Introduction & Routing
Bonjour à toutes et à tous !
Je ne vous propose pas de récit d'un voyage dans des contrées lointaines et exotiques, ni de somptueuses agapes en classes avant pour ce premier report d'une série de quatre vols domestiques, mais un Brest-Orly qui aura deux vertus : me pré-acheminer vers ORY, ce qui me permettra ensuite de rallier (en un petit saut en CRJ, report à venir) Toulon où me mène un déplacement professionnel, et nous offrir, grâce à un survol des deux presqu'îles de la rade de Brest au décollage, quelques vues d'intérêt.
Place donc au premier de cordée, selon l'expression consacrée, d'un routing on ne peut plus simple :
Enchainement de vols
- 1BES - ORY Hop! en Économique
- 2
- 3TLN - ORY Hop! en Économique
- 4CDG - BES Air France en Économique
bes landside
J'arrive à l'aéroport avec quarante-cinq minutes d'avance sur l'heure de départ, ce qui est généralement plus que suffisant à Brest. Mais en pénétrant dans le hall, diantre ! Je trouve une marée humaine assaillant les bandits manchots de notre compagnie nationale.

Je me dirige donc vers les comptoirs d'enregistrement, situés sur la droite, afin de récupérer le précieux sésame qui m'ouvrira la porte des cieux. C'est (pour le moment) nettement moins chargé…

… et c'est même très aéré lorsque je m'engage dans la file rouge.

À l'OLCI, le nombre de places disponibles était pléthorique et j'avais choisi la 1F pour des raisons essentiellement géographiques : quand la météo le permet, ce côté de l'avion permet de disposer d'un superbe IFE naturel au départ de Brest. Je récupère ma carte d'embarquement en format cartonné (c'est tout de même plus agréable que les tickets de caisse distribués par les bornes).

Ma mission sur terre étant accomplie, je me résous à passer airside et me dirige vers la mezzanine où est situé le PIF. Les escalators étant fermés pour cause de travaux temporaires, c'est en luttant moi-même contre la gravité que je prendrai un peu de hauteur vers le filtre.



Le PIF brestois dispose depuis quelques mois d'une file Sky Priority séparée : si ce nouvel accès m'a déjà fait gagner un peu de temps sur des vols précédents, il ne me sera pas d'un grand secours aujourd'hui, vu la faible fréquentation des lieux lorsque j'y arrive. Mais à en juger par la foule présente dans le hall, nul doute qu'il m'aurait servi si j'étais arrivé dix minutes plus tard !

BES AIRSIDE, (un peu de) spotting & embarquement
Dès le PIF vaillamment (et promptement, sans surprise) passé, je bifurque à gauche où se trouvent les portes 1 à 6. Ces halls d'embarquement sont très spotter-friendly, avec leurs grandes baies vitrées inclinées vers le tarmac, même si le seul appareil exotique présent à BES aujourd'hui ne sera visible qu'au moment du décollage.

Je ne prendrai ni menu petit-déjeuner, ni menu déjeuner au Bagad Café, une des deux attractions commerciales airside avec une boutique de souvenirs, et me dirigerai directement vers ma porte d'embarquement…

… que voici. Il s'agit de la porte 5, bien entendu ; je résisterai à l'appel de la Grèce et ses îles insolemment affiché sur l'écran de la porte voisine. Mon fier destrier du jour (ou plutôt, le premier de mes deux fiers destriers du jour) vient d'arriver en porte et débarque les passagers du vol précédent. Il s'agit de F-HMLM, un fringant CRJ-1000 de 7 ans qui appartenait à la flotte Brit Air avant que cette dernière ne soit fondue dans Hop! (qui sera elle-même diluée dans Air France d'ici quelques mois).

Juste à côté, le CRJ-700 qui assure la rotation vers Lyon est en fin de débarquement.

Un A318 en provenance de CDG arrive en porte à son tour…


Je m'assieds quelques instants, puis notre vol est appelé et l'embarquement débute avec respect des priorités. L'offre de presse est assez conséquente avec un présentoir bien fourni. "Airbus s'impose face à Boeing", titre les Échos ; quant à moi, c'est en non-aligné que je volerai aujourd'hui sur deux purs produits de chez Bombardier.



