Avis du vol entre Frankfurt et Wrocław en classe Economique avec Lufthansa

Bonjour à toutes et tous.
Vous allez me dire : quoi encore Wroclaw, mais que se passe t’il ?
Et bien juste faire une surprise à un ami qui m’avait proposé cette destination mais sachant que j’y allais déjà en mai et que le mois d’août signifie travail pour moi j’avais décliné l’invitation en laissant toutefois une prise de décision définitive à l’été.
Oui mais voilà le retour en Alsace à été un peu rude alors pourquoi pas un coup de folie, à J-8 je trouve un billet à 192€ depuis Strasbourg avec LH.
Pas d’hésitation je réserve le billet pour cet aller-retour express, j’en informe un autre complice afin d’organiser la surprise sur place.
Le trajet est opéré en bus entre Strasbourg et Frankfort, ayant un studio à proximité de l’arrêt de bus c’est un bon compromis pour moi, et cela me génère 125 miles par trajet (une goute d’eau mais mieux que le train).

Le routing
04/08/18 : LH3753 XER-FRA : chouette un bus
04/08/18 : LH1372 FRA-WRO : CRJ900
05/08/18 : LH1359 WRO-FRA : CRJ900
05/08/18 : LH3756 FRA-XER : pas de bus-report

La veille j’optimise ma journée de travail en organisant divers rendez-vous sur Strasbourg, et passe une bonne soirée dans cette belle ville, mais bien trop chaude avec cette canicule.
Réveil à 5 heures du matin, même si je n’ai que 5 minutes à pied pour rejoindre l’arrêt.
L’embarquement est prévu à 6 heures, le bus est confortable, et nous arriverons sans problème à FRA.
J’aurais pu prendre celui de 8 heures mais en raison de ce weekend de transhumance vacancière j’ai préféré assurer la sécurité d’éventuels bouchons.
Le bus nous dépose au Square à 9 heures, au dessus de la gare ferroviaire.

Un arrêt technique s’impose, direction l’étage supérieur bien plus calme.

J’ai le temps de flâner, c’est agréable mais entre la gare et l’aérogare, il y a beaucoup de monde.

Même les comptoirs d’enregistrement Air-train de LH sont saturés, alors que je n’y vois jamais grand monde.

Un vol avec LH c’est sans surprise direction le terminal 1, et à priori les portes A.

Même pour l’escalator il faut attendre, et comme j’ai le temps, ce sera les escaliers.

Petite vue de l’extérieur.

Je connais bien le chemin.

Surtout celui du shopping mall en sous sol (je n’ai pas su résister à l’appel de la nouvelle collection, et puis j’ai le temps avec un vol à 12h55).

Après cet interlude, je reprends le chemin de l’étage des départs.

Certains sont très chargés en valises.

Le FIDS.

Bien j’ai mon BP sur mon téléphone mais une version papier c’est bien aussi, alors direction cette borne.

Merci pour l’information.

Je récupère les BP pour mon vol de ce jour et ceux de demain.

Vérification : il est trop tôt pour l’affichage de mon vol.

Direction le PIF, en chemin je fais une halte au worldshop Lufthansa.

Endiamo pour le A

Finalement il y a moins de monde que ce que je ne prévoyais.

J’ai juste mon petit sachet de liquide à sortir et mettre ma ceinture dans un bac, puis passage rapide au scanner corporel.
Je remets ma ceinture après le contrôle avant de passer au dutyfree.

Certaines testent des cocktails.

Mon BP indique la porte A60, bien que cela ne soit pas indiqué sur le FDIS, alors je décide de me diriger vers la droite.

Pour les amateurs.

Si jamais il y a de quoi faire un repas.

Ou de faire du people moover.

Des zones détentes mais complètes.

Des douches, voilà une bonne nouvelle.

Pour la pause café.

Plusieurs stands de journaux.

C’est plaisant d’avoir le temps d’admirer ces gros porteurs : notamment la reine du ciel.

