INTRO ET MISE EN PLACE PARIS - ISTANBUL
Bonjour et bonne année 2025.
Premier opus d'une série de trois FRs consacrés à un voyage en Inde 100% avgeek effectué début novembre 2024 en compagnie d'Akivi, avec lequel j'ai effectué deux vols parmi les dix relatifs à ce parcours et qu'il racontera de son côté. Cependant, ce récit ainsi que les deux qui suivront de ma part concernent des vols faits en solo, pendant que Guillaume en faisait d'autres.
En décidant de nous lancer vers cette destination, notre objectif commun était en priorité de voler sur VISTARA avant la fusion de cette compagnie avec AIR INDIA, officiellement programmée le 12 novembre. Nous avons été servis sur ce point, comme les FRs à venir le relateront.
De mon côté, outre le "grand chelem" sur VISTARA à savoir A320, A321 et B787, d'autres objectifs de combo "type avion/compagnie" (autant dire "nouvelle entrée" en langage avgeek) indiens me tenaient particulièrement à cœur, parmi lesquels le 77W IndiGo objet du présent FR, mais je ne vais pas tout dévoiler maintenant afin de garder un peu de piment (un pléonasme s'agissant de l'inde) pour la suite.
Mon voyage débute sur le vol TK de fin de matinée à destination d'IST depuis CDG1, où Akivi m'avait précédé la veille au soir pour rejoindre Mumbai avec une correspondance quelque part en chemin. Etant "à jour" au niveau des types avion en service actuellement chez TK, j'ai droit à un B787-9 déjà pris sur cette même ligne en 2021, donc sans grand intérêt pour mon flightlog. Fort heureusement, la suite du parcours, jusqu'au retour à CDG trois jours plus tard, sera de la "nouvelle entrée" sans exception, soit 9 vols d'affilée marqués en "gras" sur le petit tableau xls. que certains lecteurs de ce site connaissent. Une perf que je n'avais pas accomplie depuis le voyage au Japon en avril 2024.

L'important lors d'un préacheminement "utilitaire" comme celui-ci, c'est qu'il soit à l'heure afin de garantir la correspondance à suivre. Ce fût parfaitement le cas ce jour-là, sachant que je n'avais pas une marge infinie à IST, à savoir 3 heures en tout et pour tout, ce qui est largement suffisant quand tout va bien mais qui aurait pu s'avérer risqué si les choses s'étaient compliquées.




SALON IGA LOUNGE A ISTANBUL (AIRSIDE)
Je vais donc avoir le temps nécessaire pour visiter le salon "IGA LOUNGE" auquel me donne droit la carte Priority Pass.

C'est immense, bondé, pas spécialement en ordre ni propre.

Bref, un immense salon proche de la saturation, avec une énorme hauteur sous plafond et la vue plongeante sur le reste de l'aérogare, le tout sous un éclairage peu engageant alors que la lumière du jour décline peu à peu.


Bien que le déjeuner servi quelques heures plus tôt sur le vol TK ait été tout à fait convenable pour une classe Y, mon but est de manger de nouveau car s'il existe une véritable inconnue quant à mon vol suivant, c'est bien le catering !

Ce n'est pas de la haute gastronomie mais c'est quand même très appétissant.

Ayant donc pu me sustenter quantitativement plus que qualitativement, tout en restant "dry" vu la nuit blanche qui s'annonce et la suite du parcours plutôt tendue dès le lendemain matin, je quitterai les lieux une heure avant le départ…

EMBARQUEMENT
Place maintenant au véritable plat de résistance de la soirée, qui justifie ma présence ici : un combo "type avion / compagnie" qui fait d'IST un passage obligé car l'avion en question ne vole que la ligne IST-DEL en parallèle avec son sistership qui fait IST-BOM à la même heure chaque soir. Les deux reviennent à IST le lendemain en milieu de matinée, bétonnent toute la journée (cf photo ci-dessous faite par un ami spotter en septembre), et ainsi de suite…

J'ai suivi l'avion en question (TC-LKE) sur flightradar24 depuis la veille et il n'y a donc pas de suspense à son sujet, même en me dirigeant vers la porte d'embarquement A1D située au rez-de-chaussée, qui correspond aux avions stationnés "au large". Ce sera donc bien le 77W aperçu lors du roulage à l'arrivée de CDG.

C'est la cohue dans les divers tansaguides qui sont censés diriger les passagers selon leur statut chez IndiGo mais force est de reconnaître que ce n'est pas très efficace.

Peu importe, si je voulais aller de Paris à Delhi pour le confort j'aurais choisi le vol direct d'AF, mais c'est bien pour l'exotisme que je passe par ici, et je vais être servi… !

Il y a beaucoup d'indiens qui prennent ce vol, mais pas que. C'est même une véritable tour de Babel : des européens, des américains, des latinos. Voyageurs individuels, groupes, familles, couples, tout le monde veut aller à Delhi ce soir !

