Avis du vol entre Porto et Paris en classe Economique avec Air France

Bonjour à tous,
Fin de l'escapade à Porto avec plusieurs FRistes à l'occasion du diner Gold.
Après une belle soirée ensemble à Porto et un petit rattrapage de visite de la ville de mon coté le dimanche matin, il est temps de rentrer à la maison.
La solution reste simple : vol direct avec AF.

REJOINDRE OPO

Après avoir passé la matinée à déambuler dans la ville, je me lance pour le chemin vers l'aéroport avec le Metro/tram.
Le tarif défie toute concurrence puisque depuis Sao Bento où je suis, l'aéroport est en Z4 donc ca fera 2,25 euros !
Les VTC ne sont pas hors course puisque qu'il faut compter moins de 10 euros pour le voyage mais étant léger et pas pressé, à moi les transport.

Voici la première bestiole à me récupérer.

Changement ensuite pour le Métro/tram qui va à l'aéroport.
La fréquence est plus faible, et pas de bol, il aura fallu que j'attende 20 minutes le départ de celui-ci.
Quand on a l'esprit léger, ce n'est pas un problème. A noter la propreté générale du dit tram.
Après un trajet d'environ 25 min, je suis arrivé à OPO.

Pour rejoindre le terminal depuis le quai du tram, il faut descendre au -1.
Le cheminement est facile et comprend même des toilettes.

Ensuite, bien évidemment, il va falloir remonter.

Niveau départ.

PIF ET LOUNGE

Le parcours est quand même très efficace car à peine sorti de l'escalator, on a en visuel les portes de l'embarquement.
Je ne traine donc pas landside.

Pour la fast track, elle s'annonce vraiment très fast.

Le PIF sera passé tout aussi efficacement : littéralement 2 minutes.
On débouche par le haut.
C'est plutôt lumineux.

Maintenant, je descends pour m'adonner à un mini shopping histoire de ramener une saveur locale.

C'est à peine délesté de 20 euros que je quitte la boutique (on a dit pas de folie).
Je démarre le cheminement pour le salon, salon pour lequel il faudra remonter.
Jarvis est déjà sur place.

En jetant un coup d'oeil à l'extérieur, je m'inquiète tout de même du brouillard…
Apparemment celui ci est sans conséquence sur les horaires.

Mouais… je croise les doigts quand même.

Heureusement qu'il y a LX dans le champs pour pimenter tout ce vert.

Je remonte vers le salon non sans regarder inquiet la verrière…

Me voici à l'entrée du salon multi compagnie.
Peu de monde à l'entrée mais le hic, c'est que le processus est "longuissime"…. car il me faudra 7 min pour passer l'obstacle (en présentant ma carte FB).
Entre temps, une queue s'est formée derrière moi.
Je constaterai en partant qu'une queue d'attente reste effective.

On débouche ensuite sur l'ilôt du buffet et un salon tout en longueur.
Celui-ci n'est pas le plus enthousiasmant.
En effet, il n'y a que des fauteuils individuels répartis en ilot avec une table sur le côté ce qui est très axé voyageur individuel.
Ca reste quand même plus confortable que d'être dans le hall.
on peut d'ailleurs être en salle ou "en terrasse".
Côté nourriture, c'est finger food. Je trouverai néanmoins de quoi grignoter.
Pour les boissons, c'est aussi un ton en dessous. Le choix est assez restreint.

Petite vue de ce que cela donne une fois installé.
Je ferai une transition malheureuse au coca plus tard car l'eau de la fontaine a soda n'avait plus de gaz…

Mais au fait, qu'en est il du FRiste déjà présent sur place ? Je ne l'ai point trouvé car il était concentré sur sa machine ce qui ne m'a pas permis de le voir. Je laisse un petit message et entame mon encas.
Peu après, le côté voyageur solitaire sera vite dissipé car, une fois libre et ayant vu mon message, Jarvis fera le tour du salon pour repécher le père Frosty. On sera ensuite rejoint par MichelG, SaintPiev, Momolemomo… 
On fera ainsi main basse sur une alcôve pour le goûter/apéro. Si l'ambiance fût sympa, on voit bien que ce type d'aménagement n'est pas fait pour les groupes (en même temps, ce n'est pas le plus fréquent).
Une partie de cette fine équipe sera avec moi sur l'oiseau du jour pour CDG, il est d'ailleurs à l'heure.

