Bonjour à tous.
Nous revoilà donc pour le FR du vol retour de mon voyage sur l'ile d'Anjouan (Comores). Après une douzaine de jours passé sur cette 3eme ile de l'Union des Comores
Pour ceux qui veulent suivre le vol de l'aller DZA >>> AJN
Le Trajet Dzaoudzi - Ouani (AJN) du 03/03/2018
Pour rappel l'objet de ce voyage était la participation de notre équipe de football à une compétition régionale réunissant Madagascar, La Réunion, Mayotte, La Grande Comore, Mohéli et Anjouan (organisateur).
La veille de notre vol retour, nous avions disputé la finale de la compétition et nous sommes sortis vainqueurs. Après un retour festif à notre logement à 22h30, il fallait préparé les bagages pour partir à l'aéroport le lendemain à 6h30 car la moitié de l'équipe regagne DZA sur un vol de la compagnie INTER ILES (IIA) dont le départ est à 8h40.
Le lendemain le réveil est difficile pour les couches tard, mais à 6h00 toute la délégation est prête pour prendre le chemin de l'aéroport de OUANI.
Ici notre QG à Mutsamudu où nous avons logé pendant cette dizaine de jour. C'est à 30 minutes de l'aéroport.
Les joueurs devant prendre le vol d'IIA partent à bord d'un minibus. Faute de place suffisante dans le minibus, nous faisons appel à ce véhicule "UBER local" avec son chauffeur.
Avant d'aller à l'aéroport nous passons à l'administration centrale des Douanes pour authentifier les fiches de déclarations de nos différents achats pour ne pas être embêté par les douaniers de l'aéroport.
Sur la route
Après une demi heure de route avec pas mal de nid de poule rencontré sur le trajet, nous arrivons à l'aéroport de AJN. Avant de rejoindre le terminal, il a fallu passer un grand portail contrôlé par des militaires armés de fusil d'assaut. L'enregistrement n'est pas encore ouverte, tous les passagers sont invités à patienter à l'extérieur de l’aérogare.
Nous sommes enfin autorisés à pénétrer dans le terminal à 7h50. Deux fonctionnaires de Police prostrés à l'entrée demandent la présentation d'un billet d'avion pour pénétrer dans l'aérogare.
Une fois rentrés un agent de sureté nous invite dans un petit local isolé par un simple rideau afin de vérifier le contenu de nos bagages cabine.
Un agent d'escale invite les passagers du vol ZD à suivre la file de gauche et les passager d'IIA prendre l'autre file de droite. Il fait très chaud dans ce hall où il n'y que des vieux brasseurs d'air au plafond qui ont l'air de ne pas avoir fonctionné depuis des lunes.
Le comptoir d'enregistrement des bagages est une simple table et une chaise où il n'y a ni matériel informatique ni autre appareil pour l'enregistrement. Pour le moment la table sert plus de repose " derrière" pour les agents de l'aéroport.
A l'ouverture de l'enregistrement, les passagers de ZD sont les premiers à être appelé pour effectuer leurs formalités tandis que les passagers d'IIA patientent encore alors que leur vol et à 8h40.
L'enregistrement a duré pas mal de temps du fait de l'absence de matériel informatique, tout est rédigé à la main. Pour la pesée des bagages, des vielles BALANCES MÉCANIQUES à POIDS (des boites de poids sont utilisées pour équilibrer le poids du bagage) d'une autres époque sont utilisées pour faire le travail.
Ma carte d’embarquement sous les bras, je décide de sortir hors de l'aérogare pour respirer un peu. Je croise mon chauffeur "UBER" qui répare la roue de son véhicule, en effet les nids de poule, voire même les nids de dinosaures ont eu raison de son outil de travail. Regardez quand même cette mini pompe autonome. Il me dit que c'est son autre outil de travail. Certain jour il enfile la blouse de réparateur de pneu et c'est avec cette pompe qu'il fait tout.
De retour dans l'aérogare, n'ayant pas pris un petit déjeuner, je décide d'aller prendre un café. Un petit coin café se trouve au fond du bâtiment.
Ici les gâteaux proposés. Ce sont des gâteaux locaux. Il y a des "beignets à la banane mure", des bérédré (pain comorien de forme ronde comme une galette), pain raisin et casse-croute.
