Deuxième segment d’une semaine allongée de vacances en Chine :
CDG - HKG : AF188 (A380-800)
CAN - HAK : HU7010 (B738-800) Vous êtes ici
HAK - HKG : HX108 (A320)
HKG - CDG : AF185 (A380-800)
Ce FR commence à l’arrivée à CAN par le métro, où l’on est accueilli dès les portillons de sortie (en bas à droite) par une détection d’explosif avec sas à barrières à sangles (au centre de la photo).

Cette scène est dominée par des palmiers d’une hauteur démesurée dont nous ne sommes toujours pas certains s’ils sont vrais ou faux.

Passage devant les comptoirs d’enregistrement de CZ, dont certains sont dédiés aux vols CAN-PEK en A380.

Une indication de distance sur un poteau. Le terminal de CAN est très grand, et un autre est en cours de construction.

Sanitaires impeccables et modernes : manifestement à titre publicitaire, il y a ici un WC japonais multifonctions.

Vue du terminal landside

Le passage aux toilettes aura permis d’utiliser l’attente pour le début de l’enregistrement de notre vol, qui a lieu à une banque de comptoirs éloignée, dans cet aéroport qui est le hub principal de China Southern, la plus grande compagnie aérienne chinoise.

Peu d’attente à l’enregistrement des vols Hainan Airlines (les comptoirs sont dédiés par compagnie aérienne, et il n’y en a que deux pour HU)


L’employée me fait signer ce formulaire attestant de l’absence de batteries au lithium et de gaz comprimé dans mon bagage en soute. L’interdiction des batteries au lithium dans les bagages en soute est relativement récente, elle m’a été plusieurs fois rappelée à l’enregistrement de vols précédents, mais c’est à ce jour la seule fois qu’on m’a demandé de signer un tel document.
On notera que la réglementation prévoit la défloration du bagage en cas d'infraction :)

J’ai reçu ce BP orné de son ticket de bagage en soute dont j’avais garanti l’innocuité du contenu.

Descente au niveau inférieur pour acheter de quoi grignoter, car ce n’est pas le catering d’un vol nocturne d’une durée d’une heure qui va nous sustenter.


CAN est le seul aéroport chinois de ma connaissance qui interdise les « paraboliques de haute altitude » en anglais, et de laisser tomber un objet d’en haut en chinois.

Les escaliers mécaniques et les trottoirs roulant ont tous cette impressionnante collection de pictogrammes d’interdiction et de recommandation.

Il y a différents restaurants, et une supérette où Mme qui n’avait pas envie d’un « vrai » dîner a trouvé son bonheur.

Huit minutes d’attente au PIF

… derrière cette PAX aux chaussures ornées de charmantes fleurs roses

Embarquement porte B17 : c’est une mauvaise nouvelle, car à CAN, les portes dont les numéros n’ont que deux chiffres sont au niveau inférieur. Comme dans tous les aéroports, ces salles pour embarquement par PAXbus offrent un confort limité.

Je soupçonne que Disney n’a pas reçu de royalties pour la décoration de cette salle de puériculture assez vaste ; masqué par le montant de droite, un couple donnait leur biberon à deux très jeunes enfants.

Vue générale de la jetée


Le tarmac de CAN est assez peu éclairé, et il n’y a pas beaucoup de variété à voir de là. J’élimine de mauvaises photos d’un 738 HU (j’ai fait mieux plus tard), et il ne reste que ces appareils CZ dont CAN est le hub principal et MU.
A320 CZ

A330 CZ

738 MU, flambant neuf car B-7591 a été mis en service le 6 avril 2016

Beaucoup de monde à la plupart des portes d’embarquement, pour cause de retards

Les chariots à bagages sont tous équipés d’un écran, souvent utilisés par les PAX, ainsi que les prises USB pour charger leurs smartphones.

Il y a évidemment des fontaines d’eau brûlante (98°C, pour nouilles instantanées) et tiède (33°C, pour boire telle que, car on boit rarement de l’eau vraiment froide en Chine).

Pour l’accès internet, il faut s’identifier par un numéro de portable chinois, ou (c’est nouveau) par son compte Wechat (la plateforme chinoise de chat en ligne qui rassemble quelques 700 millions d’utilisateurs actifs).

