Mon « routing de ouf » pour rejoindre le terminal 2F de l'?aéroport Charles de Gaulle, d?'où je m?'envolerai vers Munich : Alésia, Mouton-Duvernet, Denfert-Rochereau [vous êtes ici].
Désolé, je ne connais pas les noms de code de ces stations de la ligne 4, ce qui m'?interdit une introduction classique exhalant toute la poésie d?'une commande par internet de pièce détachée pour cafetière électrique (par ex. : STR-CDGAF2309A31818H05).



J'a'i la chance d'?attraper EKLI (Port-Royal, Luxembourg, Saint Michel-Notre Dame, Châtelet-Les Halles, Gare du Nord, puis direct CDG1).

Sur le chemin, le Stade de France, à 1000 mètres et 2000 ans de la Basilique. A chaque temps ses passions et ses idoles.

Arrivée à CDG2. Juste après le portillon du RER, un restaurant « class'croûte ». Peut-être du second degré. A moins que la clientèle visée ne soit celle des « beaufs » qui s'?assument.
Le slogan « Vos repas ont du caractère » me laisse perplexe. A moins que de servir du bouillon de vermicelles-alphabet, l'?allégation est dénuée de sens. Habituellement, on attend tout bêtement d'?un repas qu'?il soit savoureux, nourrissant, non toxique. Pas qu'il ait du caractère. Un sociologue diplômé en marketing-publicité soutiendrait certainement que c'?est un cas d?'anthropomorphisme consumériste consistant à prêter à une chose une qualité humaine afin que la cible se « projette » sur l?'offre. Pour ma part, si je ne parviens pas toujours à éviter que les petites salades farfelues ne s'?ébrouent sur ma cravate, je prends garde à ce qu'?aucun café gourmand ne me bouffe le nez et j'?évite les itinéraires paresseux dont l?'indolence ne conduit nulle part. Peut-être qu?'avec des baskets fluo, mes pieds respireraient la joie de vivre. Dans le domaine, le pompon a été décroché haut la main il y a longtemps par FIAT ? au milieu des années 80 ? avec « Le » Mirafiori, qui en avait « entre les roues » (préoccupation latente de génération en génération comme on le verra).

L?'escalator montant vers le terminal 2F est en dérangement. Il n?'y a apparemment pas d?'escalier. Sans doute un défaut de signalétique. Un embouteillage monstrueux se crée devant l?'unique escalator d'?en face conduisant au 2E. Le tableau des arrivées et celui des départs me semblent avoir une fonction plus décorative qu'?informative, la lisibilité faisant défaut.


Dans le long corridor qui mène de la gare RER au terminus 2F, personne ne prête attention aux panneaux HSBC. C'est que tout le monde les a déjà lus dans le bon sens : « demain ne ressemble à rien ».

L?'avion est annoncé à l'?heure.

La carte d?'embarquement retirée à la borne, les contrôles (via la file « va-nu-pieds et coquefredouilles » qui m?'est dédiée) sont passés rapidement.

En chemin vers les portes 45 et suivantes, je prends un instantané (j'?ai retenu la leçon : « des immat, encore des immat, toujours des immat, et la France est sauvée ! ») : ici, F-HBNB, F-GTAS et F-GKXF.

Comme je sais, par expérience, que quasiment rien ne sera servi à bord et que je n'?aurai pas le temps de trouver quoi que ce soit à l?'arrivée, je demande un grand crème et un croissant (ils sont généralement frais et moelleux, sans pour autant être mous) au Columbus café.

L?'ambiance est animée, avec des groupes de lycéens en transit au retour de séjours linguistiques. Je descends vers la zone de boutiques hors taxes. Je ne comprends pas l?'indication figurant sur la droite du panneau : si j'?avais moins d'une minute pour embarquer, ce n'est pas dans cette coursive que j?'aurais l'?idée de m'?engager.

Je tente un passage aux commodités, mais bats immédiatement en retraite. Les lycéens dont j?'ai parlé s'?y pressent. L'?un d?'eux, qui à l'?évidence ne regarde pas devant lui, claironne que « Cédric » a été chichement doté par Mère Nature (il le dit dans ses propres mots, mais l'?imputation infamante est dénuée d'?ambiguïté). Le prétendu lilliputien, qui s?'est rapidement reboutonné, bourre de coups de pieds l'?arrière-train du diffamateur, lequel, malmené de la sorte, arrose le mur (jurons ; éclats de rire, etc.).

