Avis du vol entre Pau et Lyon en classe Economique avec Air France Hop

petite introduction

Bonjour à toutes et tous !
C'est un plaisir de vous retrouver pour ce récit sur une ligne en apparence banale mais aujourd'hui disparue du réseau Air France.
TwinJet a repris la ligne et malgré mon envie de tester cet opérateur, les tarifs pratiqués sont dissuasifs : pour cet été, on oscille entre 240 et 360 € l'aller simple, ce qui correspond à 7 aller simples avec Air France au tarif minimal (classe de réservation X).

Pour effectuer ce tronçon, j'ai réservé un 3 étapes : Pau > Lyon suivi de Lyon > Nantes le 29 août 2023 et Nantes > Lyon le 29 avril 2024. 
C'est une astuce souvent payante pour payer moins cher : 135€ pour les trois tronçons contre 95€ l'aller simple. 

Deux "extras" vous sont proposés :
1° Un édito sur "l'état" du HUB Air France à Lyon
2° Un petit bonus sur quelques joyaux du Pays-Basque.

Voici un petit rappel du routing :

édito sur le hub de lyon… (à sauter absolument pour lecture express ;-))

Faisons un petit bilan sur un an. Le HUB de Lyon a encore subi de nombreuses transformations au niveau du réseau Air France Hop! et cela va se poursuivre. Comme l'a dit très récemment ChrisB, le HUB Lyonnais fait de la résistance, mais avec de très faibles marges de manœuvre…

1° Des fermetures en série : à quand la fin du déclin du réseau ?

La liaison vers Pau a fermé, comme Lille, Bologne, Ajaccio et Bastia l'an passé. Cette année, c'est Amsterdam qui ferme avec AF Hop : la route sera desservie par KLM exclusivement. Air France Hop ! ne desservira plus que des destinations françaises. La compagnie garde Calvi et Figari, cette année, en liaison saisonnière et sans possibilité de correspondance vers les autres régions (vols uniquement le samedi), alors que nombre d'aéroports ont vu leur offre AF réduite. A voir l'an prochain si la tendance se poursuit. 

2° Des modules de plus en plus petits

En 2023, un certain nombre de destinations étaient desservies par des Airbus de la maison mère : Bordeaux, Nice et occasionnellement Nantes. Aujourd'hui, tous les Airbus sont à destination de Paris Charles de Gaulle. De plus en plus de destinations sont opérées en ERJ170 au lieu des ERJ190 prévus, alors qu'en 2022, Air France exploitait des A321 ! A Nantes ou Toulouse, les ERJ170 deviennent légion alors qu'EasyJet propose 2 à 3 rotations par jour en Airbus et que Volotea propose la route en A319/20 depuis Nantes.

Actuellement, Air France affrète un ERJ145 à Amélia (F-HOXY) pour assurer certaines rotations vers Strasbourg et Marseille. Bien que ce retour fera le bonheur des nostalgiques du HUB Hop ! cela traduit une réduction du nombre de siège de l'ordre de 40 à 50% par rapport à un service en ERJ170 ou ERJ190.  Est-ce suite à la maintenance des appareils, une pénurie de pilotes ou à une faible demande ?
En tout cas, sur Nantes, sur Caen et Strasbourg, il y a eu des annulations sur ce mois de juin, parfois de deux rotations sur les trois prévues. 

3° Des suppressions importantes dans le programme de vol initialement prévu

La rotation du matin vers Strasbourg est supprimée pour tout le mois de juin. Dès octobre, il n'y aura plus aucun vol le dimanche de Strasbourg vers Lyon. Cette forte réduction est assez préoccupante alors que le contrat Triennal 2024/2026 est en cours d’élaboration et que Amélia semble supprimer la route vers Amsterdam cet hiver (Air France proposait Lyon <> Amsterdam en correspondance à Strasbourg)
Dès le printemps 2024, Air France Hop! a supprimé sur toutes les lignes sauf Caen une des deux rotations du dimanche.

