Avis du vol entre Madrid et Paris en classe Affaires avec Iberia

Fraîchement débarqués de notre vol venant de Séville qui s'est posé avec un peu de retard, notre temps d'escale se raccourcit d'autant.
Heureusement, nous débarquons au niveau des portes, pas de PIF à repasser et notre porte d'arrivée n'est pas tout au bout du bâtiment.
Notre vol suivant qui nous ramènera à Paris Orly est prévu à 19h45 donc, pas de stress

Le rappel de notre routing

1. Paris ORY - Madrid MAD Ibéria, J, Airbus A320 Il est ici.
2. Madrid MAD - Seville SVQ Ibéria Express Y, Airbus A320 Il est par la.
3. Seville SVQ - Madrid MAD Ibéria Express J, Airbus A320 C'est juste ici.
4. Madrid MAD - Paris ORY, Ibéria, J, Airbus A320 Vous y êtes

Nous avons déja nos cartes d'embarquement, il ne maque plus que connaitre la porte d'ou partira le vol.

A l'aéroport

La porte est indiquée et le vol est annoncé à l'heure.

Normalement, l'embarquement commence dans 20 minutes mais ce serait dommage de louper le salon.

Cette fois ci, direction le salon Ibéria, malheureusement, le temps sera court pour faire un doublé avec le salon Plaza Major de Priority Pass où nous sommes allés lors du vol aller.

Le Lounge Ibéria

Cette fois la, le contrôle dragonesque se passe sans encombre et nous partons en quête d'une place ou se poser.

Le salon est vaste et la frèquentation raisonnable aucune difficulté pour se poser.

Nous sommes à l'étage supérieur avec vue sur les portes d’embarquement.

Et nous trouvons une place avec vue directe sur la porte.

Il est temps de partir explorer les lieux.
Le coin presse, principalement local.

Un espace repos au calme.

Des buffets sont installés à plusieurs endroits.

Coté café et boissons chaudes.

Coté cold drinks.

Coté victuailles,

Sans oublier les glaces.

Ni le point glouglou.

Coté vin, tout est regroupé au centre du salon.

Avec un choix conséquent de vins espagnols que je me fais un devoir de gouter.
Pour en arriver à la sélection suivante.

Le ravitaillement est complet.

Par contre, il semble bien que l'embarquement touche à sa fin.

On doit activer les choses si on ne veut pas rester à Madrid à attendre le prochain vol. On quitte le salon à 19h25 étant au dessus de la porte on devrait arriver avant l’heure fatidique à laquelle la fermeture des portes est prévue.
Sauf qu'on descendant, on arrive dans la zone commerciale, il faut marcher pour la contourner et rejoindre la porte ce qui prend plus de temps que prévu.

C'est moi qui ai voulu traîner un peu alors les reproches commencent à pleuvoir…. le panneau nous dit la même chose en espagnol.

Le flight report

Mais il y a toujours du monde qu s'active sur le pupitre alors on présente nos BP et le sésame s'ouvre accompagné d'un "Bon voyage"
En fait, il manque des passagers en correspondance d'un vol arrivant des Canaries,.
Vue sur le voisin depuis la passerelle.

Le nez de notre zoiziau.

La voie est libre.

Pensant qu'on nous attend, je ne fais pas d'instant porte ni de fuselage shot, en fait, l'équipage est confronté à un problème de bagages en surnombre. On, est debout avec nos valises et la CCP nous dit que les coffres za equipage sont full, je la crois sur parole mais il va falloir nous trouver une solution. En tassant un peu le fret, une valise trouve sa place au dessus de nous mais l'autre se retrouve au dessus du rang 8 ou 9 ce qui risque d'être gênant à l'arrivée. Il faudra parler gentiment mais fermement à la CCP pour que ma valise trouve finalement sa place au dessus du rang 3. En fait, une partie des coffres des rangs à l'avant sont occupés par les bagages de l'équipage y compris ceux de la CCP… Si on avait voyagé en éco, nos valises auraient logiquement pris le chemin de la soute ou, si une avait été placée loin de nous, on aurait attendu sagement d'y avoir accès pour la récupérer mais dans la mesure ou nos avions payé un billet en business, il était normal de ne pas avoir à subir ce genre de désagrément.
Une fois ce problème réglé, nous rejoignons nos sièges, il faudra encore attendre les derniers passagers venant de Tenerife avant de pouvoir fermer les portes.

