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1001 avis
C’est le vol de retour d’un aller-retour dans la journée à Francfort.
Je ne sais plus si j’ai négligé de choisir mon siège à l’avance, ou si ce n’était pas possible, mais à l’OLCI, je ne pouvais pas avoir mieux que ce 8A, peut-être un peu gêné par l’aile, mais cela ne serait probablement pas beaucoup mieux aux derniers rangs.
Dans ce sens-ci, rien ne justifie dans mon emploi du temps de prendre un taxi, et je prends la ligne 8 du S-Bahn. Bonne pioche : quand j’arrive sur le quai ayant acheté mon billet à 3,90 EUR, une rame est à quai et dessert l’aéroport (il y a une fourche).
Les rames ont un gabarit bien plus généreux que celui du RER-B : les bagages ne posent pas de problème.
Instant BESMRS avec un ICE qui va initialement à la même vitesse sur des voies parallèles avant d’obliquer vers la gauche
Arrivée à la gare de l’aéroport
La rame de S-Bahn qui m’a amené ici
Où part mon vol ? Terminal 2, c’était indiqué sur mon billet, mais j’apprends ici qu’il sera à une porte D, et le pictogramme au centre de ce plan me laisse entendre que l’une des options pour atteindre ce satellite excentré est une navette de bus. Mais plus haut dans le schéma, et moins lisible, la ligne pointillée a un pictogramme qui pourrait être celui d’un transport hectométrique.
Reste à trouver le chemin, indiqué dans cette direction
… qui m’oriente vers un corridor apparemment sans fin
Mais à un moment dans le corridor, les panneaux n’indiquent plus les portes D : petit retour en arrière, sortie du corridor pour atteindre une autre salle des pas perdus où je perds un certain nombre de pas avant de trouver qu’il faut monter d’un niveau, et tomber sur ce FIDS
Le vol AF1819 est bien à une porte D, mais où sont-elles ?
D, E : c’est par là
« I’m Digital » Peut-on imaginer publicité plus décalée dans son environnement que celle de ce grand cabinet de conseil ?
Cet afficheur à palette est probablement à commande numérique, mais c’est quand même une technologie électromécanique emblématique de la deuxième moitié du siècle dernier.
Et les portes D, dans tout cela ?
Ah, le pictogramme d’une navette automatique se confirme !
Le pictogramme laisse aussi supposer qu’elle circule sur une voie surélevée, ce qui est cohérent avec le fait de devoir monter un niveau supplémentaire.
… pour aboutir effectivement à une station d’un transport hectométrique
Vue à travers trois vitres (deux pour les portes palières de part et d’autre de la voie, une côté tarmac sur le quai d’arrivée en face)
C’est mieux depuis la navette en mouvement, mais il faut faire vite.
De gauche à droite, A380 Asiana Airlines, une dérive Turkish Airlines, A320 Croatia Airlines, 787 LATAM Chile, A321 Condor
777-300ER LATAM, devant un A380 Qatar Airways. Au loin, je suspecte un 767-300 Condor
La navette s’immobilise une minute ou deux à une gare intermédiaire qui n’est pas desservie, et la la première voiture est vide (les portes palières ne s’ouvraient pas à son niveau). La gare intermédiaire et la voiture vide sont en fait non-Schengen : c'est la solution trouvée pour l'adapter à la création postérieur de l'Espace Schengen : la navette en UM peut assurer deux missions différentes, Schengen ou non-Schengen. (Merci à BESMRS pour l'explication)
Arrivée à l’extrémité du terminal où se trouvent les portes D
Il y a une plateforme d’observation, mais non seulement elle est payante (3 EUR : à ce tarif, je préfère celle de la tour de la cathédrale, même s’il faut monter à pied), mais elle ferme à 18h, et il est 17h49. Aucun regret, mon tour en ville était beaucoup plus intéressant
Je ne suis donc pas allé beaucoup plus loin que cet espace jeu pour enfants.
Quelle est la porte de mon vol ? Ce n’est pas mon BP qui va me l’apprendre, m’étant enregistré la veille, et ce n’est pas ce FIDS qui va me l’apprendre, car il ne la fournit que pour les vols qui comme celui pour東京。成田 (Tokyo Narita) sont ゲートオーペン (Gēto ōpen : vous avez besoin de la traduction ?). C’est rare de voir un FIDS affichant les destinations dans la langue locale ; je vous rassure, il les affichait aussi en allemand, et très probablement aussi en anglais. .
J’ai commencé par me casser le nez au PIF au niveau principal. En apercevant des aubettes de la PAF par là, j’aurais pu me douter que c’est l’accès pour les vols non-Schengen.
