Deuxième FR, un vol AUH-NRT à la suite du vol CDG-AUH ( ICI ) qui était le premier tronçon du voyage qui m'amène à Tokyo. Comme pour le premier je n'ai à vous proposer que quelques photos de qualité médiocre (iphone). Pardonnez m'en, je me rattraperai avec les photos des vols retour, plus nombreuses et de meilleure qualité.
Pas de visite au salon: je ne disposais que de peu de temps entre les deux vols, et ai perdu quelques 20 minutes à déambuler dans l'aéroport d'Abu Dhabi, cherchant mon chemin dans un état second (dû à un état de fatigue avancé) alors que personne ne m'attendait à la sortie du premier vol pour me guider (ces chameliers n'ont décidément aucun savoir vivre ;) et que j'avais perdu du temps au PIF (un seul poste ouvert devant lequel s'agglutine une file inattendue à cette heure tardive) .
J'ai donc embarqué in extremis au moment du final call…
J'aime bien ce siège 2K que je conserverai tout au long de mon périple, à l'aller comme au retour.
Aperçu de la cabine, identique dans sa présentation à celle de l'A330-300 mais plus vaste puisque cette cabine comporte douze sièges (contre 8 dans la version A330-300), toujours en configuration 1-2-1. Comme lors du vol précédent, nous ne sommes pas nombreux (4 passagers, soit un tiers de la capacité de cette cabine), et comme lors du vol précédent on me remet la même trousse de toilette (je vais pouvoir monter une boutique ebay de revente de trousses de toilettes ethnico-éthiques…) et le même pyjama informe (mais confortable).
Pitch convenable, pour verser dans l'euphémisme:
Passablement fatigué et d'humeur peu badine (je n'ai pas pu profiter du salon d'Abu Dhabi et ai couru pour avoir mon avion), je demande à être servi rapidement après le décollage d'un filet de bœuf et de frites (j'ai trouvé ça vraiment sympa d'avoir des frites en vol, c'est la première fois que je m'en vois proposer!) avant de sombrer dans un sommeil cette fois réparateur.
La carte est semblable à celle du vol précédent, avec quelques variantes (et notamment une offre de cuisine nipponne), tandis que la carte des vins est hélas strictement identique:
Table dressée
Steak-frites, béarnaise, une certaine idée de la gastronomie (au moins cette fois le plat était à la mesure des vins: basique…), accompagné de ce même sympathique petit Rosso di Montalcino dont je m'étais abondamment abreuvé lors du vol précédent.
Et zou, au lit (le steward était dépité que je décline sa proposition de faire mon lit pour me coucher sans façons à même le siège, comme un vulgaire passager de classe affaires, mais ça me cassait les pieds d'attendre qu'il fasse mon lit alors que je voulais me coucher tout de suite. Et puis il faut savoir vivre simplement ;)
A mon réveil, petit-déjeuner simple mais bon
Puis commence le survol du Japon alors que la descente est amorcée
Atterrissage à l'heure prévue, roulage et stationnement rapides.
Après avoir consacré aux civilités d'usages (Au revoir m'sieurs-dames, bonjour chez vous, mais c'est moi que je vous remercie etc.) le débarquement s'effectue rapidement, la PAF n'est qu'une formalité rapidement expédiée et me voilà dans le train pour Shinagawa.
Navré pour l'aspect un peu survolé de ce FR, je suis encore en période de rodage sur flight-report.Les prochains FR seront les bons: plus complets, plus détaillés, mieux illustrés!
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Verdict
Etihad Airways
7.9/10
Cabine10.0
Equipage10.0
Divertissements5.0
Restauration6.5
Abu Dhabi - AUH
6.5/10
Fluidité5.0
Accès9.0
Services3.0
Propreté9.0
Tokyo - NRT
9.8/10
Fluidité9.0
Accès10.0
Services10.0
Propreté10.0
Conclusion
Comme lors du vol précédent, je ne peux que louer le confort de cette belle cabine, le service impeccable des PNC, et déplorer la carte des vins, la qualité plutôt quelconque du steak-frites alla'Flunch, et l'inexistence du service au sol, à Abu-Dhabi comme à Narita (pas de services limousine au Japon hélas, ce qui me permettra en revanche de rejoindre Shinagawa plus rapidement que si j'avais dû le faire en voiture). J'ai par contre parfaitement dormi (même sans draps ni surmatelas), et suis arrivé à destination frais comme une rose.
Un bon vol dans l'ensemble, mais je crois que je n'étais pas vraiment en condition de savourer et que mon humeur maussade et mon état de fatigue ont eu raison des attentions du PNC comme de la qualité du service dont j'ai à peine profité, préférant me laisser tomber dans les bras de Morphée. l'IFE que j'ai essayé à mon réveil m'a passablement irrité: télécommande (différente de celle du premier vol) peu ergonomique, boutons sur lesquels il fallait appuyer à plusieurs reprises avec force, latence de chargement...
