Après un week-end dubaïote aussi agréable que chaud (normal me direz-vous en juillet, ceci dit avec la canicule qui sévissait en France il y a fait moins chaud qu'à Paris), il est temps de rentrer à la maison.
Contrairement à l'aller qui était en First, le retour se fera "simplement" en business, l'occasion pour moi de découvrir cette classe de voyage en cabine LC avec la compagnie suisse.
Rappel de ce voyage pour ceux qui n'auraient pas suivi :
Le CDG-ZRH-DXB est proposé au tarif de 980 € A/R. Cela reste très compétitif quand on regarde la concurrence.
Il y avait également une offre intéressante sur la First. Si celle-ci ne vaut pas le coup (ni le coût d'ailleurs) pour le retour avec un court vol de nuit, il en va autrement de l'aller. La sagesse l'emportant au moment de l'achat, j'effectue la réservation en J. Mais Swiss propose un système d'enchères, et l'appel de la First étant le plus fort, je ne peux m'empêcher de faire une offre par la suite pour un upgrade en First sur le segment ZRH-DXB, en proposant par acquit de conscience le montant minimum.
Je reste confiant, surveillant régulièrement le remplissage de la cabine. Mon optimisme finira par être payant, puisque mon enchère sera acceptée 36 heures avant le départ. Heureuse nouvelle, qui me permettra enfin d'essayer la réputée First LX, qui m'avait échappé en 2020 pour cause de covid.
Côté appareils, on retrouve le classique A220-300 sur la ligne CDG-ZRH et, (petite) déception, un A330-300 que LX aligne en ce moment sur DXB ; j'aurais bien plus préféré un bel A340 aux cabines rétrofitées, mais ne boudons pas notre plaisir et profitons de cette escapade dubaïote qui se présente sous les meilleures augures.
Et pour ceux qui auraient raté l'aller en First, il n'est pas encore trop tard ;-)
Enchainement de vols
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L'arrivée à DXB
Après un dîner au restaurant Abd El Wahab, en face des fontaines de Dubaï, nous passons récupérer nos affaires à l'hôtel. Le métro est à quelques mètres du Sofitel Downtown, qui est très pratique pour ça ; pour un surcoût raisonnable nous optons pour la Gold class qui offre un peu plus de confort.

Il ne faut qu'une demie heure pour rejoindre DXB et nous arrivons vers 21h30 le terminal 1 d'où part LX (n'est-ce pas Michelg ? ;-). Nous sommes très en avance, mais nous voulions éviter l'affluence des vols du soir pour les contrôles de sûreté.

Le métro est directement connecté à l'aéroport (et vice versa) : il suffit de traverser cette passerelle…

… pour arriver directement au hall des départs. Difficile de faire mieux en terme d'accès ! On est loin de la longue marche qu'il faut à CDG pour rejoindre les terminaux depuis le RER.

Les comptoirs LH/LX se trouvent juste à gauche.

Les comptoirs Eco et J/F sont clairement distincts et se font dans des zones séparées. Il y a déjà du monde du côté Y.

En revanche c'est vide pour la business et la first.

Nous serons très rapidement pris en charge par Yvette, une sympathique agente francophone. Celle-ci édite rapidement nos BP après vérification de nos certificats de vaccination. Par curiosité, nous demandons le prix de l'upgrade en First : Yvette nous annonce que celui-ci est de 5.800 AED. Une rapide conversion de tête (près de 1.500 €) nous fait refuser poliment la proposition sans beaucoup d'hésitation. Le vol est court, et de nuit de surcroît, la business sera déjà très bien. Le seul réel intérêt eût été l'accès au salon First pour notre longue correspondance à ZRH.
Direction les contrôles de sûreté. Nous avons le choix entre les smart gates et les guichets "humains".

L'affluence est encore très raisonnable et nous optons pour ces derniers, qui permettront d'avoir un beau tampon dans le passeport.

