Bonjour à toutes et à tous et bienvenue pour une nouvelle série de reports d'une escapade datant du mois de Mars 2023.
Le pourquoi du comment de ce routing sera explicité dans le prochain report qui constitue le vrai début des hostilités aériennes, cependant, je ne vais quand même pas vous faire l'affront de vous teaser la destination de ce routing vieux de plus de 9 mois, aussi vous retrouverez dans le bloc dédié ci-dessous l'intégralité du voyage effectué.
Enchainement de vols
- 1AF658 - Economique - Paris → Dubai - Airbus A330-200
- 2AF655 - La Première - Dubaï > Paris - Boeing 777-300ER
- 3AF990 - Première - Paris > Johannesburg - Boeing 777-300ER
- 4AF995 - Business - Johannesburg > Paris - Boeing 777-300ER
CDG terminal 2E
Il s'agit donc de ce que l'on appelle dans le jargon d'un vol de positionnement ou de pré-acheminement :)
Direction Dubaï ; qui pour beaucoup (moi compris) peut constituer l'objet d'une destination finale (ou d'un film), mais il n'en sera rien ici.
En ce 16 mars 2023, les protestations autour du projet de loi "Retraite" battent leur plein, et c'est le jour choisi par le gouvernement pour utiliser le 49.3.
Je crains que certains ne puissent avoir envie de durcir le ton rapidement, qui en bloquant les routes et les accès aux aéroports, qui en pratiquant une grève du zèle aux contrôles de sécurité ou je ne sais quelle autre joyeuseté.
Ayant pour ma part fini ma journée de travail bien en amont de mon planning, je décide de partir vers CDG en VTC sans trop me soucier de l'heure qu'il est.
Je n'ai aucun problème à passer plusieurs heures au salon quand je suis en vacances. Dont acte! J'arrive après une course somme toute normale d'un peu plus d'une heure (temps nécessaire pour rallier CDG depuis Paris 18 en voiture un soir de semaine) au 2E sur les coups de 18h30.
Les lieux sont plutôt calmes pour le moment, ce qui est toujours plus agréable.
Dans la zone SkyPriority aussi, le calme règne. Je n'ai pas de bagage à déposer en soute, j'essaye de voyager "léger" sur ce court déplacement, mais je souhaite récupérer mon BP, et aussi m'informer d'éventuels upgrade.
Une agente adorable m'accueille et me renseigne. Le vol s'annonce fort plein, et les sur-classements sont dissuasifs: +250€ en W, +740€ en J. L'agente me dit qu'à son avis, les tarifs ne sont pas intéressants, et que voyageant à 2, notre doublet de sièges devrait faire l'affaire sur ce vol de nuit relativement court; j'abonde en son sens.
Après une agréable discussion, direction la PAF, avec un accès N°1 dédié, et utilisable pour les passagers SkyPriority. Comme souvent (toujours…) les PARAFE sont en carafe, et il y a un peu de monde pour accéder aux guérites humaines.
Je passe sous les tenso-guide pour rejoindre le flux normal, mais m'y fait retoquer par un agent de Paris aéroport pour 2 motifs:
1. Je suis SkyPriority et 2. ma valise cabine lui semble trop grosse et il me demande de l'enregistrer.
Un de ses collègues avise le tag Platinum sur mon sac et lui enjoint de me laisser passer, merci messieurs.
L'obstacle du PAF franchi, il faut se fader le PIF et aux portes K, le système, pourtant éprouvé ailleurs, qui consiste à mettre plusieurs pax côte à côte devant leurs bannettes est toujours un hasard. Il faut parfois se battre pour réussir à intercaler ses affaires, et prier très fort pour que les agents ne choisissent pas de vous faire passer un contrôle complémentaire.
Pour ma part, les dieux seront de mon côté pour cette étape du voyage. Il m'aura fallut, en tout et pour tout, à peine plus de 20 minutes avant de me retrouver au hall K qui accueille notre vol du soir.