Nous devisons allègrement… et le temps passe (trop) vite.
Et déjà les départs commencent.
De mon côté, même si un petit retard de 15 min est annoncé au départ, je décolle peu avant 16h pour rejoindre la porte.
Même sous le regard d'un maitre du last call, je n'ai pas réussi à améliorer ma technique. LOL.
Mais étant tous en Y avec bagage cabine, le diable ne sera point tenté par les forces en présence.
La sortie c'est donc par là, avec dans mon dos, le comptoir du salon, et la queue.

L'embarquement est en cours mais la porte pas trop éloignée, pas besoin donc de courir.

L'avion est bien là, tout comme le brouillard de 16h…
Il semble plus "léger" par contre.

Qui dit embarquement en cours dit, on passe mais pour un petit stop passerelle.

Tiens, Jarvis, premier parti du salon, est mode en push.

Nous, il reste encore du chemin avant de repousser.

Les instants porte et fuselage shot (en mode grillage).

CABINE ET VOL

On retrouve du connu, le standard A220.
Ce qui sera moins standard, c'est d'avoir Juste derrière moi SaintPiev et Michelg !

Tiens du LH à côté.

16h30 passée, le temps de notre push est venu.
Il est immortalisé par Marathon, lui aussi arrivé au salon depuis.
C'est pas souvent que je vois une photo en sachant que je suis dans l'avion !
Ci-dessous donc l'image © Marathon, avec son accord. 

Au loin, chemin faisant, j'aperçois aussi ce petit AirSerbia que je suis content de voir car pas habituel pour moi.

Il est temps de rejoindre la piste.

Petite palteforme mais pas mal de diversité de dérives pour un taxi de quelques minutes.

On est prêt à y aller.

Devant ca tire encore sur le manche.

On s'aligne.
On devine encore notre prédécesseur à l'horizon.

A 16h45, c'est parti.

Autant la photo du terminal est top,

Celles de la ville sont moyennes à cause des nuages.
Mais qu'importe, les yeux restent ravis.

Dans cet A220, c'est fromage ET dessert.
Le wifi et l'usb fonctionnent.

Et il y a un rideau.

Le vol est bien lancé.
Coté route, elle s'annonce bien maritime cette fois-ci.
On rejoint la mer quasi au dessus de Burela.

17h10, le service démarre.
Pour éviter la redite, je prends le deuxième choix de sandwich.
Celui ci à un je-ne-sais-quoi de fête aux antilles (ahhh les petits pains jambon de noël…) et donc, je l'apprécie bien.

Passées les agapes, le vol se déroule sans encombre et calmement.
Je rattrape un peu de lecture et zieute de temps à autre le parcours.
D'habitude, quand je suis aligné sur NTE, c'est plutôt parce que je reviens de FDF.

L'heure de vol passer vite. 
Sans surprise, le client parisien est gère plus clair qu'à Porto.

Mais les conditions sont propices aux petites trainées même si cela rend moins bien en photo.

On entame l'approche finale.

Je ne sais pas très bien au dessus de quelle village on est mais ce qui est sur, c'est qu'il pleut !

Finale.

Posé en local à 19h36, sous la pluie et avec une sensation de petit rebond…

Le roulage ne s'annonce pas très passionnant. 

On n'y voit pas grand chose à cause de la pluie mais on trouvera bien le chemin de notre parking.

19h54, je suis déjà dehors.
J'ai pris congé de mes comparses en cabine car qui dit pluie + trajet en voiture en A86 peut vite être synonyme de grosse galère.

Note résultat est tout à fait honorable.

Dernier portrait 

Avant de me ruer dans les entrailles de CDG.

Les infos tapis sont déjà dispo.

Mais ce sera un passage express pour bibi en salle bagage.

Il n'y a plus qu'à rouler jusqu'à la maison, en espérant éviter toute partie de routing "marin" sur la route à l'inverse de notre vol du jour.

Le regard est maintenant tourné vers le prochain vol qui sera enfin un "vrai" long courrier hors de nos frontières après des années de disette post covid.

Bons vols à tous.