Merci pour vos commentaires pour les FR précédents, et désolé du délai de publication entre chaque FR (tout le monde ne peut pas publier un FR le jour même du vol ;-). Beaucoup de travail en ce moment, ce n'est pas facile de suivre, y compris les publications sur le site et les réponses à vos commentaires !
Enchainement de vols
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L'arrivée à BOG
Après 10 jours en Colombie, il est temps de reprendre la route du retour. Nous partons de Villa de Leyva en début d'après-midi. Notre vol n'est qu'à 21h40, mais nous préférons prendre de la marge pour rejoindre l'aéroport de Bogota. Il n'y a que 170 km de route, mais l'ami Google nous dit qu'il faut 3 heures, et en réalité nous mettrons bien plus, en tenant compte des aléas climatiques (routes à moitié inondées) et de l'abominable trafic routier autour de l'agglomération bogotanaise.

Notre avance fond comme neige au soleil, et il est déjà 17h20 lorsque nous arrivons à BOG.

Notre chauffeur nous dépose directement à l'entrée n°8, d'où partent les vols Iberia.

Il faut montrer patte blanche pour entrer dans l'aérogare et remettre le masque.

Les comptoirs IB se trouvent juste en entrant, et une longue file de passagers s'est formée devant les tenso-guides.

Ce sont les passagers de la classe Eco qui doivent présenter leurs documents de voyage avant de pouvoir s'engager dans la file.

Voyageant en business, nous sommes affranchis de cette étape et nous nous engageons dans la file dédiée, qui est totalement vide.

Plusieurs passagers sont déjà aux comptoirs, mais il ne semble rien se passer.

La préposée au comptoir J ne nous fait pas signe de venir. Y aurait-il un problème ?

En fait, les agents attendent l'heure d'ouverture de l'enregistrement, qui démarre à 17h40, soit 4 heures avant le départ de notre vol. Nous aurons la chance de voir passer une agente qui nous invitera à la suivre à son comptoir. C'est elle qui donnera le signal du départ à ses collègues et prendra en charge nos bagages, sans oublier le tag priority. C'est une formalité rapidement expédiée.

Il n'aurait finalement pas été très utile d'arriver beaucoup plus tôt, mais la marge que nous avons prise n'était pas superflue. Entre-temps, la file générale s'est passablement remplie.

Direction les contrôles de sûreté.

Il n'y a personne et là encore c'est très rapide, aussi bien PAF que PIF. Autant l'expérience avait été éprouvante à notre arrivée avec deux heures d'attente à la PAF, autant là, rien à dire.

Le traditionnel dutyfree, avec les mêmes marques que l'on retrouve dans tous les aéroports du monde.

Il est 18h lorsque nous arrivons airside. Voici le FIDS de la soirée. Le vol AF est prévu plus tard dans la soirée, mais je ne vois pas le vol LH.

L'aéroport de BOG est moderne, la grande hauteur du plafond compense la modeste largeur de notre hall de départ.

Quelques boutiques permettent de dépenser ses derniers pesos en produits locaux.

Nous prenons la direction du salon.

En chemin, nous passons devant une cafétéria, dont les tables sont pour le moins originales : non, ce ne sont pas des cacahuètes, mais bien des grains de café !

L'espace n'est pas très grand et, si pour l'instant il n'y a pas encore trop de monde, cela ne fait pas beaucoup de sièges pour attendre un A350…

Voici l'entrée (discrète) du salon qui nous accueillera pour attendre notre vol.

Le salon LATAM
Oneworld oblige, c'est Latam qui accueille les passagers Iberia. Celui-ci n'est pas le même que celui reporté par ChrisB lors du retour de son périple sud-américain.

L'accueil est courtois et nos noms sont rayés d'une liste papier. Les bonnes vieilles méthodes…

Le salon est situé en mezzanine par rapport au niveau des départs. L'espace n'est pas immense, mais suffisant ce soir-là pour la fréquentation.

Quelques sièges permettent de profiter des cloisons totalement vitrées offrant une belle vue sur le tarmac (ici de nuit, c'est moins évident).

La décoration du coin restauration est très réussie je trouve.

Il y a du choix pour les vins et c'est présenté proprement.


La qualité reste "locale", mais au moins il y a du choix.



On trouve même du "champagne".

Le coin hard.

Pour ceux qui veulent rester dans l'ambiance locale, on trouve la Club Colombia (ici on dit "cloub"), un incontournable en Colombie.

Côté solide c'est plus tristoune, avec des quelques ramequins.

Les bocadillos ne donnent pas spécialement envie.

Le seul plat chaud est cette soupe, dont il ne reste qu'un fond.