Ce panneau est mal placé (ou il en faudrait un autre) : je n’avais pas vu qu’il fallait descendre au niveau inférieur
Huit minutes pour passer le PIF où je n’ai pas vu s’il y avait un passage prioritaire, c’est correct.
Le salon AF/KL est correctement signalé
La porte D21-D22, vue à mon arrivée le matin.
Pour les germanophones, il y a des jeux derrière cette cloison en accordéon. Fraport précise aux sinophones que ce sont des jeux électroniques
Les voici
Arrivée d’un A330-200 Air Namibia qui rappelle que ce pays fut une colonie allemande.
Il faudrait plus de lumière pour capturer avec un piqué correct les appareils qui atterrissent à l’arrière-plan, comme ce 747 Lufthansa
Ryanair peut se vanter de desservir les deux aéroports de Francfort, FRA et HHN, à cent kilomètres du premier.
787-9 Etihad
A330-300 Lufthansa
737-800 Pegasus
Il y a deux salons l’un à côté de l’autre
C’est celui-ci pour les vols Skyteam
On peut supposer que le dernier vol Skyteam Schengen ex-FRA décolle vers 20h30
Accueil cordial par le cerbère qui me précise que le salon n’a pas de sanitaires : ils ne sont pas loin et autant commencer par eux, en passant devant des fauteuils dont je ne sais pas si le confort est à la hauteur de l’esthétique.
Retour au salon où l’accès à internet n’est pas protégé par un mot de passe.
… mais par son inaccessibilité. Un mauvais point
La configuration du salon : après le comptoir d’accueil, une première salle aveugle au fond
… mais pouvant être considérée comme étant de second jour au début.
Le buffet est sur deux côtés d’une cloison cachant l’office
Au fond, côté baies vitrées, c’est lumineux, mais sans vue sur le tarmac. Comme vous pouvez le constater, il n’y a pas foule.
Vue partielle du buffet puisqu’il continue à gauche en tournant le coin
Sandwiches et tranches de pain
L’Allemagne n’est pas un pays de tradition fromagère et cela se voit ; on m’objectera facilement que la tradition fromagère de la France est indiscernable dans les salons de CDG.
Honorable gâteau au chocolat auquel je ferai honneur
Boulettes de viande typiquement suédoises qui vont me rappeler mes passages hebdomadaires au salon Skyteam d’ARN ; elles sont même étiquetées en suédois (köttbullar), et des boulettes de purée épicée.
Mayonnaise et moutarde
Salades de pomme de terre, de concombre et de tomate, coleslaw
Le coin assez minuscule des alcools forts
Une bouteille de crémant bien entamée
Fruits, vrais et faux
Boissons au frais
Ma sélection
Ce FIDS affiche les vols que les PAX ayant accès à ce salon pourraient attendre
AF1819 : Boarding, donc j’y vais
Boarding ? Façon de parler, car rien n’a commencé dans cette salle d’embarquement qui est un prélude à un embarquement par PAXbus.
Un peu de spotting en attendant :
747-8 Lufthansa
787-9 Japan Airlines
L’A380 Asiana Airlines repart à Séoul
E-195 LOT
Cobus de rigueur pour embarquement au large
Pas de chance pour ce PAX, arrivé quelques secondes trop tard : le conducteur du PAXbus lui dit d’attendre le suivant qui ne tardera pas.
747-8 Korean Air
Le voici un peu plus tard de profil
De même, A320 Finnair de trois quarts face
Et de profil
787-9 Japan Airlines
Trois quarts de tour autour de l’E-170 assurant notre vol
L’embarquement sera par les deux extrémités
Avec le pouce de la main droite en l’air et un geste de la main gauche, le CC donne le feu vert pour embarquer.
Et donc les PAX embarquent
Être le dernier des PAX du premier PAXbus, c’est l’assurance d’avoir tout mon temps pour prendre des photos en montant dans l’avion.
Aide-mémoire pour renseigner le type de l’appareil dans ce FR
Fuselage shot, en contre-plongée
L’A330-200 Air Namibia vu au roulage précédemment est en porte
Instant porte
Fuselage shot
A380 Emirates
Aïe ! dans un E170 Hop !, le hublot est très mal aligné au rang 8, et cela ne vaut guère mieux au rang 7
Mon siège 8A est occupé quand j’arrive. Ce n’est pas un squatteur au hublot, mais (avec son voisin) un PAX sortant d’un vol très long courrier, décalqué par le décalage horaire. Ils ne font aucune difficulté pour changer (ils ont en fait les deux sièges au couloir), et j’espère qu’ils vont se décaler simplement. Mais non, ils se lèvent tous deux, et PAX8A va en 8C, à mon grand regret.
