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Bonjour ! Afin de fêter mon retour temporaire en tant que contributrice, je vous emmène en vacances. Enfin presque. Une semaine de compétition suivie de deux semaines de vacances. Vous verrez, j'ai hâte de partager cette aventure avec vous. L'itinéraire sera révélé au fur et à mesure des mes FR. Aucune exclu, mais tout de même de jolis bonus à la clef !
En tous cas, c'est un voyage qui est planifié depuis 2019, qui a été reporté maintes fois et qui s'est enfin réalisé. L'organisation ne fût pas de tout repos, surtout qu'à l'hiver 2022/2023, j'ai eu la mauvaise surprise de perdre brutalement mon travail. Il a donc fallu négocier mes vacances d'été directement avec mes futurs employeurs potentiels dès les entretiens, car il n'était pas question de renoncer à ce voyage. Je vous rassure, j'ai retrouvé un emploi au bout de quelques mois, et mon nouvel employeur a accepté d'emblée que je prenne quasiment un mois de congé sans solde quand j'ai expliqué la situation. De toutes façons, je n'aurai jamais accepté de travailler pour une entreprise qui aurait refusé.
Revenons à nos moutons et à notre itinéraire. Il s'agit de mon retour au bercail après plus de trois semaines d'aventures inoubliables. En bonus à la fin du FR : quelques photos de la péninsule de Kii et de la région de Nagano.
Alors voilà, j'avais un plan machiavélique. Lorsque j'ai réservé mes billets, j'ai bien pris soin que le dernier segment soit effectué en TGV de l'aéroport de Paris jusqu'à Lyon Part Dieu. Ainsi, j'avais l'idée de descendre de l'avion, récupérer mon billet au comptoir (ainsi que les miles correspondants). Ensuite, une malencontreuse erreur de quai m'aurait fait confondre un TGV avec un RER B (la fatigue, vous comprenez), et ainsi j'aurais pu rejoindre la résidence de Monsieur. Eh oui, c'était beaucoup plus cher de prendre un billet multi-destination avec départ de Lyon et retour à Paris. Les mystères des tarifs aériens ne manqueront jamais de me surprendre
La veille du départ, je regarde machinalement sur Flight Radar 24 où en est l'avion que je dois prendre le lendemain. Surprise : je m'aperçois qu'il a fait demi-tour après une petite heure de vol afin de rentrer à CDG. Sans doute un souci technique… Enfin bref, cela signifie que le vol aura un retard significatif. Je me dis que j'en saurais plus le lendemain. Et en effet, le lendemain j'ai la confirmation que mon vol partira avec environ trois heures de retard. Problème : avec ces trois heures de retard, je ne peux plus prendre le TGV car il part dix minutes après l'arrivée de l'avion. C'est impossible d'y arriver pour un aéroport aussi grand (et même pour un petit). Air France m'a donc reprotégée sur le dernier vol Paris Lyon de la journée. C'est bien gentil, mais cela ne m'arrange pas du tout. Nous sommes séparés depuis 36 jours et il n'est pas question de prolonger l'attente. Il faut donc trouver une solution pour ne pas prendre ce dernier vol. Je ne sais pas trop si je dois le prendre ou non (les conditions de ventes ont l'air de dire que oui sous peine de pénalités pour le moins dissuasives).
Bien évidemment, dans n'importe quelle autre circonstance, j'aurais été ravie de la gestion du retard. La solution proposée était tout à fait adaptée, et ne me faisait arriver qu'une heure après l'horaire prévu. Et de plus, je n'ai rien eu à faire, tout a été mis à jour automatiquement. Enfin bref, vous saurez à la fin de ce FR comment tout cela s'est terminé, mais avouez qu'on partait mal !
Après une ultime balade vers la tour de Tokyo, je repasse à mon hôtel pour chercher mes affaires, puis je me dirige à la gare de Hamamatsucho, d'où part le monorail de Tokyo, un des nombreux moyens pour rejoindre l'aéroport de Haneda. Le trajet étant couvert par le JR pass, je n'ai rien de plus à payer. Je l'aurai rentabilisé jusqu'au bout (précision : ce voyage date d'avant l'augmentation de 70% du pass à l'automne 2023, cela restait donc rentable à l'époque ; ce n'est plus du tout rentable désormais).