Les membres de la délégation ayant terminé les formalités de l'enregistrement, viennent aussitôt me rejoindre dans ce coin café pour se restaurer.
Un aperçu des passagers qui attendent l’accès à la salle d'embarquement.
Passage à la PAF, les passagers sont appelés à tour de rôle nominativement par une policière. Elle répertorie de façon manuscrite les informations dans un cahier d'écolier et le passager est invité à régler le visa pour les non comoriens. Le visa est à 30€ = 15 000 Fr Comoriens.
Une autre policière est devant une porte à gauche est fait rentrer à tour de rôle les passagers dans la salle d'embarquement. Ensuite passage à la sureté où il y a un semblant de portique de détecteur de métaux qui n'a pas détecté que j'avais une clé de voiture dans ma poche ^^.
Dans la salle d'embarquement, il y a une partie visible et une autre cachée. Ici la face cachée où apparemment des ouvriers n'ont pas fait le ménage une fois le chantier terminé. Dans l'autre partie de la salle, il y a un coin duty free où l'on vent des produits locaux issus de l'artisanat anjouannais. Ce n'est pas très fourni en terme de produits.
Voici donc l'équipement pour l'assistance des passagers à mobilité réduite. Cette chaise de jardin a trouvé une seconde jeunesse.
L'avion d'IIA INTER ILES est en approche, le camion de pompier offert par l'aéroport de Mayotte surveille les allers et venus.
L'avion de la compagnie INTER ILES atterrie, c'est un Cessna Grand Caravan immatriculé D6-NOE. L'appareil a rejoint la flotte d'IIA en 2013 si mes souvenirs sont bon.
Le ciel commence à s'assombrir. Information pris à Mayotte, notre avion n'est même pas encore parti de Mayotte, vu la gréve générale qui sévit l'ile, les passagers ont du mal à rejoindre l'aéroport depuis la Grande Terre. Là aussi où l’aéroport est strictement contrôlé par des gendarmes.
La météo n'arrange rien non plus car il faut savoir que quand il pleut les pilotes d'Ewa refusent catégoriquement d’atterrir à AJN vu la configuration particulière de la piste.
Finalement, c'est un grand soulagement envie la salle d'embarquement à la vue de l’atterrissage de l'avion d'Ewa Air à 10h50 sous une pluie fine qui va s’amplifier.
Les bagagistes vont vider la soute du Cessna d'Inter Iles. Les chariots sont poussés avec la force des bras. Certains agents de la piste ne portent que de simples tong en guise de chaussures de sécurité.
Malgré les trombes d'eau qui s'abat sur le tarmac, les agents de piste finissent d'aider l'avion à rejoindre son air de stationnement.
Ils sont à présent nez à nez…
Quel sérieux..
Ici c'est la société COM'AIR Assistance qui est le prestataire des services aéroportuaire comme ce qu'est MAYOTTE Air Service à Mayotte mais loin d'avoir les mêmes conditions de travail.
La pluie a redoublé d'intensité, je me demande même comment les passagers de ZD vont ils rejoindre le terminal sans être arrosé comme il faut.
Fort heureusement un agent apportent des parapluies aux passagers. Mais je pense que il n'y en a pas assez suffisamment pour abriter tout le monde.
La parade des parapluies vient de débuter.
En tête de file le responsable d'exploitation adjoint de la compagnie Ewa air (en gilet fluo) qui vient superviser les opérations sur place.
Pas très galants ces messieurs dit dont…
Pendant ce temps une autre équipe d'agent de piste s'affairent avec les bagages des passagers en partance pour DZA. En temps normal quand il fait soleil, comme vous l'aviez vu lors du vol DZA - AJN tous les bagages des passagers étalés en file indienne sur le sol. Les passagers doivent reconnaitre leurs bagages avant la montée dans l'avion.
Ici une photo prise lors du vol aller.
Aujourd’hui la tache se complique à cause du mauvais temps, le personnel essaye de trouver une autre solution. Mais durant ce temps de réflexion les bagages sur le chariots sont continuellement arrosés par la flotte.
Finalement il a été décidé que les bagages seront alignés le long du mur du terminal. Des bâches sont apparues et couvrent les chargement sur les chariots.
