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6119 avis
Hello,
J'en profite pour vous souhaiter une très belle année 2023, pleine de vols !
Je vous retrouve pour la suite de ce routing en direction de Budapest.
Sortie de mon vol en provenance de Montpellier, un rapide coup d’œil sur le FIDS au niveau des correspondances et je vois que mon vol partira de la porte F29 mais j'ai largement le temps.
Je remonte le Terminal 2F afin de rejoindre le salon.
Me voici devant le salon situé au milieu du terminal.
Il y a un peu de monde mais il reste encore largement de la place.
Concernant le buffet, on est sur du sucré/salé très classique :
Les espaces de repos sont pris d’assaut :
Mais ce n'est pas grave, pour ma part je me dirige toujours à l'étage.
Ici aussi il semble y avoir du monde.
Les soins Clarins sont toujours là :
A l'étage aussi, il y a de quoi bien se rassasier.
Je m'attrape de quoi déjeuner et vais me poser directement dans une nap room disponible à l’étage. J’ai de la chance car j’en trouve une dès mon arrivée qui se libère.
Enfin un endroit où je peux enlever mon masque et me poser au calme ! J’y passerai les 4H qui suivent à bloguer et à préparer mes visites de Budapest.
Lorsque je redescends il est 16h, j’ai le temps de m’attraper une merveilleuse madeleine AirFrance avant d'aller voir le FIDS une dernière fois.
Je prends la direction de la porte F29 dans un hall plutôt bondé.
L’embarquement est prévu à 16h10 mais lorsque j’arrive en F29, la porte est toujours en train d’être mise en place.
Tout à coup, je reçois un SMS d’AirFrance pour m’indiquer un changement de gate de dernière minute. Mon vol partira en réalité de la F30 et je suis la première à me présenter ainsi à la nouvelle porte située juste à côté.
Le boarding est retardé à 16h25 et je pénétrerai en première dans l’appareil via la passerelle.
Notre voisin est également en train de préparer son embarquement.
Mon arrivée en première dans l'appareil me permettra de faire une jolie photo de cette cabine très connue.
Je prends place en 3A alors que l’embarquement est relativement long, ce qui impliquera plusieurs messages demandant à tous de s’assoir dès que possible afin de ne pas retarder davantage le vol.
Une équipe de hand prend possession des lieux, ils seront extrêmement bruyants et chahuteront durant un bon moment… je sens que ce vol va être long !
En attendant par le hublot :
L’heure tourne, il est 17H et nous ne sommes toujours pas parti. Le commandant de bord prend la parole pour nous indiquer qu’en raison d’un changement d’appareil au dernier moment, il a fallu tout modifier et que ce process prend beaucoup de temps avec le déchargement et le chargement des bagages et du catering.
Le temps de vol prévu est de 1h40 mais nous ne pourrons pas partir immédiatement car nous sommes dans l’attente d’un slot pour survoler l’Allemagne. Eurocontrol ne délivre actuellement aucun laisser passer, nous allons donc devoir attendre.
Au bout de 30 minutes d’attente, on nous indique que nous sommes toujours en attente d’un créneau, tout le monde en profite pour se lever et discuter. C’est un sacré bazar !
Nous partons finalement au roulage peu après 18h, ouf !
Quelques appareils aperçus durant notre roulage :
Nous y voilà !
Nous décollons environ une dizaine de minutes après.
Le survol de CDG est toujours aussi sympa.
Nous quittons doucement la région parisienne.
Le WiFi ne fonctionne pas mais la géo-vision oui, je vois déjà la route que nous allons prendre à travers la Suisse et l’Autriche.
Le service a rapidement lieu, avec au choix un sandwich au jambon ou au fromage, rapidement suivi par la distribution de boisson.
A côté de moi se trouve un couple Hongrois, pas des plus discrets, qui demanderont à deux reprises des mignonnettes de Wiskey et du Coca. Ils seront bien évidemment servis avec le sourire.
Le commandant de bord prendra plaisir à nous faire découvrir le Lac de Constance que nous survolons.
Je profite de la géo vision :
C’est ensuite les Alpes Autrichiennes qui feront leur apparition, avec leurs sommets enneigés.
Le soleil se couche et donne au ciel une belle teinte orangé, au même moment, un avion surgit et nous offre un magnifique air-to-air que je prends plaisir à immortaliser.
Malgré ces magnifiques paysages, je passerai vraiment un vol très pénible, très bruyant et avec beaucoup d’agitation à l’arrière de l’appareil.
L’arrivée sur Budapest se fait sentir, il fait nuit noire et nous entamons notre descente.
Il est 19H50 et nous venons de nous poser à Budapest avec une heure de retard.
Il y a peu d'appareils sur le tarmac.
Le débarquement est mis en place rapidement via passerelle.
L’arrivée s’effectue directement en porte d’embarquement où des passagers attendaient avec impatience leur vol.
Je parcours rapidement le hall pour rejoindre les arrivées sans prendre la peine de m’arrêter au carrousel bagages.
En suivant les panneaux vers les transports en commun, j’arrive sans encombre à l’arrêt de bus desservi par le bus 100E. Des automates sont présents juste devant et permettent d’acheter le ticket nécessaire pour rejoindre le centre-ville, tout cela pour la modique somme de 1500HUF soit 3.5€. Plutôt raisonnable dis donc !
Me voilà à Budapest pour 3 jours complets de visites.
A bientôt pour le retour :)
Vol beaucoup trop bruyant (mais ça, AF n'y peut rien !), en revanche la collation un peu légère vu l'heure et le retard. Dommage que ça soit devenu le standard dorénavant.
Le survol des Alpes était majestueux, pas besoin d'IFE quand on voit ça par le hublot !
Les contributeurs de Flight-Report ont posté 27 avis concernant 4 compagnies sur la ligne Paris (CDG) → Budapest (BUD).
La compagnie qui obtient la meilleure moyenne est Air France avec 7,5/10.
La durée moyenne des vols est de 2 heures et 9 minutes.
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11 Commentaires
Affirmer qu'AF n'y peut rien n'est pas entièrement vrai car les PNC peuvent intervenir pour rappeler les règles de courtoisie en vol aux importuns...
A bientôt
Fred
Très belles vues au-dessus des Alpes, d’autant plus au soleil couchant.
Dommage que le vol ait été parasité par de bruyants boulets.
A bientôt
Belle pagaille à bord et pour avoir un slot avec en prime des voisins assoiffés. Je comprends que certains vols paraissent longggggg. Heureusement bel IFE naturel et une découverte sympathique de BUD.
L'équipe s'est elle stopper à un moment .
Pour 2h10 ça doit être déjà extrêmement pénible je n'imagine pas sur un vol long-courrier...
Autrement, le point positif pour oublier tous ces décibels c'est la couleur du ciel au-dessus les alpes donne envie de le voir sois même !
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