Je prends le train de 9h32, qui arrivera plus tôt à destination que celui de 9h26, du fait du nombre d'arrêts plus réduit.
Le train est assez chargé et il y a relativement peu de place pour les bagages. C'est dommage pour une ligne desservant spécifiquement l'aéroport
Le trajet est très rapide, et on arrive à portée de vue des avions en une vingtaine de minutes.
Je décide d'aller faire un tour aux comptoirs d'enregistrement pour en savoir plus sur ce dernier vol. Il y a un monde fou, c'est un peu le bazar. Même la file prioritaire est bondée.
Au bout de 20 minutes, j'arrive enfin au comptoir. J'explique (en anglais) le souci à l'hôtesse. Et là, elle me dit qu'elle ne peut rien faire et qu'il faut voir à Paris ! Et comment vous dire que la moutard m'est légèrement montée au nez… Elle me demande si j'ai des bagages à enregistrer, je lui dis que non. Par bonheur, je n'ai pas acheté de saké ou autre sauce soja pendant mon séjour, et je peux donc voyager avec mes bagages en cabine. Je préfère ça étant donné mon plan que je n'ai pas abandonné. Je me contente de faire imprimer ma carte d'embarquement, histoire de ne pas avoir poireauté 20 minutes pour rien.
Je me dirige alors vers les contrôles. je n'ai pas vu de file prioritaire, mais le tout fût rapidement expédié. Il y a un panneau d'affichage à la sortie. Mon vol est toujours affiché en fort retard. Il y a aussi le plan du terminal. Le salon est plutôt bien placé.
En parlant de salon, allons voir un peu ! Vous m'excuserez de l'absence de photo, mais il était tellement bondé que je n'en ai pris que deux. J'ai eu du mal à trouver une place libre. Voici donc ce que j'ai mangé :
Le thé était passable, le tayaki et le croissant mou, et le jus d'orange industriel. A oublier donc. Il y avait aussi des options salées, qui ne m'ont pas du tout fait envie à cette heure de la journée.
Je profite ensuite du Wifi pour contacter le service client d'Air France par whatsapp. Je suis d'abord face à un robot qui ne comprend absolument pas ce que je lui dit. Il me répète en boucle que le vol est retardé et que mon Paris -> Lyon a été changé, et ne comprend pas ma demande. Au bout de quelques échanges un peu vindicatifs, il finit par me dire qu'il passe la main aux humains, mais que ça risque de prendre plus de temps. Peu importe, j'ai le temps, et plus de chance d'obtenir une réponse claire.
Le seul avantage de ce salon, c'est qu'on peut y admirer les avions. Mais les places avec vues sont chères…
La seule chose vaguement notable pendant cette attente au salon fût le changement de porte, on passe de la 149 à la 145, ce qui réduit le temps de trajet depuis le salon. C'est déjà ça…
Je quitte le salon vers 11h45. C'était certes plus calme et plus confortable que le hall, mais ce n'était pas non plus agréable…
Quand j'arrive, il y a déjà une file fournie alors que l'embarquement n'est même pas annoncé…
L'avion, lui, est bien là, ouf !
On embarque par passerelle, sous un soleil de plomb
Instant porte…
Et là, surprise ! Il s'agit des nouvelles cabines ! L'embarquement étant rapide et la cabine assez remplie, je n'ai pas pris le temps de prendre une photo d'ensemble. J'aime bien les couleurs de la cabine, même si je ne suis pas fan de la porte coulissante.
La trousse de confort est rapidement distribuée. Elle est paradoxalement plus fournie que celle de la première, et bien plus pratique.
La boisson d'accueil est distribuée dès l'embarquement terminé. Je prends évidemment du champagne
Peu de temps avant le départ, un avion Shanghai Airlines vient se garer. Je crois que je n'avais encore jamais vu d'avion de cette compagnie !