Les cartes d'embarquement et les visas indiens sont vérifiés pendant que l'on fait la queue jusqu'au comptoir. Tout en ayant fait imprimer mes BP à CDG, j'avais pu m'enregistrer en ligne la veille pour ce vol ainsi que pour le TK1822 qui l'a précédé, sans pour autant avoir le choix du siège sur le tronçon IST-DEL. Le 56F (un des deux sièges milieu sur un quadri place en cabine arrière, le rêve…) qui apparaît ici ne pouvait donc pas être modifié. A cette particularité près, j'ai cependant été agréablement surpris par le niveau d'automatisation TK/6E. Il est vrai que la Turquie et l'Inde sont des pays de référence en matière d'IT. En tous cas, pour un billet payé 270€ seulement l'aller simple CDG-IST-DEL chez Kiwi.com, je trouve la prestation globale assez aboutie en ce qui concerne le code-share.

L'embarquement par bus d'un gros porteur complet stationné au large, avec une clientèle très diverse : il ne faut passer espérer autre chose que de jouer des coudes. J'attends donc sagement derrière tout le monde afin de faire partie des pax embarquant dans le dernier bus.

La récompense est au bout du tarmac. Voilà ce superbe, magnifique, splendide… (les superlatifs et les synonymes me manquent !), B777-300ER aux pleines couleurs IndiGo !!!

Aucune photophobie parmi le personnel au sol, alors je vais m'en donner à cœur joie pour mitrailler la bête sous toutes les coutures.




Outre le temps passé à contempler l'avion et à le photographier, je veille à être bon dernier à embarquer.

Allez, encore quelques photos depuis l'escabeau pax.




A moi d'y aller, alors que plus de 500 passagers m'ont précédé.

Le premier coup d'oeil à la cabine est sans équivoque : c'est de la TRES HAUTE densité. Du 10 de front bien évidemment (3/4/3) avec un pitch qui semble "collé serré" et très peu de cloisons. La "bétaillère" dans tous sens du terme… !

Je tente le tout pour le tout en allant vers l'avant plutôt qu'au rang 56 qui m'est prédestiné, et me voici à présent face à la cloison séparant les 524 sièges de la classe Y des 7 sièges (2/3/2) de la classe W, ou J selon les goûts. Oui, 524+7 = 531 sièges au total. Un record à bord d'un vol de ligne régulière sur un avion "single decker" en cette fin d'année 2024 ?

Sans demander mon reste, je m'assieds au 2D qui est libre…

… avec le 2E à côté, libre aussi ! Soit je vais être délogé dans la minute suivante par deux passagers partis s'aventurer je ne sais où, soit j'aurais du jouer au loto avant de partir de Paris…

J'assiste du coup à la prise de commande des choix de catering des pax de l'avant, par un des deux PNC turcs mis à disposition par TK en même temps que l'avion et ses pilotes, le reste de l'équipage étant indien en uniforme IndiGo.

Bien que toujours sous immatriculation turque, l'avion a été mis aux standards bilingues anglo-indiens au niveau de ses pictogrammes.

Les minutes passent et personne ne vient réclamer son siège 2D. Je vais donc avoir le privilège de voyager en "XL"… !

Les portes sont à présent fermées et les démos de sécurité, effectuées en anglais, en turc et en indien, vont commencer.

Les consignes de sécurité sont au format de celles de TK, mais elles sont elles aussi anglo-indiennes, sans un mot de turc ni une quelconque référence à Turkish Airlines. Sur le plan de la customisation, c'est vraiment une copie très propre que délivre ici IndiGo. Seuls les spécialistes peuvent déceler qu'il s'agit d'un avion loué à une autre compagnie et pas d'un avion idoine de la flotte IndiGo. Seul détail peut-être qui pourrait aiguiser la curiosité de certains : la couleur rouge du haut des sièges, pas vraiment dans le code couleurs de 6E.

Un autre "défaut" qui sera remarqué par tout avgeek qui se respecte : les deux silhouettes, surtout le nez, de l'avion représenté au verso rappellent bien plus un A330 qu'un B777…

Le magazine de bord est bien évidemment "Hello 6E". Son contenu est assez insipide et je vous en fais donc grâce.

On y trouve cependant une info intéressante sur le concept W/J adopté par IndiGo sur ses nouveaux A321neo.

Le repoussage a eu lieu avec quelques minutes de retard mais l'avion est maintenant en autonome sur le tarmac, prêt à commencer le roulage.


… avant de décoller pour un temps de vol annoncé de 5 heures et 25 minutes.

Dès la première phase de la montée, des verres d'eau sont distribués à tous les passagers.

Je pars ensuite me balader à l'arrière, et constater le supplice auquel j'ai échappé avec ce siège 56F qui aurait quand même atténué mon plaisir d'être à bord ce soir.

L'addition "vol presque complet + pitch très serré" peut effectivement s'avérer très inconfortable, y compris pour celui qui est prêt à souffrir afin d'ajouter une "nouvelle entrée" de choix à son flightlog.