Le passage par la passerelle vitrée puis la procession sur le tarmac offre quelques vues supplémentaires sur les deux CRJ et de l'A318 au contact.



Furtivement, je capture ce savant mélange entre un instant porte et un fuselage-shot.

À bord de la saucisse
Accueil quelconque par la cheffe de cabine, puis virage à gauche toute vers le 1F.

Le pas y est comme toujours très bon sur ces appareils, et je me munis de mon IFE (in-flight Economist) mogoyesque.

Vue sur la courbure du fuselage, le lyonnais (à travers mon hublot), l'autre côté de la cabine et la caverne d'Ali-Baba.




Et bien sûr le PSU, pendant que l'embarquement se poursuit (l'appareil sera quasiment plein) :

Embarquement terminé ; je n'aurai pas de voisin. Je peux donc fièrement brandir le signe de la victoire breveté par le seigneur des salons.

Puis repoussage, tenus en laisse par un agent de piste qui nous saluera ensuite d'un grand signe de main.

Court (comme toujours à BES) roulage puis alignement sur la piste, face à l'est, suite à un demi-tour dans la raquette…



en vol !
Et c'est parti ! Rotation à hauteur du terminal et vue (fugace) sur un Falcon gouvernemental. Nous prenons très rapidement un virage vers le sud-est (pour les passionnés de trafic aérien, il s'agit du départ ROSPO 6W comme me le fera remarquer un ami très au fait sur la question), ce qui est la promesse de vues très intéressantes sur la rade et la pointe finistérienne…




… que voici sans plus attendre. Dans l'ordre, deux vues sur l'estuaire de l'Elorn (franchi par le pont Albert-Louppe et le pont de l'Iroise) qui sépare la rive nord de la rade de Brest à la presqu'île de Plougastel, puis la côte très découpée de Logonna-Daoulas, et différentes vues de la presqu'île de Crozon (trouverez-vous le pont de Térénez et la base opérationnelle de l'Île-Longue ?).








Malheureusement, ce spectacle sera vite terni par l'approche d'une couche nuageuse, que nous perçons pour nous retrouver entre deux d'entre elles. Damned, nous sommes cernés !



J'entreprends donc la lecture de mon IFE, et notamment d'un excellent article sur l'état du trafic aérien mondial. La collation classique sur les vols intérieurs ne tarde pas à être servie, voici ma sélection :

Dont les résidus non-comestibles seront subséquemment compactés à l'aide des technologies à l'état de l'art en la matière et en suivant les procédures normalisées par Marathon Inc. Dans le cas d'espèce, cela ne demandait pas beaucoup d'inventivité.

Entre temps, nous aurons enfin percé la dernière couche de notre mille-feuille nuageux, mais le ciel sera malheureusement bien couvert pendant la majorité du parcours. Elle se dissipera brièvement au-dessus de la Loire, au début de notre descente.



Le temps se dégagera un peu à l'approche de Paris, mais étant à contre-jour mes photos s'avèrent difficilement exploitables. À noter, tout de même, une vue sur l'aire de péage de Saint-Arnoult, dans les Yvelines (navré pour les reflets)…

Entre temps, les voyants du PSU couplés aux annonces du cockpit nous avaient informés de l'imminence de notre atterrissage.

Finale, kiss-landing, freinage et sortie de piste en direction de notre point de parking.




Le point code de la route
Alors que nous roulons vers notre destination finale, un impudent véhicule s'avance sur notre droite.

Mais comme un avion qui se déplace (et le cortège éventuel qui l'accompagne) est toujours prioritaire sur un autre véhicule, nous lui imposons avec morgue et satisfaction notre priorité à gauche.

Arrivée à notre point de parking dans un no-man's-land d'Orly, débarquement et hop ! en direction du paxbus.


Ceci me permettra de prendre encore quelques photos de l'appareil.