Je ne m'attarde que très peu dans la galerie commerciale, pour ce qui est des produits Clarins, avec un peu de chance, il est possible d'en retrouver au salon.
Direction le salon AF du 2E-K, situé en sous-sol, et qui commence vraiment à accuser son âge, sa rénovation est désormais en cours au moment où j'écris ces lignes.
Air france lounge - terminal 2e - hall k
Le lieu est bien connu des visiteurs de Flight-report, mais je rappelle que le salon est organisé en 2 zones à partir de l'accueil, un espace RDC à droite, plutôt sombre, et à gauche un espace sur deux étage, avec une mezzanine plus lumineuse, où je commence à avoir mes habitudes.
Illustration de la partie droite donc:
Engageant n'est-ce pas? Ce grand espace est particulièrement mal utilisé, il serait possible d'en faire soit un espace de travail, un espace de repos, un comptoir client, bref quelque chose d'utile et agréable.
Ici, pareil, cette bibliothéque (car oui, c'est une bibliothèque) est désormais triste à mourir sans ses livres. Le Covid (ainsi que le diktat écolo) à eu bon dos de faire disparaitre tous les à côté sympathiques qu'AF pouvait proposer, la presse papier en étant l'exemple parfait…
De soins Clarins, il n'y aura pas plus. A 19h, les thérapeutes ne sont plus en service, très dommage, les plages de service étant particulièrement restreintes.
Une fois les photos effectuées dans cette partie la moins agréable du lounge, je repasse vers la gauche, et le RDC, plus lumineux que son homologue de droite.
On reviendra sur l'offre un peu plus tard.
Pour ma part, je file sur la mezzanine qui est l'endroit le plus calme et plus agréable de ce salon.
AF ne s'y trompe pas, puisque c'est ici que la compagnie à choisi de dédier un coin spécifique à ses clients les plus fidèles. L'espace sera d'ailleurs utilisé par une joyeuse bande de voyageurs qui profitera à fond de l'avantage offert par le statut Ultimate et qui permet d'inviter jusqu'à 10 pax au salon :)
Etant un peu en avance sur mon comparse de voyage, je préempte un carré dans un coin calme pour l'instant (le calme sera rompu par des ressortissants Grand-Bretons qui feront étalage de leur savoir faire en matière de binge-drinking :)
Le mobilier, bien que confortable commence à dater. Peut être plus dans ses coloris que dans sa qualité.
Une pseudo vue sur les pistes fini le tour du propriétaire.
En ce qui concerne la pitance, de multiples îlots sont répliqués dans les différentes zones du lounge, proposant, tantôt du solide, tantôt du liquide.
En bas offre vins et apéritifs.
en haut l'offre liquide, la même qu'en bas, est de belle tenue, avec toujours de jolies références vinicoles.
L'ensemble est très joliment présenté.
et des cochonneries à grignoter.
L'offre solide froide, plutôt reprise en bas du salon.
Que du très classique chez AF
Et l'offre chaude en haut, qui présente pas forcément très bien, surtout sur ces tomates farcies.
Les écolos végan seront contents avec ces tomates sur lit de boulgour. En plus de ne pas être à mon gout, la présentation est juste ignoble!
Et encore plus contents avec ces burgers végé, que je ne toucherai pas!
Préférant jeter mon dévolu sur ces plats bien plus roboratifs.
Pour qui ne me croirait pas, les étiquettes sont au diapason de ma précédente description.
Sur le sucré, AF s'y entend bien également, et offre une belle variété de desserts, le chocolat étant bien mis en avant.
On prendra l'apéro assez longuement avec l'ami Ateon afin de nous aligner sur les derniers détails de ce périple, puis nous déciderons de passer à table un peu tardivement afin de manger correctement avant un vol de nuit en éco dont l'offre est généralement minimaliste. L'idée étant de maximiser le temps de repos éventuel une fois à bord.
Notre dévolu se jette donc sur la partie carnassière de l'offre, bien soutenu par des rouges de belle facture.