La ponctualité des vols est très chinoise ce soir : ce vol vers Hangzhou est retardé à 21h50

Et celui-ci vers Wuhan aurait dû décoller à 20h05, mais à 20h51, il n’a pas encore embarqué.

Comme je m’y attendais, la salle d’embarquement par PAXbus est bondée. Nous trouvons quand même ce qui devait être quasiment la seule paire de sièges libres.

Mais se lever quand la queue se forme pour l’embarquement est une erreur : notre vol est évidemment retardé, comme les autres.

Car le vol suivant vers HAK, celui de 22h45, est retardé à 23h45

… et le nôtre sera peu après repoussé à 23h20, soit ETD+80’

L’embarquement commence enfin à 22h07, soit ETD+7’, mais l’affichage continue d’annoncer un départ à 23h20.

Le BP n’a qu’un talon détachable, or il y a toujours deux points de contrôle en Chine : on nous remet au comptoir d’embarquement une carte en plastique banalisée qui sera à donner au pied de l’avion.

Le bus fait un trajet interminable sur le tarmac, à se demander si nous allons à Haikou en bus.

Pour finir par s’immobiliser au pied de ce 738 stationné au loin, quasiment aussi loin qu’il est possible du terminal.

Il est stationné auprès d’un de ses jumeaux que voici

Je ne me presse pas pour embarquer, préférant immortaliser la scène ; on a toujours une très grande liberté pour photographier sur les tarmacs chinois.

L’immatriculation pour les passionnés

On remarquera que je n’étais pas le seul à photographier cet avion.

Fuselage shot

Sur le premier des deux rangs de J, du côté gauche en descendant l’allée centrale, deux titres chinois sont présentés, en chinois et en anglais.

Deux rangs de J en 2+2, très banalement en Chine

Un aperçu de la cabine

La moquette est absolument impeccable, avec un motif que je trouve esthétiquement réussi

La fiche de sécurité recto-verso


La cloison séparant les deux classes,

… et détail du motif de la moquette murale

HU fait partie des nombreuses compagnies aériennes chinoises qui font partir la numérotation de l’éco du rang 31.

J’avais laissé mon mètre ruban dans ma valise, mais cet exemplaire du China Daily pris à l’entrée de l’avion me permet d’évaluer l’espace à 27 – 28 cm, bref un pitch standard pour un vol intérieur chinois, et donc dans le haut de la gamme des vols intra-européens.

Un appareil de la petite Chongqing Airlines est venu se stationner à côté, donc très au loin du terminal

Il aurait fallu prendre une vidéo de la démonstration de sécurité pour rendre justice à l’humour décalé de la démonstration de sécurité qui fait largement appel à des jeunes femmes en bikini (l'île de Hainan est la "destination plage" par excellence pour les Chinois qui n'ont pas les moyens d'aller à l'étranger)




L’accoudoir a une prise pour des écouteurs, mais aucun ne sont distribués et rien ne prouve d’ailleurs qu’il y a une offre audio sur ce vol.

Les plafonniers

Décollage à 23h07, soit plus d’une heure de retard, après une longue attente sur le tarmac. C’est malheureusement assez banal en Chine

Un panneau est suspendu en travers du rideau, mais oups !

… il a été mis initialement à l’envers.
(C’est tout au plus une « Domestic First » à l’américaine, et non une vraie première classe)

Sur un vol intérieur tard le soir d’une heure seulement, il ne fallait pas s’attendre à faire un festin : le catering se limite à 20g de cacahuètes et 330 ml d’eau. A cette heure-là, on est censé avoir déjà dîné, de toute façon.

Cette marque d’eau minérale (introuvable à Beijing mais omniprésente à Chengdu) amuse toujours les francophones, mais rares sont les Chinois qui en connaissent le sens, ou même l’origine linguistique.

Il n’y avait évidemment pas grand-chose à voir sur le trajet nocturne en grande partie au-dessus de la mer, à part ce winglet

Minuit moins quelques minutes : on commence à voir les lumières, très probablement de l’agglomération de Haikou.

Posé des roues à 00h04, soit ETA + 56’

Roulage rapide vers le terminal guidé par une voiture « Follow me ».

Et arrivée rapide au contact du terminal, surmonté comme il se doit du nom de la ville 海口 en rouge ; ce qui est inhabituel, c’est qu’il est également en transcription latine.

