Avis du vol entre Paris et Dublin en classe Economique avec Transavia

Bonjour,
Voici le compte-rendu d'un vol effectué par Transavia à l'occasion d'un week-end prolongé à Dublin.
Choix de cette compagnie guidé pour des raisons pratiques et économiques :
Pratique, je réside en Essonne nord, cela facilite l'accès à Orly plutôt qu'à Roissy-CDG.
Économique, car l'aller-retour m'est facturé 165€ pour 2 passagers… Prix très raisonnable. Sans bagages en soute, inutiles pour un séjour de 3 nuits.
Je réserve par internet une place au parking week-end P6 sur le site Aéroport de Paris, facturé 49€ pour ces 4 jours. A peine plus cher que les billets RER + Navette OrlyVal…
Le parking P6 est très proche du terminal sud. La liaison s'effectue donc à pieds, en 5 minutes, par une allée couverte pour palier à toute intempérie. J'apprécie l'absence d'attente des navettes bus des autres parkings.

J'effectue le trajet en voiture, entre la porte de mon domicile et la porte du terminal sud, en 25 minutes chrono. Pas mal pour un vendredi soir !

Le fameux bureau de Poste d'Orly-sud dont la taille s'est réduite comme peau de chagrin au fil des années.

L'emballage des valises pour les angoissés.

Le comptoir Aigle Azur et l'enregistrement du vol pour Bamako avec ses bagages hétéroclites.

L'incontournable restaurant américain du terminal qui a l'avantage d'offrir une agréable terrasse avec vue sur les pistes.

Les cartes d'enregistrement ont été imprimées à domicile. Direction le hall d'embarquement avec un passage préalable par la Police aux frontières car l'Irlande n'est pas en zone dite Schengen.
Zéro attente… A peine plus pour le contrôle de sécurité corporel et bagages. Agents de sécurité aimables, souriants et détendus; Ce qui me semble devenu la norme aux aéroports parisiens.

On passe en zone airside.
Une vue originale gâchée par les adhésifs sur les vitres.

Le vol semble ponctuel. Je me méfie toujours après de sévères déconvenues par le passé…

Jolie galerie marchande duty-free, du moins pour les passagers extra européens, pour la joie de Madame qui lorgne sur les sacs à main et moi, sur les montres.

L'entrée du Salon Icare pour les voyageurs fréquents ou classe affaires. Je n'ai pas l'outrecuidance de sonner à la porte !

Ce Boeing 747-400 Corsair, immatriculé F-HSUN, termine son avitaillement avant un long périple vers La Réunion.

Embarquement vers notre Boeing, immatriculé F-GZHJ, agé d'un peu plus de 2 ans.
Bien que l'avion soit stationné à une porte, nous embarquons tous par la porte arrière après un passage par le tarmac. Y a t'il un problème technique sur la porte ou la passerelle ? A titre personnel, je préfère largement palper cette ambiance aéroportuaire.

Le 747 repousse quelques secondes avant nous.

18h41, notre appareil s'ébranle et grille la politesse au Corsair pour se diriger vers la piste 08.

Les démonstrations de sécurités sont réalisées à l'ancienne.
Pour les curieux : 737-800 Jetairfly pour Casablanca, 777-300 pour les DOM et un bout du De Havilland Dash 8-Q400 Flybe pour Southampton.

Passage devant mon parc préféré de la Coulée verte à Paray-Vieille-Poste.

Décollage sous une belle lumière crépusculaire suivi d'une vue aux petits oignons sur notre point de départ.

Voici la route utilisée avec un début de vol plein nord.

Vue magique sur l'est de Paris avec notamment les bibliothèque François Mitterrand, Gare de Lyon, Place de la Nation, Cimetière du Père Lachaise et Bois de Vincennes.

Le Bourget.

L'aéroport de Paris-Roissy-Charles de Gaulle. Décidément c'est un festival de jolies vues…

La traversée de la Manche se précise aux environs de Boulogne-sur-Mer.

La cabine est dotée d'un éclairage sophistiqué appelé Mood Lightning qui permet des changements de couleur.
Fauteuils en cuir bleu sur cet appareil; plus sobre que les autres cabines vert grenouille.

La place est correcte pour ma taille de 1,87m.

Pas de déploiement d'écrans vidéo, ni de fonctionnement de la commande de canaux musicaux dans l'accoudoir.

Le magazine de bord est plutôt défraichi car renouvelé tous les trimestres. La couverture arrière fait la promo pour la colle Bostik et la décoration ponctuelle d'un 737 Transavia.

Les classiques photos des consigne de sécurité. Je crois que ça doit plaire comme tout le monde en met !

La vente des produits comestibles débute à l'arrivée des côtes britanniques. La carte des prix me semble dans la moyenne des ventes à bord… C'est à dire onéreuse !
Vu l'heure du diner, le succès est néanmoins avéré.

Une petite couverture nuageuse apparait pour laisser place à une superbe vue sur un célèbre aéroport.

Londres-Heathrow !!!

Je privilégie une vidéo pour l'atterrissage à Dublin, c'est plus vivant.

A part les major américaines, peu de compagnies long-courrier desservent Dublin : Air Transat, Emirates, Etihad Airways , Ethiopian et ponctuellement Air Canada. Un A330 Etihad et un B787 Ethiopian s’apprêtent à décoller.

ATR-72 Stobart Air.

19h19, heure locale, extinction des moteurs. Le retard est négligeable.

Cette jetée du terminal 1 est habituellement dévolue à la compagnie Ryanair.
Elle n'est pas équipée de passerelles télescopiques. Le débarquement s'effectue à pieds vers le hall. Il n'y a que quelques mètres à parcourir sur le tarmac.

Un Airbus A300 stické pour la prochaine Coupe du Monde de rugby.

Toilettes pas de première fraicheur.

Un diaporama géant à la gloire de Ryanair.

Dublin me plait déjà !

Le parvis devant le terminal avec la proximité immédiate des bus desservant le centre-ville.

Soit le Airlink Express so British pour 6€.

Soit le Aircoach, pour 15€ l'aller-retour en prépaiement sur internet.
Je choisis celui-ci pour son côté plus standing.

La cabine.

Et le cockpit.

Le départ est finalement assez rapide après la sortie de l'avion.

Le centre-ville, près du Trinity College, est relié en 25 minutes.
Le vol retour s'est beaucoup moins bien passé; que ce soit l'embarquement laborieux ou le retard plus conséquent. Mais pas de photos pour cause de batterie vide et chargeur oublié en France !
La notation de ce vol ne tient évidemment pas compte du retour.