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Le steak frite d'EY a déjà donné lieu à débat, je n'y reviens pas. Par contre, je serai curieux de savoir pourquoi vous l'avez choisi entre autres plats sur cette carte ?
En fait j'étais assez claqué et ma seule hâte était de me coucher rapidement. J'ai donc opté pour quelque chose de simple et rapide. Et j'avoue que l'idée délicieusement saugrenue de dîner d'un steak-frites en première m'amusait...
Ah mais il n'y-a aucun problème avec le fait de proposer cela. Je ne peux en revanche m'empêcher de relever la qualité plutôt quelconque du plat, voilà tout.
En tout cas, vous ne vous étoufferez pas avec cet quantité de frites^^ ! Je me demande bien comment ils font pour la cuisson ? Des frites McCain 1,2,3 au four^^ peut-être, ahah... Merci ;)
Le fait est que ça n'est pas avec leurs frites qu'ils se sont montrés le plus généreux. Elles étaient très correctes cela étant, bien plus que ne l'était le faux-filet (j'ai essayé au retour le filet, qui était nettement plus tendre et savoureux).
Merci de ce FR. La cabine est en effet toujours aussi agréable mais on sent la fatigue en plus quand le transfert se fait dans l'urgence ... Au risque de me répéter ( ou de radoter diront certains ;-)) les compagnies du golfe ont comme inconvénient majeur de rallonger et de couper les vols ce qui nuit au repos et à la fraicheur à l'arrivée. Le repas est en effet peu digne d'une P même si la comparaison avec Flunch est un peu osée . En même temps il y avait un vrai choix de mets.
J'imagine le steward dépité que tu ne veuille pas du lit fait par ses soins : j'aurais patienté les 3 minutes qu'il faut pour mieux dormir.
L'Iphone était aussi fatigué que son propriétaire ;) Pensez à privilégier les cadrages horizontaux (paysage) qui s'intègrent mieux au site. Aperçu de la cabine, identique dans sa présentation à celle de l'A330-300 (...) contre 8 dans la version A330-300 : il y a une coquille quelque part dans les types d'appareil. Merci pour ce deuxième opus !
Pas de coquille, éventuellement un manque de clarté dans ma tournure. Je voulais dire par là que la cabine de l'A340 est identique à celle de l'A330, mais plus vaste que sur A330 puisque l'A340 compte douze suites contre huit sur l'A330. J'espère que c'est plus clair ;)
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18 Commentaires
Le transfert s'est plutôt mal passé en grande partie à cause d'un service au sol inexistant
je me demande si Flunch© n'a pas été mandaté par Etihad pour aider à l'élaboration de la carte grill).
Cela faciliterait l'aménagement du salon First qui pourrait être alors une cafétéria/ un Mac DO lol
Carte des vins toujours aussi peu enthousiasmante mais on laissera le bénéfice du doute au menu japonais
Au moins vous avez pu vous reposer pendant le vol
A bientôt
J'ai en effet dormi comme un loir, grâce à la qualité et aux généreuses dimensions de cet excellent fauteuil-lit.
Quant au Kaiseki, je l'ai essayé au retour (dont je suis précisément en train de rédiger le rapport de vol)et il est vraiment délicieux!
Le steak frite d'EY a déjà donné lieu à débat, je n'y reviens pas. Par contre, je serai curieux de savoir pourquoi vous l'avez choisi entre autres plats sur cette carte ?
En fait j'étais assez claqué et ma seule hâte était de me coucher rapidement. J'ai donc opté pour quelque chose de simple et rapide. Et j'avoue que l'idée délicieusement saugrenue de dîner d'un steak-frites en première m'amusait...
Merci ;)
La cabine est en effet toujours aussi agréable mais on sent la fatigue en plus quand le transfert se fait dans l'urgence ...
Au risque de me répéter ( ou de radoter diront certains ;-)) les compagnies du golfe ont comme inconvénient majeur de rallonger et de couper les vols ce qui nuit au repos et à la fraicheur à l'arrivée.
Le repas est en effet peu digne d'une P même si la comparaison avec Flunch est un peu osée . En même temps il y avait un vrai choix de mets.
J'imagine le steward dépité que tu ne veuille pas du lit fait par ses soins : j'aurais patienté les 3 minutes qu'il faut pour mieux dormir.
C'est une blague le petit dej ? Un simple pain au chocolat ça fait un peu light !
Aperçu de la cabine, identique dans sa présentation à celle de l'A330-300 (...) contre 8 dans la version A330-300 : il y a une coquille quelque part dans les types d'appareil.
Merci pour ce deuxième opus !
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