Air France Hop ! a supprimé 80% à 90% du programme de vol pendant les vacances de Noël mais ajouté des vols le samedi 28 décembre.
Dans des proportions plus minces, le programme de vol a été revu à la baisse pour les vacances de la Toussaint avec 1 rotation en moins par jour, ne permettant plus les allers-retours sur la journée. 
Sur ces périodes, tous les vols seront opérés en ERJ170, le plus petit module. 
Le programme varie tous les jours avec des horaires assez différents de ceux habituels, empêchant les correspondances : visiblement, ce sont des trajets point à point qui sont visés alors que le HUB est essentiellement orienté affaires.

Toutes ces annulations n'incitent pas les voyageurs à transiter par Lyon mais par Paris, où la flexibilité est plus grande. Dans le même temps, la route vers Paris Charles de Gaulle est souvent opérée en A321, comme reporté par de manière récurrente par ChrisB. C'est le plus gros module de la flotte Moyen-Courrier Air France, avec à la clé des baisses de tarifs.

4° Des partenaires pas vraiment considérés ?

Concernant les partenaires, TwinJet a fermé Metz-Nancy il y a un moment, mais aussi Lille (qui devient inaccessible avec AF). Elle pérennise Pau avec 3 vols quotidiens hors samedi avec possibilité de correspondances avec le réseau Air France contrairement à Milan et Bologne. Chalair a repris les vols vers Limoges, qui ont failli être supprimés, comme le fut en novembre 2023 la ligne vers Poitiers. 
La liaison vers La Rochelle, reprise par EasyJet, est donc inaccessible avec Air France Hop!
Pour couronner le tout, le programme Flying Blue ne s'applique plus aux vols Chalair ou Twin Jet dès lors qu'ils ne sont plus commercialisés sous le code Air France. 
Le programme estival d'Air France permet très peu de correspondances avec Air Corsica, pourtant très active vers la Corse, en complément des 2 vols hebdomadaires d'Air France. Dans le cas où ces correspondances sont proposées, les prix sont le plus souvent saturniens. 
Une meilleure coordination, une cohérence dans les possibilités de correspondances et dans les grilles tarifaires pourraient grandement contribuer à faire alimenter le HUB Lyonnais, notamment sur le marché Corse. 

5° Une offre peu lisible, une instable stabilité…

En apparence, le réseau Air France Hop ! change peu.
Pourtant, la réduction des fréquences, de l'offre de sièges, des possibilités de correspondances vont en faveur d'un recentrage des activités vers Charles de Gaulle, concurrençant le HUB de Lyon avec beaucoup plus de vols, beaucoup plus de destinations, beaucoup plus de moyens : seuls Caen et Strasbourg ne sont pas desservies depuis Charles de Gaulle.
Or, moins il y a de possibilités de correspondance, moins LYS est attractif.
De plus, les tarifs augmentent sensiblement mais tout de même : +10 à 20€ sur le tarif plancher par rapport à 2019. Des allers-simples à 45€, ce n'est plus possible aujourd'hui et même à 55€, c'est assez difficile à dégoter. 
Si l'on pourrait croire que cette réduction s'accompagne d'une montée en puissance de Transavia en région, il n'en est rien puisque les activités se recentrent sur Orly pour les deux prochaines années au minimum.

Bref, il serait bien que le groupe Air France-KLM clarifie ce qu'il souhaite faire de ce HUB qui en est un à moitié, où Transavia s'investit un peu mais pas trop. Pour l'instant, l'offre me semble assez illisible : orientée affaire ? loisirs ? quel avenir ? quelles correspondances (et pourquoi pas entre un vol Air France et Transavia de manière simplifiée et avec des garanties en cas de retard ?) ? quels partenaires ?
Si la stratégie est le recentrage sur les HUBs, alors pourquoi laisser cette offre a minima ? Pourquoi ne pas proposer de vols vers Londres Heathrow comme à Nice en connexion avec Delta et Virgin Atlantic ? Pourquoi pas tout faire exploiter Transavia comme s’interrogeait NicoBcn récemment ? Autant de questions sans réponses à cette heure.