Et bien que plus salé que sucré, je ne fais pas l'impasse sur les desserts qui permettent de faire passer un verre de champ supplémentaire…
D'autant que notre vol sera annoncé avec du retard (le premier, car oui, teasing, il en aura un second)
On notera le 23h59, sans doute pour ne pas changer le vol de date, ce qui devrait avoir d'autres implications qui m'échappent à cet instant précis.
La salon s'étant passablement vidé, nous décidons de passer nos derniers instants d'attente dans la partie basse du lieu.
Stéphane tenant à immortaliser mon concept de voyage "léger" pour 5 jours. Eh ben quoi?
C'est peu avant 23h que nous quittons le salon pour rallier notre porte qui n'est vraiment pas loin.
Le terminal est désert, les boutiques sont fermées, ce qui est compréhensible mais dommage.
Les informations sont correctement indiquées une fois en porte.
Mais le très faible niveau d'agitation + notre expérience nous laisse à penser qu'on embarquera pas de suite.
Bingo, dans les minutes qui suivent, le chef d'escale ou flight manager ou autre (je ne suis pas au fait des jobs title dans l'aérien) se présente au micro en porte pour informer les passagers qu'il faut procéder à un swap d'appareil suite à un problème tech sur l'avion initial.
De retour au salon, nous retrouvons des agents désolés, mais particulièrement compatissants, nous informant qu'ils garderont le lieu ouvert jusqu'à notre départ. Geste très appréciable, nous les en remercierons grandement.
Un reliquat d'offre (liquide et solide) est laissée à disposition pour qui le souhaiterait, le salon s'étant complétement vidé, à l'exception des passagers de notre vol, et pour cause, les deux derniers vols de la soirée sont en last call. Quant à nous, l'heure de boarding s'affiche désormais à plus d'une heure du matin.
Ca commence un peu à tirer quand à minuit trente, nous faisons le chemin une nouvelle fois vers la porte K45, en espérant que ce soit la dernière. Bien qu'ayant une marge non négligeable, nous devons partir de Dubaï pour déclencher notre prochain billet et on espère quand même pouvoir profiter un peu des activités prévues sur place.
Cette fois c'est sur, l'ensemble des boutique du terminal ont tiré le rideau.
Embarquement vol AF658
Un peu plus d'agitation en porte, c'est bon signe, l'embarquement à commencé, par zones, dans le strict respect des priorités.
Un poil d'attente dans la passerelle qui mène à l'appareil…
…qui sera bien un 330 malgré le swap de dernière minute. Pas de prises de vue plus correcte sur notre destrier, désolé.
Les informations en porte relatent le retard accumulé jusqu'ici.
A bord du VOL AF658
Nous empruntons la passerelle connectée à la porte 1L, ce qui nous permet donc de passer par la cabine J, que je n'ai jamais fréquenté dans cette configuration en 2-2-2.
Dur dur de s'y retrouver dans l'offre d'AF tant il existe de lay-out différents.
Les tons de celle-ci sont jolis, mais la config empêche d'avoir du full-access ce qui est pénalisant à mon avis (en tant que voyageur solo la majeure partie du temps)
Au verso on note les grands écrans avec une finition brillante!
Alors que les peintures elles, sont mates.
Arrivés à notre duo de sièges (config en 2-4-2 dans cet A330 ce qui a fait que nous avons acceptés de voler en Y avec Stéphane :) )
Nous sommes accueillis par notre PNC qui sera en charge du service à notre niveau pour ce vol.
Le feeling est immédiatement agréable, avec une personne enjouée et contente de faire son travail
L'IFE est actif au sol, mais mon facétieux voisin aura décidé de le passer en mode enfant avant que je ne puisse interagir avec.
Je remets l'écran en configuration adulte et je me ballade dans les options. Il faudra vous contenter du menu des boissons, l'offre solide du catering n'étant pas disponible.
On notera les superbes reflets sur cette génération d'écrans.
00h50, les passerelles sont retirées, et un moodlighting accompagnera notre roulage qui s'avérera particulièrement long.
