Avis du vol entre Doha et Hanoi en classe Economique avec Qatar Airways

Bonjour à ceux qui commencent ici cette série de FR, et rebonjour aux autres !
Rappel rapide du contexte : parti de CDG au petit matin pour une destination mystère (qui ne l'est plus tant) en Asie du Sud-Est , me voilà en correspondance pour près de 4 heures à Doha.
Voilà donc le routing qui commence à se dévoiler :
CDG-DOH, B77W, QR, Y : par ici
DOH-HAN, B788, QR, Y : ici-même
…-…, …, .., . : coming soon
Nous nous étions quittés juste après le passage du PIF de Doha

Il s'agit maintenant de s'occuper pour environ 3 heures avant le début de l'embarquement, ce qui à DOH ne devrait pas être trop compliqué même en l'absence de salon. A ce sujet j'ai failli céder aux sirènes du Oryx Lounge, mais le prix demandé (55$) associé à des avis très mitigés m'en ont dissuadé.
Arrivée en face d'une deuxième succursale qatarie de Harrods qui n'existait pas il y a un an. Tous les codes de l'institution britannique sont respectés, en particulier l'omniprésent nounours. D'ailleurs en parlant de nounours, le monstre jaune coiffé de son abat-jour n'est jamais bien loin à Doha. M'est avis que vous n'allez pas tarder à le revoir dans ce même FR…

Pour changer des nounours… et oui ils bougent de façon assez réaliste (même si je n'ai pas eu la "chance" d'en voir un vrai pour comparer) !

Après un grand tour dans les boutiques duty free, détente gourmande au Qatar Café. L'occasion de faire la photo corporate.


Il est temps de se mettre en mouvement vers la lointaine porte B10.

Coucou, me revoilà !

Vue d'ensemble du hall. Est-ce l'horaire (milieu de soirée) ou le blocus qui veut ça, j'ai trouvé l'aéroport assez désert comparé à l'an dernier (alors en début de matinée).

Là encore pas grand monde sur le chemin qui nous mène en porte. Les travelators sont les bienvenus.

Nous y voilà

L'agent qui vérifie les BP refuse de se contenter du e-billet et m'oblige à ressortir le BP papier pour y faire un gribouillis derrière. J'en cherche encore l'intérêt…
Salle d'embarquement quasi déserte qui annonce un taux de remplissage n'excédant pas 50%.

Embarquement pour ma première en Dreamliner et traversée de la cabine en 3-3-3, ce qui fait tout de suite plus aéré que le 777 d'il y a quelques heures.

Couverture, coussin et trousse de confort identiques au vol précédent

L'IFE lui n'a rien à voir, avec un double écran (on en reparlera)

Le pitch, normal mais sacrément dégradé par le gros boitier IFE sur la droite. Seul le siège central s'avère être épargné par ce fléau.

Repoussage et décollage silencieux. La fatigue commence à se faire sentir et la suite de ce FR sera assez light, d'autant plus que les photos nocturnes ne sont pas une réussite…
Le plateau repas (poulet et riz au curry). C'est plutôt bon même si un peu sec. Les crudités et le dessert sont très bons.

Je regarderai "Moi, Tonya" sur l'IFE avant de chercher le sommeil difficilement, entre les turbulences (encore…) et surtout l'écran de la télécommande qui ne répond pas et qui ne veut pas s'éteindre alors qu'il est en luminosité maximale. La télécommande finira au fin fond de la pochette du siège : problème réglé. Les écrans et télécommandes des (nombreux) sièges vides étant resté allumés durant tout le vol, la cabine est restée bien trop lumineuse tout au long de la nuit…
Notre aile flexible quelque part en route, alors que le jour se lève au travers du hublot semi-opacifié. Ce sytème est d'ailleurs assez bluffant et permet des hublots panoramiques appréciables. Très bon point pour le 787.

Une collation en tous points semblable à celle du vol précédent (shawarmah poulet ou végétarien au choix) a été distribué au début de la descente mais je dormais à ce moment-là du vol donc je n'en ai pas profité.
Safety-card

Descente amorcée et hublot éclairci

Rizières en vue

Touchdown beaucoup moins doux qu'à Doha et débarquement rapide. Dernière vue de notre 787

Et notre voisin pas si différent

Passage rapide de l'immigration, désormais facilitée par l'attribution du visa sur place pour les séjours courts. Vue par la fenêtre en attendant les bagages…

…Qui arrivent avec une mauvaise surprise

Finalement plus de peur que de mal, une Samsonite c'est solide…et flexible ! (rien de fragile à l'intérieur)
Merci pour la lecture, la suite très vite !