Ce ne sont pas les desserts qui rattraperont la chose.

Plus intéressants (et plus caloriques aussi) ces amuse-bouche apéritifs.

Il est aussi possible de se faire un jus d'orange frais pressé.

Comme je le disais, le salon n'est pas très grand, mais avec plusieurs espaces bien spécifiques, comme cette zone de restauration.

Un autre coin avec des fauteuils.

Et ici une zone de repos.

Ici le coin pour les studieux.

Bien qu'en mezzanine, la vue n'est pas excitante.

En face, de l'autre côté on voit le salon Avianca qui occupe un espace identique à celui-ci.

Nous nous installons dans un canapé "duo".

Le wifi fonctionne bien.

Les prises aussi, mais pas d'USB. Ne pas oublier son adaptateur !

Tandis que Madame est partie prendre une douche (facilement accessible sur demande), je prends une première collation.

L'ambiance est calme, dommage que le grand écran en face de nous crache du foot sans discontinuer.

Madame revenue, nous délaissons le sparkling wine tout à fait oubliable pour essayer le vin rouge argentin.

Ces nuts sont délicieuses !

Notre oiseau du soir ne tarde pas à arriver en porte, qui se trouve juste en contre-bas du salon. Un rapide coup d'oeil sur Flight-Radar me confirme que nous aurons le même appareil qu'à l'aller.

La salle d'embarquement se remplit tranquillement mais sûrement.

Il nous reste encore un peu de temps, en tout cas assez pour goûter ce rhum añejo especiale.


Bon, ça commence à s'activer en porte, il est temps de descendre.

L'embarquement
Nous n'avons pas une bien longue marche à faire pour rejoindre notre porte d'embarquement, celle-ci étant juste en face de l'ascenseur.

A peine ai-je le temps de prendre cette photo que l'annonce d'embarquement est faite, avec l'appel des passagers prioritaires.

Nous embarquons dans les premiers.

Notre appareil de ce soir sous les spots.

Son museau. Pas de doute, c'est bien un A350, et c'est bien Museo del Prado, comme à l'aller.

Il y a un peu d'attente dans le dernier jetbridge, avec devant nous les PMR et leurs accompagnants.

Nous arrivons en porte 2L, l'unique accès à l'appareil.

La PNCette accueille les passagers et les oriente sur la gauche ou sur la droite en fonction de leur classe de voyage.
J'en profite pour saisir un fuselage shot.

Le flight report
Pour nous ce sera à gauche donc. Le rouge vif des IFE est saisissant lorsque l'on arrive par "l'arrière" et égaie un peu cette cabine plutôt sobre.

Comme à l'aller, nous avons pris des sièges duo au centre, dit "honeymoon seats". Ce ne sont pas exactement les mêmes sièges qu'à l'aller, puisque cette fois-ci nous sommes au rang 3 et non plus au rang 5.

La cloison centrale est d'office positionnée à mi-hauteur.

D'une simple pression, celle-ci s'abaisse aisément, permettant d'avoir les deux sièges sans aucune séparation.

Les IFE sont fonctionnels dès à présent pour qui le souhaite.

En revanche, il semble avoir un peu buggé concernant les horaires, fort heureusement l'arrivée à MAD n'est pas prévue à 4h44 du matin !

J'aime beaucoup cette configuration, bien sûr pour son côté duo fort appréciable quand on voyage à deux, mais aussi pour la sensation d'intimité qu'elle crée et l'espace qu'elle offre. Du coup, même si je vous ai fait le tour du propriétaire à l'aller, je ne résiste pas à l'envie de recommencer ;-)
La tablette latérale est assez large, mais les rangements ne sont pas très grands. L'un d'eux permet tout juste d'accueillir le casque. La trousse de confort, identique à celle de l'aller, est déjà positionnée.

Ladite trousse. Elle n'est pas très qualitative, mais son format est pratique et cette trousse aura une seconde vie après le vol.

Les commandes de siège sont simples et accessibles. La télécommande est rangée juste au-dessus de l'accoudoir.

Les prises sont facilement accessibles, près de la tablette.

La boîte à pieds est large et profonde. Elle accueillera oreiller et couverture.

Les consignes de sécurité.


Comme il se doit sur un appareil récent, le plafonnier est moderne, avec des signaux lumineux sur écran.

Les PNC s'activent, mais ne sont pas très présents et il faut les forcer pour leur soutirer un "buenas tardes" poussif. Néanmoins ils font le job et préparent le verre d'accueil.

Au choix, ce sera cava, jus de fruit ou eau.

Les menus sont distribués, mais comme à l'aller, il manque la carte des vins. Nous verrons le détail le moment venu.

