Bonjour,
Dernier opus relatif à un voyage 100% avgeek effectué en novembre 2024 en Inde.
L'itinéraire complet ainsi que les références aux FRs déjà publiés se trouvent à la fin de ce récit.
D'autres vols seront "reportés" par Akivi de son côté puisque nous étions partis ensemble afin de partager certaines "cibles" communes.
En ce mercredi matin, c'est en solo que j'arrive à Ahmedabad, dans la partie la plus occidentale du pays (Etat du Gujarat), en provenance de Mumbai à bord d'un A320neo de VISTARA.

Le jour s'est levé depuis peu et j'ai le temps d'aller faire un tour landside afin de prendre l'air et de découvrir les lieux. L'aéroport répond au doux nom de Sardar Vallabhbhai Patel.

Je ne quitterai cependant pas le Terminal 1 d'où part mon prochain vol et en visiterai donc pas le T2 principalement occupé par IndiGo. Bon à savoir dans les aéroports indiens : il y a souvent plusieurs terminaux, parfois assez éloignés les uns des autres, et pas toujours très bien reliés entre eux, bien que le prix des taxis soit dérisoire. Il vaut mieux prévoir large quand on a une correspondance.

A proximité, il y a un grand foodcourt extérieur nommé "South Spice Terminal". Avec un tel nom, je suppose que Chevelan se tiendrait à distance respectable :-)

Toujours landside au T1, je tombe sur ce comptoir de la compagnie "Ventura Air Connect", ou simplement Air Connect, qui assure la desserte de nombreuses localités de la région avec ses Cessna Caravan VT-VAK et VT-VAM. Un plan idéal pour l'avgeek qui aurait plus de temps que je n'en ai eu lors de ce voyage express entamé le lundi à midi à CDG pour prendre fin au même endroit le jeudi soir de la même semaine.

Il y aussi AIR TAXI qui effectue des vols à la demande vers Mundra, et là c'est encore plus extrême car il s'agit de monomoteurs Tecnam P2010 de fabrication italienne, pouvant transporter 3 passagers en plus du pilote, à ne pas confondre avec le P2012 bien plus gros (si l'on peut dire…) et reporté ici : https://flight-report.com/fr/report/65852/alpen-air-xx1615-augsburg-agb-augsburg-agb/ .

Il faudrait donc passer au moins 48 heures ici pour explorer tout ça en détails, mais en ce qui me concerne l'heure du départ du Gujarat approche déjà. C'est avec mon téléphone portable, sur lequel j'ai téléchargé le BP émis lors de l'OLCI, que je peux accéder à la zone des départs après avoir franchi un premier PIF, comme c'est la règle en Inde (ce qui explique que les comptoirs de vente des billets des compagnies soient situés à l'extérieur).

Une fois à l'intérieur des aérogares comme ici, le circuit d'enregistrement est des plus classiques pour ceux qui ont des bagages de soute.

Mon vol part dans moins de trois heures vers Delhi mais j'ai préféré prévoir large.

Je vais donc franchir un deuxième PIF pour accéder à la zone où se situent les quatre portes d'embarquement des vols domestiques, toutes au premier étage.

A AMD, et comme dans tous les aéroports indiens, accéder au wifi ne se fait pas en deux clics. Il faut montrer patte blanche à une borne, récupérer un code et se connecter ensuite pour une durée limitée. Un peu comme à ZRH me direz-vous, aéroport bien compliqué dans ce domaine, ce qui est totalement archaïque de nos jours.

Mais je suis là pour l'exotisme et je ne suis pas au bout de mes surprises en me dirigeant vers "The Lounge", unique salon de la zone, auquel la carte Priority Pass me donne droit.

Comme on peut le voir sur les photos de la séquence ci-dessus, c'est bondé, correctement achalandé en nourriture pour qui n'a pas peur de la cuisine épicée typiquement locale (Mr Chevelan, passez votre chemin :-) !) mais c'est surtout très sale. Je me contenterai de boire de l'eau minérale en veillant à ce que le bouchon n'ait pas été ouvert à l'avance…



Pour résumer, "The Lounge" va concourir pour le "prix citron" parmi la petite centaine de salons que j'aurai visité en 12 mois de validité de ma carte PP, en concurrence avec Fès et Casablanca, mais aussi d'un salon indien horrible visité le lendemain à BOM avant de prendre le B787-9 de Vistara vers CDG (qui sera "reporté par Akivi) : le "Loyalty Lounge" au T2, en zone internationale (ce qui est encore plus surprenant qu'ici en "province" en zone domestique…)

Faute d'agapes (pour être honnête, le pdj servi au petit matin à bord du 320 Vistara me suffisait) et de divertissements dans ce salon bien ringard, je surferai un bon moment sur le web en faisant ces deux captures d'écran de flightradar24 qui indiquaient que ce jour là, le trafic commercial était interrompu durant plus de trois heures en pleine journée. J'en ignore la raison.