Le PIF sera également très rapide, d'autant plus que comme à AMS ou à LIN (mais pas à CDG, il ne faudrait pas que ce soit trop efficace, hein ?) il n'est plus nécessaire de sortir électronique et produits liquides. Un système qui permet vraiment de gagner du temps !

Nous voici airside, moins de 25 minutes après être sortis du métro, check-in compris. Difficile de faire plus rapide.

Nous ne serons pas les seuls à emprunter le train qui nous emmènera au concourse D.

En chemin, j'aperçois notre oiseau du soir qui est déjà arrivé.

Le FIDS du soir. Le nombre de vols pour le continent indien est impressionnant. La vague des départs vers l'Europe démarre à 00h50 avec LH, suivi de très près par KL, BA puis LX. Bizarrement, le vol AF, d'ordinaire prévu à 00h40, est planifié à 2h10 et partira même dans les faits à 2h50. Un véritable red-eyes !

Ici à DXB, pas de cheminement à la IKEA dans un duty free, puisque c'est tout le hall qui est un immense duty free.

Nous ne cédons à aucune sirène consumériste et prenons directement le chemin de l'étage, qui héberge les différents salons.

Le lounge BA a rouvert, après une longue fermeture.

Le lounge Marhaba, que fort heureusement nous éviterons ce soir.

Le salon Gulf Air a également réouvert.

Le Ahlan Business Lounge, qui offre une belle prestation, mais auquel nous ne sommes pas éligibles. Celui-ci est toutefois accessible moyennant espèces sonnantes et trébuchantes.

Et puis forcément il y a le lounge LH.

Après le FR d'Esteban, nous avions un a priori plutôt négatif sur le lounge LH et étions prêts à débourser les quelques AED réclamés par l'Ahlan. Finalement, nous avons décidé d'essayer malgré tout le salon LH pour nous faire notre propre opinion.
Le salon LH
Nous sommes accueillis avec le sourire par un agent, qui m'indique qu'étant *A Gold, je peux accéder à la partie Senator du salon, située sur la droite. Mathieu peut m'y accompagner.

C'est une excellente nouvelle, car cette zone est très agréable, avec un aménagement plus spacieux et plus aéré et un éclairage plus feutré. Et surtout une fréquentation bien moindre que le salon Business.



La zone de restauration.

Celle de travail.

En comparaison, voici la partie Business. Comme il est encore tôt, il n'y a pas encore trop monde à ce moment-là, mais celui-ci se remplira par la suite. On note que l'agencement est plus dense et l'ambiance moins cosy. L'offre de restauration est par contre strictement identique.

Côté restauration justement, ce n'est pas la folie, nous sommes chez LH ne l'oublions pas.
Pour le chaud, nous avons le choix entre une soupe de petits pois à la noix de coco (si, si).

Ou bien des plats plus classiques : riz ou légumes.

Ce n'est vraiment pas tentant… les trucs sur la gauche seront secs et rigides, non merci !

L'offre froide est plus classique, avec quelques mezze.

L'incontournable Bretzel est venu jusqu'à DXB !

Pour les gourmands, des friandises seront à disposition et rencontreront un franc succès auprès de la clientèle teutonne. En particulier les Allemands se gaveront de M&M's. Un lien peut-être avec Miles&More ? ^^

L'offre des vins est en revanche plus intéressante, avec notamment ce Saint-Julien 2008.

Ou encore ce flatteur Pouilly-Fuissé 2013.

C'est d'ailleurs celui-ci qui aura ma préférence et s'avérera excellent. Ma sélection, légère étant donné que 1) nous avons déjà dîné en ville 2) une prestation est prévue à bord 3) il n'y a rien d'alléchant au buffet.

Je suis rejoint peu après par mon comparse, entre-temps parti prendre une douche.

L'ambiance pour attendre notre vol est agréable. Le service est extrêmement prévenant. Il faut dire que le personnel - nombreux - est d'autant plus disponible qu'au plus fort de la fréquentation (avant le départ du vol LH), nous ne serons pas plus d'une douzaine de pax dans la partie Senator.

Les lieux d'aisance sont très bien tenus et agréablement décorés.