Une caméra située sous l'appareil et reprise sur les IFE illustre notre décollage à 1h25…
La PNC en charge de notre zone nous distribue alors (ainsi qu'à tous les autres passagers) le kit sanitaire ainsi qu'une lingette.
et à notre demande un masque et des bouchons, AF n'en proposant pas d'office en éco.
Le CC viendra procéder aux salutations platinesque (une première pour moi je crois bien) et la PNC en profitera également pour se présenter à nous, Nora sera donc en charge de notre sécurité et de notre confort ce soir!
Il est près de 2h20 quand le service du repas débute, soit une heure après le décollage. Sur un vol de nuit, si court, en ajoutant en plus le retard, l'horaire est vraiment tardif pour un diner, mais je me dois de procéder à mon devoir de FRiste.
Nora me propose spontanément le plateau de la W (qui ne vaut décidément pas le prix de l'upgrade) ainsi que le vin issu de la J, certes servi en gobelet carton mais le geste est beau.
Le plateau tel que proposé initialement.
et la version après échange. (je mettrai le champagne dans le verre en verre du plateau W avant de faire de même avec le rouge)
Nos voisins de devant, particulièrement pénibles et peu aimables (avec un nourrisson bruyant pour couronner le tout) choisiront le début du repas pour incliner brutalement et au maximum leurs sièges alors que nous commençons à manger. Ni une, ni deux, attention supplémentaire de notre PNC de choc, qui leur demandera aimablement de rester en position droite le temps du repas, que tout le monde puisse en profiter. Ceux-ci n'apprécieront que très moyennement son intervention, et ils seront encore plus cons avec l'équipage à partir de ce moment là.
La fin du repas est le moment pour Nora de nous proposer un digestif et un expresso de la J, pas de photos, mais croyez moi sur parole, la dose me durera le reste du vol :)
Après le service, et ayant constaté des problèmes de son avec mon IFE, j'en avise notre PNC qui procédera rapidement et efficacement au remplacement de tout l'IFE en plein vol.
Je suis surpris de la facilité de l'opération et je me dis que vraiment il serait possible à minima d'appliquer un filtre anti-reflet sur ces satanés écrans.
Alors que mon voisin écrasera assez rapidement après le café/digo, j'alterne entre films sur l'IFE (que je trouve assez peu chargé vs d'autres appareils) et somnolence entrecoupée par les pleurs du bébés de devant et les mouvements incessants des parents.
Quelque part entre l'Irak et l'Iran je contrôle le fonctionnement du wifi, sans aller plus loin dans les opérations de connexion.
Nous en sommes là quand le moodlighting de la cabine est activé pour le service du pdj.
La nuit à été courte, mais le service à M-90 de l'arrivée est compréhensible, même si, vu le produit, il me semble qu'on peut encore essayer de maximiser le temps de repos, ce que fera d'ailleurs mon collègue qui aura fait l'impasse sur la seconde collation.
La voici telle que servie.
Si l'idée du sac est bonne, à la fois pour collecter les déchets et pour qui voudrait l'emporter, le contenu est assez peu qualitatif, et surtout que de plastiques. Bien la peine de nous faire bouffer des échardes avec des couverts en bambou si c'est pour faire ça au final!
Stéphane est au hublot, mais de toutes façons, l'aile nous cache la vue
quand ce n'est pas l'aile ou Stéphane, c'est les nuages…
L'arrivée est proche de toutes façons, et c'est le moment choisi par le CCP pour revenir faire un tour en Y et nous souhaiter un bon séjour.
Nora, notre charmante PNC en profitera également, sans avoir réalisé jusque là que nous étions Platinum.
Ses attentions n'étaient donc pas feintes et cela n'en a été que plus appréciable.
Comment ça on voit rien? On arrive, c'est tout ce que vous avez à savoir.
L'architecture et la capacité d'accueil de DXB sont impressionnants.
Le roulage sera étonnamment court, ce qui nous va bien, étant donné que le retard n'aura pas été rattrapé en vol.
