Avis du vol entre Paris et San José en classe Economique avec Air France

AFR

AF - Air France

Vol effectué le 20 octobre 2024
AF430
13:25 11h 30m 16:55
Appareil Boeing 777-200ER
Classe Economique
Siege 39A
Frostyjeff
1,266 · 127 · 6 · 45

Bonjour à tous,

Enfin, il est là, le temps du vrai LC vers de nouveaux horizons depuis le covid ! (FDF étant hors concours).
C'est donc à la faveur d'un voyage CE que je m'envole avec femme et enfant vers le Costa Rica.
C'est la destination du moment, car plusieurs FRistes sont sur le coup également ainsi que plusieurs amis.
Cet engouement est il justifié ? Plus que 11h de vol et des poussières pour s'en rendre compte !
La rotation apportera aussi mon baptême tant attendu en A350.
J’espérais l'A350 sur l'A/R mais au final, pour quitter Paris, ce sera un bon vieux 772. 



Info billet


S'agissant d'un voyage de groupe, je n'ai eu aucune vision sur le prix de ce dernier donc je ne saurai dire si AF était bien positionné.
Par contre, j'ai voulu dès le départ faire un upgrade en miles pour un vol si long, mais pas possible de faire la modification en amont avec la ligne Platinum s’agissant d'un billet agence. J'ai pu au moins sécuriser un triplet pour nous 3 bien avant l'OLCI. 
Quand on est en groupe, on fait corps jusqu'au bout ! 


CDG/PAF/PIF


Pour rejoindre CDG, pas de risque, on prend l'option VTC et avec de la marge.
En effet, nous voilà peu avant 10h au comptoir d'enregistrement.
Pas de mauvaises surprises cette fois-ci avec notre statut de PAX Y : accès facile et enregistrement avec un agent.
De fait, l'enregistrement sera des plus efficace.
Nouveauté pour les FB Platinum, nous avons droit à 2 bagages FlyingBlue en plus du bagage inclus, je pourrai donc associer nos 3 valises à bibi. 
Une fois délestés de nos valises, nous partont vers le combo PAF/PIF sans bousculade, étonnant pour un WE de départ en vacances. 





Quand je dis peu de monde, c'est peu dire.
Car 15 min après notre arrivée à CDG, nous voici ici, soit juste après l'aubette de la PAF.
La pression est sur le PIF désormais. 


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Et bien, il n'a pas démérité : 5 minutes plus tard, nous sommes airside.
Cette rapidité est à mettre au crédit des scanners permettant de ne pas déballer tout le contenu de ses sacs, notamment pour l'électronique.
Seuls les liquides sont à sortir. 


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Tout est si rapide que le temps que je clique sur mon téléphone, l'écran du FIDS aura changé à gauche sans que je m'en rende compte…
Fait nous sommes bien prévu à l'heure en K30. 


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Nous n'avons pas d'autre objectif que d'attendre désormais, donc direction le salon.


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SALON


Accès rapide ici également et installation coté fenêtre/buffet.
Il y a pas mal de monde par contre au salon. 


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Nous tentons l'étage pour ne pas être installé dans l'entrée mais au final, on préférera l'option auprès du buffet principal.
Ne reste de cette escapade que l'instant escalier bien moins glamour en comparaison avec le 2F. 


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Nous sommes à la bascule petit déjeuner / déjeuner.
On pourra donc faire coup double.
Le champagne est bien là à partir de 10h45 (go for mimosa) et coté vin rouge, visiblement, il y a déjà eu de la consommation… 





Avec le temps passé sur place, il aura donc été possible de sortir 2 petites sélections pour patienter agréablement.


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Pour les plats chauds, l'objectif était de goûter "tout" et clairement, c’était très bon.


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Ripailler est une chose, mais se tenir informer en est une autre.
Tout est au nominal pour nous et aujourd’hui, ce sera F-GSPU qui se chargera de nous.
Il fait de fait un grand écart est-ouest en 3 jours lui… 


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Après ce moment au salon où nous avons pu noter un passage de PAX soutenu, nous partons vers l'avion, l'embarquement étant prévu à 12h30.


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Direction la K30, tout au fond là bas.


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EMBARQUEMENT ET CABINE


A 12h20, l’embarquement démarre mais pour embarquement passerelle.


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Pour le portrait de la bête, je n'aurai pas mieux ici.


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Si on a gratté 10 min côté début de l'embarquement, de voir arriver en même temps l'équipage sur le tarmac laisse présager une attente passerelle non nulle…


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La foule grandissante montre bien que SJO est couru !


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Après 20 minutes de pied de grue, la file se met en mouvement.


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Avion en approche.


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L'un des 2 voraces GE90.