L'inspection des toilettes, il est vrai effectuée en début de vol, ne révèlera rien de négatif.




Je ne m'attarde cependant pas dans la zone car les trolleys sont de sortie et ce n'est pas la largeur toute relative des allées qui facilite le croisement avec les pax qui circulent.

Parvenu non sans mal au rang 2 qui fait mon bonheur ce soir, je vais sortir l'écran individuel de son logement dans l'accoudoir afin de vérifier le contenu de l'IFE.

Le verdict est sans appel : aucun contenu à part la carte interactive !

Nous sommes à cet instant sur la rive sud de la Mer Noire, entre Samsun et Trabzon.

Celui qui aurait tablé sur un film ou tout autre divertissement possible n'a pas de choix autre que de suivre la progression du vol.


Des repas plus que légers vont être servis aux passagers dont le tarif le prévoit. Les autres devront se contenter du verre d'eau offert en tout début de vol. Me concernant, pas de service et pour cause… le numéro de siège correspondant à ma résa n'est pas celui que j'occupe.

Par curiosité bien plus que par appétit, surtout que j'ai pu voir en quoi consistait la prestation -c'est à dire une misère- je retourne à l'arrière et plus précisément au fameux rang 56. La personne qui aurait dû être mon copax pendant tout le vol est bien surprise de me voir arriver pour m'installer au siège à coté d'elle. A ce moment là, je ne sais même pas si le tarif que j'ai payé inclut un repas ou non. NB : je rappelle qu'il s'agit d'un billet CDG-IST-DEL obtenu à un prix dérisoire sur Kiwi.com, sans détail de ce qui est compris, donc… suspense !

Les trolleys sont ceux qui appartiennent à l'avion, donc à TK.

Le choix des boissons qui accompagnent les repas pré-commadés avec le billet est des plus réduits : eau, jus de fruits, coca, thé ou café.

Bingo ! Sans me demander quoi que ce soit, une PNC vérifie mon numéro de siège sur sa PIL et me brandit ce misérable repas que j'accompagne d'un jus d'orange.

Au menu, cassolette, pain industriel, beurre et barre de céréales.

Quel festin ! J'ai bien fait de dîner au salon…

Dès cette pitance avalée, et sans attendre le débarrassage, je déguerpis du rang 56 pour filer au rang 2, augmentant sans doute la perplexité de mon supposé copax qui doit encore se demander qui est cet européen apparu à ses côtés au moment du dîner et qu'il n'a pas revu ensuite :-)

Tout ceci nous a fait achever le survol de la Mer Noire et pénétrer dans le Caucase, entre Yerevan et Tblissi, deux villes où j'ai eu la chance de me rendre moins d'un mois plus tôt en compagnie d'autres avgeeks, en prenant un vol tout aussi insolite que celui à bord duquel je me trouve : https://flight-report.com/fr/report/70230/tbilisi-airways-3f583-yerevan-evn-tbilisi-tbs/

La cabine est ensuite plongée dans l'obscurité et je vais faire de mon mieux pour dormir tant bien que mal.

Je me réveille environ deux heures plus tard, alors que nous avons entre temps survolé la Caspienne et tracé tout droit jusqu'au début de chaine de l'Himalaya avant d'entamer un net virage à droite pour nous diriger vers le nord ouest de l'Inde. Il reste alors encore plus d'une heure et demie de vol à accomplir.

Il ne se passe ensuite plus grand chose avant l'éclairage complet de la cabine, signe de l'amorce de la descente vers Delhi.

Posés en douceur et roulage assez court à New Delhi Indira Gandhi International Airport, une première pour moi qui n'avait jusque là mis les pieds qu'à l'aéroport de BOM.

Mumbai sera justement ma prochaine destination. Nous sommes à l'heure et ma correspondance part du même terminal (le 3) dans plus de 3 heures. Je laisse donc débarquer tout le monde afin de faire quelques photos supplémentaires de la cabine dans laquelle j'ai voyagé, puisque j'avais embarqué le dernier quelques heures plus tôt à IST.

Je suis ravi d'avoir pris cet avion pour les raisons déjà évoquées, mais j'avoue que je préfère volontiers y avoir passé six heures plutôt que le double. Vous me direz, comme les deux B77W 6E ne font que du IST-DEL et du IST-BOM, il n'y a pas de risque…




IndiGo a déjà 18 ans ? Hé bien il, était quand même temps que je me décide à aller faire un tour en Inde…

Voici le tracé intégral de la route empruntée

ARRIVEE A DELHI ET CORRESPONDANCE VERS MUMBAI
Les formalités d'entrée en Inde sont assez vite effectuées, tout comme l'avait été la procédure de e-visa en ligne (2 jours de délai de réponse pour un visa 1 an multi-entrées)

La piste magnétique du passeport permet de faire en self-service tous les rapprochements nécessaires, ce qui limitera le temps d'intervention de l'agent d'immigration à la prise d'empreintes digitales avant de tamponner le passeport.

