Avis du vol entre Manohar et Bangalore en classe Economique avec Akasa Air

Bonjour à tous et bienvenue à bord de ce vol retour de mon dernier week-end Indien dans l'état de Goa sur les rives de la mer d'Arabie, il s'agira aussi de mon dernier FR sur un vol intérieur indien avant je pense un bon moment.

Introduction

Nous sommes la semaine avant le vol quand mon agenda pro tant enfin à se clarifier. A J-3 sans surprise les prix sont plutôt élevés même pour les vols "courte distance". Le rythme de travail n'a aussi rien à voir avec ce qu'il était à la fin de l'année 2023 sans compter la chaleur moins supportable que lors de mon précédent voyage à la fin 2023. Je dois reconnaître que je ne me sentais pas vraiment le courage de passer le week-end à Varanasi comme initialement imaginé, en plus les billets étaient hors de prix (environ 300€ A/R).

J'avais adoré mon précédent séjour au Sud de Goa et du coup je voulais voir ce que donné le Nord de l'état… pas vraiment de visite touristique de la plage en perspective. Malheureusement là aussi les prix sont élevés. Je me rappellerais qu'une nouvelle compagnie vue dans un report précédent venait d'ouvrir des vols sur Goa Mopa (aéroport du nord). Je regarde les prix sont bon mais le vol est à la mi-journée mouais… au final je vois qu'ils volent le matin sur le petit aéroport de Sindhuburg qui se situe à la frontière de l'état de Goa et du Marashatra. L'horaire à 8h10 imposera un lever tôt mais permettra de profiter de la journée… en plus le tarif n'est que de 20€. Pour le retour je choisirais Akasa Air la nouvelle low-cost et ses Boeing 737max-8 au départ de l'aéroport de Goa Mopa (Nord de l'état). Là le prix pour ce vol en fin de soirée n'était pas donné mais bon je voulais ajouter une des dernière compagnies indiennes manquant à mon flight-log.

En effet en pratiquement 3 mois j'aurais pu prendre une très grande partie des compagnies indiennes (Indigo, Vistara, Air India Express, Alliance Air, Air India, Star Air, Fly91 et Akasa Air… (me manque uniquement Spicejet).

Ce qui nous donne le routing suivant:

Une nouvelle fois en Inde je me retrouve à débroussailler la BDD avec un nouveau doublé d'inédit sur FR même si beaucoup moins confidentiel que mon précédent à bord de Fly91. Une nouvelle fois les équipes de modération on été sollicités pour ajouter l'aéroport de Goa Manohar (GOX) qui devait être sans doute un des plus gros aéroport manquant dans la BDD, ouvert au début de l'année 2023 il a accueilli près de 4,5 millions de passagers sur l'année 2023.
Pour ce qui est d'Akasa Air cette nouvelle low-cost lancée en 2022 est en pleine expension dans le ciel Indien. Fondée par l'ancien PDG de Jet Airways et Go First ainsi que l'ancien Directeur d'IndiGo on peut dire que ce ne sont pas deux inconnus aux manettes de cette nouvelle compagnie qui essaye de faire sa place entre les 2 géants que sont IndiGo et le groupe Air India/Tata.
Elle dispose déjà de 25 Boeing 737max-8 et prévoit d'en ajouter pratiquement 200 autres à sa flotte jusqu'à l'horizon 2032 autant dire que si la compagnie réussie son parie de s'imposer dans le ciel indien on risque d'en entendre un peu parler.

Départ dans l'après-midi pour le nouvel aéroport de Goa Mopa/Mahonar

Le départ s'effectuera en fin d'après-midi depuis les plages d'Arambol (situé au Nord de l'état de Goa) et sans doute géographiquement une des plages les plus proche à vol d'oiseau du nouvel aéroport de Goa Mopa d'où je prends mon vol ce soir. Bon je vais être honnête je ne vous conseil pas vraiment l'endroit trop "pollué" par le tourisme de masse. Entre les nombreux touristes indiens qui n'ont pas vraiment de notion de respect du littoral et les nombreux touristes russes qui eux ne respectent ni les indiens ni les coutumes locales.
Mais revenons en à notre trajet, prévoyez un peu moins d'une heure de route avec des routes en plutôt bon état une fois les petites routes du bord de mer derrière nous de mémoire le trajet m'a couté 1300 INR soit environ 15€.