6° Au delà d'une stratégie, une croissance bridée par des facteurs extérieurs ?

Tentons d'y voir un peu de positif : pour l'hiver prochain, la majorité des liaisons sont maintenues avec, du lundi au jeudi, 3 vols par jour (2 le vendredi) sur tout le réseau actuel. Les vols vers AMS seront remplacés et donc aucune perte de fréquences n'est à prévoir. Mais espérons que la cure d'amaigrissement s'arrête à ce stade ou alors qu'une ligne claire soit donnée.  

Une autre cause qui pourrait expliquer ce manque d'investissement sur Lyon est le manque d'appareils et de main d’œuvre. Entre les livraisons repoussées, la pénurie de pilotes sur les A220 couplés aux problèmes moteurs, la sortie prématurée des CRJs de la flotte pour rationaliser les coûts alors que la reprise du trafic a été plus rapide que prévu post-covid accompagnée de départs en retraite de PNT/PNC, Air France doit affréter des appareils et en acheter d'occasion : depuis 2022, 4 ERJ190 ont intégré la flotte et un  cinquième rentrera en mai 2024. 

Air France doit certainement positionner ses aéronefs à Charles de Gaulle pour consolider son réseau face à British ou Lufthansa qui viennent chercher de nombreux passagers français (notamment en régions…), alors que KLM voit sa croissance bridée à Amsterdam. 
On peut espérer un développement du réseau de LYS quand le nombre de pilotes et d'appareils seront suffisants : ce n'est pas pour demain ! 
Enfin, les travaux qui s'éternisent au T2 de Lyon ne facilite pas une quelconque expansion, avec aucune date de réouverture. Vu la visite que j'ai faite, ça à l'air encore très vieux et pas du tout fini. 

Enfin, au moment où j'écris ces lignes, se rajoute une actualité politique particulièrement instable où, selon le parti élu, le réseau intérieur pourra être plus ou moins considéré. Même si, comme l'avancent certains, Bordeaux/Biarritz/Toulouse/Rennes/Brest/Nantes/Caen <> Lyon en train serait une alternative longue et peu pratique, il n'en est rien pour Strasbourg, Marseille ou encore Paris CDG.
Bref, à très court terme, la visibilité est limitée, alors à moyen terme, je donne mon chapeau à celui qui pourra dessiner le réseau domestique français !

Cet édito qui tente d'être factuel ne peut cacher une inquiétude vis-à-vis d'une stratégie (ou d'une hibernation prolongée) qui semble être économiquement fragile pour les opérations sur Lyon. 
C'est fort de toute cette réflexion que je profite au maximum de ces petits vols régionaux que je trouve agréables tant qu'il est encore temps !

l'aéroport de pau de l'extérieur

L'aéroport de Pau est une infrastructure qui est assez rudimentaire.
L'aérogare n'est pas une merveille architecturale mais j'ai vu pire. Les petits palmiers qui se pavanent devant apportent un pendant sudiste qui est sympathique. En revanche, je doute que leur ombre soit très efficace en cas de canicule.

Un café/restaurant est fermé, déserté. Bon, TRIB'S n'est pas une enseigne très originale, que l'on retrouve dans pas mal d'aéroports comme à Rennes et offre majoritairement des encas et snacks : on est loin du restaurant gastronomique.

En ce beau mardi de fin août, l'ERJ170 trace sa route.
Des cercles multiplement tracés, permettent aux novices d'êtres formés.
Pour, en altitude, le contempler, il faut pouvoir le piloter. 
Son parcours est cartographié et sa carlingue immortalisée.

Après quelques heures de dur labeur,
Quelques minutes de repos ne sont pas de trop,
Sous le jet-bridge arboré d'une pyrénéenne publicité

L'aéroport de pau : de l'intérieur

Que ce soit pour s'enregistrer ou embarquer,
il convient de s'élever au premier…
Dans l'aéroport non loin du Bigorre, ce sera par escalator.