Fort heureusement mon vol ne subira pas de retard (ce serait fâcheux vu l'enchaînement avec d'autres vols qui est prévu pour l'après-midi et la soirée) et je ressors du salon un peu moins d'une heure avant son départ.


Mon avion arrive dans les instants suivants à son poste de stationnement.

L'embarquement est lancé à 25 minutes du départ.

Instant "ce que vous voulez" mais on décèle déjà à travers le hublot que ça sent bon l'Air India des années 90…

C'est confirmé dès le premier pas à bord, avec ce siège PNC aux couleurs historiques des cabines AI.

Même impression en traversant la cabine J, qui a sans doute dû s'appeler "First Class" à ses débuts.

J'atteins rapidement le rang 5 qui m'est destiné…

… et plus précisément le siège 5F (le siège en photo est le 5E) que j'avais pu choisir dès l'achat du billet grâce à un tarif modifiable, plus élevé d'une dizaine d'€ que le prix plancher, sage précaution en cas de rerouting même si je n'ai pas eu besoin d'actionner cette possibilité.

Toujours au 5E qui jouxte mon 5F, on notera que la propreté de l'assise est toute relative, fidèle à la réputation de la compagnie.

Le pitch est assez serré et les pochettes en tissu font un peu la gueule, mais que voulez-vous, si on veut des cabines impeccables il faut aller voir ailleurs…

Voilà ce que sera mon champ de vision depuis ce siège, avec les fameux rectangles "style écrans IFE" en trompe l'œil sur la paroi séparant la cabine Y des deux rangs de la J. La seule image que l'on peut y voir est cette pub assez abstraite sur AI, et elle est bien entendu imprimée car aucun écran ne se cache dessous :-). J'avais eu droit à exactement la même chose la veille sur un A321ceo d'AI entre DEL et BOM.

Alors que le push-back et le roulage se sont déroulés sans problème et dans les délais conformes à l'horaire, nous décollons déjà, ce qui est enfin l'occasion de parler du type d'appareil à bord duquel je me trouve : un A319, immatriculé VT-SCM. Prendre un A319 AI faisait absolument partie de mes "cibles" pour ce voyage, au même titre que le B777 IndiGo et que le trio A320/A321/B787 Vistara, pour les raisons qui motivent 99% de mes choix d'avgeek en balade : la rareté et/ou la faible durée de vie restante du sujet. C'est totalement le cas pour l'A319 chez Air India : à mesure que les A320neo arrivent, ils sont retirés de la flotte et n'auront pas de remplaçant dans la gamme A319, dont la version neo n'intéresse quasiment aucune compagnie. En novembre 2024, il ne restait donc plus que six A319 en activité chez Air India, dont celui-ci. Au moment où ces lignes sont écrites, un peu plus de deux mois après, très peu de vols AI demeurent programmés en A319 et quatre avions seulement sont exploités simultanément.

Tout laisse donc à penser que ces consignes de sécurité seront bientôt "collector" et qu'il n'en existera jamais (pour ce qui concerne l'A319) aux nouvelles couleurs d'Air India.


Le décollage se poursuit avec une vue complète sur le tarmac et sur le bâtiment principal correspondant au terminal 2, IndiGo et Akasa Air étant au roulage ou au parking.

Après avoir survolé le fleuve "Sabarmati" on peut apercevoir le stade Narendra Modi, à la gloire de l'ancien Ministre en Chef du Gujurat, devenu 1er ministre de l'Inde en 2014 et toujours en poste 10 ans plus tard. Il s'agit tout simplement du plus grand stade du monde avec ses 132.000 places ! Pour la petite histoire, la capacité du célèbre Maracanã de Rio de Janeiro est passée au fil des rénovations de ses 200.000 places initiales (et même 220.000 selon les sources) dans les années 1950 à seulement 75.000 de nos jours. Au Narenda Modi Stadium on joue bien évidemment au cricket, pas au football…

Un peu de lecture à présent avec le magazine de bord "NAMASTE.ai" qui a succédé au "SWAGAT" que les anciens dont je fais partie ont connu dans leur jeunesse. En effet, même si je n'avais jamais été en Inde hormis un furtif transit à BOM entre MK et KU il y a une dizaine d'années, j'avais eu la chance de prendre Air India sur deux "5é libertés" intra-européennes au siècle précédent : un GVA-FCO en B747 en 1980 et un CDG-LHR en A310 en 1995.

