'Angkor vide ou quasi est une bénédiction.
Les chinois étant pour la plupart encore bloqués chez eux, il est probable que le retour à la normale prenne encore un peu de temps. C'est maintenant qu'il faut aller voir ces sites.
A bientôt pour la suite
Frédéric
Je ne savais même pas que SQ avait des 737 Max 8.
Prestation d’un bon niveau vu la brièveté du vol.
Prestation correcte au vu de la durée du vol.
Quelles sont les conditions d’entrée pour Cambodge?
Merci pour ce Fr
Les conditions d'entrée au Cambodge à ce jour (27 mai 2022) sont les suivantes :
* Visa à demander à l'ambassade du Cambodge ou à l'arrivée pour les citoyens français. La possibilité de solliciter des visas à l'arrivée a été rétablie le 17 mars 2022 ;
* Preuve de vaccination Covid-19: il faut montrer le certificat de vaccination papier (qui vous est délivré au moment de la vaccination ou bien sur le site de l'Assurance maladie) au moment du contrôle des passeports à l'arrivée à Cambodge.
C'est presque comme avant avec la nécessité de se faire vacciner contre le Covid en plus.
Côté formulaires à remplir à l'arrivée, il y en a deux : un questionnaire de santé et un questionnaire standard (celui où on vous demande la durée de votre séjour, pourquoi vous vous rendez dans le pays, vos contacts sur place, etc.) J'ai malheureusement oublié de les photographier (comme la documentation de bord). Il n'y avait pas de rab à l'aéroport.
Merci également à la personne qui a modifié le nom de l'avion. Au moment de la rédaction, je n'avais pas vu de Boeing 737 MAX parmi les choix possibles mais uniquement le Boeing 737-800.
Cela fait plaisir de relire des récits en Asie du Sud-Est :) SIN semble avoir repris enfin un peu de trafic même si d'après ce que j'ai lu, au maximum 50% du trafic sera atteint fin 2022...
Il va falloir s'habituer à ces 737 ex SilkAir aux couleurs de SQ :)
Le catering semble avoir été bien réduit, néanmoins cela reste bien mieux qu'en Europe ou USA.
A bientôt !
Sur cette ligne, la réduction du catering n'est pas aussi flagrante que sur le Paris - Singapour dont le rapport est en cours de rédaction.
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