(H)ola;
Il est l’heure de rentrer au Brésil et de refaire le chemin aller en sens inverse.
Pour rappel puisque ces vols commencent à dater :
Enchainement de vols
- 1
- 2CM 686 - Economique - Panamá City → Cartagena de Indias en Boeing 737-800
- 3CM 686 - Economique - Cartagena de Indias → Panamá City en Boeing 737-800
- 4CM 686 - Economique - Panamá City → Rio De Janeiro en Boeing 737-800
La veille de mon départ je m’enregistre en ligne et c’est là que je découvre avec grand plaisir que Copa Airlines permet la sélection de sièges issues de secours gratuitement. Je m’installe donc au 13F pour les deux vols.
Le vol depuis Cartagène se passe sans encombre et très rapidement. CTG est un aéroport très petit, et j’ai du mal à imaginer comment il peut accueillir un 787-9 de KLM. Cela dit pour mon vol vers PTY et celui d’Avianca vers MIA qui partait au même horaire il n’y a pas eu de soucis.
Ici lors de l'embarquement à CTG qui se fait à pied depuis le terminal.

L'arrivée à PTY permet d'observer les nombreux bateaux qui attendent de passer le canal, ce qui n'est pas sans me rappeler les côtes de Bakırköy à Istanbul où mouillent les bateaux qui attendent de franchir le Bosphore.

En parlant d'Istanbul, qui pointe le bout de son nez juste après mon arrivée ? Un bel A330-200 de TK en provenance de BOG et à destination de IST.


À PTY, j’ai 4h30 d’escale. Trop peu pour faire quelque chose de constructif comme sortir de l’aéroport et aller me balader en ville, mais bien assez pour m’ennuyer à mourrir. Bon en réalité, j’ai une saison entière de Friends dans mon téléphone pour passer le temps.
J’ai mis un peu de temps à l’aéroport avant de me décider à prendre des photos pour un éventuel FR. Donc la présentation sera un peu limitée.
Cependant pour vous donner mon avis, cet aéroport qui s’auto-proclame « Hub of Americas » est encore loin d’offrir la panoplie complète du hub. Tout d’abord l’aéroport et truffé de dutyfree partout, de magasins de vêtements, souvenirs, hi-tech… j’ai compté trois magasins Lacoste.
Par contre, j’ai galéré pour trouver un magasin vendant une bouteille d’eau (en dehors des lieux de restauration qui vendent leur eau à 6$). Il m’aura fallu traverser tout le terminal et j’ai compté seulement deux magasins de ce genre (vente de confiseries, boissons et donc eaux).
En parlant de lieux de restauration en général, les prix sont très chers. À peut-être quelques exceptions prêt, on ne trouve rien à manger pour moins de 10 USD, pas même un sandwich. Quand on vient de Colombie et que l’on va au Brésil cela paraît très cher.
Le point noir reste encore le wifi. L’aéroport n’offre que 30 minutes de wifi gratuit (avec un débit plus faible que l’option payante). Pour un aéroport qui se veut un hub de transit, où les passagers doivent demeurer en moyenne entre 1h et 4h, c’est ridicule. On parle quand même du minimum qu’un aéroport puisse offrir.
Dans le même genre, les prises. Elles sont du type A / B au Panama, ce qui est compatible avec les prises nord-américaines et colombiennes. Maintenant, globalement dans tout le cône sud et dans pas mal de pays d’Amérique centrale/Caraïbes, on utilise d’autres types notamment C (comme dans la majorité de l’Europe). Donc pour devenir le hub des Amériques il aurait peut-être fallu penser à ça, en installant par exemple des ports USB. Je n’ai pas eu de problème car j’ai un adapteur mais d’autres ont eu et auront sûrement à faire face à cela.