Le gros inconvénient des sièges duos, c'est qu'ils ne sont pas au hublot. Sur un vol de nuit, c'est moins gênant, mais quand même… Je spotte donc comme je peux nos voisins de tarmac. Notons que United vient à Bogota en 737. Certes, les US sont moins loin que l'Europe, mais quand même… Il y a 4000 km entre BOG et JFK.

Il va être temps de partir et d'attacher la ceinture 3 points.

Notons que celle-ci, en position détachée, est dissimulée entre le dossier du siège et l'appuie-tête, ne laissant apparaître que cette languette ; de fait cela ne gêne pas le confort.

Nous quittons notre point de stationnement et les consignes de sécurité sont lancées. Celles-ci sont dans l'air du temps, dirons-nous.

Avec une séquence dédiée à la ceinture de la business, elle ferait presque passer la ceinture trois points pour un privilège !

Je positionne l'IFE sur la géovision.

Nous décollons à 22h10, avec une demi-heure de retard, mais dans un silence particulièrement impressionnant. J'aime le raffut des 773, mais il faut admettre que l'A350 fait fort en terme de confort sonore.
Le service se met en route rapidement après le décollage. Celui-ci commence par un oshibori, attention appréciable et appréciée !

L'ascension se fait avec des turbulences et il faudra attendre une demi-heure de vol avant que le signal lumineux ne s'éteigne. Nous passons au-dessus du lac de Maracaïbo.

La lumière est rallumée et le CCP prend la parole pour souhaiter la bienvenue aux passagers.
Puis celui-ci fait le tour des passagers pour prendre la commande du plat chaud. Il ne semble pas y avoir de priorités, il remonte la cabine et prend les commandes dans l'ordre. Je ne sais pas si les passagers de la dernière rangée auront eu leur choix, d'autant que sur ce vol la cabine était pratiquement pleine.
Voici voir le menu. Nous avons le choix entre deux entrées, trois plats et trois desserts. Plutôt pas mal !



Des en-cas sont disponibles au galley pendant tout le vol.

Le service se met en route rapidement. Pas d'apéritif, contrairement à l'aller, on attaque directement par l'entrée. Notons que le dressage est élégant, avec nappe et sans de plateau.
Pour l'entrée, nous avons pris tous les deux le ceviche, qui était plus bon, dommage qu'il y ait cette sauce.


Madame a pris le poisson "Baked seabass with Dijon mustard sauce served with sautéed (!) spinach and risotto", et s'est montrée satisfaite de son choix.

Pour ma part, j'ai pris un risque avec le boeuf "Beef entrecote in meat jus served with mashed potatoes and portobello mushrooms".

Ce n'était vraiment pas bon, un vrai parpaing.

Après le 1er service de boisson avec l'entrée, il n'y a aucune proposition de refill, il faudra alpaguer un PNC de passage pour réclamer du vin avec le plat. Autre problème : l'absence de carte des vins, qui fait commander à l'aveugle.

Puis vient le dessert, nous nous sommes partagés deux des trois choix, avec fromage…

… et glaces. Rien de bien transcendant dans les deux cas.

J'avise une bouteille de moscatele sur le trolley et m'empresse de demander à le goûter. Quel dommage d'être obligé de tout réclamer !

D'autant que c'est très agréable d'avoir un dessert wine en vol.

Madame terminera ce repas avec un thé aussi infect qu'à l'aller. Par ma part, je demanderai une bouteille d'eau.

En somme, un service expédié par des PNC plutôt sympas mais pressés d'en finir, et un catering vraiment médiocre.
Nous passons ensuite en mode nuit. Pas de photo, mais le siège est bien full flat et s'avère très confortable, notamment grâce à sa largeur. J'ai dormi comme un loir !
Au réveil, c'est l'embouteillage pour aller aux toilettes. Lors de mon passage, celles-ci seront propres.

Par contre, l'absence de produits est regrettable.

Nous arrivons en vue de l'Espagne et il nous reste encore près d'1h30 avant d'arriver à Madrid.

Je tente d'aller faire un petit tour à l'arrière de l'avion, mais les allées sont encombrées. Tant pis ! Je parviens tout de même à prendre une photo de l'extérieur depuis le galley. J'aime bien ce winglet.

Ambiance en cabine business.

Le service du petit déjeuner se met en route.

Je ne suis pas très inspiré et j'avoue ne pas avoir très faim. Mais que ne ferait-on pas par devoir de FRiste… Ce n'était pas excellent, mais saluons l'effort de proposer un choix de plats dont un chaud.