A l'intérieur, deux pages sont consacrées à l'ambitieux plan de transformation quinquennal "Vihaan.AI", supposé faire d'Air India une compagnie de "classe mondiale" à l'échéance de 2027.

Inutile de dire qu'il y a du boulot, même si la compagnie peut déjà s'enorgueillir de certains succès au bout de deux ans, notamment grâce à l'arrivée des avions nouveaux tels que l'A350 ou les A320/321neo.

Mais un élément nouveau, et pas des moindres, est venu s'ajouter au calendrier : l'intégration de VISTARA, réputée pour sa qualité de service bien plus aboutie que celle d'AIR INDIA, ce qui est mis en avant avec le passage au 12 novembre, 6 jours après ce vol, aux opérations combinées sous le seul code AI : "si vous êtes sur un vol AI série 2000, ne vous inquiétez pas, ce n'est pas le produit Air India mais celui de Vistara que vous continuerez d'avoir"…

Curieuse façon de dire que l'on conserve une seule marque tout en rassurant les gens sur le fait que les valeurs de celle qui disparaît demeurent. On ne peut effectivement que souhaiter à Air India de s'aligner sur Vistara, tant en termes de cabines (sièges, IFE, propreté, etc.) que de service (attitude du personnel, ponctualité, etc.) et ceci au delà des vols AI série 2000…

Entre temps les prestations arrivent. J'ai le "petit déjeuner végétarien" conformément à ma commande faite au moment de la résa, puisque là encore le tarif le permettait. A noter qu'aucune boisson chaude n'a été proposée.

Le plateau comprend : yaourt à la mangue, pain sous cellophane et beurre, petites dragées acidulées (menthe), bouteille d'eau 20cl et une cassolette dont 50% de la surface est occupée par un nan et le reste par une autre cassolette chaude contenant un bouguiboulga dont je me contenterai d'une dégustation… visuelle comme l'aurait sans doute fait Chevelan :-).

Une fois tous ces apparaux retirés on peut contempler la nappe en papier posée sur le plateau. On retrouve la dérive "ensoleillée" qui ornait la dernière version des couleurs des avions d'INDIAN AIRLINES avant son absorption par AIR INDIA en 2011.

Ces agapes terminées, place au divertissement. Comme on a pu le voir plus haut, les écrans fixés sur les parois du premier rang de l'éco (et de la business aussi par ailleurs) sont des fakes. En revanche, il existe bien un IFE en streaming, dénommé VISTA, auquel chacun peut se connecter avec son téléphone mobile ou sa tablette.

Je n'en ai pas fait l'expérience, tout comme je n'ai pas visité les toilettes de cet avion, car la fatigue commence quand même à se faire sentir après 48 heures de voyage nonstop en grattant quelques heures de sommeil seulement par-ci par-là dans les avions et les salons. Je pique donc un petit somme avant d'être réveillé par les annonces relatives à l'arrivée.

La région de Delhi est en alerte pollution sévère et ce début novembre mais il y a quand même une visibilité correcte lors de l'approche.

On se pose après un vol d'une heure et vingt minutes.

Troisième et dernier atterrissage à DEL en ce qui me concerne pour ce voyage. Le roulage sera assez bref.

Air India et son A319 bientôt destiné au rebus auront donc bien fait le job.

Nous atteignons notre point de stationnement, au contact, avec quelques minutes d'avance, juste après midi.

Je laisse la plupart des pax débarquer afin de prendre quelques photos supplémentaires de la cabine…

… et de ses fameux sièges à la sellerie totalement "vintage" qui ne me dépaysent pas trop par rapport à l'Air India que j'avais connue en gros porteur au siècle précédent !


La livrée extérieure et ses hublots dont l'encadrement est décoré de manière si originale apportent cette touche de charme très particulière.

Il est temps de rejoindre l'intérieur du Terminal 3 de DEL.

Le circuit des arrivées domestiques est rapide, pour aboutir dans le même hall mais côté opposé à celui des arrivées internationales.

