Avis du vol entre Paris et Athens en classe Economique avec Aegean Airlines

Bonjour
Un aller-retour à Athènes pour le Nouvel an 2017 – 2018, l’occasion de quitter la fraicheur parisienne pour le soleil méditerranéen.
Comme il faut toujours une première fois, nous choisissons Aegan, concurrentielle sur cette ligne, avec des horaires qui nous vont bien.
Après les vacances d’été, c’est le moment de réserver notre voyage. Nous avions choisi les places non majorées à l’arrière, rang 28 avec hublot bien sûr.
2 jours avant le départ, enregistrement en ligne. Un process super clair, des écrans pas surchargés, des typos lisibles.

Va pour changer de place. Que vois-je les rangées avant sont libres. Je n’ai pas envie d’avoir mon nez contre le rideau, donc je ne prends pas le rang 2 mais le 6. Après coup j’aurais peut-être du choisir le rang 4 à gauche

C’est confirmé, on a gagné 22 rangs, un pitch supplémentaire sans aucun doute. Oui, je suis content.

Le détail à la fin de l’enregistrement après avoir téléchargé les cartes d’embarquement.

Le jour J, le 29 décembre, arrivée sans trop de ralentissement avec notre de plus en plus cher Hubert au terminal 1, ce qui n’était bien sûr pas le cas pour ceux qui rejoignaient le terminal 2. C’est la deuxième fois cette année (c’est sans doute peu, dirons certains).

Notre vol est bien affiché, à l’heure

Nous avons nos cartes d’embarquement. Nous avons simplement besoin de déposer notre valise (1 valise en soute, 23 kg autorisé)

Explication pour le décollage, collage de la bande

J’en profite pour avoir une version papier à cigarette de nos boarding pass

Le même annoté après avoir déposé nos bagages

Sans attendre, la dépose de la valise. Peu d’attente. Au guichet, la jeune femme nous propose de laisser notre autre valise, initialement prévue pour la cabine, en soute et ce gratuitement car le vol est complet. OK pas de souci, ça de moins à trainer. Je récupère un autocollant pour mon carnet de voyage.

On veut faire un tour du camembert mais pas possible de le faire entièrement. On se dirige donc vers les passerelles si caractéristiques de CDG 1. A l'entrée, scan des billets par un agent souriant avec qui on plaisante. Il n'y a pas grand monde, ceci explique peut-être cela.

Ai même le temps de prendre des photos sans avoir droit à une remarque avant d’emprunter le tube.

C’est par là. Il fait bien meilleur à Athènes, notre destination du jour, qu’à Oslo.

Oh, que vois-je ? Le Singapour Airlines, avion de notre vol de nos dernières vacances d’été, mais pas dans sa version A380. Et oui depuis novembre ce n’est plus la version géante pour le vol CDG / SIN.

Une vue de la salle d’enregistrement. Ça va ce n’est pas surchargé comme nous l’avons déjà vu.

Le passage sous le tarmac pour rejoindre le satellite

La montée. L’entre est bondée, ça déborde. Je n’ai pas osé sortir l’appareil photo tellement il y a de monde. Il y a 4 vols à l’embarquement. Les guides files sont de sortie. C’est vraiment oppressant. C’est le rush. Le personnel au PIF est tendu, tendu et en plus il y a des gens en formation. Mais le passage est fait de façon énergique. 3 postes d’ouvert. Finalement ça va assez vite car les gens savent ce qu’il faut faire, donc on ne perd pas de temps.

Après la pause café (2,10 €), servi par un personnel oh combien désagréable et faisant des réflexions totalement déplacées à la Brioche vraiment pas Dorée, on a réussi à trouver une table pour s’assoir, les places étaient chères. Bon j’avais dans mon dos les coups de sacs des gens faisant la queue pour Reykjavik.
Un petit tour sur l’appli, notre avion est au-dessus de Troyes. Je lis. Au moment où il a atterri je vais rejoindre les vitres pour l’immortaliser notre Airbus A321 immatriculé SX-DGA, d’avril 2009. Mais que vois-je ? Un nouveau-né Joon dans mon champ de vision.

Allez, il ne faut pas rater cet instant même si le reflet de l’architecture se voit dans la vitre

Perspective en revenant des toilettes

Nous sommes à la bonne porte. Embarquement est lancé. Nous patientons.

Longue attente dans la nourrice. AI le temps de m’ajuster pour le fuselage shot

Teste même la version porte. Ce sera mieux une prochaine fois

Bon c’est par ici que ça se passe. Un seul rang en business aujourd’hui. Suis attendu par ce siège avec un pitch généreux, digne d’une business, hi, hi… Quasi 2 hublots pour moi, ça va aller

Elégante têtière personnalisée pour cette fin d’année. Un détail qui fait la différence

On patiente. A l’entrée un Yassas par une hôtesse pas super chaleureuse mais ça va. Visite de mon environnement.

