Avis du vol entre Istanbul et Paris en classe Affaires avec Turkish Airlines

A l'arrivée à Istanbul en provenance de Bangkok avec Turkish, pendant le roulage, quelques appareils autour de nous.

Puis nous suivons le fléchage "Transfer" dans ces couloirs sans fin. 

Enfin l'entrée dans la zone de transfert avec le contrôle des bagages à main. Puis de nouveau un long couloir qui nous conduira à l'immense centre commercial et sa multitude de magasins et restaurants. 

Au passage ce que l'on voit à l'extérieur.

A travers ce dédale et en se frayant par moment un passage au milieu de la foule, nous rejoignons le lounge Turkish.

Notre vol part dans 1h40 et la porte est toujours inconnue et compte tenu des distances c'est un peu léger !

Nous arrivons à un des accès au salon, un seul ascenseur en service et pas mal de clients !
La vue depuis le salon. 

Ce salon est une première pour nous car à l'aller entre Paris et Bangkok avec Turkish le 29 Mars dernier nous avions un tel retard à l'arrivée à Istanbul que nous avions du courir pour ne pas rater la correspondance.

Ce salon est immense avec un choix impressionnant de plats pour la plupart réalisés à la demande dans différents kiosques.

Certains sont désertés par le personnel et d'autres ne proposent plus grand chose.

Le choix de boissons n'est pas reste.

On retrouve la boisson emblématique: Lemonata ou Lemon Mint.

Il y a des zones de repos, une zone télé, et même un "circuit 24" (c'est comme cela que l'on appelais ce circuit de voiture dans ma jeunesse !

Enfin la porte de départ de notre vol pour Paris est affichée.
Nous nous sommes contentés d'eau gazeuse car après les deux repas dans l'avion entre Bangkok et Istanbul, l'estomac est un peu plein et il faut garder une place pour le vol vers Paris ! 

Le salon vue du rez de chaussée !

Nous quittons le salon et nous dirigeons vers la porte A9, la dernière de la passerelle A. au final nous avons du marcher entre 2,5 et 3 kms minimum.

En chemin ce magnifique oiseau bleu.

Ah ! nos chemins se séparent.

Au loin, tout là-bas, on aperçoit la porte A9.

Nous sommes au bout du bout de ce terminal. Personnellement j'aime marcher et cela me plait de déambuler dans ces longs couloirs.

Ah après Aéroflot vu à l'arrivée à Istanbul, c'est au tour de S7.

C'est un peu la cohue à l'embarquement mais les priorités seront respectées.
Instant porte. 

Bon accueil à bord sauf que l'hôtesse ne connait pas la configuration business de l'A350 et enverra les passagers du mauvais côté d'où la cohue à bord.
Et cette configuration que semble t'il tout le monde réclame moi je ne l'aime pas ! A chacun sa cage ou son placard, pour s'asseoir il faut se contorsionner, on est  engoncé dans un siège étroit. Il faut faire une gymnastique impossible pour ranger son passeport dans ce petit rangement qui est muni d'un cadenas et encore pire pour attacher la ceinture à 3 points d'attache. 

Nous sommes bien à bord d'un A350-900.

Le coffre-fort personnel avec code à 3 chiffres et clef de sécurité pour l'équipage (à voir).

Nous voyageons à deux et avons choisi ces sièges pour être côte à côte. Nous le sommes effectivement mais séparés par une cloison inamovible qui oblige à se pencher pour se parler et à se voir un peu. Cette cloison comporte les spots de lecture.

La télécommande qui contrairement à la configuration des A330 que nous avons empruntés n'est pas indispensable car on touche aisément l'écran dans l'A350. 

Cet avion a été mis en service le 18.02.2022 par Turkish . Suis un peu inquiet sur certaines parties de plastique un an et demi après !

Le pitch. Et on ne voit pas trop la largeur mais moi je suis serré.

Pendant cette visite nos charmantes hôtesses nous ont servi la boisson d'accueil: limonata toujours bon et frais.
On voit aussi l'état de la tablette fixe côté couloir. 

Par contre sur cet A350, 3 caméras extérieures et ça c'est super. 

Le menu nous est distribué.

Nous allons sous peu quitter notre point de stationnement.

Roulage vers la piste.

Décollage.

Revenons à l'intérieur, le service débute par un oshibori brulant.

Le plateau est distribué avec proposition de pain chaud et petite bouteille de vin choisie par le passager (Sauvignon Turc).

Sur ce plateau, entrée(mozzarella, tomate et courgette), salade remplacée par un fond d'artichaut (c'est pas désagréable, ça change), fromage (3 sortes), gâteau au chocolat, sel, poivre, beurre et couverts.
Plus verre d'eau gazeuse à la demande. En détails… 

Nous sommes là  et on nous sert le plat principal: poulet à l'indienne (très bon malgré la présentation un peu ratée.

Je finirais mon repas avec un raki, ce raki qui n'était pas disponible dans le vol Bangkok - Istanbul.

Une fois le plateau débarrassé, nous recevrons un paquet de noisttes.

Après cet excellent repas, un peu de repos. 

Arrivée sur CDG.

Et nous voila de retour en France. J'avais oublié de vous montrer les signaux lumineux er donc voila c'est corrigé.

Roulage jusqu'à notre point de stationnement.

Nous quittons l'avion et au passage les lieux de vie de certains passagers !

Passage rapide par les portes parafe et direction le hall à bagages.
C'est une blague cet affichage ? Il y a peine 10 minutes que nous sommes sortis de l'avion. 

Et bien oui car l'affichage change rapidement. 

Direction l'hôtel Mercure (ex Pullman, ex Sofitel) pour une nuit avant de prendre le lendemain matin mon TGV pour Lyon où j'aurais une correspondance pour rejoindre ma petite ville de Bourgogne.
Et un coup de gueule contre la SNCF !  Ce TGV qui arrive de Bruxelles et qui se vide de la majorité de ses passagers à CDG et se remplit de nouveau des provinciaux et comme cela m'est arrivé plus d'une fois est à l'envers d'où une pagaille ingérable sur le quai avec des petits bonhommes en jaune qui nous enjoignent de monter rapidement à bord ! Ah la transmission de l'information ! Et cerise sur le gateau le message sur l'appli SNCF: retard de 5 minutes car affluence de passagers !!!! la bonne blague. D'où à Part Dieu la course pour récupérer ma correspondance. mais ça tout le monde connait.