Avis du vol entre Paris et Pointe-à-Pitre en classe Economique avec Air France

Quelques jours après mon retour d’Asie, je vous retrouve pour un nouveau vol vers Pointe à Pitre pour 4 jours de travail sur place.
Le déplacement s’était décidé à bord du moto taxi qui m’a amené de Montparnasse à CDG pour attraper mon vol Aegean vers Athènes, mais je n’ai effectivement eu le temps de m’occuper de ce vol qu’en arrivant à Bangkok car le Wifi était cahotique à Koh Rong Samloem.
Rien de sexy cette fois-ci : à J-6, Premium Economy hors de prix et disponible qu’à l’aller, et mes contraintes professionnelles (je devais être à Lorient vendredi matin) me forcent à réaliser le routing suivant…
Aéroport de Bordeaux-Merignac – Aéroport de Paris CDG, Air France, classe économique, dimanche 10 Juin 2018 (pas reporté)
Aéroport de Paris Orly – Aéroport de Pointe-à-Pitre, Air France, classe économique, dimanche 10 Juin 2018
Aéroport de Pointe à Pitre – Aéroport de Paris Orly, Air France, classe économique, Jeudi 14 Juin 2018 (pas reporté)
Aéroport de Paris Orly – Aéroport de Lorient Lann Bihoue, Air France, classe économique, Vendredi 15 Juin 2018 (pas reporté)
J’ai préféré dormir sur les deux derniers vols car j’étais en présentation à 11h à Lorient et je voulais être en forme. Seul le premier long-courrier sera reporté.
Le FR commence dans l’avion car le changement entre CDG et Orly n’a pas été de tout repos : le vol initial est arrivé avec 30 minutes de retard, et j’ai pris le RER au lieu de la Navette.
Bref, j’arrive alors que l’embarquement est bien entamé ! Pas de passage au salon cette fois-ci … cela dit, ce n’est pas une grosse perte ;)
Le pitch est correct pour mes courtes jambes.

Par contre, l’IFE rappelle la dure réalité, et me rappelle avec douleur que quelques jours plus tôt … j’étais bien mieux installé :)

Décollage à l’heure et la première prestation est servie 50 minutes après le décollage.

J’ai cette fois-ci également opté pour l’équivalent du low calorie meal : le menu diététique sans sauces. Je suis servi en premier.
On commande avec des carottes rapées, des tomates coupées en lamelle et des haricots verts.

Je retrouve les crackers du Patio ou de mes vols La Navette.

Le plat est conforme à mes attentes, et le riz est assez étonnamment bien cuit.

Ca ne prendra pas trop de temps à être terminé, mention spéciale pour les fruits et le clafoutis qui étaient très bons ! Je suis content de mon choix !

Pour terminer ce repas, l’hôtesse en charge de ma cabine m’offre une boisson chaude : café et eau.

Curieuse chose que ce porte-gobelet cubique… mais ça tient !

On est ici lorsque je termine mon repas.

Un tour aux sanitaires : c’est déjà un peu le boxon.

Clin d'oeil à Katia :)

Je profite de ce temps de vol pour me mettre à jour dans ma cinématographie, et enfin voir ce film qui m’a fait défaut en 2017.

Puis c’est parti pour un combo film & travail, avec ce PC gracieusement prêté par mon service informatique (la carte mère de mon ordinateur a grillé au Cambodge…)

Je fais un break et me dirige vers un bar érigé entre les deux cabines de la classe économique pour boire de l’eau. J'en viens à discuter avec un steward de la situation de l’époque chez Air France (départ de Juniac, situation sociale tendue…). Le portrait qu’il dressait alors, laissait penser qu’il était plutôt dans la branche dure du militantisme. Mais quelque soit ces propos, il est resté pro jusqu’au bout, me proposant même un remontant si j’en avais besoin et me remerciant de continuer à voyager avec Air France.
A mon retour, je m’aperçois que j’ai encore le temps pour un troisème film !

Et un quatrième que je n’ai pas pu visionner jusqu’au bout.

Une collation est servie 1h10 avant l’arrivée et là encore, le menu spécial fait son effet.

Voilà voilà…

Je retrouve mon combo café/eau.
Tout sera plié 40 minutes avant l’atterrissage. L’avion prend alors une trajectoire que je n’avais pas expérimenté jusqu’à alors… si les experts peuvent m’éclairer sur le chemin emprunté…

Arrivée sans encombre et je commence l’apéro avec un rhum arrangé local :)