Il est donc près de 11h quand nous débarquons par la passerelle avant avec plus d'une heure trente de retard. On s'en remettra
Arrivée à DXB
Les terminaux étant infinis à Dubai, prévoir de bonnes chaussures, les distances sont longues, même pour rejoindre les transports automatiques.
Transport automatique que voici, dans lequel nous pénètrerons sans attente aucune.
Cela ne signifiant pas pour autant qu'il n'y a personne, comme vous pouvez en juger par cette vue volée sur les contrôles à l'entrée.
Aucune file dédiée n'est prévue pour les passagers Business ou à statut.
Nous prenons donc notre mal en patience, il ne nous faudra que 20 minutes pour rentrer sur le pays. On peut alors mesurer sa chance quand d'autres mettrons bien plus de temps que nous, et ont besoin de forces et papiers pour venir se faire exploiter dans le pays… ce n'est pas le propos du report ici.
En ce qui nous concerne c'est une chaine Britannique de cafés qui nous souhaite la bienvenue.
Puis direction le métro qui nous transportera promptement au Pullman situé à 2 stations de là, où nous avons réservé deux chambres en day-use pour nous remettre, préparer notre prochain vol et profiter un tout petit peu de Dubaï.
C'est ici que s'achève le premier récit de ce routing qui va aller crescendo.
Merci à tous pour votre lecture et vos éventuels commentaires et à très vite pour la suite.
Merci pour ce FR
Chance d'avoir eu Nora, c'est dingue comme certains PNC prennent les choses à coeur alors que d'autres n'en ont que faire.
Bonjour Jean Michel et merci pour la lecture;
Comme j'aime à le rappeler, on est généralement prompt à dire quand les choses ne vont pas, aussi, il faut souligner quand elles se passent (très) bien
La suite du routing devrait correspondre à une classe de voyage que vous connaissez bien :)
A très vite
Merci pour le partage.
Un excellent équipage peut changer un vol.
Je suis surpris par la facilité de remplacement de l'IFE en plein vol.
Bonne continuation,
Merci pour ces quelques lignes,
J'ai moi aussi été surpris qu'avec un simple détrompeur, on puisse sortir l'écran de son logement pour le remplacer, de plus, pas besoin de rebooter l'ensemble du système, j'ai l'impression que chaque IFE est autonome.
A très bientôt pour la suite
De bons PNC ça change totalement un vol et on le voit bien ici.
J'aurais jamais pensé cette facilité à changer l'écran. Un filtre anti-reflet ne ferait pas de mal.
Merci pour ce Fr
Bonjour Moritz et merci pour tes remarques,
Comme toi, j'ai été surpris de découvrir la facilité de la manœuvre (et les PNC disposent de plusieurs modèles d'écrans en vol)
Bien que d'accord avec toi, en y repensant, est-ce qu'un filtre appliqué par dessus un écran tactile ne risque pas de rapidement se décoller, voir d'empêcher le bon fonctionnement des fonctionnalités capacitives de l'écran, je n'en sais rien, mais une chose est sure, ces reflets sont pénibles.
J'espère pouvoir proposer la suite sous peu :)
A bientôt.
Merci Mathieu pour ce récit. Si la J est toujours un plus la durée de vol vers Dubai, quand on est en bonne compagnie, permet de voyager en eco. PNC au top sur ce vol avec les petites attentions qui vont la différence.
Merci Christophe,
Je dois concéder que l'excitation des segments suivants aide aussi à faire passer la pilule d'un vol en Y, rien d'insurmontable en effet quand l'équipage est aussi attentionné que celui du soir,
A très vite.
Merci Mathieu pour le partage,
Un routing qui envoie, hâte de voir la suite.
Bonne idée de bien manger au salon avant le vol.
Dur le long retard, surtout sur un vol de nuit.
Coup de chapeau à Nora.
À bientôt pour la suite.