Une fois arrivée sur la route d'entrée de l'aéroport le spectacle commence avec des voiries et des extérieurs transformés en véritable jardins. Bon le moins que l'on puisse dire en ce milieu d'après-midi c'est plutôt très calme.

Je me dirige en direction du terminal la décoration a été travaillée

Une grande partie de la devanture de l'aéroport est un espace qui ressemble à un immense parc totalement piéton où trône un grand drapeau indien. Il faut reconnaitre que la zone est plutôt agréable même si elle doit être sous utilisée avec cet aéroport perdu au milieu de nul part.

On retrouve l'architecture habituelle des aéroports indiens avec un grand préau qui accueil une partie des services que l'on trouve habituellement sous nos latitudes dans les aéroports européens à savoir les comptoirs des compagnies aériennes et certains stand de restauration. On notera la présence d'un guichet de la compagnie aujourd'hui disparu GoAir/GoFirst.
Là aussi la zone semble sous utilisée avec des zones encore en cours d'aménagement.

Détail sur le FIDS qui n'affiche à cette heure que des vols domestiques. L'aéroport accueil une poignée de vols internationaux avec Qatar vers Doha, Mascat avec Oman air et de manière plus surprenante Air India qui opère un vol régulier vers Londres Gatwick en Boeing 787-8.

Bon allons voir ce que cela donne à l'intérieur, le moins que l'on puisse dire c'est qu'à l'image du nouveau T2 de Bangalore là aussi on a vu les chose en grand ! Les volumes sont immenses c'est lumineux et c'est ultra propre on pourrait presque manger par terre…

La zone d'enregistrement est pour le moins étendue et dispose de nombreux comptoirs même si seulement une petite partie d'entre eux sont utilisés. Je ne passerais par les comptoirs d'Akasa n'ayant pas de bagage à enregistrer et disposant pas de mon BP sur mon téléphone (oui je sais que c'est une hérésie pour certains reporter). Pour rejoindre la partie Air-side il faut grimper d'un étage. D'ailleurs Akasa comme toutes les compagnie offre un bagage en soute de 15kg y compris pour les tarifs les plus bas.

Le passage aux contrôles de suretés sera une réelle formalité avec aucune attente. Pas de déviations dans le protocole j'aurais le droit à la fouille supplémentaire à la poil à frire malgré un portique détecteur de métaux resté muet. Comme on dit la confiance n'exclue pas le contrôle…

Le nouvelle aéroport de Goa, tout comme le T2 de Bangalore, à vraiment 2 parcours passagers distincts en fonction du départ (domestique / international) du coup pour la zone domestique pas de passage par la boutique duty-free mais tout de même une galerie marchande de belle taille pour vous faire dépenser vos roupies. On y retrouve un mélange de boutiques locales mais aussi des enseignes internationales.

Les amateurs de malbouffe ne seront pas déboussolés avec la présence d'un fast-food KFC. Pour ma part je prendrais innocemment la direction d'un bar pour prendre une bière (les alcools étant très bon marché dans les bars de Goa du fait d'une fiscalité avantageuse comparé à d'autres états indiens) ce sera la bière la plus cher de mon séjour avec pratiquement 10€ ! Erreur!

On notera au passage que l'aéroport à fait un réel effort de décoration au niveau du terminal s'inspirant de l'architecture colorée des bâtiments coloniaux des quartiers historiques construits par les portugais que l'on trouve à différents endroits de l'état de Goa comme Panaji. En effet pour ceux qui ne le savent pas la région de Goa est restée sous giron Portugais jusqu'à la fin de l'année 1961 l'unification avec le reste de l'inde aura même donné lieu à des combats entre l'armée indienne et la garnison Portugaise !