Haikou, capitale de la province de Hainan, est le hub historique de Hainan Airlines ; autant dire qu’il n’y a que des appareils HU autour.

Long cheminement airside pour atteindre les tapis de livraison de bagages : le nôtre apparaît à 0h22, soit 15’ après l’arrêt complet de l’appareil. J’ai eu l’impression d’attendre plus que cela ; un effet de la fatigue sans doute.

A cette heure-là, 4 vols domestiques sur 9 sont en provenance de Shenzhen, mais on notera un vol en provenance de Harbin, à 3200 km au nord-est. Il faut compter 6h25 de trajet, avec escale à Shijiazhuang.

A cette heure indue, le taxi s’impose. Attente quasi-nulle, mais le chauffeur refuse de mettre son compteur :
- Ce sera 80 yuan la course
- C’est beaucoup trop cher, je n’accepte que 60 yuan !
[Contre-proposition totalement pifométrique, sur la base des 25 km de distance jusqu’au centre-ville, mais je sais qu’il y a toujours du gras dans un tarif forfaitaire]
- Ah non, 60 yuan, ce n’est même pas le tarif au compteur ! 70 yuan, alors.
- Bon, OK pour 70 yuan.

Quelques jours plus tard, la même course dans le sens inverse me coûtera exactement 70 yuan au compteur…
[Note au passage : les refus d’usage du compteur, ce n’est pas seulement pour les étrangers. A la sortie de la gare de TGV à Shaoguan, les chauffeurs de taxi refusaient d’utiliser leur compteur avec nos amis chinois]
A cette heure-là, ça roule évidemment bien, malgré la distance et la limite de vitesse à 70 km/h sur la rocade bardée de radars, et nous arrivons rapidement pour nous effondrer dans cette chambre

… dans un étage élevé à une distance pédestre du centre historique de la ville

… que l’on ne voit pas de notre chambre.

C’est la fin de de FR, et le début d’un bonus qui commence par un retour en arrière hôtelier.
Quand on va passer le week-end dans une petite ville comme Shaoguan 韶关 (même pas 700 000 habitants, c’est dire !), hors des circuits touristiques majeurs, dont l’aéroport a fermé au trafic civil au bout de quelques années d’exploitation, on peut découvrir la conception provinciale du luxe chinois.
De l’extérieur, cet hôtel fait banal (il aurait quand même fallu un montage panoramique pour montrer toute la façade, mais les arbres gênaient).

Mais voici ce qu’on découvre en entrant dans le lobby, entièrement en marbre (au sol) et en fresques de style italien (en hauteur). La réception est vers la gauche

…devant ces paysages vénitiens


L’ascenseur pour les chambres ? C’est par là…

Admettons, ce n’est pas un monument historique. Le temple Nanhua, dont l’histoire remonte à l’an 501, en est un, même si les bâtiments ont été reconstruits ou agrandis plusieurs fois.

Il est un peu loin à l’extérieur de la ville, ce qui n’aide pas à en faire un site touristique

Le clou de la visite, ce sont trois momies naturelles de moines (l’une du VII° siècle et les deux autres du XVII° siècle). Les reflets des vitrines de verre et le manque d’éclairage dissuadent de contrevenir à l’interdiction de photographier. A défaut, voici la photo de l’illustration du panneau explicatif, bien meilleure que ce que j’aurai pu tenter.

Une photo pas très autorisée des trois Bouddhas (du passé, du présent et de l’avenir) du pavillon central.

C’est en fait un monastère toujours actif, dont voici les bâtiments conventuels.


L’autre centre d’intérêt local, c’est l’un des sites de Danxia (une particularité géologique) de Chine


Pas de chance, il a fait un temps assez pourri le dimanche, alors que nous avons crevé de chaud sous un soleil de plomb au temple Nanhua la veille. Nous avons fait l’impasse sur l’ascension par le flanc de cette falaise sous la pluie, et avons pris un itinéraire plus facile.

Un ermitage sous la falaise, habité à en croire le linge qui séchait

Après avoir été copieusement trempés, de pluie et de transpiration pour ceux qui avaient choisi l’option cape de pluie, un déjeuner roboratif s’imposait.

Avec notamment ce met délicat dont raffolent les Chinois : des pattes de poulet, découpée transversalement au hachoir pour que les os soient intégralement servis.