Le fait d'avoir dû compléter ce formulaire à la main apparaît dès lors totalement dérisoire.

Voilà le fameux "mur de bronze" de la zone des arrivées du T3 de DEL, une image déjà vue à moult reprises.

Comme on peut le constater, le trafic est très dense en cette fin de nuit.

C'est donc parfaitement dans les temps que je rejoindrai Akivi à BOM à bord d'un A321ceo d'AIR INDIA, avec la touche vintage qui va bien ainsi qu'un repas chaud tel que l'on peut en bénéficier sur toute legacy carrier indienne en vol domestique, c'est à dire AIR INDIA et VISTARA qui ne feront bientôt qu'une. Nous enchaînerons ensuite à bord d'un B737MAX-8-200 d'Akasa Air, un vol dont je laisse volontiers à Guillaume le soin de le relater sur ce site.




Voilà donc un voyage qui commence sous d'excellents auspices, et qui tiendra toutes ses promesses. Voici un résumé des 24 premières heures de mon routing :
Enchainement de vols
- 1TK1822 - Economique - Paris CDG > Istanbul - Boeing 787-9
- 26E12 - Economique - Istanbul > Delhi - Boeing 777-300ER
- 3AI665 - Economique - Delhi > Mumbai - Airbus A321ceo
- 4QP1127 - Economique - Mumbai > Delhi - Boeing 737MAX-8-200 ("reporté" par Akivi)
Pour conclure sur l'objet principal de ce récit, à savoir le B77W IndiGo TC-LKE, lui et son sister ship TC-LKD apparaissaient en ce début novembre 2024 comme destinés à disparaître prochainement, puisque les vols IST-DEL et IST-BOM qu'ils effectuaient quotidiennement depuis le printemps 2023 étaient programmés en A321 ou A320 6E dès le 15 novembre. Effectivement, les deux appareils furent rapatriés ce jour là à vide vers Istanbul comme on peut le voir sur ce screen shot de flightradar24, où leur sort a semblé incertain pendant deux semaines, à l'issue desquelles ils ont finalement repris du service. Ils ne sont toutefois pas éternels, IndiGo ayant 30 A350 en commande et prévoyant de louer dès l'été 2025 pas moins de 6 B787-9 auprès de Norse afin de démarrer de vraies opérations long-courrier. Cette compagnie, qui affrète aussi 6 B737Max auprès de Qatar Airways entre Doha et l'Inde est en effet en pleine croissance et se voit destinée à demeurer la seule alternative de taille face au géant qu'Air India et Vistara sont en train de monter sous la houlette de Singapore Airlines et du Groupe Tata.