En tous cas, ça semble être un aéroport vraiment au dessus des standards, si l'on en juge par la distinction qu'il reçoit régulièrement depuis 6 ans.

C'est ainsi que prend fin ce récit, le dernier pour ma part de ce voyage en Inde même s'il me rester à cet instant encore trois vols à effectuer dans les 24 heures à venir. Je laisse à Akivi le soin de raconter la partie le concernant, dont deux vols faits en commun et notamment la très bonne expérience que fût le BOM-CDG du retour le lendemain après-midi dans un B787-9 de VISTARA quasiment vide !
Voici le résumé des 10 vols effectués, dont 9 "nouvelles entrées" indiennes pour mon flightlog :
Enchainement de vols
- 1TK1822 - Economique - Paris CDG > Istanbul - Boeing 787-9
- 2
- 3AI665 - Economique - Delhi > Mumbai - Airbus A321ceo
- 4QP1127 - Economique - Mumbai > Delhi - Boeing 737MAX-8-200 ("reporté" par Akivi)
- 5
- 6UK931 - Economique - Mumbai > Ahmedabad - Airbus A320neo
- 7AI482 - Economqiue - Ahmedabad > Delhi - Airbus A319
- 8AI537 - Economique - Delhi > Chennai - Boeing 777-300ER
- 96E6225 - Economique - Chennai > Mumbai - Airbus A321neo
- 10UK23 - Economique - Mumbai > Paris CDG - Boeing 787-9 ("reporté" par Akivi)
Merci pour votre attention.
Je ne savais pas que l’A319 était un avion rare chez AI.
T’as eu l’expérience vintage avec cette livrée et cette cabine.
J’aime bien la phase 1: “Fix the basics”. Au moins ils reconnaissent qu'ils partent de loin 😂
Merci pour ce Fr
Merci à toi d’avoir commenté. On est d’accord sur les « marges de progression » qui sont devant l’ambitieux projet de Tata avec AI et UK réunies.
Concernant l’A319, il en va pour AI comme pour de très nombreux compagnies. La version ceo n’étant plus en production alors que la version neo n’est visiblement pas une solution, cet avion va inéluctablement disparaître des flottes des majors et AI s’est déjà séparée de la majorité des avions de ce type. A bientôt
Merci Luc pour ce 3ème et, déjà, dernier opus reporté de ce routing !
Je ne connaissais même pas l'existence d'Air Connect (à ne pas confondre avec son homonyme roumaine, que nous avions déjà loggée) et d'Air Taxi, malgré les nombreuses recherches ayant abouti à nos routings respectifs. Il y a clairement de quoi retourner quelques jours dans le coin :)
Prix citron pour "The Lounge", ça peut paraître sévère quand on voit la quantité de nourriture y compris de plats chauds ! Mais c'est vrai que la saleté ne donne pas trop envie d'y toucher…
J'adore ces cabines colorées d'Air India ! Et le tissu fait très bonne impression, à condition bien sûr de ne pas être tâché :)
J'ai ri, je n'avais jamais vu ça !
Je confirme la montée en gamme concernant le 350 !
Et bravo pour cette très belle prise, je t'aurais volontiers suivi si j'avais eu plus de temps. Il faudra quand même que je prenne un monocouloir AI lors de mon prochain passage dans le coin, même si ça sera probablement autre chose qu'un A319 !
A bientôt !
Hé oui mon cher Guillaume, il faudrait peut-être que nous envisagions de retourner en Inde tant que notre visa émis à l’automne dernier nous le permet. Pour les vols aller et retour je verrais bien indigo dans les deux sens : un en B737Max affrété à QR et l’autre en B787-9 loué à Norse si pour autant leur livrée diffère de ceux que nous avions pris sur LGW-OSL il y a deux ans (en d’autres termes s’ils leur mettent des titres et un logo 6E). Quant aux vols domestiques le choix demeure vaste et ce n’est pas en 3 jours que nous pourrons tout prendre… mais cette première escapade est un bon début. A bientôt
Hello Luc
Pour ceux qui ne savaient pas que je suis allergique aux piments et à ses dérivés, ils le sont désormais !😄
Ton récit ne manque pas de sel...😉
Certains salons en Inde sont repoussant, je me rappel celui de Jaipur encore pire que celui présenté dans ton FR. Plutôt que de décerner le prix citron, je suggère le prix serpillère ou Mr.Propre !
Le carton en guise d'écran dans les avions AI m'avait bien fait rire.
On aimerait trouver un business class identique en Europe, mais un peu mieux entretenu.