La météo difficile nous a quand même permis de bien voir l’après-midi ce rocher incontournable dans la visite des Danxia de Shaoguan.

Est-il besoin de le commenter ?

Le temps nous manquait pour aller voir la fente d’accès d’une grotte, d’apparence très féminine. Il fallait revenir à Shaoguan pour aller prendre le train, puis traverser tout Guangzhou en métro pour aboutir au début de ce FR, que vous pouvez relire si vous n’avez pas bien tout suivi :)
Merci de m’avoir lu !
Penses-tu au final que Hainan Airlines (dont le groupe est en train d'acquérir tout ce qui se vend dans l'aérien comme Gate Gourmet ou Aigle Azur) mérite ses cinq étoiles Skytrax?
J'ai cru lire que, contrairement aux autres compagnies chinoises continentales, que le niveau d'anglais du PNC est assez voire même très bon.
Impressionnants tous ces pictogrammes d'interdiction à CAN. On se croirait à Singapour.
Je suis également épaté par la file d'entrée dans l'avion sur le tarmac. Y a pas une tête qui dépasse sur les côtés. Je vois que ça s'améliore.
L'avion est élégamment décoré avec les petites touches chinoises et le rouge, couleur porte-bonheur en Chine.
Top la PNC sur la vidéo de démonstration. La Simply Chic est reléguée au rang de ringarde ^^
On est au moins sûr que tout le monde, du moins la gente masculine, va regarder les démonstrations.
Pas de Über en Chine?
Merci pour ce FR, François.
Difficile sur un court vol intérieur en éco de faire la différence entre 4* (indiscutablement méritées par HU) et 5*. Je ne fais pas très attention au niveau d’anglais des PNC en Chine ; communiquer en mandarin est généralement plus facile. La présence d’exemplaires du China Daily n’est pas déterminante : j’ai souvent soupçonné que les compagnies aériennes chinoises approvisionnaient la quantité correspondant au nombre de PAX étrangers dans la PIL.
Les Taïwanais sont encore plus créatifs pour les pictogrammes que les Singapouriens, ce qui n’est pas peu dire.
J’ai toujours trouvé exagérées les descriptions occidentales de cohues chinoises. Dans les transports, je trouve les Chinois plutôt plus disciplinés que les Français, qui il est vrai ne le sont guère.
J’aurais dû mitrailler la démonstration (malgré la présence de Mme ^^). Aucune vulgarité, mais on se sentait plus à la plage que dans un avion, tout juste esquissé de quelques traits.
Le groupe HNA n’est pas le seul en Chine à user et abuser de la couleur rouge, mais je trouve moi aussi la charte graphique très réussie.
Mes amis chinois utilisent désormais tous Didi Chuxing 滴滴出行, qui a une position dominante face à son challenger Uber en Chine. Il faudrait que je m’y mette aussi, en espérant qu’il n’y ait pas de blocage (par exemple au niveau des paiements) qui réserve de facto ces services aux résidents.
Merci pour le commentaire !
Jolie décoration cabine pour ce vol.
Bon par contre pour le service même à des milliers de kilomètres nous viole revenu aux heures glorieuse du sucré/salé.
Beau bonus et hôtel qui sort des sentiers battus.
Merci François pour ce FR !
On n’a parfois qu’une bouteille d’eau sur un vol intérieur chinois d’une heure. Ce sont peut-être les 20 g de cacahuètes qui justifient la cinquième étoile de HU.
Merci pour le commentaire !
"nous voila" pardon
Les retards chroniques en Chine ne vont pas aller en s'améliorant avec l'explosion des voyageurs par air, dans l'un, (avec l'Inde) , des pays les plus peuplé de la planète.
On voit bien ton nom et ton prénom sur la partie droite du premier BP publié.
Belle cabine avec un un bon rideau rouge... Commandez en 1,2 milliard ^^
Démo de sécurité drôles, ça change des autres compagnies avec leur programme austère
Cacahuète et eau c'estbon, était elle bonne ?
Bonus très explicite concernant la montagne, j'ai remarqué qu'à table il y avait une enfant, que lui a t'on dit concernant le "bite ton", atchoum, rocheux? D:)
Merci pour ce FR, à bientôt !