A bientôt pour la suite.
Merci Luc pour ce FR en mode "épice"
Petit n'est pas vraiment le mot que j'aurai employé, loin de là.
J'avoue que la prise est exceptionnel et mérite cet engouement.
Mais sans champagne...
Je viens de rire toute seule dans mon TGV en imaginant la tête du passager
Il me semble connaître l'endroit.
Il y a plein de pays que tu n'as pas fait : je parle de sortir de l'aéroport (moi aussi je peux te tancer)
La variété des profils sur le site permet d'avoir des points de vue différents, et c'est très bien ainsi, mais ce qui m'amuse le plus c'est qu'en dehors du site les amitiés ce sont, elles, faites sur les mêmes affinités. ^^
J'attends la suite avec impatience.
Merci Valérie pour ce commentaire très complet. Je ne reprendrai pas chaque point après l'autre mais tu soulignes bien la plupart des faites marquants de ce vol en ce qui me concerne. Concernant les pays où je me suis rendu sans avoir eu le temps de circuler ailleurs que dans les aéroports c'est vrai que la liste est longue mais que veux tu, je considère que certains avions étant plus éphémères que certains sites touristiques, mieux vaut leur donner la priorité, faute de temps pour faire les deux évidemment.
La suite arrive, et Akivi en remettra une bonne dose un peu plus tard. A bientôt.
Hello Luc et merci pour ce FR, début d'un routing AvGeek fructueux malgré nos nombreuses difficultés à le "monter" ! Il me tarde de le reporter également, mais comme tu le sais j'ai quelques autres opus à publier avant ;)
En voyant l'embarquement à pied devant ce fier 777 aux pleines couleurs IndiGo, j'ai presque regretté de ne pas l'avoir fait avec toi… Mais comme tu le sais, le "airline collector" que je suis avant tout avait une autre cible pour rejoindre l'Inde !
Je ne me souvenais pas que tu avais acheté ce CDG-IST-DEL sur Kiwi.com, soit tu n'as pas eu le choix, soit tu étais d'humeur joueuse :)
Voilà une des plus belles tortugas que j'ai vues sur ce site, bien joué :) Mais avec repas au 56F inclus ! Repas qui, vu la durée du vol, le prix payé et le positionnement low-cost d'Indigo, est quand même correct avec ce plat chaud.
Je me demande à quoi ça sert de maintenir des IFE en état de marche, et donc avec les coûts associés, si c'est seulement pour afficher la géovision..!
Perso ça me fait plus penser à un 787, surtout avec l'absence de winglets
C'est vrai, mais c'est un court vol pour un 777. Je préfèrerais encore ça aux 11 heures d'un ATH-SIN avec Scoot !
Tellement improbable, vu la quantité d'aéroports loggés tout au long de ta vie d'AvGeek, jusque dans les coins reculés du Pacifique ou de la Corée du Nord !
A bientôt pour la suite !
Tu as raison de préciser que nous avons eu du mal à monter nos parcours indiens respectifs car nous avons û faire avec de nombreuses contraintes pas toujours évidentes : timing, budget, priorités avgeek, et pas mal de modifs d'horaires et de type avion sur certains vols qui nous avaient fait tarder à acheter. Bien nous en a pris au final puisque les itinéraires réservés ont été respectés sans que nous ayons à reconstruire une partie du puzzle une fois sur place, ce qui aurait pu s'avérer compliqué.
J'ai en tous cas bien apprécié ce voyage même s'il n'avait pas la saveur exotique de l'Iran par exemple. En fait, ce qui peut expliquer que je n'étais encore jamais allé astiquer le réseau domestique indien, ce que tu soulignes à juste titre, c'est peut-être que ce pays a toujours été assez conventionnel en ce qui concerne les types avions. Depuis les HS-748 d'Indian Airlines puis de Vayudoot, dont certains avaient été assemblés sur place sous le nom de HAL-748, je ne me souviens pas de machines très insolites à aller prendre en Inde et c'est sans doute ce qui m'a sans cesse fait reporter l'idée. J'y ai perdu au passage l'occasion de voler sur de nombreuses compagnies, outre les deux précitées, telles que Kingfisher, Air Sahara, GoAir, Modiluft, etc, me contentant de rares vols en 5e liberté sur AI et 9W...
Merci pour ton commentaire et à bientôt.
Hello Luc bonne année et merci pour cet excellent report pour un combo appareil / compagnie unique en son genre et épicé à souhait pour qui sait apprécier se genre de mets aériens 😇
Une beau routing av-geek pour ajouter quelques lignes (attention il y a une limitation à 1 048 576 lignes sur Excell 😉).
Pour ce qui est du vol c'est basique mais le tarif est excellent, le voyageur lambda doit toutefois être prudent car ces vols Indigo étaient vendu en codeshare TK donc, le pax qui s'attends à faire son vol full TK doit bien déchanté quand il grimpe dans la bétaillère 😱 après son pré-acheminement en B787 de TK
Siège basique (comme quoi on peut mettre plus de place que les COI AF dans un 777-3ER😇) magnifié par un tortuga XL. Pour le divertissement Indigo propose une belle séance de la nouvelle tendance des réseaux sociaux qui consiste à se filmer, stoïque, les yeux grands ouverts face a l'écran (je vais pas écrire le mot car il y a un autre sens hors charte 😜).
J'ai hâte de voir ce que tu nous as dégoté en tout cas le 737max8 d'Akasa j'ai déjà fait 😇
Bon vols !