Si les boutiques sont d'un coté, de l'autre coté on retrouve les portes d'embarquement ainsi que de larges baies vitrée avec une belle vue sur le trafic manœuvrant devant le terminal. Il existe aussi des portes "paxbus" au rez-de-chaussée non-utilisé pour le moment du fait du trafic pour le moment limité qu'accueil l'aéroport.

Au loin on peut voir un Airbus A320neo de GoAir à l'abandon sur le tarmac du fait de la faillite de la low-cost indienne à l'automne dernier. Toujours un peu triste de voir des appareils aussi récent entrain de pourrir sur le tarmac…

La nouvelle low-cost Akasa Air est l'une des compagnies opérant le plus de vols sur le nouvel aéroport de Goa Mahonar, il faut dire qu'étant les derniers arrivés ils sont aussi les derniers servis en terme de slots sur l'autre aéroport de Goa Dabolim qui lui est pour le moins saturé. Ce 737max-8 arrive lui en provenance de Mumbai.

Je pense qu'il n'y a aucun aéroport indien majeur qui ne dispose pas de son lot de vols opérés par IndiGo ici un A320neo en provenance de Nagpur dans l'état du Maharashtra.

Départ direction Mumbai pour cet A320neo de Vistara, une livrée qui va progressivement disparaitre du ciel Indien du fait de la fusion en cours avec Air India.

Direction Pune, seconde plus grande ville de l'état voisin du Maharashtra, pour ce Boeing 737max-8 d'Akasa Air

Décidément Goa à la cote pour les Bombayen (habitants de Mumbai) encore un vol en provenance de la capitale économique du pays avec cet Airbus A320 d'Air India portant encore la livrée iconique de la compagnie nationale indienne. 

Certains utilisateurs de la plateforme ont eux des appareils un peu plus exclusifs comme cet Embraer Legacy 600.

Cette dernière photo me vaudra ma première remontrance sévère de la part des agents de sécurités locaux. En effet il est interdit de photographier les infrastructures de transport publique en Inde (gares, aéroports) même si dans ce cas il n'y avait aucun pictogramme. Je me ferrais repérer par un agent de sécurité en uniforme qui me demandera pourquoi je prends des photos ainsi que ma carte d'embarquement et mon passeport.
Après un rapide contrôle il me demandera de ranger mon appareil (je photographie avec un petit appareil reflex hybride)… je croyais que l'incident été clos. Que nenni environ une heure plus tard un homme en civil m'aborde poliment et me montrant son badge aéroportuaire me pose des questions sur pourquoi je prends des photos. Il me demandera de voir les clichés pris sur mon appareil, puis prendra en photo mon passeport, mon visa et mon boarding pass … bon je la joue cool avec lui mais j'ai un peu pris un coup de pression quand même. L'incident sera finalement clos en voyant que je n'avais pas pris en photo d'infrastructures sensibles mais inutile de dire que je limiterais mes clichés dans la suite du récit…

Je ne suis pas un fana des photos de toilettes dans les reports mais les toilettes indiennes ne sont pas celle ayant la meilleure réputation à travers le monde, voila de quoi rassurer de potentiel futurs voyageurs. Dans le nouvel aéroport de GOX elles sont dans un état irréprochable. On notera la touche de technologie avec les bandeaux de LED pour indiqué si le trône est occupé ou non… En plus la déco est réussie ce qui ne gâche rien.

Notre embarquement commencera à l'heure avec un respect stricte des priorités et des zones d'embarquements et des passagers eux moyennement disciplinés…

Le BP sera scanné sur mon téléphone et je serais autorisé à rejoindre le jetbridge via ce pan incliné.

Notre voisin de gauche est un Airbus A320neo de Vistara arrivé en provenance d'Hyderabad.