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Et nous voilà à l'instant porte et fuselage shot.
Accueil souriant en porte et virage à droite pour la Frosty Family. 


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Et oui, nous nous sommes glissés dans la file SP mais pour nous c'est direction la dernière cabine.
En effet, remonter plus haut aurait nécessité de lâcher une obole conséquente pour le siège de junior, NO WAY.
De toute façon, entre la tête et la queue, tout arrive en même temps ! 


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Nous pouvons donc nous installer tranquillement à notre triplet.


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Une fois assis, le sentiment d'espace s'évanouit mais nous sommes bien.
Rien ne manque à l'appel, en particulier la prise bienvenue pour recharger nos tels respectifs durant le vol.
En parlant de téléphone, revue générale de l'extinction de l'option itinérance, car sinon, gare à la sanction sur place.
Ndlr : Grâce aux conseils avisés de Michelg, je me suis pris en amont une e-sim locale pour le séjour, donc on ne sera pas en détresse data à l'arrivée. 
Les dessous sont corrects même si on note un petit paquet de je ne sais quoi oublié devant. 





A coté, pas de voisin, l'espace est là.


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Check du menu du jour, du classique.
A la consultation de ce dernier, co pax junior s’émeut de la taille de l’écran qui lui parait plus petite que notre dernier vol depuis FDF. 
Il aura 11h pour le méditer… 


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Arrivée prévue à 16h11, dans les faits, on aura une demi heure de rab.


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A 13h15, annonce de fin embarquement pour notre 772 plein comme un oeuf.
S'il faisait un peu frais en rentrant dans l'avion, là, on est passé en mode grande chaleur. Vivement la mise en route. 


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Anonnces captain (secondé par 2 pilotes) pour introduire le vol ainsi qu'une petite panne en soute nécessitant l’intervention de la maintenance (gloups).
Porte fermée à 13h33 pour un push back à 13h43. 


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Démarrage et vibrations, vibrations que j'aime tant !


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Début Taxi à 13h48 qui nous mènera en moins de 10 min en bout de piste.


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En attendant notre clearance, sur la piste d'à côte, du lourd arrive.


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A 14h, nous nous arrachons de notre doublet sud.
De ma position inhabituelle (ie. derriere les réacteurs), je note le bruit et le léger flou sur les photos lié aux gaz d'échappement… 





Ce léger flou est perceptible sur les vues du landscape traditionnel CDG (Circuit Carole, Le Bourget) mais cela reste acceptable.


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Ensuite, nuages.


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EN VOL


Le protocole se lance avec la serviette fraîcheur à 14h15.


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Passage rapide aux commodités avant le service déjeuner.
Grand jeu de miroir dans cette étroite cabine, pour changer bébé, faut pas qu'il soit bien grand… 





En revenant à ma place, nous noterez le bon remplissage de cette 4e section.


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14h40, le service débute mais je n'aurai mon plateau qu'à 15h25.
Il sera standard car identique à celui de notre vol pour FDF cet été. 
Je note que le marketing parle toujours de clafouti AUX questches… alors que le mien est toujours à LA quetsche… 


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Petit café pour finir.
Jusqu'ici, tout est idem de notre vol pour FDF, et cela va avoir une petite conséquence sur la faim en fin de vol… (car il y a 3 h de plus à faire). 


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Tiens, les masques sont tombés, nous avons 30 min de plus à faire, faut dire qu'on a aussi quitté notre porte un peu en retard.


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Coté wifi, seul le pass gratuit fonctionne. Pas possible de payer les autres formules (il en sera de même au retour).


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C'est parti pour  une longue séance cinéma. 
Celle ci sera tout de même peu agréable car l'IFE souffrira de plusieurs saccades et le bruit de mes tant aimés GE à l'arrière est plutôt tendu…

A mi vol (il est alors 19h), mise en place de la collation.
Les photos sont à l'avenant mais ça sera "la guerre" au sens où à peine posé, les plateaux seront vidés. 
Il se fait faim à 19h et cela ira en empirant… 
Au point que pour faire la jonction avec le 2nd service, les PNC devront "rationner" les dernières cartouches.
D'ailleurs, je commets une erreur au sens où au moment des photos, je n'ai pas pris de sandwichs sur le moment. 

A la fin, au moment du besoin de notre fine équipe, j'obtiendrai ceux ci sur demande au moment du "rationnement".
Et il n'est que 21h20.
ndlr : le second service sera 2 h plus tard.

En résumé, c'est la première fois que j'ai vraiment la dalle en avion et visiblement, je n'étais pas le seul. 
Moralité, soit il faut muscler le plateau, soit il faut prendre plus de collation…  


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Pour se consoler, un peu d'IFE naturel avec des îles que je n'ai point l'habitude de voir.