Camel sponsor des fumeurs à FRA.

Superbe mérou.

Des petits canards mais moins beaux que ceux de la first de LH.

Après une bonne balade, me voici à la porte A60, rien n’est indiqué pour le vol.

A proximité, les mêmes dutyfree que le reste de l’aéroport.

Les bacs à promotion ?

L’instant campari.

Un des avantages des sièges à FRA : ce n’est pas du métal donc plus confortable et il n’y a pas d’accoudoirs, on peut s’y allonger pour dormir (info routard).

Je m’installe près de la baie vitrée et entame la lecture d’un nouveau roman, avec un œil sur les opérations sur cet A380 pour San Francisco.

En prenant la photo de mes documents de voyages, je tique sur le siège, je suis passée sur le BP papier au 5F alors que j’avais choisis la veille le 4F. A mon avis la J s’est agrandie entre temps. Mais mon BP électronique ne se mettra pas à jour, contrairement à la porte.

Bon vol au mérou.

Celui ci est immédiatement remplacé par un 747 en provenance d’Orlando.

La une du jour.

Du monde s’installe au fur et à mesure à proximité mais finalement c’est un vol pour Faro qui est annoncé.

Je check l’appli de l’aéroport, ma porte ne change pas donc je continue d’attendre sagement.

Un bus vient d’arriver, là c’est pour nous.

LH m’annonce sur mon téléphone le début de l’embarquement.
Celui ci est bien annoncé sur l’écran de la porte.

En toute tranquillité nous attendons que l’agent annonce que les passagers de la classe éco peuvent s’avancer vers les portiques.

Direction les escaliers, et le cobus.

Je voyage en mode léger.

Petit voyage vers notre avion, voilà les petites saucisses allemandes ;

Elles sont à côté d’une piste, ne pouvant pour l’instant pas sortir du bus j’admire les avions.

En effet, il y a des PMR en cours d’embarquement avec ce petit véhicule ascenseur.

Après un certain temps, nous pouvons enfin nous diriger vers l’escalier du CRJ.

Fuselage shot.

Mon siège derrière le rideau.

Le pas est bon, mais une passagère corpulente prendra place au siège voisin, l’espace sera du coup bien plus rétréci.

La carte des consignes.

Le magazine LH avec un article sur un des bonus de NicoBCN au Pérou.

Durant les consignes audio, j’observe l’atterrissage d’un cargo.

Puis Condor.

Un des avantages, pas de long roulage, nous sommes directement en bout de piste.

Et c’est parti pour la Pologne.

Le décollage sera très secoué, un peu comme une bouteille d’orangina (le commandant nous ayant prévenu avant le décollage).

Dès leur libération, la PNC de la classe avant vient tirer les rideaux.

Un trolley arrive avec distribution du sandwich : ce sera à la dinde POULET.

Ouf il y a un peu de carotte et de concombre.

Il y a pas mal de nuages.

Un deuxième trolley, celui de la classe avant qui vient de finir le service des deux passagers et qui nous propose une boisson.
Ce sera celle d’Atlanta pour accompagner ce repas.

Santé à tous.

Il ne reste plus rien.

Les PNC s’activent pour ramasser les déchets.

Nous contournons des nuages d’orage en arrivant sur WRO.

La ville n’est pas loin.

Il me semble les avoir vus il n’y a pas si longtemps ces hangars Ryanair.

Touché en douceur

Un aperçu du terminal.

La classe avant se lève.

Un bus pour quelques mètres.

Les chaises roulantes sont en attente des passagers concernés.

Pas de no photo depuis le bus.

L’entrée 1 non Schengen.

Un couloir pour accéder à la salle des bagages.

Je sors sans m’arrêter, direction un distributeur pour des PLN et je prends le premier taxi de libre pour me rendre en ville déposer mon sac à mon hôtel et partir non pas à la chasse aux nains mais à de joyeuses retrouvailles.
Merci pour votre lecture.
A bientôt pour le vol retour.