Vraiment rien à dire sur cette expérience au lounge LH, certes il manque un catering de meilleur niveau (mais celui-ci ne m'a pas manqué) et une vue sur les pistes (mais à ma connaissance aucun salon à DXB n'en propose au T1). Pour le coup, l'accès à la zone Senator est clairement différenciant et je remercie une nouvelle fois TK pour ce status match.
L'embarquement
Nous quittons le salon environ 45 minutes avant le départ du vol. Retour à l'étage inférieur.

L'embarquement se fera en bout de jetée, les tapis roulants nous permettront d'y accéder rapidement.

C'est bien ici que ça se passe !

Comme nous nous y attendions, l'embarquement n'a pas encore débuté.

En l'absence de file ouverte, tous les pax s'agglutinent devant les tenso-guides. A 00h45, les passagers du groupe 1 (passagers First) sont appelés. Ceux-ci doivent se frayer un chemin pour accéder à l'agent.

Puis les passagers du groupe 2 (dont nous faisons partie) sont appelés à embarquer. C'est un peu le bazar, il faut jouer des coudes si l'on veut passer.

Nous voilà passés ! Vous apprécierez que le casque de la passagère devant moi sera particulièrement assorti avec son tour de cou (sur le thème félin plus que sur la couleur il est vrai ^^).

Comme à l'aller, LX a aligné un A330-300 et non un 777 ou un A340, hélas !

Pas plus qu'à ZRH il n'y a de passerelle dédiée, donc c'est à droite pour tous les passagers.

Pas facile de prendre notre oiseau avec tous ces reflets.

Ah, Mathieu a peut-être trouvé un meilleur angle ?

On va dire que c'est moins pire !

Le flight report
C'est la maître de cabine, Melania, qui accueille les passagers, avec un grand sourire et un mot avenant pour chacun d'eux.
Je prends tout de suite à droite, occupant le 6A. Nous avons en effet guetté avec Mathieu le début de l'OLCI pour nous enregistrer et choisir chacun un trône. Pour mémoire, ces sièges, qui offrent bien plus d'espace et d'intimité, sont payants à la réservation (sauf pour les Senator) mais deviennent gratuitement accessibles dès l'ouverture de l'enregistrement.

Je découvre donc la cabine J de LX, que j'essaie pour la première fois. On retrouve l'ambiance typique de LX, qui est plutôt qualitative. En revanche, la cabine est très ouverte, trop à mon goût même, notamment en raison de la faible hauteur des assises.

Difficile de prendre des photos, mais de ma place, une fois tout le monde assis, je peux voir le passager au fond de la cabine de l'autre côté de l'appareil.

Ce manque d'intimité met aussi en évidence la densité de la cabine, avec sa configuration en 1/2/1 - 2/2/1 alternativement.
Cela dit, au premier rang de la cabine, je suis bien tranquille et n'ai personne dans mon champ de vision, je pense qu'avec le 4A c'est l'un des meilleurs sièges de cette cabine J.
Revenons-en donc à mon installation. Trousse de confort ainsi qu'oreiller et couverture sont déjà disposés. Les tablettes de chaque côté permettent d'avoir un bel espace pour poser ses affaires.

L'espace pour les jambes est particulièrement généreux.

Cet espace sur le côté est très pratique pour y mettre mes affaires.

Chaque siège dispose d'un cintre avec son numéro de siège.

Par contre la taille de l'IFE est vraiment riquiqui.

Pratique aussi ce rangement sous l'écran.

Derrière ce clapet, je trouve tout ce qu'il faut pour recharger mon ordinateur !

La littérature de bord.

La trousse de confort, de la marque suisse Victorinox, est en métal.

Un peu plus loin, Mathieu a pris place dans la petite cabine business, justement au siège 4A. Notons que la proximité du galley n'est pas gênante.

L'embarquement n'est pas encore terminé, mais cela n'empêche pas les PNC de proposer dès à présent un verre d'accueil. En voilà une bonne initiative, d'autant que celui-ci est offert avec un large sourire par une agréable PNC.