Je remonte vers la porte 52, mentionnée sur ma carte d?'embarquement, quand je reçois un sms m?'indiquant un changement : le départ se fera de la porte 47. Pour tromper l'?attente, j'?entreprends un sudoku. Mais rien ne se passe.

Je vais aux nouvelles. L'?embarquement, à nouveau déplacé, s'?est fait en porte 46, à laquelle je tournais le dos. J?'avais reçu un second sms mais n'?avais pas entendu l'?alerte. Répondant à mon inquiétude, l'?hôtesse du comptoir d'?embarquement me rassure : même si je ne suis pas « sky priority », je n'?aurai pas à pousser le bus et serai admis à bord. J?'obéis sans discuter à l?'injonction du pictogramme et cours dans la passerelle. Manquer l'avion alors que j'?étais sur place depuis plus d'une heure ! Je m'?engouffre dans le bus. Par réflexe plus que pour l?'intérêt de la chose, je prends du seuil, avant la fermeture des portes, un cliché de l'?avion garé tout à côté.



Last in, first out. Mais, pendant que je dégaine mon APN pour photographier l'?avion pour Munich, une dizaine de personnes se précipitent, la plupart avec plusieurs bagages. La place à bord va être chère.





Le commandant de bord (du moins, vu sa fière allure, je le qualifie de tel), nous accueille.

Soit. J?'avoue : ce n'?est pas lui. J'?ai assez entendu que je n'?avais PAS LE DROIT de photographier le personnel navigant. Donc j'?ai simplement cherché à restituer l'?impression perçue. Notez le sourcil légèrement haussé et la position de la main gauche, indissociable du placement des pieds en 10h05.
L'?aménagement de la cabine semble ancien. Je le préfère aux fauteuils minces qui me paraissent durs (mais c'?est peut-être uniquement psychologique). Deux rangées pour la classe affaires. Le fauteuil du milieu est en deuil. Trois rangées pour l?'économie supérieure, où seront casés les passagers qui se sont enregistrés à la dernière minute, car l?'avion est plein.

Je gagne rapidement ma place, un peu déçu de constater qu'?on voit trop d'?aile pour prendre aisément des photos en vol. J?'aurais dû choisir un siège au moins deux rangs plus loin. L?'espace aux genoux est réduit, sans être pour autant inconfortable. L?'avion se remplit lentement. Les hôtesses sont à la peine pour ranger tous les bagages, dont un grand nombre de sacs à dos. C'?était certainement prévisible dès le contrôle des cartes d?'embarquement. Il devrait être possible de trouver une ligne médiane entre la méthode « capharnaüm », adoptée ici, et le style « rottweiler » régnant chez Easy Jet.



L?'embarquement par bus suivi de l?'entassement des passagers et de leur barda se traduisent par un retard de 10 minutes pour la fermeture de la porte. Le personnel de bord exécute la pantomime des consignes de sécurité. A chaque voyage, j?'apprends quelque chose. Cette fois-ci, j'?entends qu?'en cas de dépressurisation les masques à oxygène tomberont (ce que je savais déjà), mais qu'?il n'?y en a pas dans les toilettes. Je me demande pourquoi : ils y seraient souvent bien utiles même en l'?absence de dépressurisation. Quelle peut être la cause de ce complément d'?information ? Un passager aurait-il été retrouvé asphyxié ? Et quels peuvent être le sens et la portée du message ? De toute évidence, Air France nous dit que chacun va aux toilettes à ses risques et périls. Pour en tirer les conséquences logiques, peut-on avoir, dans son bagage à main, un masque et une bouteille d?'oxygène et passer sans encombre les formalités de contrôle au motif que certaines activités exigent sécurité et sérénité ? Que de questions sans réponses se cachent derrière une annonce en apparence anodine !
L'?avion est prêt à partir.

Commence alors le roulage.
Un 146-RJ85 de Cityjet, sous deux angles différents


Un Boeing 737-300 de JAT

Un Boeing 737-800 d?'Air Algérie

Un Airbus A330 d'?XL Airways

Un Boeing 777 d'?Air Canada

Au loin, ce qui semble bien être un Embraer et un ATR


Un Boeing 737 de KLM atterrit. On aurait tout aussi bien pu décoller dans l'?autre sens : à l'?avant-plan, la manche à air - je me suis spontanément censuré, car je sais que ce site est parcouru par des jeunes filles ? (elles ne sont pas toutes orientées exclusivement poney) ? et des mineurs - n'?est que flaquesse et mollitude.