Merci Michel pour la lecture et les quelques lignes,
Je publie à un vrai rythme de sénateur (et non de Senator... ==> Porte) La suite est cependant "déjà" en cours de rédaction :)
L'offre du salon (et une heure d'arrivée suffisamment à l'avance) permet de mieux organiser son vol, j'aurai sans problème pu faire l'impasse sur l'offre proposée en vol. Comme tu le soulignes, si on ajoute à cela le retard, j'avais toutes les raisons d'esquiver le repas proposé.
Mais le repas a été un bon moment pour "profiter" de la gentillesse de notre PNC, pas de regrets donc!
A très vite, promis!
Le lounge AF du hall K a beau montrer un certain âge, le catering servi suffit à largement compenser la faiblesse des repas servis à bord en Y.
Cabine en 2-2-2 en Business alors qu'EK vole en A380 en 1-2-1. Il n'y a vraiment que le tarif pour voler sur AF ou alors être amoureux fou de la compagnie nationale.
Je note tout de même que la barquette de pâtes est plus grande en W qu'en Y
Bravo à Nora qui a su rester professionnelle face à de tels trous du cul qu'ont été tes voisins
Merci Mathieu
Salut Bernard, merci pour la lecture attentive et meilleurs voeux !
Ta tournure de phrase est symptomatique de quelque chose de pas cool... le lounge COMPENSE effectivement la faiblesse de l'offre. Pour les pax qui n'y ont pas accès, c'est très gênant de proposer quelque chose d'aussi indigent à bord, d'autant plus quand il s'agit du produit W qui est servi.
Adieu l'entrée spécifiquement dédiée à la classe de voyage (souvent du foie gras qui avait le mérite d'être proposé)
Comme toi, pas fan du choix de layout pour le réaménagement de cette cabine, et comme toi, dans cette config, je préfère un vol EK en 1-2-1; mais pour qui veut faire grimper le compteur de XP, pas beaucoup (de meilleures) d'alternatives possible chez Skyteam (éventuellement Saudia sur le CDG-JED mais le JED DXB est en 320, même constat chez MEA entre BEY et DXB... )
et signalons qu'il existe encore et toujours chez EK des J configurées en 2-3-2 bien pire que cette 2-2-2 servie par AF
Une perle de bout en bout cette PNC, je confirme!
A très vite pour la suite (faut que je me bouge :) )
Merci Mathieu pour ce FR, qui me replonge dans cette escapade fort sympathique.
Essayer n'est pas réussir...
Cet état quasi permanent de non fonctionnement est incompréhensible...
Qu'est-ce que je disais ? ^^
Je suis d'accord avec toi, ces postes PIF des portes K sont horripilantes.
J'apprends par ton FR la rénovation du salon des portes K ! Ce n'est pas du luxe, même s'il faut lui avouer un certain charme vintage.
Je crois qu'il servait auparavant de salon pour les pax First Japan Airlines.
Super attention du personnel du salon, resté plus tard pour nous permettre d'attendre dans de bonnes conditions.
Tu t'ennuierais sans mes facéties ;-)
Il faut bien dire que nous avons été gâtés sur ce vol, Nora aura été top du début à la fin. C'est d'ailleurs ce que je retiens de ce vol, comme quoi la qualité de l'équipage fait rapidement oublier l'indigence de la prestation.
Cela compense aussi aisément le retard.
A+ pour la suite qui est déjà publiée.
Salut Stéphane et merci pour ton commentaire,
Ma capacité d'emport supplémentaire t'as été bien utile, et ma valise est toujours moins grosse que les multiples sacs à dos de type randonnée qu'on voit encore trop souvent passer en bagage cabine.
Le combo PAF/PIF à CDG n'est clairement pas le meilleur moment du voyage, mais force est de reconnaitre qu'avec le parcours SkyPriority, on s'en sort pas trop mal.
Je tire l'info concernant la rénovation d'un autre récit - de mémoire - et je crois avoir toujours connu cet espace dans cette configuration au salon 2EK...
Une fois en vol, sûr et certain que l'attitude très pro de Nora nous a aidé, mais peut être aussi que nous étions dans un bon mood, et désireux de découvrir la suite du périple.
Je te suis sur la suite pour répondre au second commentaire :)
A tout de suite!