Ce sera bien sûr champagne pour moi.

La place ne manque pas pour accueillir celui-ci !

Santé à tous les FRistes de tous poils ! ça fait tout de même plaisir de retrouver un peu plus chaque jour "le monde d'avant le covid".

En allant voir Mathieu, dans la petite cabine avant, j'en profite pour voler une photo de la First, qui m'a confortablement convoyé jusqu'à Dubaï pour le vol aller. On peut lui reprocher son âge ou son manque d'intimité, elle n'en est pas moins très belle.

A ce titre, à mon arrivée en cabine, je m'étais par curiosité enquis auprès de notre maître de cabine du prix d'un upgrade en First. Celle-ci m'indiquera qu'il m'en coûterait 1520 CHF, soit exactement le même tarif qu'au comptoir d'enregistrement - à la différence qu'elle me précise qu'il n'y a pas de catering, celui-ci n'ayant pas été prévu. Même si dans tous les cas je n'aurais pas cédé, c'est une précision importante qui ne nous avait pas été précisée par Yvette au comptoir d'enregistrement.
Le vol semble bien plein et la cabine business principale voit défiler tous les passagers. La petite cabine située à l'avant est bien plus agréable pour ça, mais Mathieu s'était empressé de s'octroyer l'unique trône disponible :-)
Une fois l'embarquement terminé, la maître de cabine passe remettre les menus.


Il y a un menu spécifique pour le dîner, qui est plus une collation étant donné l'heure tardive.

La carte des vins n'est pas mal.

J'ai bien aimé la formule pour le petit déjeuner : chacun coche ce qu'il souhaite, en indiquant s'il veut être réveillé. C'est un gain de temps appréciable et ça évite le gaspillage.

Avant le décollage, je passe rapidement aux toilettes. Celles-ci sont propres (normal avant le vol).

Je me mets à l'aise et profite des chaussons remis à l'aller en First (car comme AF, LX ne donne pas de chaussons en business).

Nous repoussons à 1h35, avec 20 minutes de retard. La maître de cabine prend alors la parole pour souhaiter la bienvenue à tous les passagers et annoncer un temps de vol de 6h20 (d'ordinaire, n'est-ce pas la prérogative du cockpit ?).

Les consignes de sécurité sont lancées sur l'IFE. Celles-ci font vraiment vintage (pour ne pas dire désuètes).

A nos côtés, un Kenyan et un Turc.

C'est parti pour Zurich !

L'IFE n'est pas des plus modernes et la géovision est à l'avenant. Je ne vois pas trop l'intérêt d'afficher l'heure du Caire et de Sao Paulo, mais bon…

Je suis du bon côté pour avoir une belle vue sur la Palme.

Sur ce court vol, le service ne traîne pas. J'ai hésité à prendre la prestation, mais en bon FRiste, quel sacrifice ne serais-je pas prêt à faire pour la communauté…
C'est parti donc, avec prise de commande à ma hauteur par la PNC. Celle-ci est vraiment souriante et avenante, je le précise car ce n'est pas toujours le cas sur les vols de nuit. Celle-ci s'adressera à moi en anglais, mais la maître de cabine, également très prévenante, fera systématiquement l'effort de s'adresser à moi en français.
La tablette n'est pas totalement évidente à mettre en place, mais mettons ça sur le compte de l'heure tardive plutôt que sur ma malhabileté.

Solidaire avec mon égarement, la PNC viendra en renfort et fera preuve d'une indulgence bienvenue en concédant que c'était "tricky" ;-)

La maître de cabine m'apporte directement (et dans les premiers) le plateau, sauf que celui-ci ne correspond pas à ce que j'avais demandé.
Elle réalise alors qu'elle a confondu "avec l'autre Français", alias Mathieu. Nous rions de sa méprise et elle rectifie immédiatement le tir.
J'ai choisi la fajita (qui au passage ressemble plus à un demi croque-monsieur) et le samosa en plat chaud, ainsi que le plat froid. Je pensais que l'on ne pouvait commander qu'un seul des trois, mais la PNC m'a invité à goûter chacun d'eux.