Le court transit vers Orly 1 donne à voir quelques A32x aux livrées diverses (U2, VY, TP, IB, AF bien-sûr)…





Et nous nous arrêtons à hauteur de cet A319 AF.

Nous débarquerons ensuite du bus pour rejoindre le hall A (ou plutôt "les portes A", pour suivre la nouvelle doxa d'ADP) d'Orly 1.

Merci de m'avoir lu et Ricercare will return pour la suite du voyage !
Merci pour cet excellent premier FR.
Et bienvenue à bord.
Un bon vol domestique comme on les aime.
N'hésitez pas à commenter les autres contributeurs, nous sommes sur un site de partage (et un petit mot fait toujours plaisir).
A bientôt pour la suite.
Merci Valérie pour le commentaire !
Un bon vol domestique en effet, assuré par un appareil et un équipage A5, ce qui n'est pas toujours le cas sur cette ligne assurée de temps à autres depuis l'an dernier par des compagnies d'Europe de l'Est (ce qui peut à l'occasion permettre de se dépayser à moindre frais :-)).
À bientôt !
Diantre! J'ai bien fait de sacrifier quelques minutes de ma pause déjeuner sur l'autel de la banalité reportée. Que pouvait bien nous apporter un nouveau contributeur sur une ligne aussi peu intéressante que banale? Bon, dans le genre, les Paris-Milan ne sont guère plus avenants mais en lisant sans préjugé, on tombe parfois sur une perle et celle-ci est particulièrement bien écrite. Un régal qui incite au remerciement pour avoir franchi le rubicon et décidé de partager avec nous les joies subtiles de la fin de la Terre. Un certain Didier n'a qu'à bien se tenir. J'espère que les deux auteurs sur cette route sauront nous régaler de succulents prochains épisodes. Vous êtes attendus au tournant Messieurs.
"Embarquement terminé ; je n'aurai pas de voisin. Je peux donc fièrement brandir le signe de la victoire breveté par le seigneur des salons." -> Et si l'homme d'à côté n'était autre que BESMRS? Ce serait une situation des plus ubuesques, vous en conviendrez...
Nous aurions alors le rouge et le noir, en direct de Brest.
Merci pour le partage!
Grazie mille Guillaume de ce très sympathique commentaire au style (gothique) flamboyant.
Peut-être un brin plus avenants sur le volet géographique, tout de même. Le massif le plus haut survolé par la ligne Paris<>Brest demeure les Monts d'Arrée, qui culminent à 385 mètres. Pas de quoi intimider une croisière transalpine.
Encore plus ubuesque, si mon voisin de rangée était en effet Didier et qu'il avait décidé lui aussi de reporter son vol. Mais deux olibrius affairés à prendre en photo des angles insolites de la cabine se seraient certainement reconnus comme appartenant à la même obédience.
Bien reçu. L'exigence est fixée, la pression est à l'avenant. Pour le prochain report je chasserais plutôt sur les terres de Stéphane avec une navette toulonnaise (et non pas marseillaise)... et une visite au Premium Traveller Lounge d'Orly, parfois fréquenté par un certain Okapi...
Le didier, il a pris le vol de 8 heures 55 comme un mardi sur deux et 25/30 fois par an. Le 18 juin 2019 à l'heure ou certains partaient de BES, j'arrivais à ORY !!!
Et oui on s'est loupé de deux heures :)
Diantre! J'ai bien fait de sacrifier quelques minutes de ma pause déjeuner sur l'autel de la banalité reportée. Que pouvait bien nous apporter de plus un nouveau contributeur sur une ligne aussi peu intéressante que banale? Bon, dans le genre, reconnaissons que les Paris-Milan ne sont guère plus avenants mais en lisant sans préjugés, on tombe parfois sur une perle et celle-ci est particulièrement bien écrite. Un régal qui incite au remerciement pour avoir franchi le rubicon et décidé de partager avec nous les subtiles joies de la fin de la Terre. Un certain Didier n'a qu'à bien se tenir. J'espère que les deux auteurs sur cette route sauront nous régaler de succulents prochains épisodes. Vous êtes attendus au tournant Messieurs.
