Avis du vol Air France Copenhagen → Paris en classe Affaires

Bonjour à toutes et à tous,
Une mini-série de FR en (très) léger différé, sorte de mileage-status RUN avec ces billets J achetés voilà qq mois.
Et un bonus inédit, pour cause de validation de miles chez OW.
lundi 5 juin :
- CDG -> AMS : AF 1640 : 2 belles surprises : la nouveau salon et la cabine neuve.
- AMS -> CPH : KL 1131 : classique mais efficace.
- CPH -> TXL : Ich bin ein…
- TXL -> CPH : welcome back !
- CPH -> AMS : KL1130 : retour en batavie puis AMS -> CDG : KL1245 : bis
devenu
- CPH - CDG : AF1851

Je vous ai laissé à Copenhague , après le retour de Berlin.

A mon réveil ce mercredi matin, un petit coup d'oeil sur l'application KLM, qui m'indique qu'il y a du vent à Amsterdam.
Non, sans déconner…du vent !?
Mais pas n'importe quel vent. !
Du strong wind. A tel point que KLM propose de repousser ses vols par Amsterdam, modifier, rebooker les clients, etc…
Coup d'oeil chez AF, qui opère 5 vols qotidiens vers CPH, dont un à 15h10.
Le tout étant de pouvoir attraper mon TGV de 19h58 à Roissy.

Accès au métro à Femoren, puis au hall du T3 de CPH.


Je récupère ma BP sur les bornes multi-compagnies (qui ne sont pas celles du T3), mais celles du T2.
Et je vais discuter du risque d'annulation/délai qui pèse sur mes frèles épaules, du fait de mon héroïsme et de cette escale incongrue à AMS.
Le prestataire local étant très très éloigné de ces préoccupations, me proposera d'acheter un billet en biz, en départ du jour, en aller simple.
Je n'étais pas prêt psychologiquement…et financièrement.
Du coup, appel téléphonique à l'assistance KLM francophone.
17' de musique d'attente où les dames m'indiquent qu'elles m'aiment, l'opératrice comprend mon souci,
me conseille le rebooking sur AF, les premières annulations succédant aux retard à AMS.
Elle réalise toutes les opérations, y compris me trouver un hublot (1F) et me confirme le tout.
J'imprime alors la BP dans la foulée sur la machine, et voilàà !


Quelle efficacité batave !

Machine ou humain… telle est la question !
Le PIF (le chien) annonce ses prévisions, mais je monte l'y rejoindre.


Passage en moins de 7', pour ma part.
Les boutiques du T2, puis direction le salon idoine "aviator lounge", commenté dans un précédent FR.
De l'extérieur, on dirait qu'il y a pas mal de monde dans les bocaux en verre.
La cerbère chancelante prononcera en tout et pour tout "thank you" lorsque je lui dit bonjour, voilà ma BP.
Elle tend la main et m'indique un petit couloir sur (ma) droite, que je n'avais pas repéré, le lounge semblant être sur ma gauche.


Et bien non, une petite plaque métallique indique "CPH appartments".


Bigre…

Un petit couloir conduit à ce mini-lounge un peu sombre, mais pas désagréable.
Il semble suffisant pour la dizaine de clients, qui peuvent profiter de tables hautes, de fauteuils pour la lecture, de sièges semi allongés pour dormir.


Et aussi d'un léger buffet mêlant chaud et froid présenté par un menu digne d'un palace !


Quelques apéritifs et de rares vins dont le prix doit être équivalent à leur pH.


Trois sélections successives, alors que la rédaction de Fr est en cours… (merci les lounges d'aéroport !)

Presse à disposition


A 5' de l'heure limite d'embarquement, je quitte ces lieux et me rend en porte :


Comme j'arrive dans les derniers, pas d'attente, directement dans le finger vitré


Et installation en 1F, tandis qu'un monsieur (mal) habillé et son fils en 1A-C sont des porteurs de chaussures à velcro du bulkhead


Tout juste le temps de se poser sur place, nous voilà parti gaillardement à travers les bandes goudronnées de Kaastrup… tandis qu'arrive le schtroumpf batave avec un retard d'au moins 20'.


Et à 15h10 : take off !


Les cieux sont bien chargés, mais innondés d'un soleil éclatant



Le menu et l'oshibori (froid sous blister) sont distribués


Le pas est confortable


Puis viens le plateau, de belle facture


Le déjeuner est calme, si l'on omet les malotrus en 1A-C. Et le ciel se dégage à l'approche de paris


Vérification utile, nous sommes bien dans F-GUGH, jeune A318 de 12 ans 1/2.


Et, sans avoir le temps e dire ouf et de sentir la moindre secousse, nous voilà déjà posés à CDG.


Ponctualité oblige, l'écran fait foi :


Et hop, direction les allées vitrées de CDG !


Bye-bye 2F !