Les retards sont dus à une gestion inefficace de l’espace aérien par les militaires chinois, et par un équipement insuffisant des pistes pour des atterrissages « tout temps » dans un pays où la visibilité est souvent mauvaise, hors problèmes de pollution. Par ailleurs, en passant à des bicouloirs, l’espace aérien chinois peut encore absorber de la croissance de trafic.
J’ai amélioré le floutage de mon BP, merci pour l’alerte.
C’est la première fois que je vois une vidéo chinoise de démonstration de sécurité qui sort d’un très ennuyeux classicisme.
Je trouve bonne cette eau qui m’a abreuvé pendant mes longs séjours dans le Sichuan.
L’éducation géologique des enfants chinois commence tôt : j’ai vu d’autres enfants de la même tranche d’âge parmi les visiteurs.
Merci pour le commentaire !
Merci pour ce FR !
Sympa les écrans sur les chariots à bagages... Savez-vous ce qu'ils affichent?
HU a souvent des vidéos "attractives", avant celle là ils en avaient une en mode "dessin animé" (sympa pour les enfants), mais je ne sais pas si elle existe encore...
OQ n'est pas avec sa maman ?
J'aime beaucoup la déco cabine...
Pour un vol d'une heure HU est pas mal niveau catering, sur un vol de la même durée CA n'aurait rien proposé "pour des raisons de sécurité"
A bientôt ! :)
Je n'ai pas regardé de près ces écrans de chariots, mais cela ressemblait à l'équivalent de séries télévisées.
Cela faisait bien longtemps que je n'avais pas volé sur HU; je n'avais pas souvenir de leur vidéo de sécurité de l'époque.
"OQ avec sa maman" ? je n'ai pas compris l'allusion
En effet, j'ai le souvenir récent de n'avoir rien eu sur un court vol CA.
Merci pour le commentaire !
Je voulais dire que le 320 OQ (=Chongqing Airlines) était exilé à l'autre aussi loin du terminal alors que c'est une filiale de CZ
Au temps pour moi, je n'avais pas pensé à un code IATA, et je ne connaissais pas celui-là.
"Était exilé aussi loin" pardon
Merci pour cette suite.
Il me semble que beaucoup de retards étaient liées à la météo... ils venaient tous du même endroit où il faisait moche à CAN?
Vol à l'image des vols européen, sauf le pitch pas mal!
Magnifique hôtel, et bonus toujours aussi intéressant!
À bientôt!
Ce jour-là, le mauvais temps a perturbé tout autant les vols à CAN que la visite des Danxia à quelques centaines de km de là.
A une exception près, j'ai toujours eu un pitch très satisfaisant dans les vols intérieurs chinois.
On peut tomber sur de véritables palaces en Chine, à des tarifs de deux étoiles français. En revanche, le petit-déjeuner peut décevoir ceux qui s'attendent à trouver le buffet qu'ils retrouvent partout ailleurs dans le monde : la restauration est parfois très chinoise.
Merci pour le commentaire !
Merci pour ce FR,
"qui interdise les « paraboliques de haute altitude » en anglais" mdr, déjà indiquer cela est déjà incroyable mais avec la traduction à la petite semaine, c'est génial.
Dommage pour le retard et le pax bus, au moins tu as pu prendre l'appareil en photo.
Vol sans histoire avec bon pitch.
Ce panneau est d'autant plus inattendu qu'il y a eu une chasse au "chinglish" dans les grandes villes chinoises avant les Jeux Olympiques.
Les retards des vols intérieurs font partie des contraintes de tout voyage en Chine.
Merci pour le commentaire !
Merci François pour cette suite.
Le vol par lui-même se passe bien à bord d'un avion en excellent état. Le service n'a pas à rougir des pratiques européennes.
"l’humour décalé de la démonstration de sécurité qui fait largement appel à des jeunes femmes en bikini" ====> aucun mouvement "féministe" ne livre-t-il bataille contre cet avilissement de la femme? ;=))
On remarque l'excellentissime évaluation du prix du taxi de l'auteur de ce reportage de même que l'exagération modérée du chauffeur.
Inutile pour un Chinois d'aller à Venise...
Bonus de haute volée comme d'habitude.
A bientôt !
Livrer bataille contre plus puissant que soi est un sport à très hauts risques en Chine.
Ce tarif forfaitaire du taxi relevait plus de l'amour immodéré des Chinois pour le marchandage, même pour ne finalement rien gagner.
Merci pour le commentaire, et à bientôt !