Il est temps de procéder au Sylvester test, le siège est récent et plus confortable que ceux des vols précédents.

Le pas(parazzi) est convenable en bulkhead, entre l'espace pour les jambes et la tablette du siège de devant, il faut choisir…

Les derniers passagers ayant embarqué, tous les bagages étant casés, la porte est refermée et la passerelle retirée.

Et le pushback peut commencer.

IB Express à coté charge le fret.

Un bel alignement de dérives ibériques.

Avant de rouler.

Un B767-300 de Boliviana de Aviacion qui a commencé sa carrière chez Air France il y a un peu plus de 22 ans où il était connu comme F-GHGL

Passage au large du T4 S

Les mécanos auscultent un moteur de ce CRJ900, a coté un Airbus 330 de la compagnie Evelop.

Nous suivons Vueling,

Et nous décollerons vers le nord.

Montée dans le soleil presque couchant.

On nous présente le menu du soir avec un choix entre deux plats chauds.

Le tout servi sur un plateau depuis le galey, le service est assuré par un jeune stew certainement en formation sous le regard intraitable de la CCP qui en profite pour lui laisser faire tout le boulot.

Madame a pris le poulet,

Et moi les pâtes, pour de la J européenne c'est assez réussi, bon sans être très recherché mais le choix entre deux plats chauds est un plus, le tout constitue un vrai dîner.

Une fois les agapes conclues, il est temps de Marathoniser le plateau.

Un café est proposé.

Quand on me demande si tout va bien, je réponds par l'affirmative tout en indiquant que cela serait parfait avec un Cognac ou encore une rasade de Carlos Ier, production locale qui m'avait accompagnée lors de soirées andalouses passées.
La CCP s'excuse de ne pouvoir accéder à ma requête mais me propose un autre Brandy dont j'ai oublié le nom et que j’accepte volontiers.

Ce qui me permet de porter un toast à la santé des grands leaders, des contributeurs émérites et de mes lecteurs.

Il est bientôt temps d'amorcer la descente.

Nous survolons la banlieue sud de Paris.

Et le Domaine de Grosbois, le château est illuminé ce soir.

Finale au dessus de Villeneuve Saint Georges et de la Seine

Puis Villeneuve le Roi pour se poser piste 26 avec seulement 8 minutes de retard sur l'horaire.

AIr Caraïbes et French Blue sont chez eux à Orly.

Pas de Jetway pour nous ce soir.

Je peux faire le fuselage shot à la sortie.

Un dernier coup d'oeil sur notre avion avant de rejoindre le terminal.

Paxbus commun avec les passagers en éco vers le terminal, sortie rapide sans arrêt à la zone de livraison des bagages, on est harponnés par des taxis clandestins qui font presque la gueule quand on leur prête pas attention, il y a de l'attente dans le serpentin des "vrais" taxis mais aucune envie de me me faire véhiculer par l'un des sbires qui appâtent le chaland à la sortie des portes de l'aérogare. Par contre, mauvaise surprise, quasiment toutes les voies rapides vers l'est de Paris sont fermées pour travaux, impossible d’empêcher des bouchons dignes d'un jour de grève SNCF alors qu'il est plus de 22 heures, résultat, près d'une heure et demi pour aller d'Orly à la maison au lieu des 30 habituelles, soit presque autant de temps dans le taxi que dans l'avion…

Le vol selon Flightradar24

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Ce vol marque la fin de notre court séjour en Espagne, la combinaison des vols Ibéria et Ibéria Express nous a permis d’optimiser le temps passé sur place. Nous avons déboursé plus que si nous nous y étions pris plus tôt mais on restait dans les limites de notre raisonnable.
Reste que le but de faire passer Madame au niveau Saphire OW semble compromis alors que les 300 points à la date du passage Ruby sont la, il manque deux vols comptabilisés chez QR mais surtout, le nombre de points est amputé de deux vols LC en mai 2017 ce qui fait retomber drastiquement le niveau de points. A vérifier ches QR.
Merci de nous avoir accompagnés et à bientôt pour les prochains épisodes vers AMS pour la rencontre Flight Report.