Derrière ce n'est pas mieux au niveau de la netteté, le pitch n'est pas si mal que ça, du moins pour les - de 1,75 m
Un avion qui se fait rare chez la Major Indienne, celui-ci est dans son jus.
J'espère que tu as récupéré la carte de sécurité...
Le catering distribué tient la route, mis à part les plats très relevés, ( mon cas est désespéré, mais ce n'est pas une raison pour dire que c'est dégueulasse ), ferait bien de donner des idées à nos chères compagnies Européennes mais aussi américaines.
48 heures non stop sans dormir, n'est plus de mon age😱
DEL est un bel aéroport, mais je pense que BOM est mieux.
Merci l'ami pour ce dernier épisode de ta série indienne, et à tous clins d'oeil à mon endroit, à bientôt pour de nouvelles aventures.
C’est moi qui te remercie pour ce commentaire fort pertinent et pour ton sens de l’humour (sans lequel je ne me permettrais pas ces clins d’œil !). On est bien d’accord, le fait que le contenu du catering indien ne soit pas du goût de la minorité que nous sommes n’enlève rien au mérite d’Air India qui perpétue la tradition de servir un repas aux passagers. C’était comme tu l’indiques le cas de tout vol intra européen ou américain par le passé mais on en est bien loin désormais… Bons vols !
Il est vrai que les terminaux sont très mal interconnectés en Inde. Il faut prévoir large pour les connexions ; on ne sait jamais.
Les IFE en trompe l'oeil m'ont fait bien rire. Quand j'ai vu ça en vrai, je me suis posé des questions. Surement que cela coutait moins cher que de les enlever complètement...
Merci pour ce FR !
A+
Merci pour ce commentaire !
Merci Luc pour ce dernier opus sur la virée en Inde.
Avec la pollution en inde, je ne suis pas certaine que ce soit bon pour la santé.
Voilà de l’ultra exotique.
Nous sommes surement 99,9% des utilisateurs FRistes de cet aéroport à avoir un abonnement 5G de qualité nous permettant de nous dispenser de Wifi à ZRH.^^
Pour un salon d’aéroport c’est intolérable.
> l'Air India des années 90…
Ce qui est génial, car cela va finir par disparaitre.
J’aime la page sur le plan de transformation pour 2027, on ne peut que leur souhaiter.
L’époque « Casimir ».
Jamais je n’y parviendrais (et je n’en ai surtout pas envie, j’apprécie trop un lit).
Un bon vol en A319, avion qui va de moins en moins être courant.
A bientôt
Merci Valérie pour ce commentaire très complet.
Moi qui serais bien incapable d’associer un prénom et un nom à plus de 15 pseudos des contributeurs de ce site, j’admire ta connaissance de « 99,9% des utilisateurs FRistes de ZRH», jusqu’aux détails de leur abonnement téléphonique (attention au RGPD quand même 😂) ! Faisant partie du 0,01% restant, j’ai effectivement besoin du wifi dans les aéroports, car mon forfait Bouygues à 2€/mois pour 2Go exploserait vite sans ça. Vu ce que l’on paye tous en taxes et redevances diverses aux aéroports, je considère qu’un accès gratuit et illimité au wifi est un minimum de nos jours. Ce n’est hélas pas le cas en Inde pour des raisons de restrictions des libertés publiques, ni à ZRH pour de simples questions financières,
À bientôt.
Quand on affiche de "devenir une compagnie de classe mondiale en 3 ans", c'est qu'on part de bien bas. 😄
Mention spéciale pour les faux écrans d'IFE, on se croirait dans une maquette exposée dans un salon aéronautique !
Merci pour le partage !
Merci pour ton commentaire. Le plan de transformation d’AI a en effet le mérite de l’humilité quant à son point de départ, situé plutôt en bas de l’échelle, même si le vol ici « reporté » avait la touche « vintage » qui va bien sans présenter pour autant trop de désagréments sur le plan de la qualité en général. Le respect de l’horaire est déjà en soi un gage essentiel de satisfaction du client, même si ce site ne le reconnaît plus depuis longtemps dans son barème de notation.
Comme d’autres commentateurs l’ont souligné plus haut, ces écrans « fake » sont plutôt rigolos, mais du moment que de l’IFE est proposé en streaming, et pas que pour les pax du premier rang, l’honneur d’AI est sauf…
Bons vols !