Avis du vol entre Paris et Porto en classe Economique avec Air France

Bonjour à tous,

Bienvenue dans ce bref FR consacré au dîner gold de la joyeuse communauté de FRistes.

Du fait de contraintes pro /perso, pas possible de faire un séjour étendu mais l'essentiel est à préserver : un bon moment entre amateurs et passionnés doublé d'une première découverte de la ville de Porto.  

Pour le routing, ce sera donc au plus simple. 

CDG - PIF

Pour un vol d'après midi, loin de moi l'idée de m'affoler.
Pourtant, le matin, le fil de discussion des participants est plus que fourni en message non lus…
Je pense béatement à l'enthousiasme général mais très vite, leur consultation m'apprend que ce matin, c'est visibilité aux abonnés absents à OPO et donc énormes retards en cascade.
A midi, cela semble rentrer dans le rang, mais serai-je impacté ?…
En attendant, je rejoins rapidement CDG et son 2F après avoir laissé mon véhicule au parking. 

Vu mon point de sortie des parkings, je décide de passer par le PIF principal au lieu de pousser jusqu’à PIF skypriority à l'extrémité du terminal.
Le choix est motivé par une foule modeste.
Néanmoins, le passage sera particulièrement poussif (certains PAX ont même fait demi tour…).
Résumé objectif du franchissement de l'obstacle : 13 minutes. 

Une fois de l’autre côté, c'est virage à gauche pour le salon où je compte rattraper le déjeuner.

Au tableau (pas très net il est vrai), on est prévu on time en F29, donc tout près du salon.

Salon 2F

Point de MeetUp live avec un autre FRiste car soit les départs étaient à un autre horaire, soit le parcours ne passait pas par CDG. 
L'entrée est plutôt calme.

Tout comme l'intérieur. 
Le coup de feu du service du midi est passé visiblement, car il sera facile de s'installer dans l'espace restauration, qui plus est en étant seul. 

De fait, vu l'horaire, les buffets ont un peu souffert mais seront complétés peu après mon passage, notamment pour les plats chauds.
Je note le retour du Pommery que j'apprécie et la présence toujours remarquable de la maison avec ce rhum HSE.  

Avec ce qui est dispo, il est possible de faire un petit en cas plutôt appréciable.
Je suis de nouveau étonné (positivement) par le goût du plat végétarien.
La portion peut paraitre frugale mais il vaut mieux revenir à la source plutôt que d'ouvrir la porte à du gaspillage. 

Contrairement aux infos de FRiste en errance du fait de la visibilité matinale à OPO, ici, c'est plutôt bleu.

Dans cette belle lumière, je pense à ce scandale de parcours dans Emily in Paris, Emily qui attendait ici soi disant son vol pour ORD… :)

Mais trêve de référence Netflixienne, il va être temps de rejoindre l'appareil.

Embarquement et vol

Je ne traînasse pas trop car tout est annoncé à l'heure.

Belle lumière encore.

Tout roule !

On libère les pax impatients de la zone SP assez rapidement.

Mais il faudra compter sur une mini attente en passerelle.

Le nez de l'oiseau du jour.

Voici d'ailleurs son identité captée 

Instant porte et fuselage, enveloppés d'insouciance.

Et me voilà en cabine.

Revue rapide de l'environnement de cet A220.
Rien de particulier à signaler si ce n'est que c'est la nouvelle référence puisque ces A220 se généralisent.
A noter que celui ci n'a pas de rideau entre J et Y ce qui sera différent sur celui du retour. 

A côté, je n'ai pas grand chose à me mettre sous la dent.

Mais à vrai dire, plus bas, ça bosse.