Malgré cette idée ingénieuse les bagages au sol continuent d’être imbiber d'eau… Fort heureusement j'ai une valise imperméable que je surveille depuis ma tour de contrôle. Je vois un bagage qui se fait littéralement inonder, je pense que le propriétaire ne va trouver que de l'eau à l'arrivée à DZA si ça continue ainsi.
Les agents de sureté de l’aéroport de Mayotte sont également là pour palper les passagers avant la monter dans l'avion. Comme je vous l'ai expliqué lors du vol DZA-AJN du 03/03/2018 la compagnie Ewa Air n'ayant pas confiance à la sureté comorienne, elle a demandé que des agents de sureté de l'aéroport de Mayotte embarquent lors du vol DZA-AJN pour venir palper les passagers avant leurs montée dans l'avion. Cela est exclusivement pour Ewa Air. L'autre compagnie comorienne qui fait la même ligne n'a pas recours à ses services.
Une femme et un homme sont envoyés pour effectuer ce travail
L'embarquement vient de commencer. Après avoir passé la sureté comorienne une première fois. Nous allons passer une seconde fois la sureté, cette fois ci française.
Une passagère qui essaie de reconnaitre son bagage dans ce cambouis.
Il pleut toujours autant mais le personnel reste de marbre, ils doivent avoir l'habitude.
Allez une dernière photo depuis la salle d'embarquement avant de se jeter à l'eau^^. Voila donc une jeune fille qui pense à deux fois avant d'y aller comme un caméléon qui avance en reculant.
Le Cessna d'IIA s'est déjà envolé quand je sort de la salle d'embarquement. Il n'y a plus de parapluie pour rejoindre l'aéronef, je dois donc y aller en courant si je ne veux pas être trempé comme un canard. Je prend mon courage à deux main et j'y vais. Je n'ai jamais couru aussi vite que ce jour la. 100 m en 10 secondes, Usein Bolt tu peux partir à la retraite l'esprit tranquille. En plus je portais des tong, la classe.
Une fois dans l'avion, je constate vite qu'il aurai mieux fallu que j'embarque en dernier car les moteurs de l'avion sont éteints. On se croirai dans un four. Ni ventilation, ni clim, les passagers utilisent leur main pour se ventiler. C'est affreux je vous passe les détails.
Pour rien n'arranger le gros orage s’arrête soudainement et comme par surprise il fait un très beau soleil ce qui amplifie la température caniculaire dans cette boite de sardine. A travers les hublots opaques, les dernier passagers qui se font palper.
Les agents de piste chargent dans la soute les dernières valises, mais l'avion fait toujours le mort.. alors qu'on transpire comme des limaces.
Des valises qui n'ont pas été reconnu par des passagers qui sont dans l'avion. Du coup ils sont rappelés à descendre pour aller reconnaitre leurs valises. C'est aussi une cause du retard qui s'allonge.
C'est enfin le décollage après près de 2 heures sur l'horaire initiale.
Au-revoir Anjouan.. Nous quittons les cotes anjouannaises.
Après une Vingtaine de minute de vol nous apercevons les cotes mahoraises, c'est tout d'abord la magnifique barrière de corail que j’aperçois en premier .
Mine de rien, après tous mes voyages, je n'ai pris le temps d’admirer ce magnifique récif corallien, c'est tout simplement magique. Je vous laisse admirer à travers ces quelques clichés.
Suivi des cotes mahoraises.
Enfin atterrissage sur DZA, enfin de retour sur l'ile de la grève.
Pendant la phase de roulage, j'aperçois une silhouette méconnu à DZA, en regardant de plus près il s'agit d'un FALCON 7X, un avion présidentielle floqué République Française.
En effet cet appareil est arrivé 30 minutes avant nous. Affrété depuis Paris, l'appareil à emmené la ministre française des Outres-Mers avec ses conseillers. Elle arrive à Mayotte pour résoudre la grève générale qui sévit sur l'ile depuis quelques jours maintenant. Elle restera sur l'ile pendant 48h.
Une autre photo.