"Embarquement terminé ; je n'aurai pas de voisin. Je peux donc fièrement brandir le signe de la victoire breveté par le seigneur des salons." -> Et si l'homme d'à côté n'était autre que BESMRS? Ce serait une situation des plus ubuesques, vous en conviendrez...
Nous aurions alors le rouge et le noir, en direct de Brest.
Merci pour le partage!
Caramba perdu à deux heures prêt !!!!
Merci pour ce très bon FR et bienvenue à bord !
Un vol maintes fois reporté mais ô combien plaisant à lire grâce à un style de rédaction que j'aime beaucoup
Comme quoi, nul besoin de commencer par un vol lointain ou exotique pour qu'une première soit synonyme de réussite
La vraie valeur ajoutée de ce genre de vol est pour moi le gain de temps ainsi que le confort qu'apporte l'avion puisque Brest et Toulon sont un peu aux antipodes
A bientôt pour la suite
Merci Hugo pour le commentaire et les compliments.
Sans aucun doute. J'ai effectué en mai et juin 5 navettes entre Brest et Toulon, et l'avion me permet en effet d'économiser un temps précieux. Pour l'anecdote, il m'est arrivé deux fois de faire le trajet en TGV et, correspondance incluse, cela prend 11 heures en moyenne (peut-être un peu moins depuis l'extension de la LGV jusqu'à Rennes, mais cela reste sans commune mesure).
À bientôt !
Hum hum: il y aussi le vol direct de chez TB.... :) et celui opéré par la VAM (voie aérienne militaire)... du 310 ou du 340, qui dit mieux sur un vol domestique ? :)
Le vol TB est très pratique en effet... mais ses jours d'opération (vendredi & dimanche) sont la plupart du temps en conflit avec mes dates de voyage. J'ai entendu dire que sa fréquence allait être renforcée toutefois... mais j'effectuerai beaucoup moins de navettes vers Toulon à l'avenir malheureusement.
Quant à la VAM, les heureux élus peuvent même tomber sur des appareils encore plus exotiques, un ami militaire m'ayant raconté avoir un jour volé sur un Xingu – sur une autre ligne toutefois. Le rêve... (sauf pour les tympans) :-)
https://www.defense.gouv.fr/marine/equipements/aeronefs/xingu
Je connais effectivement quelqu'un qui fait office de "fret" en Xingu sur cette ligne :o)
Bonsoir,
Merci pour cet excellent opus et bienvenue parmi les contributeurs !
De très jolies vues au décollage :)
A très bientôpt
Bonsoir Dorothée,
Merci beaucoup pour le commentaire !
À bientôt pour de nouvelles aventures.
Merci beaucoup pour le partage et surtout bienvenue à bord !
Un premier opus parfait ! Quelle jolie plume qui augure de belles choses pour la suite !
D'habitude je précise qu'il ne faut pas hésiter à nous contacter pour toute question sur le site mais je vois que tous les "codes" sont maitrisés :)
A bientôt !
Merci Stephan de ce commentaire si aimable !
Merci. Les CRJ sont de bons cas d'étude pour les instants "porte" avec leur escalier intégré – je n'ai pas manqué l'occasion d'en saisir un pour rendre hommage à leur ingénieuse conception :-)
Merci et surtout bravo pour ce premier FR !
Très complet et vraiment agréable à lire, bravo encore une fois :) Et vous faites très bon usage de l'outil de floutage, merci à vous !
A bord, c'est un vol classique mais bien documenté pour l'aéroport de Brest que je connais pas. Très beau décollage !
Au plaisir de lire vos prochaines publications !
Nicolas
Merci beaucoup Nicolas pour le commentaire !
J'avoue que je le trouve très pratique et bien pensé... il fait gagner un temps précieux en épargnant au rédacteur un pré-traitement avec Gimp, Photoshop et consorts !
À bientôt !
Bastien
Merci pour ce FR et bienvenue à bord!