Allons bon, cessons de faire des vers…
L'enregistrement se fera à l'aide d'agentes d'escales très sympathiques, alors que des passagers se lancent dans une joute verbale à propos d'un fait anecdotique : ils se menaceront de porter plainte contre l'autre. Bref, tout ça pour pas grand chose !

J'en ai oublié de prendre la photo des comptoirs d'enregistrement. Il y avait du monde : le vol pour CDG partait à 18:20 et le vol vers Lyon à 18:40 ce qui représente environ 120 passagers. Voici la carte d'embarquement :

La sécurité est passée très rapidement par des agents courtois. Côté air, de nombreux sièges sont disponibles.

On y trouve même des fauteuils assez mous : clairement, l'aéroport est assez orienté affaire.

Un seul commerce est disponible côté air et offre une palette assez variée de denrées alimentaires. Toutefois, il n'y a pas de zone dédiée au commerce pour consommer mais les nombreux sièges permettent de s'assoir pour manger et les fauteuils comportent des tablettes.

Quelques petites victuailles locales sont exposées : de quoi stimuler un achat spontané ?

Il y a huit portes mais ce sont les deux premières qui sont juxtaposée et utilisées : les deux ERJs sont connectés aux deux passerelles. Je ne suis pas forcément convaincu de l'utilité mais, soit.  Je me demande si les Beech 1900D de TwinJet les utilisent désormais :) (est-ce techniquement possible…) !
Aujourd'hui, voir deux vols Air France simultanés est malheureusement impossible.

L'avantage de l'aéroport de Pau, c'est que de grandes baies vitrées permettent d'observer le trafic qui est d'une grande… platitude !
Seul l'activité militaire augmente à Pau en terme de mouvement, mais ce n'est probablement pas avec le coucou que l'on voit en face. J'ignore d'ailleurs le nom du modèle ! Une idée ?

Un peu plus dynamique, voici F-HBXN, un ERJ170 âgé de 20 ans en provenance de Paris Charles de Gaulle et à destination… de Paris Charles de Gaulle (on ne change pas les bonne habitudes n'est-ce pas ?)

Et il parade de nouveau pour rejoindre sa passerelle.

en route pour l'avion !

Rapidement, l'appel pour embarquer est entonné. C'est la première vue (depuis l'aérogare) de mon avion du jour. Le vol pour Paris s'aligne pour décoller.

C'est le F-HBXA. Je trouve ça incroyable qu'autant d'avions arborent encore l'ancienne livrée depuis 2019 : ça fait 5 ans maintenant que la nouvelle livrée existe. Bon, comme c'est voué à disparaître, profitons-en !

L'instant porte de rigueur pour… oui, oui, on sait quasiment tous de qui il s'agit (enfin, je crois… !)

Un fuselage-shot aux anciennes couleurs vouées à la disparition…

Voilà mon siège original, plutôt bien aligné avec le hublot. C'est le 12F.

Voici une petite vue sur la passerelle désormais orpheline de l'ERJ170 vers Paris CDG.

Sauf que c'était la première fois que ma correspondance ne durait que 25 minutes et j'ai fait part de mon inquiétude à l'équipage. La cheffe de cabine fut très sympathique et me propose le 10C, que j'accepte, même si c'est côté couloir. C'est alors qu'un autre passager, séparé de sa camarade de voyage, me propose d'échanger ma place pour le… 1F ! A bah là, c'est tout de suite oui !
C'est ainsi que je me retrouve au premier rang, avec un pas intéressant.

Ma voisine est très sympathique et je lui demande si je peux voler une ou deux photos depuis le hublot. De manière extrêmement naturelle, elle me dit qu'elle s'en fiche d'être côté hublot et elle me propose le 1A. Tant qu'on y est, allons y !
C'est ainsi que se termine l'épopée racontant mon périple du 12F au 1A.
La ceinture est grise, non siglée.

Voici la première photo de ma nouvelle vue, bien inhabituelle pour moi.