A bord du Boeing 737max-8 d'Akasa Air

Bon ce n'est pas la sureté de l'aéroport de Goa qui va m'empêcher de faire un instant porte pour notre leader des contributions ! L'accueil à bord de la part de notre équipage mixte sera sympathique et souriant

Sans surprise dans cette compagnie low-cost on trouve une cabine full-éco équipé de sièges Recaro slim line, un modèle plutôt rependue que l'on trouve notamment sur les Boeing 737max d'Air india Express et qui offre un confort plus que décent pour une compagnie low-cost. On peut voir au passage que le pas au bulkhead et pour le moins généreux.

Je rejoins rapidement mon siège à la rangée numéro 3, j'ai pu choisir ce siège lors de l'achat de mon billet ayant prix une option supplémentaire à quelques centaines de roupies pour bénéficier du choix du siège et d'un snack à bord. Comme on peut le voir le pas est bon pour mon petit mètre soixante quinze.

Les opérations aux sols sont toujours en cours dont le fuel, on peut voir parfaitement l'entrée d'air de notre moteur CFM Leap qui nous poussera jusqu'à Bangalore.

Les opérations d'embarquements se poursuivrons pendant un long moment il faut dire que ce dimanche soir l'avion est plein comme un œuf.

Tout le monde est assis, les coffres à bagages fermés et les consignes lumineuses allumées, nous devrions être bientôt prêt pour le départ même s'il faudra quelques aller-retours dans la passerelle au coordo pour s'assurer que tous les documents de vols sont bien à bord et que le nombre de passagers est bon.

Au passage on notera que l'appareil est équipé de prises USB, vraiment un bon point pour une compagnie low-cost.

Nous repousserons finalement avec quelques minutes de retard sous l'œil attentif de nos marshallers qui assure une manœuvre en toute sécuritée

Nos moteurs sont démarrés à l'issue ce qui m'offre une belle vue sur le terminal qui brille de milles feux. 

Je découvre avec une légère surprise ce Boeing 787-9 de Vistara arrivé un peu plus tôt depuis Mumbai suppléant l'habituel Airbus A320neo dédié à cette liaison.

Notre roulage nous fera longer les parkings au large où l'on retrouve 2 appareils connus le jet privé Embraer qui m'a créé des ennuis et l'alors unique ATR72-600 de Fly91 emprunté la veille entre Bangalore et Sindhudurg et qui passe ces nuits sur sa base de Goa Mopa.

Le roulage sera court et nous tardons pas à nous aligner sur la piste 28 après avoir attendu qu'un Airbus d'IndiGo se pose sur l'unique piste de l'aéroport. Nos pilotes poussent ensuite nos 2 moteurs à leur puissance de décollage. On voit tout de même l'avantage de ces Boeing 737max bien plus silencieux que leurs homologues NGs.

Même avec le plein de passager notre Boeing n'a aucune peine à prendre de la hauteur au dessus de la campagne entourant l'aéroport de Mahonar.

Bon il fait nuit noir dehors, j'en profite donc pour vous détailler le contenu de la pochette du siège. On y trouve sans surprise la réglementaire safety card

Mais aussi comme la plupart des compagnies low-cost le menu du Bob. Comptez environ 500 INR (environ 5€) pour un sandwich chaud avec une boisson au choix. Bien entendu comme souvent en inde pas d'alcool et aucune option ne comportant de la viande de bœuf même si j'ai été surpris de voir autant d'option non-végétarienne dans le menu.

De mon coté j'avais opté dès la réservation pour une option à 500INR (5€) m'offrant l'embarquement prioritaire un choix de siège à l'avant et un snack avec boisson au choix. Bref plutôt un bon deal. Voila la prestation servit, je choisirais un jus à la place d'un Soda, le wrap au poulet sera froid mais plutôt correct en gout et d'un niveau d'épice très doux.

une fois le service effectué le vol se poursuivra très tranquillement avec une ambiance plutôt calme en cabine où de nombreux passager commenceront à piquer du nez, on notera d'ailleurs au passage que les sièges sont équipés d'appuis tête réglables.

La route suivit par notre vol du jour avec une altitude de croisière de 29.000ft

Le vol durera moins d'une heure et rapidement nous nous retrouverons en longue finale vers l'aéroport de Kempegowda avec une arrivée optimisée depuis l'ouest ce soir là (ce qui est plutôt rare pour un dimanche soir ^^)

Les lumières du sol se rapprochent et se font de plus en plus nombreuses lors d'une approche qui sera parfaitement stable.