Premier FR très complet et agréable à lire.
A bientôt
Merci beaucoup Noéllie pour ce sympathique commentaire !
À bientôt
Merci pour ce FR
Bienvenue sur le site et félicitations pour vos 10 premiers points FR !
Pas facile de faire des FRs sur ce genre de vol mais votre style agréable vous permet de remplir cette tâche sans coup férir
A bientôt
Merci Gilbert de ce commentaire et du compliment !
À bientôt
Bienvenue à bord
Un FR attirant l'oeil avec de bien belles photos et un style de narration relevé !
Il ne manque rien, félicitation
Un bon vol Hop ! Entre Brest et la Capitale
Merci pour le partage, à bientôt...
Merci Hervé pour ce très sympathique commentaire sénatorial !
À bientôt (entre autres pour la suite du voyage et son bonus mystère)...
Merci pour me suivre à la trace avec des FR sur une ligne sans grand intérêt intrinsèque mais avec des FR ayant un intérêt intrinsèque ! :)
C'est vraiment XXX de s'être loupé de 2 heures :)
PS: pourquoi un routing ORY/CDG au retour ?
Merci Didier pour le commentaire !!
C'est tout un art de vivre... :-)
Oui c'est bien dommage en effet, mais gageons que l'occasion se représentera : il m'arrive également de prendre le vol de 8h55 (et je le prendrai vraisemblablement dans les 10 jours à venir, j'attends juste la confirmation d'une date de réunion) même si je suis plutôt abonné au vol de la muerte de 6h vers CDG !!
Je pense que c'était pour alléger ma note de frais puisque je voyageais sur mon budget professionnel, dans mes souvenirs nébuleux la correspondance à ORY était nettement plus chère au moment où j'ai acheté mon billet (c'est-à-dire peu de temps avant le départ, puisque ce déplacement fut planifié de manière assez impromptue), et comme je voyageais un samedi la perte de temps induite ne me dérangeait pas tellement... et cela me permettra par ailleurs de reporter le Bus Direct : merveilleux !
Bastien
Je fuis de la vol de la muerte comme la peste: je laisse ce genre de chose aux militaires (départ block à 06 heures: c'est grass' mat'), aux d'jneus... ou aux cas ou je n'ai pas le choix (et ça arrive de temps en temps) :)...
Je t'ai envoyé mes dates par mail :o)
Pour se trouver c'est facile: j'ai une flamme FR et tu as un pantalon rouge :o)
Sinon, on peut parfois forcer le destin du YM en prenant un billet triangulaire: BES->TLN, TLN->PAR, PAR->TLN.... le prix est parfois moins cher qu'un billet BES-> TLN puis TLN->BES....
PS: Cela va finir un jour avec un double FR dans le style de ceux qui font des tours du monde en P à plusieurs :) :) :) :)
Hahaha absolument : et tout cela sur un Brest-Paris opéré par un avion bulgare en wet-lease. Ateon et SKYTEAMCHC n'ont qu'à bien se tenir !!
Merci pour les dates !! :-)
J'ai de l'estonien en stock sur du BES/PAR... (je sais je suis à la bourre).
Mon petit doigt m'a dit qu'il n'était pas exclu qu'au mois de septembre l'estonien soit remplacé par un nouveau joueur... dont j'ignore le nom.
J'ai déjà eu du F-100 roumain, du 320 estonien, de l'E-190 bulgare, de l'ATR 72 allemand sur du Par<->Bes. J'ai loupé le Bae 146 (déplacement annulé au dernier moment: grrrrr)... Pour chercher de l'exotisme venez à Brest (en plus il fait bon, pas trop chaud, juste ce qu'il faut !!! :)
Celui-ci, je l'ai manqué de peu également en août dernier sur un CDG->DUB. Les horaires ne collaient pas, et ça reste un gros regret. J'avais eu au final un classique A320 – et en regardant les photos que j'avais prises de ce vol, je pense qu'il y a matière à faire un FR avec quasiment un an de retard, et en particulier un lounge-report puisque j'avais attendu environ 5 heures au salon du 2E/L : c'était d'ailleurs ma première visite depuis sa rénovation...
Ça, c'est une belle prise :-)