Pour le décollage, nous devons utiliser la ceinture "3 points". Perso je trouve ça beaucoup plus rassurant que les ceintures ventrales de base. Personne n'utiliserait ces ceintures ventrales en voiture, alors en avion…
Les consignes de sécurité n'ont pas changé depuis 3 semaines, mais il semblerait que la passager précédent ait eu très faim. Ou alors, son chien en a mangé une partie, je ne sais pas.
Il y a une prise USB et une prise électrique universelle. Je ne les utiliserai pas, mais c'est tout de même très utile de nos jours.
Nous quittons notre point de stationnement vers 12h34, soit environ trois heures 35 plus tard que prévu. Je suis très émue à l'idée de quitter ce pays merveilleux, et je ne sais pas si j'aurai l'occasion d'y revenir.
Le crabe repart tristement vers son prochain aéronef à repousser…
Tandis que le personnel de piste nous salue !
Le roulage est plutôt long, mais c'est l'occasion d'observer les avions d'ici et d'ailleurs.
Le clou du spectacle est ce superbe B747 LH en livrée spéciale. Je la trouve bien plus jolie que l'actuelle.
Nous approchons de la piste…
On est super bien aligné ! La caméra au sol n'est pas très intéressante, mais bon…
Celle-ci est bien plus impressionnante !
Nous nous arrachons au sol, et nous ne le toucherons à nouveau dans quatorze heures environ !
Si vous plissez les yeux, vous apercevrez le mont Fuji dans le fond.
Quelques vues sur la Baie. Il fait un temps magnifique, mais je ne suis pas mécontente de quitter cette chaleur moite. En comparaison, les températures françaises paraissent bien légères.
On fait alors un virage vers le nord-est…
On a une belle vue sur une rivière (sans doute la Tone)
Nous arrivons ensuite au niveau de la côte Pacifique. Nous nous reverrons plus la terre avant… disons un certain temps !
Le service commence avec une serviette chaude.
Vient ensuite l'apéritif, que j'accompagne de porto. Je garde les biscuits d'apéro pour plus tard. La petite bouchée est excellente.
Je tente une photo à la santé des FRistes, mais elle n'est pas très réussie…
Dehors, le temps s'est largement couvert…
Le service du déjeuner suit rapidement. Malheureusement j'ai oublié de prendre une photo du menu, alors je ne me souviens pas exactement de ce que j'ai mangé. L'entrée et le plat étaient bonnes.
Le fromage était bienvenu après plus de trois semaines de sevrage, mais ce n'était pas dingue non plus. Mais bon, je sais que des fromages de qualité m'attendent dans quelques heures, alors je ne m'en fais pas.
Le dessert est un trio accompagné d'une salade de fruits. Pas mal, et de toutes façons je n'ai plus très faim donc c'est parfait pour moi. La salade de fruits pourrait être plus fournie, ou l'assiette plus petite, car elle paraît à moitié vide.
Dehors, c'est du coton…
A ma grande surprise, notre parcours se fera par l'est, via l'Alaska, le grand nord Canadien, etc. Cela me fait donc mon premier "tour du monde" si on peut dire !
La lumière décline assez rapidement…
La Lune est même de sortie !
Puis il fait nuit noire au niveau de la mer des Tchouktes
Entre deux films, je m'amuse un peu avec la géovision. Les vrais savent…
Je vais alors faire un petit tour dans la cabine qui m'a l'air quasiment pleine. Voici la cabine eco
Et la premium éco.
Deux heures plus tard, nous sommes tout au nord de l'Alaska.
La lumière revient !
J'assiste alors via la caméra de l'avion (je ne suis pas du bon côté) à mon deuxième lever de soleil de la journée. C'est vraiment très impressionnant !
Le deuxième service. J'ai pris une viande mijotée, ce qui me paraissait être le choix le moins risqué en avion. J'ai beaucoup aimé. J'ai accompagné le tout de vin rouge (sans doute du Bordeaux, je me souviens qu'il était très bon) et d'eau gazeuse. Le dessert était pas mal, même si je pense qu'il aurait pu être un peu plus grand.