Un A320 d?'Air France décolle avant nous. Puis vient l?'un de mes moments favoris : on entre sur la piste pour l'?alignement. Maintenant, on ne rigole plus.
Il est 13h37.


Le deuxième moment favori, c'est quand l'avion s'arrache. Je n'ai jamais considéré cela comme une chose acquise.


L?'appareil s?'élève rapidement.




En l?'espace de 5 minutes, on survole Thieux, July, Montgé en Goêle, Saint Souplets, Monthyon.






Et puis la couche nuageuse est percée. Elle va masquer durablement le sol.

Vingt minutes plus tard, c'?est la « collation ». Depuis mon dernier vol fin février, le sachet de biscuits salés a perdu un gramme. Est-ce l'une des mesures « drastiques » d'?économies du plan « transform » ? Je serais Monsieur de Fursac, j?'éviterais d?'insister sur la collation comme preuve de la supériorité d'?Air France sur les low costs. Et encore, je n'?ai pas à me plaindre. Le 14 C, qui avait opté pour une petite bière, se retrouve avec trois rondelles (le terme de galettes serait tout bonnement excessif) sucrées Mère Poulard : « que voulez-vous, c'est tout ce qui nous reste ».

C?'est alors que le titulaire du siège 14B choisit de se distraire avec son lecteur MP 3 (ou 4). Mais son casque « fuit ». Je reconnais Sepultura dans Roots Bloody Roots, suivi d'?Orgasmatron. Lui, le regard perdu dans le vague, balance le cou d?'avant en arrière par saccades, en poussant de petits grognements. Je lui tapote l'?avant-bras en montrant les oreilles. Se méprend-il sur le sens de mon intervention ? Il pousse le son à fond. Le 14 C, peut-être énervé par sa bière aux biscuits sucrés, ou qui n'?est pas mélomane, fait glisser d?'autorité les écouteurs et dit : « tu baisses ça toud'suite, ouch'?te coll'?un pain ». On se croirait dans le métro. Mais le discours est efficace. Conclusion : quand on veut se faire comprendre, il ne faut pas hésiter à faire usage avec naturel du langage de l'?auditeur.
Pendant ce temps, j'?essaie de deviner où on peut être. Mais le ciel est couvert et, lorsqu?'une trouée se produit, on ne voit pas grand-chose. Serait-ce un méandre du Rhin ?

Il est 14h25. Compte tenu du retard pris au décollage, on devrait être au nord de Friedrichshafen. Effectivement, cinq minutes plus tard, je repère Wangen im Algäu.

A partir de là, le ciel se dégage un peu et les choses deviennent plus faciles.
A gauche, Rohrdorf, et le sillon marquant la frontière entre le Bade Wurtemberg et la Bavière



Puis Kaufbeuren, reconnaissable à son aérodrome


Schongau.

On aperçoit alors les trois lacs : l'?Ammersee (le plus grand) le Pilsensee et le Wörthsee.


L'?avion vire sur la gauche et longe l'?Ammersee.

Rivière Amper, Grafrath et Wildenroth.

Fürstenfeldsbrück.

On passe à l'?ouest de Dachau.

Puis on vire amplement vers la droite.
Grossnöbach.

L?'aire de Fürhozen sur l'?autoroute 9 près de Massenhausen. La ligne de S 1 allant à Pulling bei Freising. L'?aéroport est proche.




Achering.


'L'aéroport. On aperçoit un Airbus de la compagnie italienne BelleAir.


Atterrissage à 14h47.



D'?ici, on voit la motte (façon pyramide de Saqqarah) aménagée pour les spotters

On vient se garer non loin d?'un A380 ?Emirates.

La passerelle s'?approche

Le chauffeur a pour mission de rattraper les 10 mn de retard et les roues effleurent tout juste le bitume. J?'ai à peine le temps de photographier l?'Arena (le « Schlauchboot » ou canot pneumatique) au passage. Le revêtement d?'éthylène tétrafuoroéthylène (si, si), éclairé de l'?intérieur, peut changer de couleur selon les matches.