Sans le magazine

Dehors c’est pas le grand soleil. Il a plu depuis que nous sommes arrivés.

Contenus du porte document frontal.

Illico et tant que nous sommes à l’arrêt les photos des pages les plus intéressantes du magazine

La flotte au mois de décembre 2017
Ca permet de comparer avec mes prédécesseurs sur cette compagnie

Je rajoute le contenu du filet

Et le voila après la photo

Le chargement des bagages se poursuit, sous la pluie

Pas de chance pour la valise qui est ouverte, suivre la flèche rouge. Ca n’a pas eu l’air de perturber ou déranger les agents.

Décoration de saison au premier rang.

Les écrans descendent avec l’affichage de la géovision avec les distances, 2020 km jusqu’à Athènes. Ensuite diffusion des consignes de sécurité mais non. Les écrans remontent

Je pensais avoir la diffusion des consignes sur les écrans, mais nous avons eu une présentation par le personnel de cabine, à l’ancienne. La chef de cabine au micro en grec et en anglais. Elle s’interrompt car un passager du premier rang veut aller aux toilettes. Elle le fait assoir et reprend la démonstration après que sa collègue lui ai rappelé là où elle s’était arrêtée.

Enfin on est repoussé. Un chinois au départ. Nous avons ½ heure de retard.

Effet graphique des gouttes d’eau.

On est parti alors qu’un Norvegian venait d’atterrir

On retrouve le soleil. Il y avait quelques jours qu’on ne l’avait pas vu sur Paris. On a retrouvé les écrans après avoir atteint le plafond de croisière, avec la géovision. On file sur Reims. On a entendu un verre se briser durant la montée à l’avant de la cabine.

Lecture approfondie de l’inflight magazine. Miniature

Et l’incontournable cadeau très local, le komboloi, sorte de chapelet

Après avoir revêtu leurs tabliers rouges, les hôtesses s’activent autour des 2 chariots, l’un avec le solide, l’autre le liquide.

Etant à l’avant de la cabine, nous allons être servi parmi les premiers.

Distribution du plateau, choix unique de plat. Donc un plat chaud, la particularité de A3, en moyen courrier, un pain, un sachet de crakers, une portion d’imitation de Vache qui Rit.

Quelques secondes plus tard, avec mon choix de boisson, capot découvert sur le pasticcio.

De plus près, c’est ça. Un incontournable de la cuisine familiale grecque, une déclinaison de gratin de pâtes avec de la viande hachée. C’était assez bien réussi. Ce n’est pas de la gastronomie, non plus

Le dessert un gateau local recouvert de miel

Nous survolons les Alpes enneigées au dessus de la Suisse

C’est peut-être l’aéroport d’Engadin qu’on aperçoit au fond de la vallée

Toujours aussi beau

On attend que les plateaux soient débarrassés. Il n’y a plus de géovision sur les écrans mais des vidéos touristiques.

Pour moi le tourisme c’est par le hublot. Nous survolons l’Italie et voyons distinctement Venise et sa lagune sous une belle lumière

Et son aéroport Marco Polo en bas à droite

A quelles secondes près, les nuages nous auraient gâché la vue.

Plan plus large pris avec un téléphone

Le déjeuner se poursuit au-dessus des côtes croates

Variante

Cool la géovision est revenue

Un service pour les boissons chaudes. Maintenant sieste

Une heure plus tard nous avons bien entamé notre descente par le nord près de Marathon

Le soleil est au rendez-vous

Les oliviers sont là

Finale. Le hublot n’est pas très propre

Il est 16 h 10 locales, nous venons d’atterrir à Athènes

Demi tour

Pour l’entrainement

5 minutes plus tard, arrivée en porte

Aegan est à la maison

La mécanisation n’a pas eu le dernier mot face à la crise grecque, une façon de faire travailler 3 personnes

Par ici la sortie. Le protocole a été respecté avec le rideau tiré afin de laisser le temps aux personnes du premier rang en business de sortir avant le reste de la cabine.

Deux dernières photos avant de rejoindre l’aérogare

Ca va ce n’est pas la foule

Merci mais je n’y crois pas

Ce panneau est assez discret, à l’entrée de la salle de livraison des bagages

Une configuration de la salle prévue pour avoir pas mal de vols en simultané

Les arrivées de l’après midi

Un sapin électrique se cache au fond

C’est bien là. Nous n’avons pas attendu trop longtemps notre valise.

10 minutes plus tard nous sommes sortis

Pour récupérer le train pour rejoindre le centre ville, il faut sortir pour aller emprunter la passerelle qu’on aperçoit au fond. Métro/RER avec un prix unique assez élevé depuis l’aéroport pour le centre.

L’itinéraire du jour

Merci de votre lecture