L'aéroport ne respire pas vraiment le propre…

Bref, j’ai été très déçu par les services proposés par cet aéroport. Vu le niveau, on se fait discret et on se la ramène pas avec son « Hub of Americas ».
Copa Airlines propose une installation pour présenter sa nouvelle Business. Ces sièges permettront à la compagnie de se rapprocher de ce que proposent les majors en classe avant sur les vols trains-Amériques. Ils seront installés sur les Boeing 737 MAX que la compagnie va recevoir progressivement (actuellement un MAX 9 dans la flotte) et sûrement opérer sur ses lignes les plus longues.



(j'ai écris ces lignes il y a déjà qq temps et bizarrement ça ne parait plus trop d'actualité pour le moment, à noter que CM possède désormais 6 MAX9).
Autre point négatif on peut parler de la faible diversité du trafic aérien ? (pas sûr que ce soit un critère valable pour la notation)

Me voilà dans ce terminal qui n’est pas désagréable sinon, grand, assez lumineux avec certains endroits avec de nombreuses baies vitrées (qui rendent les sièges au soleil très chauds). Un aéroport très états-unien selon moi, avec tous ses défauts mais aussi ses qualités comme le fait de débarquer directement en salle d’embarquement ce qui permet un transit extrêmement rapide.

On pourrait être à MIA que ça ne changerait pas grand chose. Il faut dire que les sports populaires aux US, en particulier le baseball, se sont bien exportés autour du bassin caribéen. Seul le hockey sur glace n'a pas trop marché va savoir pourquoi.

La panoplie de magasins va du Rolex au vendeur de protéines et d’autres équipements pour les amateurs de fonte.

Les tapis roulants ne fonctionnent pas.

Ayant vite épuisé mes 30 minutes de wifi je me mets en quête du genre de magasin qui vend téléphones et tablettes, ayant développé une technique assez efficace dans ce genre de situation.
Je ne suis pas déçu, je trouve un genre d’Apple Store qui permet de multiplier les accès au wifi, chaque appareil représentant potentiellement 30 min d'accès au wifi, suffit juste de paraître intriguer par la machine. Vous voyez comment on vit quand on a pas accès au salon?
Ça permet de checker la une du jour.

Mais aussi accessoirement le statut de mon vol.

Après un long périple à travers le désert je trouve enfin un abreuvoir.

Puis enfin le graal, le dit magasin vendant eaux, boissons et sucreries. Cependant à 5,50$ la bouteille d’Evian, je retournerais m’abreuver au point d’eau.


Vla le FIDS. Pas moins de 6 vols vers le cône sud vont décoller en l’espace de 20 minutes dont deux vols vers São Paulo à 5 minutes d’écart. Il faudrait peut-être penser à acheter de plus gros avions…

On trouve à l’étage un food cou
Petits budgets, s’abstenir.

Bon sinon ça a été l’occasion de voir ou revoir quelques beaux avions. Ce fut déjà une belle surprise et un grand plaisir de revoir un avion de TK, en la personne de TC-JNB, alias Konya. Et l’idée de tous ces petits köftes à son bord me réchauffe le cœur. Il opère une belle triangulaire IST-BOG-PTY-IST, un vol que je tenterais bien, même si le IST-HAV-CCS-IST est plus attrayant.
La salle d’embarquement qui attend les passagers du vol CA866 Panama City-Houston-Pékin.

Un 737-800 d’AeroMexico avec sa livrée métallique que j’adore mais qui va disparaître au profit d’une eurowhite bien moins originale.

Un 737-800 Copa Airlines en livrée *A qui n’est pas celui que j’ai pris à l’aller.

J’accède au satellite par ce couloir.

D’ailleurs, en parlant d’Air China, voilà le 777-300ER qui pointe le bout de son nez. On voit aussi un 737-800 de Copa en livrée spéciale MLB (ligue de baseball états-unienne)

Dans le satellite il y a plein de portes et plusieurs embarquements se chevauchent les uns les autres. Ce n’est déjà pas tout simple avec des 737 et E-jets, j’espère qu’ils ne parquent pas là des wide-bodies.
Un MD-81 - une pièce bien rare de nos jours, de LASER, une compagnie vénézuélienne que j’aimerais bien prendre.

02:39pm, mine de rien mon embarquement va commencer sous peu.

