Avis du vol entre Tokyo et Sydney en classe Economique avec Qantas

Me voici arrivé à la fin de mon (trop) court séjour en Asie, et donc, de fait, au dernier tronçon de mon périple.
Pour rappel :
SYDNEY(SYD) SEOUL(ICN) : Korean A380 Economique (ce sera ICI quand j’aurai appris à créer un lien. Esteban au secours !)
SEOUL (ICN) TOKYO(NRT) : Korean B747-800 Economique (ce sera ICI quand j’aurai appris à créer un lien. Esteban au secours !)
TOKYO(HND) SYDNEY(SYD) : Qantas B747-400 Economique.
Introduction
Comme évoqué précédemment, j’avais effectué, à tout hasard, une demande de surclassement pour ce vol. Cette demande est assez facile à faire avec Qantas (website ou app) et j’ai plutôt souvent eu de la chance jusqu'ici.

Malheureusement, 3 jours avant le vol, j’ai pu constater sur Seatalert qu’il serait archi plein, dans toutes les classes.
Je resterai donc fidèle à mes principes (je m’’assiérais bien dessus, en fait, si je pouvais !), et ce sera un trip tout éco.
On y va ?
Haneda airport
Je suis déposé à l’aéroport en voiture par un de mes correspondants locaux vers 19h.

Habituellement, je m’y rends en transport en commun. Haneda est idéalement situé, très proche de mes zones habituelles d’activité à Tokyo, et de toute façon proche du centre-ville. Peut-on considérer qu’il y a un centre-ville à Tokyo ?
Je gravis ensuite le looong escalator vers l’étage Departures, avant de rejoindre les guichets de Qantas pour le check-in.

A noter que les formalités Qantas au sol sont gérées par du personnel JAL.
Le statut Gold permet d’accéder aux guichets business (comme pour AF d’ailleurs, j’ignore ce qu’il en est des autres alliances). De tourte façon, l’attente était aussi très courte dans la file Eco.

Je suis désolé, mais j’ai voulu privilégier le temps passé au salon et n’ai donc pas exploré pour vous la partie landside du terminal. Elle a d’ailleurs été régulièrement reportée, notamment la superbe terrasse.
Juste un petit coup d’œil à la reproduction d’un vieux Tokyo, vu de loin et d’en bas.

On peut suivre ici la fréquentation des 2 zones PIF PAF

Le calme est confirmé (photo prise après mon passage).

Plan du terminal

Sakura Lounge
Les passagers business et/ou a statut Qantas ont donc accès au Sakura Lounge de Japan Airlines.
J’ai déjà lu sur le site quelques reports pas très positifs sur celui-ci.
Je n’y adhère pas, mais peut-être parce que j’ai une histoire particulière avec lui. En 2015, j’ai offert à ma compagne (et à moi-même, donc), un Tokyo-CDG en business, dans une cabine BandB d’AF.
Ce salon fut donc mon premier salon visité, d’où, je suppose, ma mansuétude !
Pas de photo de l’accueil, qui fut charmant.
Casiers à bagages, j’ai adopté, depuis mon essai à Seoul.

Les toilettes

J’aime l’idée, si on veut se changer, sans pour autant prendre de douche.

Cabine téléphonique, sans téléphone, bien sûr. On est quand même en 2018 !

Dining area, au niveau 4F
Vues d’ensemble

La presse

L’offre liquide.
Je ne suis pas un grand connaisseur en vins et champagnes, même si je les apprécie.
Je suis par contre whisky addict, et je déplore que dans ce pays que je considère comme un des meilleurs producteurs (après l’Ecosse, of course), l’offre ne soit pas plus locale et variée. C'est surement une question de couts…

Le buffet
Surprenantes viennoiseries, il est 20h

Salades

Couverts

Pickles et condiments, miso soup dans les bols au-dessus

Noodles (fraiches)

2 différentes soupes (pas détaillées, sorry)

Rice cooker et riz, donc. Cela va de soi, diantre !

Poulet aux herbes (excellent !)

La vapeur

Qu’est-ce que ça fait la ?

Et si on montait au 5F, pour voir comment c’est fait

En fait, hormis le buffet, cette zone est équipée de la même façon (casiers, toilettes, bar, presse…) que le 4F

Elle est aussi beaucoup plus calme

En bref, je vous la recommande. Si vous voulez diner, vous n’avez qu’à faire quelques voyages, ça vous fera digérer…
Les documents pour s’envoyer en l’air (petite touche de beaufitude, demandée par certains)
fiche dímmigration dans l'avion

Après une journée de travail complète, et pour un vol partant à 22h, il est de bon ton d’éliminer les nuisances olfactives malvenues. Un peu de respect pour mes voisins des sièges éco.
Je me rends donc dans la zone shower.
Accueil sympathique, un badge m’est remis et direction la cabine 6, la dernière de l’endroit.
A noter que l’accès est accordé jusqu’à 1/2h avant l’heure d’embarquement. Raisonnable

Mes ablutions effectuées avec maestria (je plaisante, j’étais seul dans la douche), je me rends donc en porte.
La zone d’embarquement, et la file de gauche (inexistante), que je ne manquerai pas d’emprunter.

Petit clin d’œil à la destination

Descente (aux enfers ?) vers l’embarquement

La bête. Je n’ai pas pu faire mieux !