On avance dans cet embarquement plutôt efficacement mais sur la fin, le message tombe : nous allons avoir un retard de mise en route de 40 minutes du fait du traffic à OPO.
Je ne suis pas encore en tension par rapport au RDV et je suis bien moins impacté que certains ce matin.
La seule conséquence sera d'aller directement au point de RDV sans passer déposer mon modeste sac de voyage à l’hôtel. 
Pas bien grave au final.
N'empêche qu'à 14h20, fermeture de la porte et passage en mode attente. 
Et elle s'annonce un peu chaude car le soleil tape de mon coté.
Nombreux seront ceux à fermer leur hublot pour éviter la cuisson lente. 

A quasi 15h, c'est parti, on push (sans annonce d'ailleurs du captain).
Je me rends compte que le délaminage d'un film du hublot va être pénible.
On retrouvera également ce stigmate dans l'avion du retour. Cela sent fort "maladie du hublot" sur toute la famille A220. 

Le taxi début à 15h et passera devant les bureaux.

Mais aussi le "phare" du lieu.

Le seuil de piste approche, il est bientôt 15h10.

Décollage en 08L.

Décollage tranquille et calme, plus que 2h avant la destination.

Une vision de palette de couleur homogène ?
et bien voici avec un petit winglet en sujet.

Le service démarrera à 15h27 avec le traditionnel sandwich et sa boisson rouge.
Ce sandwich est présenté comme "fromage"… qui ne rime pas normalement avec concombre.
Mais cela reste acceptable.

Le temps passe et il est temps de céder à l'appel du net.
La bonne nouvelle est que le wifi fonctionne mais pas les prises usb (c'est donc fromage OU dessert !).
Passage donc en mode sauvegarde énergie

Le wifi c'est utile car dehors, si c'est beau, cela reste très homogène.

Direction les commodités à mi vol.
En attendant mon tour, je constate que le dernier rang (les 5 places) est vide et que sur les coffres il y a un autocollant "crew only" (photo zappées sorry).
Leur succès est donc relatif aujourd'hui.

Les dites commodités sont "relativement" propres à mon entrée car visiblement le (ou les) pax d'avant on décider de les rincer à grandes eaux…
C'est fonctionnel mais cela reste un peu étroit tout de même.

Je remonte ensuite le courant d'une cabine calme et bien remplie.

Arrivée

A 16h43 à Paris, 15h43 à Porto, début descente.
Le sol se dessine ainsi que ses paysages.
Très vite la piste se rapproche.

Ayant eu quelques infos sur l'approche de l'intérieur du ORY-OPO du matin je sais que je suis du bon côté pour voir la ville.
Mais mes photos ne sont pas aussi nettes que celles de Leadership (et probablement des autres m'ayant précédé).
L'approche reste belle quand même et ces hauts ponts particulièrement emblématiques.

Une fois la ville passée, plus que quelques minutes (à peine) avant la piste.

On atterrira en douceur à 16h11 locales.

On consommera une belle tranche de piste pour faire un demi tour pour le taxi.

Un vrai demi tour !

Le roulage ne sera pas bien long mais, surprise de nouveau, notre parking est occupé. 
Il faut donc attendre qu'il se libère.
Cela me donnera l'occasion de voir quelques atterrissages sur la piste directement parallèle à nous.

Après une dizaine de minutes de stand by, nous entamons le dernier virage.

Le débarquement sera bien sûr rapide.

Et effectué à l'avant et à l'arrière de l'appareil.

Le cousin cannibale qui siphonne les pax AF CDG jusqu'à ORY, et ce, jusqu'à notre grand Leader !

Et une dernière vue "entière" de l'A220 du jour.

Le cheminement jusqu'à la sortie est rapide. 
Encore plus sans bagages.

Vu que j'ai un peu de retard et que toute l'équipe est dejà réunie au bord de mer, il est temps de sauter dans un Uber.
Chose amusante, comme à CDG, il me sera demandé de remonter au niveau départ pour "faciliter" ma récupération.
Moins de 10 euros plus tard, c'est officiel, la ballade pré diner est officiellement lancée !

Au jeu des 7 erreurs avec le retour, la route sera bien différente, alors pour conclure, je vous laisse sur notre trace FR24.