Bonjour à tous,
suite de mon séjour au Brésil, les vols AZUL s’enchaînent et se ressemblent. Quant à moi j'essaie de rattraper mon retard de FR…
Rappel du voyage:
STR - CDG
CDG - GRU
GRU - VCP - en bus
VCP - RAO - en voiture
RAO - CGH
CGH - CWB
CWB - VCP
VCP - MII
MII - VCP
VCP - CWB
CWB - VCP
VCP - GYN
GYN - mais qué ça don??? C'est le petit nom de code de la ville de Goiania dans l'état du Goias. En fait je me rends à Rio Verde (prononcez 'rio verch'). Cette petite bourgade plus à l'ouest est également reliée à Campinas par un vol par jour sur Azul (si non pas d'autre liaison il me semble). Deux en ATR. Sauf que ce vol part en début d'après-midi et ne passe pas avec mes horaires. Donc direction Goiania, la capitale de l'état il me semble, à deux bonnes heures de route de Rio Verde. C'est une ville de plus d'un million d'habitant donc quelques vols vers les grands centre de Sao Paulo, Rio, Campinas ou Brasilia. Le choix de Azul s'est fait afin de prendre les même vols que mes collègues qui avaient réservé quelques semaines avant. Quant au prix, je ne me souviens plus bien mais on est loin des low-costs, plus de 200€ de Curitiba à Goiania.
Par ailleurs aéroport et ligne est exclusivité ici, il m'a même fallu le rajouter dans la banque de donnée en utilisant l'assistance technique su site au demeurant très réactive!!!
Je reprends ce récit une fois pénétré dans la cabine. C'est une nouvelle fois un Embraer 195, donc embarquement un peu long. Des valises cabines devront partir en soute (elles restent dans l'aller de l'avion en attendant d'être emportées par le personnel d'embarquement).
J'ai attrapé une dosette d'eau plate en porte afin d'éponger ma soif.
Vue sans intérêt sur la droite.
J'échange ensuite avec un couple qui voulait être ensemble. Vue de gauche avec un peu plus d'intérêt.
Sauf que je me retrouve avec monsieur "pue de la gueule". Oui même en position deux de front ça sentait déjà. J'ai donc bien senti qu'il me fallait trouver une solution de suite.
Heureusement le doublet devant l'issue de secours droite est libre. Je fonce donc, ce qui fait soupirer mon voisin, mais je ravale mon haut le coeur et pars m'installer en air plus sain.
Sombrero m'accompagne à nouveau comme je repars ensuite directement en Europe.
On roule, la clim est en fonction, je peux prendre de grandes bouffées.
Le jour est tombant, on a le droit à de belles couleurs.
Direction les pistes en quittant cet aéroport un U.
Quelques ATR ne sont pas en contact rapproché.
La 15D pour nous après l'atterrissage d'un ATR.
Décollage vers l'est
On vire à gauche pour le nord
Alignement parfait
Très beau coucher de soleil
Le service se met en place. Encore une fois sur les trois hotesses, deux sont à prendre les commandes des boissons (softs) et les ramènent sur grand plateau; la troisième s'occupe de la panière à cochonneries pour toute la cabine. Vous ayant montrer le plateau à boisson lors de mes vols précédents, je m'occupe de shooter la panière cette fois.
Juste après m'avoir servi, mon équilibriste est obligée de se ceinturer juste derrière moi sur ordre du capitaine qui je pense (oui c'est en portugais) annonce des turbulences sévères.
Au final rien de bien grave (à mon goût?) et le service reprend.
Cette fois la nuit tombe bien.
J'en profite pour arrêter l'IFE sur un classique: Coup de foudre à Notting-Hill. Pas de son mais je m'en moque c'est en portugais.
La cabine est plongée dans le noir complet pour le reste du vol. TRES TRES agréable je dois dire.
Ce qui laisse prendre de relativement belles photos de Goiania même avec un smartphone.
Les perturbations lumineuses font malheureusement leur retour étant juste au dessus des projecteurs.
En finale
Reverse à l'atterrissage.
Une constante au Brésil, on se parque auprès des siens, dans ce terminal unique en arc de cercle.
C'est loin d'être la cohue sur le tarmac.
Débarquement en zone commune départ/arrivée. L'ambiance est la même que dans la plupart des aéroports secondaires brésiliens: industrielle, plus pratique et cheap qu'élégante. Mais le nécessaire est là.
Les départs de cette soirée. En tête de liste la destination initiale de mon séjour :)
Le pao de queijo est une institution dans le pays. Il est donc normal qu'un des seuls restaurant de la zone lui soit dédicacé.
Direction les loueurs de voiture en sous sol.
Je profite de l'attente pour vous photographier le tag de ma valise. Non pas de priority mais juste un signalement en jaune flashi d'un bagage en correspondance à Campinas.
Et non voilà parti pour deux bonnes heures de route à une allure digne d'une autoroute allemande… sur les routes brésiliennes. Même si en bon état par ici, il arrive de piller pour éviter un dos d'âne sur voie rapide…
Pick-up pour la piste une fois à Rio Verde. On le rendra rouge de poussière.
Décidément vraiment pas pratique ces bagnoles. Heureusement que nous n'étions que trois dans 5m de long!
Merci pour ce FR!
Encore un excellent vol sur Azul!
Bonne journée!
Merci pour cette suite !
Décidément pas grand chose à reprocher à Azul qui propose un excellent produit à chaque fois.
A bientôt !
Merci pour le FR.
Voilà le splendide panier, pas très pratique mais tellement original.
Le pao de queijo : Mon péché mignon au Brésil c'est tellement bon.
Un très bon vol avec Azul,
A bientôt