Car PAX8C est gros, carrément obèse, ayant besoin d’une extension de ceinture de sécurité, et si je n’étais pas accroc aux sièges au hublot, jamais je n’aurai pris le risque de récupérer mon siège.
Il ne faut pas se fier aux apparences, même dans un avion en éco : PAX8A est certes gros, mais c’est un bon gros (j’en connais plusieurs dans mon entourage), qui case comme il peut son embonpoint sans empiéter d’un centimètre sur l’accoudoir. N’ayant aucune raison de me déplacer pendant ce vol très court, la gêne sera en fait nulle.
C’est le même diamètre de cabine que celui d’un E-190, donc la largeur entre accoudoirs est tout aussi satisfaisante.
Le pitch est un chouïa moins bon, mais c’est meilleur que dans n’importe quel A32x Air France d’aujourd’hui.
Instant F-OITN
Départ de l’A320 Finnair
Arrivée d’un A380 Emirates
Repoussage terminé pour cet A220-300 airBaltic
Entre temps, le deuxième PAXbus est arrivé.
737-800 El Al
Notre repoussage me cachera l’identité de ce jet régional précédant un 747
737-800 Sun Express
ATR72 CSA en livrée Skyteam
787 Ethiopian Airlines
A330 Lufthansa et 777-F AeroLogic
747-8F CargoLogic Air
777 F Air China
MD11 Lufthansa devant un 747-400 Asiana Airlines
Là en revanche, ce n’est pas un avion-cargo : Condor affiche sa passion du vol sur la carlingue de ce 757-300
Vu de loin, ce hangar ne semble pas d’une taille impressionnante
Mais il est suffisamment haut pour abriter un A380, et pourrait sans difficulté en accueillir un deuxième à droite.
Décollage et vue fugitive de FRA en arrière
Memento du type de l’appareil pour ce FR (les autres informations ne m’ont jamais servi, ayant appris à boucler une ceinture de sécurité dans une voiture bien avant de le faire en avion)
Un bouton inutile à mon rang et néfaste au rang précédent.
Voici la collation (avec un café et un verre d’eau, servis avec le sourire)
Déballage de ces 90g de nourriture
… dont voici la composition
… et le contenu révélé par autopsie.
Ce wrap se laisse manger, c’est un peu bourratif et quand on a commencé la dégustation par un contrôle non-destructif, on comprend pourquoi.
Une centrale électrique que je n’ai pas cherché à identifier
Le paysage se referme jusqu’au début de la descente
Reims
Idem après traitement d’image
Zoom sur la cathédrale (et le stade Auguste Delaune)
Préparation de la cabine pour la descente
Meaux
Maintenant que vous connaissez leur localisation grâce à mon récent FR AMS-CDG, vous situez du premier coup d’œil l’aérodrome et la prison de Meaux dans cette photo
Atterrissage piste 26L
XL Airlines, Air France et A300-600F DHL : merci à FrATCO pour l'identification de cette dérive jaune au logo rouge, trop floue en raison de la lumière déclinante et du roulage de l’avion.
A350-9 Ethiopian Airlines
A380 Emirates en livrée spéciale Expo 2020
787-8 Air India
A380 Etihad
A320 Joon
777-300ER Air France
A320 Air France
777-300ER China Eastern
787-9 Aeromexico
Air France : quatre 777 dont un A380 :)
… et dont deux en livrée Skyteam
Le 777 en livrée Skyteam de l’extrémité du rang ci-dessus
A380 Korean Air
On quitte le terminal 2E pour s’approcher du Terminal 2G, réservé aux petits modules :
E-195 Flybe
Bae Avro RJ85 Cityjet
Dash 8 400 Luxair
A321 Joon
E-190 Hop !
Argh ! J’ai raté le roulage d’un appareil de l’armée française stationnés à CDG, ici près à décoller.
Coucher de soleil sur E-170
Débarquement auprès du terminal
Bienvenue !
Rien ne signale ici que les autre terminaux ne sont accessibles que par navettes de bus
Montée au niveau Arrivées
Je n’ai jamais eu la perception que ce message s’adresse aux Parisiens
Sortie
Et arrivée rapide à la station de taxi
Mon chauffeur va stupidement s’engluer dans la fermeture à partir de 22h d’une section du boulevard périphérique, et me répondre pour sa défense que « ça roulait bien quand il a regardé avant de partir ». Ce n’était pas un petit jeune : les fermetures nocturnes du périph’ pour travaux, il ne connait pas, et ne sait pas qu’elles sont annoncées à l’avance sur internet et dans la presse parisienne ?