Suivra Cuba que je survole pour la première fois également.





A 23h10, second service attendu comme le messie.
Ce sac bon appétit ne comprend bcp plus par rapport à celui de FDF.
J'avoue que plutôt qu'un nécessaire à bruschetta (le pain et la sauce tomate), j'aurai préféré un sandwich déjà tout prêt car c'est un coup à s'en mettre partout…  
Au point où on est et avec la dalle générale, tout sera consommé. 


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Arrivent les côtes d'Amérique Centrale.
Les images ne sont pas de grande qualité mais on mesure bien le côté boueux/sédimenteux des plages lié aux rivières gavées par les pluie.  


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La délivrance approche.


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ARRIVEE


Le début de descente est annoncé à 00h30 soit 16h30 en heure locale.
Annonce par Captain de 24 degrés et possible pluie/orage à SJO…
En arrivant à l'approche de SJO, on aura droit à un tour du propriétaire. 
Les nuages gâchent un peu la vue, mais j'en profite quand même. 





Grand virage à gauche de nouveau pour s'aligner.
En dessous, un autre aéroport (Aéroport Tobías-Bolaños de San José - SYQ), une succession de toit rouge et du gris/pluie.





De fait, c'est la galère pour les vues.





Mais nous voila posé comme des princes ! 
16h56, beau coucher de soleil. 


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Le débarquement sera un peu longuet (20 minutes).
Logique, on est quasi tout au fond.


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Le portrait de notre vaillant 772 après ses 11h30 de travail.


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Puis cheminement, un peu long, vers les tapis.
A noter sur le parcours un petit duty free.

Nota PAF 1 (PAF qui sera assez rapide) : prévoyez d'indiquer au PAFmen où vous allez séjourner (ie. nom de l’hôtel ou adresse) car la réponse est obligatoire pour obtenir son tampon.

Nota PAF 2 : Au Costa Rica, on ne rigole pas avec la paperasse et les délais. La conjointe d'un collègue, non française, s'est faite refoulée car son titre de séjour français n'était valable qu'un mois après la date retour et non 3 mois comme prévu au Costa Rica. 
Petite soupe à la grimace dans le groupe et pour la famille en question car tout avait été a priori bien vérifié par l'agence en amont… 
"Heureusement" elle pourra repartir directement par le même avion évitant ainsi probablement 24h mini de séjour des plus désagréables en zone transit.
Et il y a donc un petit contentieux qui sera à régler au retour…  

Aux tapis, de nombreux porteurs proposent leur services. Pas habituel pour moi. 





Passées les émotions et les décisions difficiles, notre petit groupe se retrouve à l’extérieur pour attendre le bus pour notre hôtel.
Ce n'est pas très strass paillettes comme sortie mais c'est efficace. 


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Peu après, notre destrier se présente. 
Après un chargement de bagage par la fenêtre arrière (…), c'est parti pour 1h30 de petites routes jusqu'à notre hôtel sur la cote pacifique.


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A nous les vacances !

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Notes des produits

Compagnie aérienne

Air France 7,6

  • Cabine8,0 / 10
  • Equipage8,5 / 10
  • Divertissements7,0 / 10
  • Restauration7,0 / 10
Salon

Air france Lounge8,5

  • Confort7,5 / 10
  • Restauration9,0 / 10
  • Divertissements8,5 / 10
  • Services9,0 / 10
Aéroport de départ

Paris - CDG9,6

  • Fluidité10,0 / 10
  • Accès9,5 / 10
  • Services9,0 / 10
  • Propreté10,0 / 10
Aéroport d'arrivée

San José - SJO9,3

  • Fluidité10,0 / 10
  • Accès8,0 / 10
  • Services9,0 / 10
  • Propreté10,0 / 10

Conclusion

Un vol classique en Y mais entaché de quelques mauvaises notes qui pèsent pour un vol de 11 h :
- un IFE saccadé,
- pas mal de bruit moteur à l'arrière,
- le wifi limité
- la sensation d'un catering trop juste...

PNC agréables et pro. Pas d'attentions particulières FBP.

CDG et SJO ont été efficaces.

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Commentaires (6)

  • Merci pour ce FR qui ressemble à vos habituels LC vers FDF mais en encore plus long :D

    Dommage de ne pas avoir eu de reconnaissance platinum par les PNC, c'est toujours un petit plus qui fait plaisir.

    J'espère que le vol retour se fera sur A350 afin de voir la différence de cabine (confort, bruit, humidité...)

    • Merci pour le comm.

      Effectivement, un goût de FDF dans ce vol 772, mais passé le forfait de 8h, on a commencé à trouver le temps long.

      Je me demande comment on gère un CDG-HND en ce moment avec les 15h de la route "de l'ère soviétique"...