Bonne année et merci à celui qui a été récemment la référence en matière de vols indiens, suscitant sans doute inconsciemment l'envie d'y aller à notre tour, Akivi et moi. Une fois que l'un et l'autre auront fini de poster leurs récits respectifs, je crains cependant que tu ne trouves rien de très nouveau pour toi, qui a bien plus écumé le pays que nous ne l'avons fait en 3 jours. Mais, comme indiqué dans le récit, nous avions l'un et l'autre des "cibles" surtout liées au retard qu'il nous fallait bien rattraper et il faudrait un ou plusieurs autres voyages en Inde pour aller compléter ces "essentiels".
Concernant le code-share TK/6E, je suis d'accord sur le fait que les pax qui achètent un billet sur TK et se retrouvent sur cette énorme bétaillère au produit très dépouillé doivent sans doute faire chauffer leur plume auprès du service client TK pour se plaindre. Dans mon cas, c'était l'inverse puisque j'avais du 6E/6E en CDG-IST-DEL et c'est donc sur le premier tronçon que j'ai eu droit au confort, au catering et à l'IFE de TK avec un billet 6E.
Mais le but étant de "logger" ce rare 77W 6E, c'est paradoxalement le 2é vol que j'ai le plus apprécié... !
A bientôt.
Hi Luc
Tous mes vœux pour 2025 avec de nombreux vols exotiques, à bord de machines tout aussi pittoresques.
Le salon à IST n'est pas très confortable mais offre de quoi largement se sustenter...
De belles vues de la bête avant d'embarquer.
C'est sûr que que le pays le plus peuplé de la planète, doit compter sur des compagnies pouvant accueillir + de 500 pax à bord.
Une aubaine d'avoir pu te glisser dans la 2ème rangée ou le legroom est quand même pas mauvais, derrière c'est très serré, aïe !
En fait c'est un concept Low Cost que propose Indigo...
L'IFE avec l'unique Géovision, c'est mieux que rien.
Aucun service de nourriture, sauf pour certains nantis, dont celui de la dernière rangée 😉.
Le plat était t'il très relevé ? Cela étant, pas de quoi se relever la nuit tellement la prestation est famélique.
Bon, le tarif payé depuis CDG est très bon marché, ceci explique cela.
La suite avec AI est beaucoup plus... Appétissante !
Effectivement, chacun voyage selon ses critères, c'est ce qui fait le charme du site.
Merci pour ce nouvelle opus, en attendant le suivant, à bientôt.
Meilleurs vœux à toi aussi cher Hervé et merci pour ce commentaire très complet qui résume parfaitement la situation.
Je confirme que les repas servis à bord des avions indiens sont assez épicés mais il y a souvent une option "occidentale" ou "internationale" qui permet d'y échapper, comme la très classique cassolette du pdj en photo en fin de récit à propos de la correspondance vers Mumbai sur AI, effectivement plus appétissante que celle proposée par IndiGo quelques heures auparavant.
Bons vols !
Merci beaucoup pour ce FR.
Bravo pour cette prise très AVGEEK, un voyage confortable en 2A et malgré tout vous n'avez pas raté la prestation (chaude) du 56F! Pas très copieuse certes, mais pour le prix payé...
L'aviation indienne va beaucoup se développer progressivement !
Merci à vous. Oui, les perspectives de croissance des compagnies indiennes, enfin surtout d'IndiGo et du nouveau géant Air India (post-fusion avec Vistara) sont immenses si l'on en juge par leurs commandes d'avions en cours. Pour les autres, il semble que seule la portion congrue du marché leur soit destinée, ce qui n'est pas un très bon signal pour nous autres avgeeks, même si l'on peut espérer des rebondissements.
Merci pour ce FR et son teasing avgeek.
Ça fleure bon l’aventure comme on aime.
Néanmoins, ce qui m’a poussé à lire ce FR Indigo est de me rencarder pour Mme qui voyagera bientôt seule avec eux (enfin, seule avec ses copax yogi) et je prévois de lui faire un petit briefing des 7 erreurs par rapport à nos habitudes.
Je ressors de là avec une émotion : 531 pax ! Dans un 77W COI AF on est à 472…. Et je ne vois pas comment on peut rentrer 59’personnes en plus tellement c est déjà serré 😱
Va falloir que je relise le plan de cabine de son vol interne.
Le Catering est modeste…. Il me semble lui avoir réservé quelque choses pour quelques euros, quelque chose me dit que ce sera sans étoiles.
Côté tarif, le 270 euros l’AS est pas mal effectivement mais c est spartiate au final.
Ayant succombé à Air India pour ne sombre affaire de tarif, on sort un vol direct (À/R) à 800 euros en réservant en avance. Les « 130 » euros d écart pour le segment valent donc largement l investissement pour ce qui est du confort global du voyage mais au prix d l’absence du frisson du nouveau log (qui plus est de justesse).
Quand a la tortuga, je dis chapeau. Un coup de maître 👏 car effectivement, si on ne commande pas on ne mange pas, et donc le pnc a des circuits de recoupement en moins pour identifier le coquin.
La ou c’est grandiose, c est d’avoir fait l’excursion pour dîner en Y. Énorme.
Je suis impatient de lire la suite.
Merci !
Je comprends que Mme va effectuer un vol domestique 6E, ce qui rend la comparaison avec ce vol international, à bord d'un gros porteur qui ne fait que ça, pas forcément évidente. Je renvoie volontiers aux récents récits de Scorph pour une meilleure connaissance du produit IndiGo sur le réseau intérieur indien.