Alors que nous plongeons vers le sud, je reçois quelques messages du service client Air France. Ils me demandent si je veux annuler le dernier segment uniquement, et si je suis bien à bord du vol Tokyo Paris. Je confirme. Ils me répondent alors que je n'ai rien de spécial à faire. Il me suffit de ne pas prendre le vol. Ils m'indiquent aussi que je pourrai demander le remboursement des taxes dès le lendemain et m'indiquent comment le faire. Je les remercie et je suis ravie !
Entre les nuages et la nuit, je n'ai pas revu le sol depuis une bonne douzaine d'heures. Me voilà rassurée, il est toujours là!
Le service se termine sur une dernière serviette chaude.
L'arrivée est désormais proche !
Nous passons à proximité du terminal 1. Je le trouve affreusement moche…
Nous passons à proximité de ce 747 Korean Air. C'est vraiment dommage qu'ils n'envoient plus le 380 à Paris…
Après 14 heures de voyage, le dernier virage est annoncé !
Le débarquement est plutôt rapide et bienvenu. J'ai hâte de me dégourdir les jambes. Et bien j'ai été servie, vu que j'ai mis près de 45 minutes pour arriver au quai du RER ! Pourtant, je n'avais pas de bagage enregistré, et le passage de la frontière a été des plus rapides ! C'était juste trèèèès long… A noter que du personnel au sol était présent en nombre pour assister les passagers dont les correspondances étaient reportées au lendemain.
Pour terminer, voilà ce qu'il s'est passé concernant les remboursements de mes vols :
1/ Le surlendemain du vol, alors que j'avais l'esprit embrumé et que j'étais à bord du TGV parti à 5h52 pour rejoindre mon travail, je fais une demande de remboursement pour de mon dernier vol que je n'ai pas pris. J'ai gardé des captures d'écran de toute la conversation avec le service clients japonais au cas où.
2/ Environ six heures plus tard, le verdict tombe : je vais être remboursée d'environ 170€ correspondant aux taxes du vol dans les plus bref délais.
3/ Je tente alors de demander une indemnité pour le retard du Tokyo Paris. Je remplis le formulaire en ligne.
4/ Quinze (15) minutes plus tard (oui, un quart d'heure), je reçois un appel du service client d'Air France. Ils s'excusent avec profusion pour le retard et m'en expliquent la raison. L'agent me dit que j'ai droit à une indemnisation de 600€, ramenée à 300€ car mon dernier vol (que je n'ai pas pris) est arrivé seulement une heure après l'horaire d'arrivée initialement prévu. Je n'ai pas manqué de complimenter la personne qui m'a appelée pour la rapidité de son intervention. Je me doute que c'est parce que j'ai voyagé en première à l'aller, et que ma réclamation est arrivée directement en rouge clignotant style gyrophare dans leur service. Mais tout de même c'est un excellent service.
5/ L'argent (environ 470€ au total) arrivera sur mon compte en deux parties environ une semaine après.
Comme quoi, le service client a été vraiment très efficace ! Je pense qu'on voit la vraie qualité d'une entreprise (quelle qu'elle soit) à la qualité du service en cas de problème. Ici tout a été géré parfaitement : réacheminement automatique et simple, remboursement confirmé en quelques heures, indemnisation en quelques minutes (je n'en reviens toujours pas), et le tout bouclé en une semaine…
Bref, maintenant, place au bonus !
Cela clôt mon retour temporaire sur le site. Je n'ai pas volé depuis, et mes prochains vols ne sont pas encore planifiés, mais j'espère que l'été prochain sera fructueux. Au pire du pire, j'aurais peut-être un petit vol intérieur en octobre, si tout va bien., mais pas de quoi casser trois pattes à un canard.
Sur le vol en lui-même, il était évidemment agréable. La cabine est superbe, et les repas étaient pas mal. L'équipage était un peu en retrait, clairement pas le meilleur, mais certainement pas le pire. Le salon était très médiocre : c'est une belle salle d'attente avec quelques trucs à grignoter, mais il faut trouver une place, et ce n'est pas facile !