Les PNC passent récupérer les casques 20 minutes avant l'atterrissage. J'ai trouvé ça mesquin…
L'arrivée est maintenant proche !

Nous sommes en finale.


Ma bouteille d'eau n'a pas aimé la recompression de la cabine ^^

Comment dit-on Danette en espagnol ?


Etant à domicile, notre A350 bénéficie de deux passerelles, ce qui amènera à un débarquement rapide.

Disons au revoir à Museo del Prado !

Il prend d'ailleurs la pose avec un aïeul quadrimoteur.

Juste à côté, c'est un double concurrent (compagnie et avionneur).

Nous retrouvons le T4S de MAD et son architecture très réussie. Direction les contrôles de sûreté pour aller rejoindre le T4 et rentrer sur Paris.

Merci d'avance de votre lecture, et à très vite pour le dernier tronçon, avec le MAD-ORY.
Merci pour ce FR. Le silence de l'A350 rend le voyage moins fatiguant surtout de nuit. Et air moins sec.
Dommage que les PNC soient mobilisable sur demande uniquement.
Merci Mathieu pour le commentaire.
C'est vrai que l'A350 apporte un vrai plus en terme de confort.
A bientôt.
Passer devant tout le monde, s'affranchir de toute attente et, ice on the cake, ouvrir le check-in, en voilà un luxe.
Car le temps, c'est du luxe.
Si on du bon et du moins bon pour le catering IB, je retiens que pour le PNC IB, c'est plutôt invariable et que ça tend généralement vers le pas bon.
Un bon réseau vers l'Amérique latine mais pas une compagnie qui m'inspire, toujours pas.
Merci Stéphane.
Merci Bernard pour ton commentaire.
Oui, l'espace aussi ;-)
Je n'aurai pas réussi à te convaincre d'IB (ce n'était d'ailleurs pas mon intention), mais c'est une bonne option pour l'AmSud. Personnellement, j'ai surtout apprécié le confort de la cabine. C'est toujours mieux que les cabines LH ou UX, non ?
A bientôt !
Finalement sur un vol de nuit en classe affaires, le principal est d'avoir un siège confortable, ce qui semble être le cas ici. En plus en A350, il y a peu de bruit et l'air y est moins sec en B777, ça n'est pas négligeable !
Dommage que l'équipage et le repas soient un peu en retrait par rapport au reste. Pour le petit déjeuner, je pense que proposer une option sucrée et une option salée serait mieux. Personnellement je n'aime pas du tout le salé au petit déjeuner, surtout les horribles omelettes d'avion... Pourtant il existe des plats sucrés qui auraient sans doute du succès (je pense aux crêpes et autres pancakes)...
Merci pour le commentaire !
Nous sommes tout à fait d'accord !
Dommage si le catering et le service sont en peu en retrait, nous ne regrettons pas d'avoir choisi IB sur ce routing, d'autant que le tarif était vraiment intéressant.
Comme vous je ne suis pas très fan du salé au petit déjeuner, bien souvent un simple café croissant me comble totalement.
A bientôt !
Merci Stéphane pour le partage !
Et bien les conditions d'arrivées à BOG sont dantesques :)
Le salon LATAM est mille fois mieux que celui d'Avianca, en face comme tu le mentionnes très bien, c'est le jour et la nuit.
A bord, c'est effectivement un catering médiocre et si en plus il faut demander pour avoir à boire sans parler de la sélection "à l'aveugle", c'est bien bof.
A bientôt !
Merci Stephan.
Nous avons commencé vraiment à avoir des sueurs en voyant notre avance fondre comme neige au soleil, finalement nous avons eu raison de prendre bcp de marge.
Le service n'était pas au niveau de celui que nous avons eu à l'aller, mais la cabine était vraiment confortable, surtout pour un vol de nuit. C'était finalement le principal.
A bientôt !
Le trajet vers l'aéroport ressemble à une épreuve de Pekin Express ! Un vol pas désagréable a bord d'une cabine confortable mais des PNC peu engagés. Catering : Je prend très rarement une viande rouge en avion car elles ne résistent en général pas à la cuisson et l'altitude. Le reste est correct mais n'envoie pas non plus du rêve.
Merci Christophe pour le commentaire.
Le Bogota Express ! ^^
Tu as raison pour la viande rouge, je me fais avoir régulièrement.
A bientôt !
Merci pour ce FR !
Iberia propose sans aucun doute un des meilleurs produits entre l'Amérique Latine et l'Europe, avec un hub performant à MAD. Dommage que l'équipage ne suive pas ce qui est quand même assez récurrent sur IB et pas à l'image des espagnols...
Arrivée épique à l'aéroport comme le signalais Christophe.
A bient^to
