Avis du vol Air Caraibes Fort-de-France → Paris en classe Affaires

INTRODUCTION

Bonjour et bienvenue dans cette série de FR qui nous conduira sur les plages des Caraïbes, plus précisément en Martinique, et par la suite en Corse.

Vous pouvez retrouver le vol aller en cliquant ici. Il est un peu plus complet, explique le pourquoi du comment et contient un bonus touristique. Rappel du routing :

ROUTING

Rien de plus simple :

• Paris (ORY) => Fort-de-France (FDF), Air Caraïbes en classe Affaires sur Airbus A350-900 : Click here
• Fort-de-France (FDF) => Paris (ORY), Air Caraïbes en classe Affaires sur Airbus A350-900 : Vous y êtes
• Paris (ORY) => Bastia (BIA), Air France en classe Eco sur A320 : A venir ?
• Bastia (BIA) => Paris (CDG), Air France en classe Eco sur A318 : Non reporté

AEROPORT

Après avoir rendu la voiture de location, on entre directement dans l’aéroport.
Il y a quelques personnes dans la file d’attente pour la classe éco, mais ce n’est pas encore bondé. Pour la business, c’est vide. On sera pris en charge dans la foulée par un agent très souriant qui prendra le temps de nous indiquer les commodités de l’aéroport, le chemin jusqu’au salon, etc. Très gentil monsieur !




On prend l’escalator qui mène à l’étage où sont situés PIF/PAF.

Il y a bien un passage réservé où il est écrit un truc genre « passagers salon », on se doute que c’est l’accès au coupe-file prioritaire mais je ne trouve pas ça vraiment explicite…




On arrive ensuite face aux postes de la PAF où il n’y a personne, pendant que les autres pax sur notre droite avancent tranquillement. Il se passe presque une minute avant qu’une PAF-woman nous remarque et nous fasse signe de venir la voir.

Il n’y avait aucune barrière, personne pour surveiller, on aurait pu passer ce qui est censé être une frontière au moins 10 fois sans que personne ne nous voit. C’est VRAIMENT abusé.

Bref, direction le salon, accueil souriant. Offre assez restreinte aussi bien en solide qu’en liquide, mais c’est un salon qui a le mérite d’exister et d’être confortable, bien que très petit (donc vite rempli).

LE VOL

Au moment d’embarquer, l’hôtesse appelle les pax J de mon vol afin de nous escorter en porte. C’est vraiment une bonne idée car le terminal de FDF est étroit, tout le monde s’entasse devant la porte, et on a du mal à circuler, surtout à quelques minutes de l’heure de début d’embarquement.

L’hôtesse nous permettra donc de nous faufiler devant tout le monde en toute facilité sans que personne ne fasse de remarques désobligeantes (à part quelques étonnés qui sont dans l'incompréhension ^^)




SS derrière TX




On arrive en cabine Madras, la même qu’à l’aller (pour ceux qui n’ont pas lu mon FR de l’aller, cette cabine avec lit full-flat n’est dispo chez TX que sur les A350, sinon c’est du lie-flat)




L’apéro de bienvenue, je choisi du champagne




La cabine est pleine pour ce vol de nuit




Je me choisis un film dans l’offre assez réduite de l’IFE (30-40 films à vue de nez)




Et on décolle !




Le rideau est tiré




Les tables sont dressées et on nous distribue les menus ainsi que des iPads contenant la presse




Voici les amuse-bouches. Pour la boisson, je resterai au champagne.
« Dips de fromage frais à la courgette et ses mini gressins »




L’entrée « Chiquetaille de cabillaud et salade de papaye verte »
C’est bon et relevé. J’aime bien le fait d’avoir dessiné une petite fleur. Mais toujours ce plateau moche et son set en papier qui viennent gâcher le visuel !




Le plat « Emincé de poulet sauce surry, ananas rôti et riz mandja »
Un peu sec et vraiment pas top au niveau du goût (ni au niveau de la présentation, d’ailleurs). Pour la quantité c’est ok, mais on repassera pour la qualité. Idem pour le dessert, et je ne parle pas de la salade dans son emballage plastique. Assez décevant pour le coup.




On passe en mode dodo, et la cabine est plongée petit à petit dans le noir.




Au réveil, la nappe est de nouveau dressée et on nous apporte le petit déjeuner.
C’est simple, pas mauvais, par contre ce qui était annoncé comme du pain perdu a très mal vécu le voyage, c’est tout mou et tout raplapla.




Après ce PdJ, on est pas loin de l’atterrissage




Pas de photos de l'atterrissage pour la simple raison que mon téléphone est tombé entre le siège et la coque fixe du siège, ce qui fait qu'il était "dans" le siège, en dessous, dans les mécanismes qui permettent au siège d'être transformé en lit (difficile à expliquer par écrit). Bref, impossible d'y avoir accès. Une fois l'atterrissage fini, j'ai demandé aux PNC un peu d'aide, elles m'ont aidé à soulever un peu le siège, ont pris une lampe torche, se sont mise au sol et ont essayé de récupérer le téléphone dans les méandres des objets tombés au même endroit. Elles ont vraiment tenté de faire le maximum quitte à bien se salir les mains ! Finalité, rien à faire, il a fallu faire venir un technicien qui a démonté certaines parties du siège et qui a pu récupérer mon téléphone en moins d'une minute.

Pas de photos lors de la sortie non plus, cette fois à cause d’un contrôle inopiné de la Douane directement dans le jetbridge (ce qui provoquera une sacrée file d’attente pour les pax éco). La J ayant son jetbridge réservé, ce sera rapide.

On récupère les bagages assez rapidement et surtout, les priorités de livraison seront respectées à la lettre ! Aucun autre bagage n’arrivera sur le tapis avant les bagages prioritaires. Un bon point.
Ça nous permet de filer tout droit au Novotel via le fameux tunnel aérien pour y dormir une bonne partie de la journée avant de repartir vers la Corse le lendemain.





Info hôtel : chambres modernes, propres et suffisamment spacieuses, le tout avec un personnel aimable, pour un prix raisonnable. Mais ne pas manger au restaurant qui se dit bistronomique alors que c’est simplement une brasserie basique avec des prix plus élevés (et en prime, on ne vous change pas les couverts entre l’entrée et le plat ! La honte).