A l'aéroport de Haneda, je sanctionne l'attente à l'enregistrement (et tout ça pour ne pas avoir de réponse à mes questions). A l'arrivée, je sanctionne les 45 minutes de marche pour arriver au quai de RER. Ca fait vraiment long, surtout que l'attente à la frontière a été quasiment nulle (maximum trois minutes à vue de nez) et que je n'avais pas de bagage à récupérer...
Les contributeurs de Flight-Report ont posté 27 avis concernant 3 compagnies sur la ligne Tokyo (HND) → Paris (CDG).
La compagnie qui obtient la meilleure moyenne est Japan Airlines avec 8,1/10.
La durée moyenne des vols est de 12 heures et 59 minutes.
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14 Commentaires
En fait c'est un mal pour un bien. Trop de touristes au Japon, et ça va permettre enfin à certains de découvrir qu'en dehors de JR & du Shinkansen existent de sympathiques trains.
J'ai déjà vu un voisin déchirer un coin pour s'en servir de cure-dents ... plus rien ne m'étonnes.
J'ai eu la chance de prendre la "vraie" livrée en 1974 ... souvenir d'un avion géant quand nous embarquions grâce aux escaliers géantes à l'époque à Bangkok
C'est normal, ça ne fonctionne qu'avec du Champagne. C'est breveté !
Beau service commercial de AF ... quand je vois que mes réclamations de l'année dernière ont reçu une réponse standardisée
La raison vient aussi du fait que le train côtier n'est pas rapide donc les touristes qui visitent le Japon au pas de charge pour certains (et qui se contentent des sports à touristes pour faire le selfie qui va bien).
Encore 6 mois à tenir et je serai de retour au pays du soleil levant. Merci pour ce surper bonus.
A mon avis, cela ne fera qu'accentuer le problème. Le Japon accueille environ 30 millions de touristes par an, et a l'ambition d'en accueillir bien plus dans les années à venir. Le JRP permettait justement des escapades hors des sentiers battus à moindre coût. Je pense que les touristes vont encore plus se concentrer à Tokyo, Kyoto/Osaka et éventuellement Hiroshima. De plus j'imagine déjà l'encombrement aux guichets et machines, car les touristes étrangers prendront quasiment tous des tickets à l'unité. Je pense que le problème du tourisme au Japon (les étrangers comme les Japonais) est qu'ils ne sont pas bien répartis sur le territoire et privilégient quelques villes, voire quelques quartiers alors qu'il y a tant à découvrir...
C'est sûr ! La région était encore plus isolée avant la création de la ligne de train et des routes. Comme dirait un regretté président de la République : c'est loin, mais c'est beau. Et la vue depuis le train vaut la peine.
Je vous souhaite un excellent voyage ! J'espère en avoir inspirer certains avec mes bonus champêtres au fil des FR
Le Japon est un merveilleux pays, tout comme l'Equateur, d'ailleurs... ^^
Quelle histoire rocambolesque tout de même, tout est bien qui fini bien, AF a été performant pour le coup.
Ce B747-800 avec sa livrée vintage, me rappel d'excellents souvenirs : J'ai fais un A/R en Francfort => Buenos Aires, à bord de sa cabine First !
Les prestations culinaires font envie.
Quelle chance d'avoir fait le voyage via le Pôle, évidemment pour éviter le survol de la Russie.
Une belle histoire en vérité...
Merci beaucoup pour ce FR et son magnifique bonus, à bientôt !
Je confirme, même si je garde une préférence pour le Japon. Dommage que l'Équateur soit ravagé par les gangs depuis quelques mois. C'est fou comme la situation s'est rapidement dégradée...
Ils ont vraiment assuré sur la gestion du retard, la reprotection, etc. J'ai l'habitude de dire qu'on voit si une entreprise (quelle qu'elle soit) fournit un bon service lorsqu'il y a des incidents ou des problèmes. Force est de constater que dans mon cas, tout a été très bien géré, avec un petit bémol sur les opérations au sol à Haneda.