Concernant la densité des cabines des B77W, celles des avions dits "COI" d'AF étant quand même tri-classes, le total de sièges à bord est naturellement inférieur à ce que l'on peut voir ici..., la coupe de champagne, le wifi, l'IFE etc... que l'on peut avoir en général en Y accentuant encore la différence;
A bientôt pour la suite.
Merci Luc pour ce fr sur un vol insolite comme à ton habitude.
Concernant le salon, je trouve qu'il n'y a rien à envier à son homologue de TK que je trouve très surcoté (FR à suivre)
Le tarif est excellent mais le confort et les prestations sont spartiates. Mais, ce n'est pas le plus important pour toi.
Concernant le repas servi à bord au départ de IST, c'est Byzance...
A bientôt
Merci Nicolas. J'ai lu en effet que le salon TK du nouvel aéroport d'IST est assez surcoté, ne connaissant que celui de l'ancien. En tous cas, cet IGA Lounge qui est son voisin fait le job mais sans plus. Bons vols en 2025 !
Belle prise que ce 777 aux couleurs d’Indigo.
À bord, c’est pas génial. J’imagine la tête du passager au rang 56 qui voit son voisin apparaître pour le repas et disparaître ^^
Quant au produit à bord, on espère que les A350 en propre seront un peu mieux.
Merci pour ce FR
Merci Moritz. Je confirme que le pax qui a vu le siège 56F d'abord vide, puis momentanément occupé et ensuite vide de nouveau, avait l'air un peu hagard au sens propre du terme : "Qui est en proie à un trouble violent et qui a une expression égarée" 😄.
Plus sérieusement, je suis comme toi impatient de voir la densité des cabines des futurs A350 d'IndiGo. Vont-ils céder à la tentation du 10 de front comme l'ont fait TX et BF ? That is the question. En tous cas, si les 6 B787-9 de Norse entrent bien en service temporaire cette année en les attendant, ça va faire drôlement "luxe" par rapport aux deux B77W ex-TK même si tout est relatif. A bientôt.
Merci Luc pour ce FR très original comme d'habitude et bonne année 2025!
La bétaillère ultime ici, plus de 500 sièges, c'est un aller simple vers l'enfer, surtout sur ton siège originel 56F... L'aller-retour à ce siège pour le repas, ça j'aurais adoré voir, surtout la tête du type à côté.
pour le commun des mortels, le simple fait de faire une escale en plus est déjà synonyme d'incompréhension totale, écrire des FRs sur mes vols me vaut souvent des remarques du genre "mais vraiment?", quand je dis emprunter des safety-cards dans les avions, alors c'est là qu'on me prend pour un fou en général, donc pour toi, je pense qu'une personne "normale" aurait un bon brain freeze en lui expliquant tout ça ^^... Mais c'est une véritable passion et c'est ce qui fait que Flight-Report et notre monde sont divers !
A bientôt pour la suite !
Merci Jules et bonne année également.
"Bétaillère ultime", ça lui ferait un joli nom de baptême !
Concernant les horizons divers et variés des contributeurs de ce site, je suis le premier à m'en réjouir. J'ai un peu plus de de mal avec ceux qui occupent l'espace dans le seul but de faire de la quantité, au détriment de la qualité, et qui sont même parfois encouragés...
Merci pour ce récit Luc à bord de cette maxi bétaillère!
Pour le bien de FR et de la rédaction, on est souvent prêt à avoir des comportements assez étonnant lol, ton voisin de dîner en sait quelque chose haha
Une torutuga réussie haut la main, sur un vol de 6h qui est un court long courrier ce n'est pas négligeable.
A bientôt pour la suite.
Merci Benji. Avec "maxi bétaillère" tu as trouvé le nom de baptême du deuxième B77W 6E, après Jules ci-dessus !
Je n'ai pas fait l'excursion culinaire au 56F dans le but de la rédaction de ce FR, mais pour satisfaire ma propre curiosité. Ensuite, si ce genre d'anecdotes contribuent à l'intérêt des lecteurs avec qui j'ai le plaisir à échanger ici, je ne peux que m'en réjouir. A bientôt.
Merci Luc pour ce FR différent de début d'année.
Autant l'appareil vu de l'extérieur autant rien ne fait vraiment envie à l'intérieur.
Les travailleurs indiens ne sont pas très bien traités mais j'imagine que les prix sont plus importants que le confort.
L'interêt est comme souvent dans tes récits dans leur rareté et leur durée de vie brève !
Merci Christophe.
En bonne low-cost, IndiGo met effectivement l'accent sur le prix et je suis content d'en avoir profité car une fois qu'il ont laissé à TK la quote-part qui leur est due pour le CDG-IST dans les 270€ de mon billet, je ne sais pas trop ce qu'il leur reste pour les 6 heures de vol du IST-DEL, repas inclus -tout aussi frugal fût-il-.
Je n'ai pas spécialement noté la présence de travailleurs indiens à bord, si c'est de la clientèle et pas du PNC dont tu veux parler (lol), tel que l'on en trouve notamment entre l'Inde et le Golfe. Les indiens qui étaient à bord avaient plutôt le profil de touristes ou de familles, sans doute issus de la middle-class locale et de la diaspora aux USA, en UK et ailleurs.
A bientôt.
Merci beaucoup Luc pour le partage et bonne année 2025 !
Une très belle prise assurément mais aussi quel sacerdoce de bien vouloir prendre la super bétaillère Indigo. Franchement rien ne fait envie à bord, après le prix est extra donc on ne va pas non plus faire la fine bouche.