L'alignement sur la piste est assez rapide. Au vu de la taille de l'aéroport, ce n'est pas surprenant !

la (rapide) montée

Le décollage ne se fait pas attendre. Les paysages du Pays-Basque se dévoilent et restent bien verts en ce mois d'août.

Il fait un peu plus beau là haut… C'est très patchwork et les nuances de vert sont très jolies !

Seules quelques maisons éparpillées transcrivent une forme de vie sur ces plaines tout de vert vêtues… Quelques nuages viennent encombrer cette unité de bleu.

la croisière

Le vol se passe très calmement. Je discute avec ma voisine : on parle des enfants, des manières de réagir lorsqu'ils font des caprices, que ses petits-enfants sont ingérables selon ses propos… ça me fait rire ;). Vous cernez certainement l'état d'esprit de ce petit vol régional : c'est bon enfant (sans jeu de mots), ce que j'adore.
Elle s'envole vers Marseille. Avant, elle empruntait justement le vol direct de TwinJet entre Pau et Marseille qui a disparu. 

La collation est distribuée. Le sucré-salé n'était pas de retour. Ce sera donc sucré aujourd'hui. En complément, je prends mon jus de tomate habituel avec du sel de céleri ainsi qu'un thé, qui était vraiment faible, comme d'habitude… mais ce n'est pas grave. La prestation reste au rendez-vous et convenable pour cette durée.

Des cratères du massif central annoncent un début de descente vers Lyon. Toutefois, les sommets tutoient les nuages.

De beaux arbres se dessinent. Il fait un peu plus beau que sur Pau.

Tandis que la descente se poursuit, nous passons entre deux couches de nuages dévoilant des plaines moins garnies de végétation…
Le jeu de l'ombre et du soleil donnent des vues représentant bien le climat français…

Je tombe sous le charme de l'éclairage tacheté du soleil sur les plaines,
toutes nappée d'un filin de lumière dorée,
tandis qu'apparaissent au loin les massifs, aussi ternes que le feuillage d'un if.

atterissage…

Les villages se dévoilent au fur et à mesure que la piste se rapproche… Je corrige : il fait un peu moins beau qu'à Pau !

Je n'avais jamais observé qu'autour de l'aéroport, la terre semble plus aride qu'avant. Nous sommes désormais en courte finale.

Atterrissage (assorti de travaux) !

roulage vers le terminal D

Nous quittons rapidement la piste pour rejoindre le terminal 1, enfin, l'aile D en attendant la réouverture du terminal 2 qui semble tarder et dont on a aucun nouveau planning n'est dévoilé.

TwinJet s'est pas mal développée à Lyon en testant pas mal de lignes comme Stuttgart, Zürich, Metz et Lille qui ont fermé. Il ne reste que Pau, Bologne et Milan. Le beechcraft 1900D fait dodo !

La mythique architecture de la gare TGV se dévoile. On voit que l'on est fin août puisque le ciel s'assombrit alors qu'il n'est que 19h50 !

Derrière le camion-citerne se trouve le let-410 de l'odyssey vers Poitiers tandis qu'un Airbus Air France arrive.

L'ATR72-600 F-HXKY s'apprête à rallier Ajaccio à 20h15. Derrière se trouve l'A320 qui arbore la livrée anniversaire de la compagnie.

Un B737 de la R.A.M. va rallier Casablanca dans quelques minutes. Un A321 de la compagnie tricolore partira vers Paris.

Vive le (vrai) T1, à savoir la rotonde…

au revoir !

Allez, au revoir petit coucou ! (il faut faire attention aux moteurs visiblement).

Je tiens à vous remercier pour votre attention et d'avoir pris un peu de votre temps pour lire mon récit.
Je tiens également à remercier les fidèles lecteurs qui suivent mes périples, tous ceux qui ont pris le temps de liker et de commenter mon dernier récit.
Promis, sur le prochain report, pas d'édito (mais toujours du spotting… comme je l'ai dit un FR sans spotting, c'est pas pour demain !) !
N'hésitez pas, si vous le souhaitez, converser dans l'espace commentaire et donner un petit like ;-)
A bientôt !