Lorsque l’embarquement commence, les « prioridads » sont respectées scrupuleusement et rapidement expédiées. La zone 2 qui ne fait que quelques rangs embarquent très rapidement, et en faisant partie et étant debout je me glisserais pour embarquer directos. C’est assez rare pour le dire puisque je fais plus partie de la team embarquement en dernier que des lève-tôts.

Bon bref j’embarque dans ce 737-800, mon destrier pour les prochaines heures.

A droite un E-190, l’autre appareil de la flotte de Copa, en livrée spéciale ConnectMiles.com, le programme de fidélité de la compagnie.

Seule photo de la bestiole (histoire de garder un souvenir au cas où my.flightradar24 n’ait pas choppé l’immat lol)

Un M’sieur m’attend.

Passage par la J. Comparé à ce que la compagnie présentait dans le terminal, ça fait moins rêver d’un coup. J’imagine la déception du mec qui s’attendait à avoir la même chose.

De ce côté, la Y, c’est quand même chouette. Et avec le sourire en plus (enfin il faut l'imaginer).

Pas grand monde encore, mais le fait que je sois seul sur mon siège issu de secours à la fin de l’embarquement de la zone 2 me semble bon signe.
La cabine est la même qu’à l’aller.

Le siège aussi.


Hormis le pitch qui est ici démentiel. De mon 1m80 je ne peux mettre que mes pieds à l’ombre du siège de devant. Bien heureux d’avoir pu sélectionner une issue de secours.

La vue de mon hublot. Ce winglet a été installé sur tous les 737 de CM qui ne sont pourtant pas des MAX.

L’IFE n’a pas changé et met en avant des destinations du réseau.

Cette version du bonnet de Noël nous rappelle que cette période de l’année ne signifie pas partout neige et froid.

L’embarquement semble se terminer et cette fois je ne compte pas me faire chiper mes sièges comme à l’aller. Oui, oui mon passeport a besoin d’un siège pour lui seul.

Salta, nouvelle destination, la cinquième en Argentine. (que j'ai eu l'occasion de visiter depuis)

Tout comme Pedasi.

Des écouteurs sont distribués mais je ne m’en servirais pas.
La carte du réseau a changé depuis mon vol aller puisque le 1er décembre j’avais eu le magasine de novembre.

Niveau flotte, pas de surprise, rien n’a bougé.

La pochette est toujours clean.

Vomito bag et la fiche de sécurité.

Je suis donc tout seul sur mon rang, et je le resterais pour tout le vol.
Le steward vient se présenter gentiment à moi et m’explique ce qu’implique d’être à une issue de secours. Je les connais déjà puisque le vol précédent j’étais assis au même siège. L’épreuve la plus dure consiste à lui répondre en espagnol puisque la maîtrise de la langue est une condition pour être assis ici.
Les démonstrations de sécurité en vidéo commencent alors que nous repoussons.

Le roulage durera une petite dizaine de minutes.
Passage devant le futur nouveau terminal de PTY.

Alignement et décollage.

Virage à droite et direction le sud-est…

et le Pacifique.

Que nous survolerons pour la première partie de vol avant d’arriver sur les côtes colombiennes.


Pas mal d’îles dans le coin.

Comme à l’aller, la cabine est majoritairement dans la pénombre.

C'est ptetre pas la nouvelle J de CM mais ça fait le taffe.

Notre survol du Pacifique n’aura pas durer bien longtemps. Disons que les gilets de sauvetage paraissent moins utiles d’un coup.

Le service commence alors que nous survolons Bogota, soit une heure après le décollage.

Pollo ou pastas ? Pastas por favor (pour rappel je suis toujours censé parler espagnol)
Le plateau tel qu’il arrive.

Toujours mon jus goyave-ananas.

La salade est la même qu’à l’aller et la vinaigrette (plutôt bonne encore une fois) aussi. Les pâtes sont plutôt bonnes avec une quantité généreuse de fromage. Les gâteaux sablés en dessert sont assez décevants. Le pain répond au standard des pains de classe économique.