Nous avons croisé le Boeing 787-8 Dreamliner de UU en partance pour RUN. C'est le second appareil de la compagnie à l’effigie du volcan de l'ile de la Réunion sur sa queue. Le seconde Dreamliner est parti en revision, il a été remplacé par un Airbus A330-200 loué à la compagnie HI-FLY. Je vous montrerai la photo en Bonus de l'appareil prise à l'aéroport de Pamandzi - DZA avant hier.
J'ai oublié de vous le préciser que lors du vol, nous n'avons eu droit à aucun service, même pas un verre d'eau pour se rafraichir. On nous a expliqué qu'il y avait eu un problème d'approvisionnement. A noter que du fait que les moteurs étaient à l’arrêt durant tout l'escale à AJN.
Une fois décollé et la climatisation en marche, durant tous le vol cela n'a rien changé, on avait toujours la sensation d'avoir chaud. Il aurait fallu 2h de vol avant que la cabine soit rafraichi. Malheureusement nous n'avons effectué que 30 minutes de vol, dans des conditions caniculaire et aucun rafraichissement distribué.
Pour 310€ le billet A/R cela revient cher quand même. A l'aller nous avons un service de luxe où un verre d'eau et des cacahuètes nous ont été servi.
Remarquez le bébé dans les bras de sa maman, cette dernière a du le déshabiller littéralement, vous imaginez donc les conditions du vol..
Une navette est venue nous récupérer au pied de l'avion. Le personnel de Mayotte Air Service sont au petit soin.
Nous avions dans le vol un homme politique, l'ancien président du Département. C'était un vol bling bling alors dit dont..
Tout le monde est la c'est parti pour la PAF.. youpiiii
Passage donc à la PAF, tout est en règle, c'est mon ancien camarade de classe qui m'a contrôlé. Ce n'est pas beau ça.
Nous voila lancé dans le quotidien de Mayotte. Il faut savoir que les allers et venu dans l'aéroport sont contrôlés par de gendarmes depuis le début de la gréve. Pour passer le portail principale de l'aéroport, il faut montrer patte blanche. Seuls sont autorisé a y pénétrer, les personnes qui détiennent un billet d'avion du jour même. Seul le chauffeur et le passager détenteur du billet sont acceptés pour franchir le portail.
Pour aller récupérer un passager arrivant ce qui était mon cas, c'est niette. J'ai du marché et sortir hors de l'aéroport afin de retrouver ma femme venu me récupérer en voiture. J'ai eu droit à plein de bisou sur le trajet.
En bonus comme promis, je vous offre quelques clichés rares aperçu à DZA.
Ici l'Airbus loué par UU en remplacement de son Dreamliner 787-8 parti en révision annuelle de deux mois. Un Airbus A330-200 de HI FLY d'après l'immatriculation. Il est très coloré. Des employés de l'aéroport disent que c'est un avion en plastique vu la pub sur la carcasse.
Un autre Bonus que je voulais partager avec vous.
C'est un Airbus 310-304 de l'armée française qui vient à DZA tous les 3 mois pour la relève des militaires du détachement de la légion étrangère.
La destination du vol est DJIBOUTI.
Merci beaucoup pour ce nouveau partage !
J'ai littéralement dévoré ce report, que d'anecdotes et de petites histoires pour encadrer le récit en lui même. Les opérations aériennes à AJN sont fascinantes par leur vétusté, leur complexité et ce côté hors du temps. Merci !!
A bientôt pour de nouvelles aventures.
Merci, Esteban pour ces quelques lignes.
Faut quand même pas tout dévorez, faut en laisser aux autres ^^ .
En tout cas j'ai voulu relater au mieux cette expérience unique.
A bientôt.
Merci pour ce FR,
On a vraiment l'impression de changer d'époque et d'arriver dans un autre temps!
Ayant vécu plusieurs années à La Réunion, je ne pensais pas qu'il pouvait y avoir des choses aussi authentiques à 2 heures d'avion de là.
Votre retour à Dzaoudzi donne l'impression de revenir dans le monde réel :-)
Merci et bon weekend à vous
Bonjour Benoit,
A l'heure du numérique, et de la machinisation, à AJN on en est encore loin.
Je peux vs rassurez j'ai vu encore plus authentique à 10 minutes de là Mohéli, l'objet de mon prochain FR.
A bientôt.
Merci beaucoup sur ce FR très riche et très sympa à lire.