Je comprends pas. Deux fois le même FR avec seulement la date qui change. un vol le 6 mars puis exactement le même le lendemain ? Pourquoi ne pas avoir passé la nuit à Munich ?
Puis sur la photo du billet, il y a écrit embarquement en porte F52...
Bref, je comprends pas :)
Pour le routing terrestre ....
Alésia M4: U-15-05
Monton Duvernet: U-15-04
Denfert-Rochereau M: U-15-14
Denfert-Rochereau correspondance M/RER: U-18-00
Denfert-Rochereau RER: U-15-13
Aéroport CDG 2 - TGV: 087-271494 ou 70-10 ou ACDG2
A priori vu le trajet c'est le code 15-05 qui doit marqué sur votre ticket !
éventuellement 18-00 si double maculation ...
Merci pour ce FR
A moins que la clientèle visée ne soit celle des « beaufs » qui s'assument.
J'en fais partie et je n'ai pas besoin d'aller chaque semaine(ou plus souvent) chez ma psy ;)
Peut-être qu'avec des baskets fluo, mes pieds respireraient la joie de vivre.
il faut demander à pititom ;)
Toujours de très belles photos et une excursion géographique du parcours à la yann arthus-bertrand qui met définitivement saraoutou à la retraite !
A bientôt
@momolemomo : Ah! que c'est dur d'être un génie méconnu ! Je viens tout simplement de créer une nouvelle figure de style. Après le double FR séparé témoignant des impressions de chacun des deux voyageurs d'un même vol,voici le même vol effectué deux jours consécutifs par le même FRiste. Effectivement, pourquoi ? Plusieurs réponses possibles :
- il y a des hôtels à Munich, mais je les trouve trop chers et je me suis fait jeter par les auberges de jeunesse
- je suis très casanier et je ne peux dormir que dans mon lit
- ma femme avait claqué la porte de l'appartement avec les clefs à l'intérieur
- j'avais oublié à Munich mon cache-nez fétiche
- un tyranneau avait organisé une nuit de réflexion intense (appelée tempête cérébrale)autour d'un verre d'eau et à l'abri des oreilles indiscrètes, dont la conclusion a été, à 6h du matin, que je devais retourner au charbon et j'ai eu moins de 2h pour :
- m'effondrer sur mon lit pendant 47 mn
- prendre une douche et me raser(10 mn)
- sauter dans un slip propre (1 s)
- prendre une tasse de café bien fort (4 mn)
- me brosser les dents (3 mn)
- finir de m'habiller avec notamment nouer une cravate pas de chez Hermès (12 mn)
- vérifier le contenu de mon porte documents
- aller et venir en téléphonant à 5 ou 6 personnes bien intentionnées
- remonter à l'appart chercher mes papiers et mes sous que j'avais oubliés dans ma veste d'hier
- courir prendre le métro.
Le 7 au soir, on voulait que je rentre pour le même exercice. J'ai refusé tout net.
L'avion, c'est souvent un moyen de transport pour les loisir, mais aussi parfois pour les voyages professionnels, qui ne sont pas tous des chemins de lys et de roses.
FR, c'est un peu vis ma vie, et malheureusement, je n'ai pas beaucoup de rêves à partager.
Mais il me semblait intéressant de démontrer que même s'il s'agit de la même personne, de la même compagnie, du même vol, du même type d'avion,du même trajet, on ne fait jamais deux fois le même voyage.Aucune image ne se retrouve deux fois. Les commentaires sont différents alors qu'ils reflètent strictement les impressions du moment.
En ce qui concerne la porte : lorsque j'ai retiré ma carte d'embarquement, c'était la 52; ensuite elle a changé deux fois; j'ai bien pris connaissance du 1er sms, mais pas du second, et c'est ainsi que j'ai failli rater l'avion...
@BESMRS : merci pour le routing de pro; je me sentirai moins nul la prochaine fois.
@lagentsecret : j'ouvrais une option entre second degré et clientèle visée par la marque. A présent, je sais que c'est du second degré; merci de m'avoir rassuré. Surtout pas de retraite pour saraoutou, c'est mon petit frère et j'ai trop besoin de lui.
@momolemomo : Ah! que c'est dur d'être un génie méconnu ! Je viens tout simplement de créer une nouvelle figure de style. Après le double FR séparé témoignant des impressions de chacun des deux voyageurs d'un même vol,voici le même vol effectué deux jours consécutifs par le même FRiste. Effectivement, pourquoi ? Plusieurs réponses possibles :
- il y a des hôtels à Munich, mais je les trouve trop chers et je me suis fait jeter par les auberges de jeunesse
- je suis très casanier et je ne peux dormir que dans mon lit
