Avis du vol entre Marília et Campinas en classe Economique avec Azul

Bonjour à tous,
suite de mon séjour au Brésil
STR - CDG
CDG - GRU
GRU - RAO - en bus et voiture
RAO - CGH
CGH - CWB
CWB - VCP
VCP - MII
MII - VCP - nous y sommes
Le gros intérêt de ce FR est de vous faire découvrir l'aéroport de Marilia, cette fois au départ. Autant vous dire de suite, j'ai adoré!
J'arrive devant l'aéroport avec une bonne heure d'avance. Ambiance aéroport de brousse.

Le parking.

La route d'accès.

Le(s) taxi(s).

J'entre dans l'unique salle de ce terminal. Au fond le tableau des départ, enfin de mon départ car le second vol quotidien pour Campinas est déjà parti aux aurores.

Le comptoir AZUL. Deux personnels sont présents ce qui est largement suffisant pour les 72 places de l'appareil, sachant que le remplissage sera une nouvelle fois très éparse.
Il me faut bien-sûr m'y rendre, l'enregistrement en ligne ne fonctionnant pas pour les passeports étrangers. Mais le personnel est charmant (et anglophone)!

L'accès au hall d'embarquement se fait par là. Pas de climatisation centralisée dans ce terminal mais ces gros appareils qui sont tout sauf silencieux.

Il y a de quoi se restaurer et rafraichir.

D'un seul coup c'est la cohue. Les derniers passagers enregistrent, les passagers du vol de VCP arrivent. Il y a au moins 25 personnes dans la salle ;)

Il est donc temps pour moins de rejoindre la salle de confinement, similaire à un pré-embarquement Wizz ou Volotea.

L'embarquement est imminent, la rotation forcément rapide.

Les fauves sont lachés. Je me rapproche de mon avion du jour, un ATR72-600 récent.

Petite vue sur les alentours, toujours aussi déserts.

Et direction l'arrière de l'appareil.

Instant porte sans porte car l'escalier sert de porte en remontant.

Embarquement dans une cabine relativement basse mais confortable en position assise, surtout avec le remplissage de ce jour à 35%… Je change donc de place pour ne pas être gêné par l'aile.

Espacement aux jambes suffisant.

Sièges modernes avec pochette surélevée pour dégager de l'espace aux genoux.

La place de gauche reste libre.

Pas de repoussage, l'avion est parqué de façon à pouvoir repartir directement en avant.

Ce pictogramme indique que tout appareil électronique doit être coupé, d'ailleurs les annonces à ce sujet retentissent. Je les interprète en ce sens que le mode avion doit être activé, surotut sur un avion moderne comme le 600.

Direction la piste que l'on remonte directement.

Demi-tour

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Et démarrage en trombe.

Mais là patatras. On me tapote l'épaule gauche. Il y a un pilote de la compagnie assis sur la rangée de gauche en siège couloir. Il me faut éteindre de suite mon téléphone. On me le dit en portugais et en anglais, donc je ne peut y échapper.
Je reprends donc le cours de mon report ici…

C'est l'heure du service. Je voulais tester ce jus mais je ne savais plus trop ce que c'était donc je dis un peu un mot au hasard. Heureusement l’hôtesse est patiente et m'énumère plusieurs choix proches ;)

Le guaraná ressemble à un ginger ale mais le goût est différent. Pas mon préféré mais ça change.

Le service est toujours le même, et je reprends de tout ne sachant pas à quelle heure je mange ce soir.

Je ne sais si ce sont les rives du Rio Tieté mais c'est très beau.

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Denouveau je dois tout fermé en phase d'atterrissage.
Je reprends donc ici lorsque nous arrivons à ce concourse bien vide.

Débarquement à l'heure par l'arrière

Le concourse d'en face pour les Embraer et Airbus. Et cette partie centrale toujours aussi impressionnante pour la fréquentation modérée.