Merci Nico pour le commentaire.
Nous sommes d'accord sur le produit, que j'ai vraiment apprécié. Le service sur le vol aller était bien, moins sur le retour. Tout dépend du PNC, mais il est vrai qu'IB semble assez moyen là-dessus. Au moins j'aurais essayé !
A bientôt.
Le salon est pas mal. Tout a fait dans le style des autres salons LATAM.
Dommage de ne toujours pas avoir réintroduit la carte des vins. J’espère que ce n’est que temporaire.
Du un peu moins bon chez Iberia par rapport à l’aller.
Merci pour ce FR
Merci Moritz de ce commentaire.
Forcément avisé, puisqu'IB est une compagnie que tu connais bien.
La carte des vins était sur le site web, mais ce n'était pas précisé en amont du vol, dommage !
A bientôt.
Merci Stéphane pour ce FR.
Entre le professionnel et le privé j’ai également de plus en plus de mal à publier.
Entre les prévisions et la réalité les temps de trajet sont souvent à prendre avec prudence.
Au final vous serez quand même les premiers à enregistrer.
A bord le catering n’est pas fantastique, et le choix de la viande périlleux, je garde le souvenir d’un catering bof bof lors de mon départ de Medellin.
La trousse n’a pas changé depuis 2019.
Le siège lui est très confortable, c’est pour moi le plus important : bien dormir.
A bientôt
Merci Valérie pour le commentaire.
J'aimerais pourtant avoir ton rythme de publication !
La même trousse depuis 2019 ? Diantre... on sent le vidage de stocks...
Sur un vol de nuit, c'est même le principal !
A bientôt.
Merci Stéphane pour le FR!
C'est vrai que l'A350 est très silencieux, surtout après tant d'années avec des machines plus bruyantes comme le B777.
Tu as bien résummé dans ta conclusion, la cabine a l'air agréable même avec des tons aussi ternes pour une représentation de l'Espagne et le catering manquait peut-être de perspective
Merci!
Merci Chris pour ce commentaire !
Un produit très différent d'AF sur cette destination que tu as pratiquement avant le Covid.
A bientôt.
Salut Stéphane et merci pour ce FR,
Ce n'est pas moi qui vais te faire la leçon sur la rapidité et l'assiduité concernant les publications :)
Il est rare de te voir enregistrer un bagage, et heureusement que l'ouverture du check-in coïncidait bien avec votre arrivée.
Le lounge et sa mezzanine semblent agréables. L'ensemble de l'offre est correctement présentée même si elle reste assez "entrée de gamme"
Un TV avec du foot! ce lounge est pour moi :)
Cette cabine, bien que sobre est très harmonieuse et sa configuration doit permettre à tout le monde de trouver son bonheur.
Il y a aussi + de 4000Km entre PAR et TBS et je connais des compagnies qui y vont en narrow body également ^^
Le catering semble un peu en retrait, et dommage que le service n'ait pas permis de remonter cela. Pas plus que le PDJ qui n'aurait pas trouvé grâce à mes yeux non plus...
La cabine bien pensée dans un appareil récent permet de conserver une bonne impression de ce vol. Dommage pour le catering en vol, d'autant que ce n'est pas la prestation au salon qui pourrait compenser cela.
A très vite pour d'autres aventures
Merci Mathieu.
Quand je me regarde, je me désolé, mais quand je me compare, je me console ^^
Ce CDG-TBS va rester dans les annales [titre]...
Une belle cabine que je reprendrais avec plaisir, rien que pour la config et le confort.
A+ l'ami.
Merci Stéphane pour ce FR!
Qui semble recouper la majorité des avis sur la J d'Iberia: le hard product est homogène et tout à fait adéquat pour de longs vols de nuit, mais le soft product l'est beaucoup moins avec des équipages au sens de l'accueil aléatoire et un catering quelconque.
Le menu ne donne vraiment pas très envie, et le rendu ne fait pas rêver non plus. Les glaces en dessert, ce n'est vraiment pas très inspiré... en plus, tous les produits font un peu "cheap": cava en PDB, thé d'entrée de gamme... c'est un peu dommage.
Au sol, le salon n'envoie pas du rêve non plus; ce n'est décidément pas la fâte pour les papilles^^
A bientôt!
Merci Tsow pour le commentaire.
Le soft était très bien à l'aller, mais il est vrai plus décevant au retour. Les PNC étaient aussi moins avenants, ça compte aussi.
Tu as raison de noter qu'il y a bcp d'éléments cheap dans le catering, mais c'est hélas vrai sur de nombreuses compagnies (ex. LH). En tout cas le siège est vraiment très confortable !
A bientôt.