- ma femme avait claqué la porte de l'appartement avec les clefs à l'intérieur
- j'avais oublié à Munich mon cache-nez fétiche
- un tyranneau avait organisé une nuit de réflexion intense (appelée tempête cérébrale)autour d'un verre d'eau et à l'abri des oreilles indiscrètes, dont la conclusion a été, à 6h du matin, que je devais retourner au charbon et j'ai eu moins de 2h pour :
- m'effondrer sur mon lit pendant 47 mn
- prendre une douche et me raser(10 mn)
- sauter dans un slip propre (1 s)
- prendre une tasse de café bien fort (4 mn)
- me brosser les dents (3 mn)
- finir de m'habiller avec notamment nouer une cravate pas de chez Hermès (12 mn)
- vérifier le contenu de mon porte documents
- aller et venir en téléphonant à 5 ou 6 personnes bien intentionnées
- remonter à l'appart chercher mes papiers et mes sous que j'avais oubliés dans ma veste d'hier
- courir prendre le métro.
Le 7 au soir, on voulait que je rentre pour le même exercice. J'ai refusé tout net.
L'avion, c'est souvent un moyen de transport pour les loisir, mais aussi parfois pour les voyages professionnels, qui ne sont pas tous des chemins de lys et de roses.
FR, c'est un peu vis ma vie, et malheureusement, je n'ai pas beaucoup de rêves à partager.
Mais il me semblait intéressant de démontrer que même s'il s'agit de la même personne, de la même compagnie, du même vol, du même type d'avion,du même trajet, on ne fait jamais deux fois le même voyage.Aucune image ne se retrouve deux fois. Les commentaires sont différents alors qu'ils reflètent strictement les impressions du moment.
En ce qui concerne la porte : lorsque j'ai retiré ma carte d'embarquement, c'était la 52; ensuite elle a changé deux fois; j'ai bien pris connaissance du 1er sms, mais pas du second, et c'est ainsi que j'ai failli rater l'avion...
@BESMRS : merci pour le routing de pro; je me sentirai moins nul la prochaine fois.
@lagentsecret : j'ouvrais une option entre second degré et clientèle visée par la marque. A présent, je sais que c'est du second degré; merci de m'avoir rassuré. Surtout pas de retraite pour saraoutou, c'est mon petit frère et j'ai trop besoin de lui.
Merci pour ce FR largement illustré et commenté, comme à votre habitude.
J'ai particulièrement apprécié le passage du voisin au casque fuyant :)
Un 10 pour le sucré-salé d'AF ??? Vous prenez des risques car certains commentateurs n'hésitent pas à invectiver sévèrement ceux qui osent mettre des notes trop basses à cette rubrique ;)
Merci pour ce FR marrant ;)
J'ai bien rigolé avec le baisse ça tou'suite ou ch'te coll'un pain XDDDDD
@Deucalion : Ah ok, je comprends mieux :) Le truc, c'est qu'il me semblait avoir vu les mêmes photos sur les deux FR. Bref, faut que j'arrête la tisane ;)
@momolemomom
J'ai toujours dit que les tisanes d'AF avaient une drôle de couleur ;)
Merci pour ce FR savamment rédigé ^^
Quelle fière allure ce commandant de bord ! Par contre, pour les objets contondants, il repassera :D
Sacré anecdote entre 14B et 14C ; quels âges avaient les protagonistes ? Les PNC sont-ils intervenus ?
Merci pour ce FR. Effectivement bien rédigé. +1 pour les propos du passager non mélomane concernant la tenue de son discours!
@Numero_2: il me semble que la note pour la collation doit tenir compte de l'heure à laquelle elle est servie. Un simple café le matin ou un jus de tomate à 18h me vont bien ; mais à partir de 13h, j'apprécierais quelque chose d'un peu plus consistant. Il me semble me souvenir que lors d'un trajet Lisbonne Paris et un autre Paris Berlin, on m'avait proposé un sandwich, et c'était bien.
@momolemomo : no problem; moi je prends saveurs du soir.
@padawan et Aurel-LIL : 14B entre 25 et 30 style étudiant prolongé ; 14C : 40/45 genre cadre-sup no nonsense. En fait, ils se sont retrouvés par hasard côte à côte, car au début 14B était une jeune femme qui a changé de siège après le décollage. Le propos a été aussi bref qu'intense, et les PNC ne se sont rendu compte de rien.
Excellent ce FR ,j'ai bien ris lol ,
Les photos sont très belles .
Merci pour ce FR !
Merci pour ces précisions. J'appréciais beaucoup vos interventions aux côtés de Dorothée (une de mes idoles)dans Club sciences.
@saraoutou : le précédent message était à votre attention, bien entendu.
Merci pour ce FR très bien présenté, dommage qu'il n'y est pas de vidéo!