J'accompagnerai ce repas d'un très bon vin blanc du Valais.

J'aime le détail de la boutonnière sur la serviette.

Le moodlighting est activé. Je pensais que la cabine passerait directement en mode dodo, mais de nombreux passagers ont opté pour la prestation.

Ces modestes agapes terminées, il est temps de dormir, car le vol est court. C'est bien du full flat.

Nous sommes déjà au-dessus de l'Irak.

Et il reste à peine 4h30 de vol…

J'interromps donc mon film et marmotte environ 3h30. Le siège est plutôt confortable, mais je l'ai trouvé un peu étroit une fois allongé. Du coup je ne dormirai pas très bien.
Le moodlighting restera allumé pendant la nuit et les PNC ne fermeront pas les hublots. Cela permet d'éclairer doucement la cabine au lever du jour, c'est bien plus agréable que le violent allumage des phares qu'on a parfois sur AF.

La lumière dehors est très belle.

Nous survolons la Hongrie, il nous reste un peu plus d'une heure de vol.

Par contre ces publicités incessantes, toute prestigieuse soit la marque, sont un peu lassantes.

Me voyant réveillé, la PNC m'apporte le petit-déjeuner avec le sourire.

Y a-t-il meilleur endroit pour prendre son petit-déjeuner ?

L'équipage est très présent, avec des passages réguliers, qui me permettent de redemander du café.

Les Alpes sont en vue, nous ne sommes plus très loin.



Ce winglet est vraiment très réussi.

Par contre, mauvais point, j'essaierai le wifi mais celui-ci ne fonctionnera pas du vol.

Nous arrivons au-dessus du lac de Constance.


L'approche se fera par le sud, avec cette fois le lac de Zurich.

Et au loin le lac de Zoug. Les paysages de lacs et de montagne sont superbes.



Après cette belle approche, nous atterrissons en douceur à ZRH.

Nous arrivons au dock des portes E.

Notre emplacement de parking sera à côté de cet A340 d'Edelweiss.


Une dernière vue sur ce "trône" avant de quitter de l'appareil.

Dommage que la maître de cabine et la PNC ne soient pas venues voir les passagers à la fin du vol, elles ont été top durant tout le vol et cela aurait été l'occasion de les remercier. Je pourrai toutefois saluer la maître de cabine qui sera en porte pour prendre congé.
Notre porte qui attend d'être ouverte.

Et c'est parti !

Cette fois-ci les deux passerelles sont connectées.

J'attends Mathieu qui ne tarde pas à arriver. Après un rapide contrôle des passeports en passerelle par les agents de la PAF helvète, direction les arcanes de ZRH pour découvrir un nouveau salon !