310 EUR pour ce service et la durée du vol, c'est waouh !
Merci, pour la lecture "Mogoy"
Eh oui,avec Ewa / UU le slogan, c'est à prendre ou à laisser. La prochaine fois je laisse et j'opte pour le bateau à 160€ A/R.
Bonjour à tous,
Merci pour ce "FR"..."Rennais" !!!
Malgré les "problèmes diplomatiques" entre les Comores et Mayotte...une bonne entente sur le "tarmac" !!!
Je rejoins les écrite de "Benoit75008"...: "Votre retour à Dzaoudzi donne l'impression de revenir dans le monde réel :-)"
AJN...nous fait retomber un peu sur terre...lol !!!
"Ewa"...fait penser lorsque AF avait le monopole sur RUN et alentours...très cher/peu de service !!!
Bon week end de Pâques !!!
Merci Yac,
L'entente c'est olé olé entre les deux..ce jour là tout allait bien on peut dire ^^
AJN nous fait retomber sur terre, lol. Heureusement qu'on a pu redécoller.
Ewa est la fille héritière de UU.. avec la destination DZA..
Merci Rennais pour ce reportage.
Une plongée très intéressante dans le quotidien de l'aviation civile à AJN. Apparemment, moins de demande de pièce par les divers officiels qu'à Mada : un privilège réservé aux vazahas ou autres m'zungus ou prime à l'équipe vainqueur? ;=))
Pas de crise diplomatique après la victoire footballistique de Maoré?
De très belles images, une belle averse tropicale, un récit très agréable à lire, on s'y croirait.
Une super expérience ne serait le prix scandaleux du billet.
A bientôt !
Merci Papa.
Ayant été à Mada (MJN), je n'ai pas senti ici la même pression comme à MJN sur les divers cadeaux.
Nous leurs avons offert la coupe. Il avait intérêt à ne pas nous faire une crise. lol
S'il y a une prochaine fois, nous prendrons le bateau.
merci pour ce report
l aéroport ne devrais meme pas pouvoir s apelez aeroport un gros manque de equipement de propretez de securité
a croire que il sufis de sortir son porte feuil et le tour est joué vous etes dans l avion
heureusement q ewa air ne fait pas confiance a la securité
Merci pour ces quelques ligne Fly974. C'est plus un aérodrome pour les ULM qu'un aéroport international.
Ok je pensais que s était une grosse arnaque
Merci pour ce récit Rennais!
Ma première réaction en voyant les différentes installations et formalités à AJN: "Oh p*tain la vache!!"
Je ne pensais pas voir en 2018 des choses aussi archaïques dans un aéroport qui respecte certainement les normes IATA.
Prix aller/retour qui pique les yeux, surtout par rapport aux prestations inexistantes à bord ce jour là.
Joli spotting, et félicitation pour avoir remporté la compétition de foot :)
A bientôt.
Merci.. Kilmarnock du passage.
Comme nous sommes Fair-Play, nous avons remporté la coupe puis nous l'avons offerte à nos adversaires. Ce n'est pas beau ça?
A AJN nous sommes encore ds un aérodrome de l'avant guerre.
Félicitations pour la victoire... et pour le fair-play à la fin du tournoi !
Magnifique FR dans la lignée de celui du vol aller, avec la dose de dépaysement et d'exotisme qui font vraiment sortir ce récit des sentiers battus.
Ca donne envie d'y aller dès lors que l'on est prêt à laisser son petit confort derrière soi et à découvrir un univers hors du commun.
Bravo pour ce double reportage fort instructif et merci du partage.
Hello Luke, Merci pour ces quelques lignes.
Effectivement, C'est un univers pour les Cow Boy, Lucky Luke s'adapte à tout.
Ça se lit votre coté aventurier. Par moment il faut sortir du train train quotidien avec tout le confort qui y va et partir à l'aventure.
A bientôt pour d'autre aventure. Nairobi et Djibouti sont les prochaines destinations.
Passionnante description d'AJN ! J'aurais aimé envoyer cette photo de fauteuil pour PMR comorien à mon ami paraplégique qui vient de nous quitter.
Merci pour ce récit si dépaysant, et pour ces deux appareils en bonus (j'ai souvent vu cet A310 à CDG) !.