En effet, je ne m'attendais pas du tout à cela et j'ai été ravie de faire mon premier vol transpacifique (si on peut dire). Les deux levers de soleil et les deux couchers de soleil dans une même journée ne sont clairement pas donnés à tout le monde, c'était magique
Merci encore et à bientôt !
Merci beaucoup pour ce FR et son magnifique bonus, à bientôt !
Les 2 levers de soleil en une même journée, c’est des moments uniques.
Sympa de la part d'AF de permettre d'annuler le dernier vol, et en plus de donner une compensation pour le retard ^^
Merci pour ce FR et le beau bonus.
Sympa en effet d'avoir le remboursement des taxes et l'indemnisation pour le retard, même si je pense qu'ils sont tout de même restés bénéficiaires dans l'opération. La première, ça coûte, et c'est une fois dans la vie...
Oui, quand on lit certains forums on a l'impression que les services clients des compagnies aériennes sont affreux, mais il faut reconnaître aussi quand le service est efficace
La cabine est agréable et le service client AF a été efficace.
Les repas sont appétissants et en 14 heures, on peut bien profiter de la cabine.
Quelle coïncidence, je viens tout juste d'emprunter la même route polaire et je me suis fait la même réflexion.
Merci pour le bonus touristique qui me donne envie de retourner au Japon pour une visite hors des itinéraires les plus fréquentés.
A bientôt,
Un vol très confortable surtout au vu de la durée et où la gestion du retard semble avoir été bien gérée.
Et surtout de belles livrées avgeeks.
Et pourtant, étant récemment parti en Corée du Sud (rédaction en cours), j'ai constaté à chaque fois que le remplissage des 747 était complet alors qu'il n'y a que seulement 39 sièges de différence entre les deux.
Magnifiques photos du Japon. Si je devais retourner, je le ferai de suite, s'il n'y avait pas besoin de faire un aussi gros détour...
A bientôt. ;)
C'est encore plus rageant de savoir que le 747 fait le plein sur la liaison ! Mon plan original, si ce voyage aurait pu avoir lieu en 2020, était de faire l'aller sur Air France et le retour sur Korean Air en A380 (ou vice versa) en bénéficiant du partenariat entre les deux compagnies. Je le regrette encore aujourd'hui.
Et moi donc ! A chaque fois j'ai l'impression que j'ai besoin de quelques mois pour prendre mon temps et découvrir le pays...
J'aime beaucoup la UNE, qui illustre bien - intentionnellement ?- le long partenariat entre AF et JL.
On ressent la joie de pouvoir profiter de la nouvelle cabine et de la bonne prise en charge du service client.
Merci aussi pour mettre en relief les régions reculées du Japon, qui ont besoin de toute l'aide du monde pour pouvoir envisager un avenir rosé.
Au Kumano kodo (Peninsule de Kii) , ils ont réussi à mettre en place un brave système pour accueillir des visiteurs et présenter les nombreux acquis de la région. À voir si les lieux deviennent trop populaires...
Je dirais que votre engagement avec le Yosakoi va toujours vous fournir des chances ou excuses pour visiter le Japon ! Ne jettez pas l'éponge !
À bientôt.
Alors sur le coup ce n'était pas intentionnel, mais après coup je me suis dit que c'était une coïncidence heureuse
C'est vrai, le site internet de la région est très bien fait. Les services de transports de bagages à l'intention des randonneurs sont bien développés. A mon avis, la région étant relativement difficile d'accès, je ne pense pas qu'il y ait une ruée de touristes. Ce n'est pas comme au mont Koya que l'on peut visiter facilement en une journée depuis Osaka ou Kyoto. Là il faut plusieurs heures de transport, et il faut dormir sur place quelques nuits pour pouvoir réellement profiter des lieux.
J'espère aussi que les conditions seront réunies. Il faudra encore au moins trois ou quatre ans pour réaliser un projet similaire...
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