Avis du vol entre Rio De Janeiro et Brasília en classe Economique avec GOL

Petit FR sur un vol où il n'y a pas grand chose à dire, mais qui permet de faire la liaison dans le routing et, peut-être, de répondre à quelques questions sur Gol.
Tous les détails sur la construction du routing se trouvent dans le premier FR de la série :

Après la visite des chutes d'Iguaçu, nous nous accordons un peu de farniente à Rio. Nous restons au Sheraton, sur la plage de Leblon. Cet hôtel a la particularité d'être le seul avec un accès direct à la plage (les hôtels à Rio étant normalement séparés du front de mer par l'avenue Costa).

L'hôtel est de grand standing, mais se situe aux portes de la favela de Vidigal. Dans tous les pays du monde, des quartiers plus ou moins riches cohabitent, mais il n'y a qu'au Brésil où j'ai pu constater une cohabitation aussi proche des quartiers.

Si nous avons traversé cette favela, c'est que c'est le seul moyen d'accès au Dos Mauros, un point de vue qui se mérite (la grimpette est dure !) mais qui en vaut la chandelle.

Puis au bout de 3 jours, nous reprenons la route de l'aéroport. Nous partons de Santos Dumont qui a l'avantage d'être en plein centre ville, mais la signalisation est nullissime : les loueurs ne sont même pas indiqués du tout et nous passerons une bonne trentaine de minutes à trouver le point de chute de notre voiture.

L'aéroport est minuscule et on se dirige rapidement vers les comptoirs. Globalement, le niveau d'anglais au Brésil est très faible, et SDU doit accueillir plus de locaux que de touristes, et même auprès des compagnies, aucun anglais n'est parlé.

Nous tentons la ligne Premium de Gol, du fait de notre statut chez Air France, quand bien même notre billet est purement Gol.

Puis la sécurité est rapidement passé et nous nous retrouvons dans la zone d'embarquement qui est plus ou moins un gros couloir avec les portes.

Pas de salon pour nous, on se rabat alors sur un des restaurants sur place. Ils sont assez nombreux par rapport à la taille de l'aéroport.

Et plutôt bon marché : nous ferons un repas d'empeñadas et de bière pour une grosse dizaine d'euros à deux.

Puis nous nous dirigeons vers la porte à l'appel de notre vol.

L'employée qu'on voit ici fait une espèce de "pre-check" des documents et s'assure du respect de la file prioritaire.

Nous sommes validés et la carte Flying Blue donne bien l'accès à la file prioritaire.

Accès à notre B737 avec l'affichage sur la porte qui rappelle bien l'alliance avec l'axe Skyteam transatlantique.

Découverte de la cabine. Comme chez Latam, là aussi les premiers rangs (par contre juste identifiés par l'étiquette coffre grise plutôt qu'orange) sont "premium", mais à l'inverse de Latam, notre statut chez une autre compagnie ne nous sera d'aucun utilité.

Donc, je me sers en middle-seat, et ne pourrait pas vous offrir beaucoup de photos du vol depuis ma place.

C'est parti…

A défaut de pouvoir illustrer mon reportage, je m'attarde sur le menu du BoB, qui sera bien proposé sur ce vol (autre différence avec Latam).

Avec un départ à 2,50€ la bière, jusque 6€ le vin, c'est plutôt raisonnable. Rappelons que le billet nu ne coûte qu'une vingtaine d'euros.

Mais rien pour moi, je me contenterai donc de l'eau. Pour autant, un choix sucré / salé est proposé. Sauf qu'il n'y a plus de salé, donc sucré pour tout le monde ^^

Puis le vol arrivera en pleine nuit ce qui ne laissera aucune chance à une vue de l'arrivée.
A bientôt !