Ayant encore faim, j’appelle le steward pour lui demander si il est possible d’avoir un autre plateau. Il me répond que oui mais qu’il ne reste que du poulet. Bon ben ça me permettra de tout goûter.
Nous voilà déjà bientôt au Brésil !!

Je ne vous présente pas le reste du plateau qui est sensiblement le même. Le plat lui est composé de légumes, pommes de terre et de poulet en sauce. Le poulet est très bon, le reste un peu fade.

Les couches de nuage sont nombreuses mais très irrégulières. Le soleil baisse assez rapidement puisque nous nous déplaçons vers l’est.

Cela offre de belles scènes à l’extérieur.

La cabine est désormais totalement dans le noir et je suis quasiment le seul à avoir mon hublot ouvert.

Dommage les autres ratent un très beau coucher de soleil au dessus de l’Amazonie.






Le soleil finit par disparaître.


Nous sommes alors au-dessus du Mato Grosso do Norte.

Un petit tour aux toilettes offre une situation un peu paradoxale. Sinon elles étaient propres, même si les heures de vol commencent à laisser des traces.
- Cela dit, à posteriori, j'ai appris la raison de ce non-sens, qui m'avait laissé très perplexe. Pourquoi un cendrier, qui plus est bien indiqué, si l'on a pas le droit de fumer ? Et bien tout simplement car si jamais quelqu'un décidait de s'en griller une malgré des règles (très) strictes, il trouverait un endroit où jeter son mégot sans risquer d'incendier l'avion.

La cabine plongée dans le noir.

Le second service va commencer alors que nous approchons de Brasilia.

Il s’agit d’un cheeseburger (le moins évolué possible), d’un niveau similaire à ce que proposent les McDonalds et autres Burger Kings, pas folichon. Mais ça fait l’affaire pour se caler un peu avec cette arrivée tardive.


On approche peu à peu de notre destination finale.

Dehors, pas grand chose à voir, mon téléphone ne permettant pas de capturer grand chose.
La cabine est rallumée pour être préparée.

Les restes de la collation sont ramassés.
L’IFE diffuse une vidéo des douanes brésiliennes, qui fait un peu peur et incite a déclarer tout plein de choses lors de l’arrivée. Le mieux est encore de faire comme si on avait rien vu.

Le mood-lighting est allumé alors que l’on arrive à proximité de la baie de Guanabara.

La descente est rapide et on se pose à 01:12, avec donc 18 minutes d’avance.


Le roulage est assez long.

La J après 7h10 de vol.

Débarquement, il faut se retaper le long couloir jusqu’à la PAF. Étant dans les premiers à débarquer je n’attendrais pas une seule seconde.

Traversée de l’impressionnant duty-free. Et enfin j’atteins la sortie. Après ce sera Uber jusqu’au centre, très rapide à cette heure.