Pour les fans des immatriculations (15 ans d’âge pour le taxi d’aujourd’hui…)

Passage par la Premium Eco. Pour l’avoir déjà testée, c’est un bon standard de cette classe

Mon environnement

Certains feront surement la remarque, alors je les devance. J’avais réservé un siège couloir, et par inadvertance, je me suis installé au hublot. Mes voisins, un couple charmant, ne m’ont rien fait remarquer. Ce n’est qu’en photographiant mes documents de vol (après 1/2h) que j’ai réalisé. Bla bla bla, apologies, bla bla, no worries, you are welcome, choose the seat you want… A-do-rables
Je ne suis pas très fan des couleurs choisies par Quantas, en général.

Mais l’essentiel est ailleurs.
Mon siège a été des plus confortables, parmi les meilleurs que j’ai pu tester pour un vol de cette durée. J’ai même pu me reposer (dormir ?) raisonnablement dans cette Eco-suite.
Le pitch. Au siège d’a cote, la boite à image, que je ne trouve pas trop encombrante. (Il va de soi qu’on est toujours moins exigeant quand on n’est pas concerné).

La pochette

J’ai fait de mon mieux pour un ersatz de spotting, mais définitivement, smartphone + hublot + nuit = jugez par vous-même (mais soyez indulgent !).

Je ne connais rien aux codes lumineux des pistes de décollage/atterrissage, mais là, je crois qu’on s’en va

Rapidement, on nous demandera de fermer les cache-hublots (décevant !), en même temps que seront distribués bouteille d’eau et menu.

La première prestation (c’est dur de ne pas devenir conformiste dans notre vocabulaire !) est servie après une heure de vol.
Vous avez pu voir 3 choix sur le menu : sushi, pasta ou Japanese fried chicken (pour plus de détails, c’est juste au-dessus !).
Le chicken aura l’honneur de mes papilles.

Une constante pour moi, en Eco chez Qantas. Comme vous pouvez le voir, dans la présentation comme dans le contenu (pas d’entrée, ni fromage,…), ça ne fait pas b., pardon, pas très envie.
Malgré tout, je suis toujours surpris. C’est bon. Je n’ai que très rarement été déçu.
IFE
Très complet, très Anglophone aussi. Vraiment beaucoup de films, des récents et des bons vieux classiques (mon 1er choix en avion)

Petit tour de l’Airshow.

Et là, un miracle s’est produit.
J’ai eu, comme toujours, l’impression de vaguement somnoler quelques minutes par-ci par-là. Quand la lumière s’’est fait dans la cabine pour le 2nd service, j’ai cru que c’était une prestation de mi- vol.
J’AI DORMI !
C’est peut-être un détail pour vous, mais pour moi…(France, si tu nous lis…).
Deuxième prestation, donc. Veuillez excuser le cadrage, mais j’avais déjà mordu dans ce qui ressemblait à une pizza, plutôt bonne par ailleurs.

Début de descente

Je crois qu’on s’approche…

Vers la flèche, Bondi Beach, pour ceux qui ne connaissent pas Sydney

On l’a raté !

Dernier virage

On met tout ce qu’on peut dans la voilure pour descendre

Je crois qu’on touche le fond…

Ces quatre-là sont toujours à ce parking, le matin. A388 Singapore et Etihad, B747 Thai et B777 BA.

Arrivée en porte, A388 Asana Airlines, A330 Air China et un mystère immaculé (restez poli !)

Cet A340 9H-FOX est donné comme appartenant à Hi Fly Malta, et fait la liaison SYD /Auckland.
J’ai besoin de vos lumières pour satisfaire à ma curiosité !
Malheureusement, le reportage photo s’arrêtera ici, pour raison de batterie déchargée. Comme un Bleu !
En fait la prise USB de mon siège était inopérante, et je n’ai pas pu gérer mieux mes dépenses énergétiques.
Je vous détaillerai l’arrivée à Sydney lors d’un prochain voyage.
Elle fut rapide (beaucoup de postes automatiques et qui fonctionnent).
Bagages (libérés…) délivrés dans les premiers et assis dans mon Uber après 30’ après l’atterrissage.
Merci de votre attention à me lire et a très bientôt, pour des exclus, je pense.
Petite parenthèse d’autoflagellation/acclamation :
. Je me relis parfois (souvent, dis-le !) après publication et je ne supporte pas les fautes d’accent que j’ai pu laisser passer.
J’ai un ego surdéveloppé (à défaut d’autre chose, nouveau clin d’œil à la beaufitude), et je me targue d’être excellent en orthographe. Je tenais donc à vous exposer les circonstances atténuantes que connaisse toute personne travaillant avec un ordinateur QWERTYUIOP…
Dont acte

Petit bonus Tokyoite :

Contenu masqué : Cliquez pour afficher

J’ai essayé de respecter les règles en cliquant sur Bonus, mais il ne s’est rien passé.
Je pense que j’ai besoin d’une formation complémentaire a la rédaction des FR !
Je n’ai eu malheureusement que peu de temps à consacrer à mes loisirs, et donc à l’exploration de Tokyo.
Je ne vous ferai donc profiter que de quelques photos
Pas de place à Tokyo, d’où des fours/grill minuscules dans les appartements

Toujours des produits innovants à découvrir. Café filtre mini dose, parfait pour un petit dej individuel, avec du vrai café.

Le GPS ultime, qui indique les toilettes !

Dernière expérience culinaire avant de quitter le Japon. Adresse fréquentée notamment par des chauffeurs de poids lourds et des commerciaux. Tout le monde se gare sauvagement sur le bord de la route et le patron surveille et prévient si la police arrive.
Etablissement tenu par un couple, qui cuisine 9frais !) devant vous des plats basiques : noodles (udon, ramen,..) gyozas, fried ou steam rice…

Mon choix, simple et délicieux !

La lecture en libre-service