Avis du vol entre Paris et Seoul en classe Affaires avec Air France

Bonjour à toutes et tous, je vous retrouve aujourd’hui pour continuer mon voyage vers la Corée du Sud, voyage qui mélangera tourisme et business. 

Voici un petit rappel du routing :

Correspondance à CDG

Nous nous étions laissés au débarquement du vol en provenance de Lyon. 
Sur le chemin, on peut apercevoir quelques LC AF

Je suis alors le parcours de correspondance et arrive devant le FIDS : mon vol partira de la porte L34… mais cela ne m’empêchera pas de partir du côté du hall K avant de me rendre compte de mon erreur

Arrivée au PAF où je suis mal guidé dans un premier temps : en effet, on me dirige vers les passeports étrangers alors que je suis éligible PARAFE et ayant droit à l’accès N°1

Un peu d’attente à la PAF

Une fois l’obstacle franchi, je me dirige vers le salon en traversant le temple de la consommation.

J’entre pour la 2ème fois au salon du hall L : j’avoue que je préférais l’entrée initiale, que ce couloir qui ressemble presque à un couloir d’hôpital. 

L’accueil est cordial, et je trouve une place entre l’espace boissons et le buffet principal 

Ma première sélection 

Puis je « tombe » sur un Margaux qui accompagnera les lentilles et la saucisse de Toulouse

Embarquement et installation à bord

À 13 heures, je décide de mettre le cap vers la porte qui se situe au bout de la jetée. 
Une dernière photo avant de quitter le salon

En passant par l’ancienne entrée, que je trouvais bien plus élégante 

En arrivant en porte, je tire le portrait d’ « Aix en Provence » (F-HUVA) qui m’emmènera à Séoul 

Je viens également saluer le chat, qui ne doit pas avoir froid tant le soleil tape sur les vitres du terminal. 
Cela ne semble cependant pas le gêner pour faire sa sieste 

Après quelques minutes d’attente en passerelle, les fauves sont lâchés. 
Il n’y pas d’indication claire entre la passerelle dédiée à la J, et la passerelle connectée en porte 2L.

Instant PS et P

Fuselage shot obstrué par la passerelle connectée en 2L

Et instant P

L’accueil est cordial, la PNC demandera à voir mon BP complètement pour vérifier la destination.
Je m’installe alors en 2L : on notera quelques signes d’usure au niveau de la porte : l’appareil n’ayant qu’un an, c’est relativement inquiétant

L’écran de l’IFE avec ses reflets, et le pas qui est, bien évidement, plus que correct 

Le casque ainsi que la bouteille d’eau sont à poste dans le rangement 

Une boisson d’accueil est proposée : à la santé de tous les FRistes 

Je découvre alors le menu, sachant que j’avais réservé les crevettes en amont

Repoussage, puis mise en route et diffusion des consignes de sécurité 

La trousse de confort sera distribuée, sans choix de la couleur.
Un oshibori sera également proposé par l’équipage : il est vrai qu’un service sur réglette serait plus agréable (d’autant plus si l’oshibori est un peu trop chaud…)

Sur le trajet, nous verrons quelques empennages AF

Mais également cet appareil israélien que je ne parviendrai pas à identifier 

Un B777 d’Air Austral avec une livrée sympa sur l’empennage 

Un B787 d’Air India dans son ancienne livrée 

Et au loin, un mérou d’Emirates (avec la nouvelle livrée) qui repousse tandis qu’un A350 d’Ethiopian est au parking

Mais tous ces oiseaux ne peuvent pas rivaliser face à l’oiseau blanc 

Croisière

Une fois la montée initiale effectuée, les PNC viennent prendre les commandes pour le repas et distribuent l’amuse bouche. 

J’arrose cette « Crème de potiron aux notes d’agrumes, fromage de chèvre et éclat de châtaignes » avec un jus de pomme : je n’aurai peut-être pas dû, étant donné que la PNC ne me proposera plus jamais autre chose. 
La PNC ne semblait également pas très à l’aise avec le menu, en effet, l’annonce des plats était approximative 

Nous sommes donc ici lorsque l’amuse bouche arrive

Ensuite arrive l’entrée, qui s’est avérée être très bonne. 
À noter que l’entrée est servie 1 heure après la mise en bouche 

Viennent ensuite les « Crevettes sautées, sauce butternut relevée et risotto de fregola » alors que nous sommes au large de l’Ukraine 
La présentation du plat est moyenne, tout comme le goût

Et enfin, après 3 heures de vol, arrive le dessert avec ce « Délice croustillant façon Tatin » qui était réussi. 

Avec un décollage à 14h30, et donc un repas qui se termine à 17h30 heure française, la « nuit » à bord est bien amputée mais le vol paraît moins long. 

Avec 8h30 de vol restantes lorsque le dessert est débarrassé, je m’allonge rapidement et tente de trouver le sommeil sachant que je serai réveillé pour le petit-déjeuner 1h30 environ avant l’atterrissage. 

Il fera relativement chaud en cabine, et la couverture sera superflue. 
Au niveau du siège, je le trouve plus « dur » que ceux des 777-300ER en version 4P et la boîte à pied est vraiment étroite. 
Cependant, la porte apporte un réel plus surtout que le côté « privacy » est préservé même porte ouverte

Comme prévu, alors que nous survolons Pékin, le petit-déjeuner est servi. 
J’ai choisi l’option avec l’assiette froide qui s’avèrera un bon choix.

Il me semble que nous survolons Pékin, mais n’ayant jamais visité cette ville (pour l’instant), je ne pourrai confirmer 

Arrivée à Séoul ICN

Nous nous posons sans encombre et pouvons profiter de la faune locale avec deux spécimens de mérou 

Un B777 de Korean Air 

KE semble bien être à domicile ici

Nous débarquons rapidement de la porte 1L, tandis qu’une passerelle est connectée en porte 2L

La Corée du Sud nous souhaite la bienvenue. 

Je tire une nouvelle fois le portrait d’ « Aix en Provence » qui a bien travaillé aujourd’hui et qui s’envolera vers Paris dans quelques heures

J’arrive en 3ème position à la PAF mais me fait refouler : en effet, je n’ai pas rempli la carte d’arrivée. 
Des exemplaires vierges sont à disposition mais il me faudra refaire un peu la queue. 

Certains pax arrivent avec la carte déjà remplie, peut-être qu’une distribution a été faite à bord ? 

Une fois la valise récupérée (avec des priorités plus ou moins respectées), je me dirige vers la sortie

Et suis les instructions pour prendre l’AREX 

Deux choix s’offrent au voyageur : soit des trains omnibus, sans réservation, soit des trains express avec réservation et place attitrée. 
Je choisis la 2ème option, n’ayant pas vu le distributeur automatique qui délivrait les billets sans réservation. 

Il me faudra donc attendre le train de 11h20, sachant qu’il n’est pas possible de descendre sur le quai avant 10h50. 

Je prends connaissance de cette carte qui explique la marche à suivre pour faire correspondance avec le métro. 

Soit il me manquait beaucoup de sommeil, soit je n’ai pas compris mais je n’arriverai pas à acheter un « One way ticket » à la sortie. 
Il me faudra changer de côté de la station pour y parvenir. 

Mais cela me permettra de faire ma première photo coréenne :)