      Je ne m'en sens pas capable après ce vol (à moins de prendre une glacière perso en complément du catering AF).

      Pour l'absence de perk plat, ce n'est pas grand chose mais sur LC effectivement, ca fait tjs plaisir et se fait un peu sentir comme à la maison. Spoiler alert : idem au retour, mais là, je ne suis pas mécontent d'avoir échappé aux salutations de fin de vol étant un peu rincé par le vol de nuit et mon super torticoli.

      Le baptême A350? Il a été au poil. Je suis en pleine rédac, ca arrive.

      PS : J'ai lu avidement votre vol retour de FDF car faut bien préparer sa Noël !

      A bientôt

  • Merci pour le report.

    Parcours rapide au sol, offre toujours très correcte au salon à CDG, malgré que le 2K n'offre pas le meilleur des conforts.

    La cabine vieillie mais ça reste suffisant malgré tout. En revanche, le catering n'étant pas différencié sur la durée des vols, au delà de 9h ça commence à faire juste.

    Un bon équipage mais sans plus ; on peut toujours attendre une belle attention pour les encartés si fidèles, parfois c'est raté.

    Bon séjour, et à bientôt pour le FR retour, un peu plus à l'avant de la cabine je crois...

    • Merci pour le comm.

      J'avoue que j'ai pas mal de chance coté CDG, car je ne me suis pas encore trouvé dans le marasme d'un PIF englué ou d'une PAF surchargée. J'ai peut être la vista coté choix des horaires 😄

      Coté catering, c'est clair que c'est juste. Notons qu'après avoir le le DEL-CDG publié par Jmida, je me dis que ca aurait put être pire... dans cette veine, ce gout de FDF risque de me poursuivre, car je sens que pour ne pas faire mentir le jamais 2 sans 3, je vais revoir bientôt ce poulet estragon.

      Il est clair que le retour a été bien plus appréciable en tout point 😇

      A bientot

  • Merci Jeff pour le partage d'un vol attendu avec impatience.

    le statut rend le parcours aéroport plus agréable et l'attente au salon permet de se caler l'estomac avant de prendre l'air.

    Seuls les liquides sont à sortir.

    Il falait bien que nos tètes pensantes européennes nous pondent un petit truc pour que ça ne marche pas trop bien.

    Cette généralisation de la pratique du pré boarding est indigne d'une compagnie legacy.

    De toute façon, entre la tête et la queue, tout arrive en même temps !

    Normalement oui. 😔

    Ndlr : Grâce aux conseils avisés de Michelg, je me suis pris en amont une e-sim locale pour le séjour, donc on ne sera pas en détresse data à l'arrivée.

    Ravi que cela ait pu te servir, la e-sim est vraiment pratique et peu cher pour rester connecté hors d'Europe.

    Avec la longueur du vol, la fatigue et la faim se font sentir.

    Se voir refouler à l'arrivée parce qu'on a oublié un petit détail qui tue. c'est dur pour les passagers qui ont vu leurs vacances tombr à l'eau.

    A bientôt pour le vol de retour plus silencieux.

    • Merci pour le comm.

      L'exception culturelle, elle est toujours là, elle est notre marqueur, donc, le liquide, c'est fier qu'on le sort de notre sac 😂 C'est crai que c'est bête d'être passé à coté du sans faute, mais après des années de chasse aux liquides, je ne voyage plus que dry au sens propre. Donc là, c'était parfait. à SJO il a fallu tout redéballer, non pas qu'on me l'ai explicitement dis mais que tout le monde le faisait.

      Pour le préboarding, j'avoue, c'est un peu chiant, surtout que ca me donne le gout de masquage d'une arrivée tardive de l'équipage puisqu'on a commencé à embarquer pile à l'heure.

      Coté e-sim, ca a été plus que fluide et j'ai pu occuper mes heures de bus avantageusement. Par contre, la ou je pensais m'être mis safe partout sur les différents tel embarqué en vérifiant la non activation de l'itinérance, je me suis pris un 30€ pour 30 ko... Je ne comprends pas d'où ca vient, mais clairement, il faut être plus que vigilant avec le diable de l'itinérance.

      Coté refoulement, seule la femme de mon collègue est repartie. Ils ont pris la décision de "sauver" une partie du séjour. Mais visiblement, il a fallu décider vite (qui reste, quand repartir, etc...). C'est vraiment bête pour une histoire de durée de validité de papier, qui plus est d'un sous papier puisqu'il s'agit d'un titre de séjour (dont on connait la flexibilité en termes de renouvellement....). J'avoue que je me serai attendu à une petite souplesse sachant qu'il s'agit d'une voyage de groupe et que notre départ était quand même facilement traçable. la PAF du Costa Rica est implacable!

      A bientot.

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