A bientôt !
Merci Stephan et meilleurs vœux également. Le mot "sacerdoce" convient bien à la situation, mais je n'en suis plus à ça près depuis 1/2 siècle que j'arpente les couloirs aériens à bord d'avions et de compagnies baroques. J'ai même l'impression d'être encore plus résistant au mal (de l'inconfort) avec le temps qui passe, peut-être une manière inconsciente de me dire qu'il me reste sans doute moins de vols de ce genre à faire que je n'en ai déjà fait... Bons vols en 2025 !
Bonjour Luc.
Un premier FR détonnant pour commencer une année 2025 que je te souhaite bonne et heureuse avec des rafales de ces vols dont tu as le secret.
Vu de dehors et sous les projecteurs, c’est vrai qu’il est bien sympathique ce gros avion. Au pied de l’escabeau on sent que ça va se gâter et une fois à bord, c’est le choc. Je comprends que tu te sois attardé à prendre des photos avant d’entrer. Peut-être un refus inconscient d’embarquer ?
Opportunément, le surclassement sauvage te sauvera du 56F… Je m’imagine le tête de ton voisin du rang 56 avec ton apparition soudaine pendant la distribution du repas suivi de ton éclipse une fois le festin consommé.
Alors là, Chapeau Maestro.
531 êtres humains dans un 777, je ne pensais pas que cela était possible mais ma curiosité m’a poussé à faire des recherches et je suis tombé sur un bijou pouvant embarquer 550 passagers d’un coup en version full éco évidement en ultra haute densité avec ses 61 rangées de sièges fixes sans IFE
Cette merveille assure pour la compagnie turque Southwind Airlines des rotations depuis Antalya vers Moscou et Iekaterinbourg.
Voyager en Russie est un peu délicat en ce moment mais est ce suffisant pour décourager un AVGeek d’accrocher cet oiseau à son flightlog ? Au cas où, voici quelque liens utiles :
https://southwindairlines.com/en/fleet/boeing777-300
https://www.planepictures.net/v3/show_en.php?id=1729342
https://southwindairlines.com/en
Et c’est bien cela qui fait le succès du site, chacun peu y trouver ce qu’il est venu y chercher, la curiosité pouvant ensuite déboucher sur d’autres horizons.
Grande sagesse de ne pas t’être laissé dépasser par ton enthousiasme. Un manque de retenue similaire m’avait voué aux gémonies de contributeurs spécialistes hautement qualifiés.
A bientôt pour la suite de ton aventure que j’attends avec impatience.
Bonjour Michel et merci pour ce commentaire très complet, avec mes meilleurs vœux en retour.
Tu as raison de souligner la version 550Y des B777-300 de Southwind, sans doute très proche de celle d'IndiGo mais sans cloison à l'avant pour y loger 7 sièges de classe J. Ceci étant, il me semble qu'ils sont actuellement tous hors service sans que je sache si cela est temporaire ou définitif. Et dire qu'ils étaient prenables entre l'Allemagne et la Turquie il y a deux ans avant que la compagnie ne soit frappée par l'embargo occidental sur les entreprises ayant des actifs russes dans son capital. Il n'était dès lors possible de les prendre, comme tu l'indiques, en dehors de l'axe Antalya-Moscou/Iekaterinbourg mais je m'interdis la Russie pour l'instant, tout comme l'Iran... en espérant que ça évolue rapidement dans le bon sens.
Pour ce qui concerne la variété des profils et des expériences que l'on peut trouver parmi les contributeurs de ce site, je te renvoie volontiers à mon commentaire à Jules plus haut. Il faudrait quand même mettre un peu d'ordre dans tout ça, faute de quoi ceux qui ont l'impression de donner plus qu'ils reçoivent... eh bien donneront moins... !
A bientôt.
Merci Luke pour cet excellent report et belle année aérienne à toi aussi.
Dire que je ne soupçonnais même pas l’existence de 77W avec cette livrée. Mais grâce à la ténacité et à l’esprit d’aventure de certains membres de ce site, on découvre avec plaisir quelques touches d’originalité dans un monde aérien de plus en plus atone.
Heureusement que cette cabine est calibrée pour des vols de moins de six heures. Sinon, ce serait une vraie gageure que de voyager dans de telles conditions.
Incroyable cette offre de Kiwi.com ! Ça ne se refuse pas surtout avec ce genre de montage.
As-tu été tenté de modifier l’immatriculation TC-LKE pour y rajouter un « U » et personnaliser l’aéronef ?
Vivement la suite.
Bons vols
Merci pour le comm. Pour la monotonie des sujets à laquelle nous sommes confrontés, je te renvoie volontiers à l’intro du FR que je viens de publier sur un vol avec la compagnie Travelcoup.
Ces deux B77W aux pleines couleurs 6E sont effectivement passés assez inaperçus malgré leur singularité certaine car ils ne font que deux lignes bien précises et on ne peut pas dire que IST, DEL et BOM soient les aéroports les mieux couverts par les spotters qui alimentent en photos les sites spécialisés. Et en plus cette paire LKD/LKE nest pas visible à la lumière du jour en Inde. Bref à ce prix là ç’aurait été dommage d’aller la bas sans en profiter même si je t’accorde volontiers que c’est le genre de vol dont on a hâte qu’il se termine ! Pour l’immatriculation tu m’as bien fait rigoler car je n’avais pas fait le lien avec mon pseudo jusqu’à ton message. Bons vols !