Voilà, acabo pour la Colombie (enfin plutôt le Panama en l'occurence).
Merci pour ce tres bon FR !
Copa est vraiment une très bonne compagnie avec un développement maîtrisé. Je trouve d’ailleurs sa flotte très rationalisée, certe on pourrait souhaiter de plus gros modules type 787/350 mais le Panama est un petit pays.
Les cabines sur 737 MAX sont encore mieux, enfin s’ils revolent un jour ...
A bientôt !
Sur le 737max9 copa a introduit une 3e classe, une éco Premium avec écran individuel et une éco classique sans écran individuel, mais avec une prise usb permettant de se connecter à leur système de divertissement via smartphone, tablette ou ordi portable, pas bête comme idée.
Je réponds un poil en retard, mais mieux vaut tard que jamais, comme on dit.
Je suis d'accord, surtout que CM reçoit déjà bcp de feeds par Air France, KLM, Air Europa, Iberia, Lufthansa avec lesquelles, elle partage ses codes. Elle n'a donc pas besoin d'opérer de vols long-courriers.
Merci pour ton commentaire.
Merci beaucoup pour le partage !
Le produit Copa dans son ensemble est vraiment sympa, je connais des compagnies qui offrent moins pour des vols plus longs :)
A bientôt !
Oui, c'est vraiment bien, et encore une fois preuve en est que voler sur mono-couloir pour un vol "long" n'est pas forcément quelque chose d'inconfortable.
Merci pour ton commentaire.
Merci pour ce FR.
Un vol plutôt pas mal.
Le fait d'être en issue sans voisin aide grandement au confort.
Le catering est bien, on a déjà vu pire.
A bientôt
Merci pour ton commentaire.
Merci pour le partage de cette compagnie major en Amérique Latine trop peu reportée ici. Encore un souvenir d'un vol depuis la Colombie, Cali-Panama en 2004, en Boeing 737-700NG, nec plus ultra en cours de livraison à l'époque. L'aéroport n'était pas du tout ce qu'il est aujourd'hui mais c'était déjà un beau hub avec 70 à 80% de passagers en correspondances. Le pays a bien changé depuis également, Panama c'était la petite Suisse de l'Amérique Latine, aujourd'hui c'est presque le Dubai de l'Amérique Latine. Je ne pense pas du tout que Copa songe à commander des avions plus gros, qui seraient synonyme d'un entretien plus lourd, d'un temps de traitement plus long au sol donc turn-around entre 2 vols plus long, plus de redevances aéroportuaires etc... Sans compter qu'il faudrait embaucher plus de Stewart et Hôtesses, nécessairement bien plus nombreux à bord, et de personnel au sol nécessairement aussi plus nombreux pour traiter au sol un avion plus gros. De plus les Boeing 737 plus petits se remplissent donc plus facilement avec tous les avantages des mono-couloirs en terme de coûts d'exploitation... Copa applique la même stratégie depuis 20 ans qui lui réussi, comme on dit on ne change pas une équipe qui gagne, et malgré son important développement, çà m'étonnerait qu'elle prenne le risque d'acheter des avions plus gros comme le 787 même si elle en aurait les moyens...
Le Panama a quand même pas mal de choses à offrir en terme de diversité de paysages et d'environnements, plus que Dubai à mon sens, mais je comprends la comparaison pour ce qui est de Panama City.
Je suis d'accord pour le LC, c'est sans intérêt. Avec les 737 et en particulier les MAX s'ils revolent un jour, elle peut atteindre toute l'Amérique latine sans soucis. Le marché européen lui est ouvert par tous les partages de codes qu'elle entretient avec les compagnies du continent. Je ne sais pas si à part peut-être Madrid, il y a d'autres destinations qui pourraient être viables en propre.
Merci pour ton commentaire !
Merci pour ce nouveau FR sur un (très) long vol en B737 ! Heureusement que les cabines et le service de CM sont plutôt bien adaptés à ces longs vols en monocouloir. Un IFE de bonne qualité, deux prestations chaudes... Et en prime une issue de secours gratuite !
Beau spotting à PTY avec des compagnies qu'on ne s'attendrait pas à retrouver en Amérique du Sud, comme CA ou TK.
A bientôt !
Merci pour ton commentaire.
Pour avoir pris le Max 9 c’est un superbe avion cependant le retrait de l’écran au profil d’un IFE sur téléphone est un retrait vraiment triste.
Merci pour ton commentaire.
Je suis tout à fait d'accord.
Merci pour ce FR
Quelle errance peu agréable dans cet aéroport :(
Les prix y sont délirants
Siège confortable (et gratuit) à l'issue de secours
Le plateau hormis les sablés vous a plu.
Ce n'est pourtant pas très appétissant, surtout les pâtes qui paraissent trop cuites
et manquer de sauce.
Le poulet joue dans la même ligue lol
Superbes photos du coucher de soleil
"Mais ça fait l’affaire pour se caler un peu avec cette arrivée tardive."
Pour sur car c'est un vol qui dépasse les 7 heures tout de même
A bientôt
Merci pour ton commentaire.
Effectivement, PTY n'est vraiment pas un aéroport très agréable.
Le premier service n'est pas d'une grande qualité mais le second a quand même le mérite d'exister.