En effet, bien que nous soyons en correspondance pour Paris, nous pouvons tout à fait nous rendre au salon hors Schengen. Et cerise sur le gâteau, ce sera l'occasion de découvrir le superbe salon Senator, avec son incroyable bar à whiskys (qu'est-ce qu'il ne faut pas pitcher pour attirer sur un banal Zurich - Paris ! ^^).
Merci de m'avoir lu et à bientôt !
Merci pour ce report, Stéphane
Comme toi, mon retour de DXB devait être effectué par LX et malheureusement, j'ai été obligé d'être rebooké sur LH.
J'ai pu passer à travers la grève des pilotes qui commence demain 2/9 mais je n'ai pu éviter le très mauvais service Lufthansa.
Même groupe mais c'est le jour et la nuit par rapport à ce que tu as eu ce soir-là.
D'accord avec toi.
La cabine J LH est la pire des legacies en Europe (en comptétition avec les NEV4 AF). Malheureusement LH (et 4Y) ont 2 avantages: le réseau et la WL SEN sur les billets primes.
Sinon si on doit voler sur LHgroup, sur les destinations communes, je préfère OS/LX/SN.
Un peu (beaucoup) de patience et la flotte va se renouveler à partir de mi-2023.
Merci Bernard.
Un changement d'appareil et de compagnie de LX vers LH n'est vraiment pas une bonne nouvelle... Je crois qu'on est (presque) tous d'accord pour dire que la compagnie helvète offre un produit dans l'ensemble bien plus qualitative que sa maison-mère.
A bientôt !
Merci Stéphane pour le FR,
Encore un FR nickellement narré sur une destination choisie pour éviter la canicule en Europe.
Oui, une petite dose de lucidité à 1,520 CHF pour avoir le catering J ne se refuse pas!
Chez Star Alliance, les calculs et l'approche pour les status matches sont différents des autres alliances. Ici, c'est l'operating carrier qui paie la facture du salon donc LX et non pas TK qui est à l'origine du status match
On a vu mieux comme accompagnement sol. Non seulement se frayer un passage mais en plus (possiblement) sous les remarques désobligeantes de certains :-)
D'accord aussi, les bulkheads ont un supplément d'espace pour les boites à pied. 4DG sont bien aussi pour les couples pas trop regardants sur l'accès hublot ou les vols de nuit.
Ces vols sont toujours trop courts et à des horaires de la muerte. Dommage que LX/LH ne soignent pas un peu plus son catering au salon pour profiter du sommeil dès l'entrée dans la cabine.
N'hésite pas à faire encore quelques voyages en F cependant pour nous régaler
A bientôt
Frédéric
Merci Frédéric pour le commentaire.
J'ai bien rigolé, mais de fait il faisait moins chaud là-bas. Incroyable...
Je pense que c'est le cas aussi dans les autres alliances : si je suis platinum AF mais que je vole sur DL, c'est bien DL qui va payer pour le salon, non ?
C'est noté ! ^^
A bientôt !
Merci pour ce FR. Effectivement, peu intimiste cette cabine.
Bonne soirée
Merci pour le commentaire !
Cabine peu intimiste, mais au 1er rang c'est un défaut qui "passe bien".
Merci de ce récit Stephane. Encore une bonne expérience avec Swiss qui se distingue parmi les compagnies européennes que cela soit sur court ou long courrier. Comme tu le dis l'horaire n'est pas propice a une offre de restauration époustouflante mais ce qui est servi me parait bien. Bemol en effet pour le manque d'intimité mais rien de trop grave. Le salon en revanche me parait bien mais très banal au niveau de la déco.
Swiss est une valeur sure !
Merci Christophe !
Les vols ex-DXB sont toujours difficiles, même si en saison hivernale AF aligne un vol de jour qui doit être bien plus agréable.
Les salons à DXB (hors EK, évidemment) sont dans l'ensemble assez moyens je trouve.
Assurément ! Et l'une de mes compagnies préférées ;-)
Merci Stéphane pour ce FR.
il y a fait moins chaud qu'à Paris => Autant à Dubai les installations sont prévues pour autant Paris non donc autant y aller.
Entre la gold class et le court cheminement, nos transports en commun ne brillent pas.
L'incontournable Bretzel est venu jusqu'à DXB ! => outre le fait que celui ci fait peur à voir, le bretzel est international (il y en a en Corée) et l'Allemagne le propose à l'Unesco comme patrimoine immatériel (ils ont mon soutien lol).
Vous avez fait la course aux trônes avec Mathieu ?^^ en tout cas vous avez bien fait.
ça fait tout de même plaisir de retrouver un peu plus chaque jour "le monde d'avant le covid". => oh que oui !!
Que de dévouement pour prendre le repas à bord.
je suis une grande fan de cette formule de PDJ, il y a moins de déchet, et c'est au goût de chacun. Mais cela demande plus de préparation au galley...
A bientôt
Merci Valérie pour le commentaire !
Je ne savais pas que le bretzel était international.
Ah les transports en commun à Paris, je préfère ne pas y penser...
Les trônes offrent un confort incomparables quand on voyage seul, ils méritent bien de les guetter à l'OLCI ;-)
A bientôt !