Dernière arrivée à Bangalore by night

Posé sans encombre sur le tarmac de la piste 09L que nous quitterons rapidement après notre posé. On aperçoit déjà au loin les contours du T1 où notre vol est prévu de débarquer.

En chemin on croise quelques sisterships parqués au large.

Mais aussi l'incontournable des aéroports indiens des appareils d'IndiGo avec une petite brochette A320neo stocké, ATR72 et A320.

Nous remontrons ensuite toute la longueur du T1 où sont stationnés les appareils d'Akasa Air et IndiGo au contact.

Avant de venir nous stationner sous l'œil attentif de notre marshaler aux cotés de cet Airbus A320neo d'IndiGo venant lui d'arriver depuis Bhubaneswar dans l'état d'Odisha.

Etant à l'avant de l'appareil je débarquerais dans les premiers avec les salutations de la CC en porte. Elle semblait être la plus âgée et expérimentée à bord reprenant régulièrement ses jeunes collègues masculin lors de certaines taches, la pauvre semblait un peu fatiguée et  donner un peu l'impression de porter l'équipage cabine à bout de bras.

On s'aperçoit que notre appareil du jour a été stationné dans l'ancienne zone international du T1 où l'on retrouve les points de parkings équipés de double passerelles prévu pour accueillir les Airbus A380 d'ailleurs à ce point de parking notre Boeing 737max-8 parait bien petit.
D'ailleurs je peux afin tirer le portrait à mon appareil du jour immatriculé VT-YAC un Boeing 737max-8 d'un peu moins de 5 ans mais qui a commencé sa carrière commerciale il y a moins de 2 ans chez Akasa Air. En effet cet appareil était initialement prévu de rejoindre les rangs de la low-cost Sud-Coréenne T'Way qui n'en a finalement pas pris livraison. Il a donc été stocké près de 3 ans avant d'être repris par Akasa Air.

Cheminement inédit pour moi dans cette zone du terminal, une mezzanine nous fait passer au dessus de la zone des départs Air-side. La moquette à des petits airs de Singapour un signe ?

Je me suis amusé à prendre ce cliché qui résumé un peu mon vol du jour avec ces photos d'avions qui m'ont value un contrôle poussé de mon identité. Juste dos à moi se trouve le centre de contrôle de l'aéroport avec toutes les caméras de surveillance visible de tous les passagers … je m'en suis rendu compte une seconde plus tard ^^ Heureusement dans ce cas pas vu pas pris ;-)

On trouve quelques décorations en chemin des zones sont fermées et cachées sans doute les vestiges de la vocation internationale des lieux désormais dédiés aux vols domestiques.

La zone de livraison des bagages est elle aussi différente de mes autres passages par le T1. La aussi sans doute l'ancienne zone internationale, on y trouve des tapis de livraisons en nombre mais surtout pas un chat dans cette zone parfaitement propre et ordonnée qui semble clairement sous utilisée.

Je n'ais pas de bagages à récupérer. Je file donc directement vers la sortie, on arrive dans le grand hall qui sert de zone d'enregistrement pour le T1 on sent là aussi qu'il y a des réaménagements en cours pour transformer la zone en terminal purement domestique… Pour autant l'expérience reste fluide est les principaux services sont disponibles. 

Dès la sortie je connais parfaitement le chemin pour rejoindre la zone accueillant les Uber (un service qui marche parfaitement à Bangalore) direction mon hôtel en prenant une petite dose de bouchons made-in-India. Comptez 1h20 pour rejoindre le centre de Bangalore et environ 1200INR (13€) rajoutez aussi quelques petites frayeurs du fait de la conduite "locale"

C'est ici que se termine se report et ces aventures à travers l'Inde, j'espère qu'elles vous auront plus autant qu'à moi. On se retrouve prochainement pour la suite et une destination … pas vraiment prévue au routing…