Paris vous aime !
Merci de m’avoir lu !
Déception dans cet E-170, par rapport à l'E-190 de l'aller, à cause d'un hublot complètement décalé, rendant la vue extérieure difficile. C'est cependant un appareil en 2+2 qui garantit donc une chance sur deux d'avoir un hublot (et évidemment la garantie de ne pas avoir de siège milieu).
La desserte de FRA par le S-Bahn est rapide et économique, mais les cheminements sont interminables depuis la gare de S-Bahn. Airside, le terminal est raisonnablement spotter friendly et bien signalisé. Le stationnement au large permettait d'avoir une petite "visite touristique spotting" qui m'avait manqué au salon.
Le salon AF/KL à FRA était en grande partie vide, mais tout l'espace ne dispose pas de lumière naturelle et les baies vitrées ne donnent pas sur le tarmac. Le buffet n'est pas enthousiasmant, mais il y a une offre chaude, ce qui n'est pas le cas à CDG-2F (il est possible qu'il y en ait à CDG-2G). Le fait de devoir sortir du salon pour aller aux WC n'était pas une contrainte significative pour moi.
L'accessibilité du terminal 2G est très médiocre pour qui veut emprunter les transports en commun, et j'ai eu la malchance d'avoir un chauffeur de taxi qui n'avait pas eu un réflexe de base de son métier : s'informer sur les fermetures programmées de la voirie pour travaux (au contraire justement de celui de l'aller).
Les contributeurs de Flight-Report ont posté 100 avis concernant 5 compagnies sur la ligne Frankfurt (FRA) → Paris (CDG).
La compagnie qui obtient la meilleure moyenne est Air France avec 7,5/10.
La durée moyenne des vols est de 1 heures et 14 minutes.
Plus d'informations
16 Commentaires
Le chaud au salon est bienvenu mais quelle galère pour accéder airside.
Merci pour le commentaire, corrigé plus loin !
A bientôt
J'ai corrigé !
Le chaud au salon est bienvenu mais quelle galère pour accéder airside.
Merci pour le commentaire !
Je confirme que le gabarit ferroviaire allemand (et Suisse) excède en largeur les normes UIC. C’est bien pour cela que les ICE 1/2 n’ont jamais pu venir en France… seul l’ICE 3 le peut car il est conforme au gabarit UIC… ce qui fait que l’on peut le voir aussi aux Pays-Bas ou en Belgique !
Tiens justement voici justement une ICE 3 (avec le compartiment panoramique qui est situé derrière la cabine du mécanicien et qui est vitrée…. Vous imaginez un cockpit de 737 vitré ? le pied ? )…
C’est d’ailleurs la rame 403 001/403 501 mono-courant 15 kV baptisée « Freiburg im Breisgau »…
Sympa la rame 430 équipée du wifi ! ah quand cela sur les NAT du RER E ? :>
Allez un peu de nostalgie
http://www.ariadr.fr/les-webdocs/splitflap/
Attention : le transport hectométrique de FRA a la particularité d’avoir deux rames accouplées en UM qui ne font pas la même desserte… C’était le prix pour pouvoir faire des liaisons non Schengen. La ligne a été conçue avant !
L’a320 finair a pris quelque kilos pour son décollage vu que c’est un a380 EK !
Pour moi l’A220 d’Air baltic est une Cséries (livré en 2016 avant le rachat du programme par Airbus).
Ce n'était pas une confusion entre A320 et A380 (venant de moi, c'était cependant possible ;), mais une erreur de nom de fichier de la photo... et aussi une relecture un peu trop sommaire, bien sûr. J'ai corrigé.
Je suis plutôt d'accord pour conserver le nom commercial ayant eu cours à la livraison de l'avion, mais comme j'ai déjà du mal à identifier les types d'avion, je joue la simplicité.
Merci pour le commentaire toujours aussi érudit, notamment au sujet de la navette de l'aéroport !
J'ai l'impression que le transfert au sein de FRA a été plus long que le trajet en train !
Le salon n'est pas très joyeux mais il a le double avantage d’être vide et que le catering y soit correct.
Belles séances de spotting.
Transfert à Paris avec un "professionnel de la route" qui oublie ses basiques pour la plus grande joie de son passager...
A bientôt !
Je prends cette impression comme un compliment pour ma rédaction : 16 minutes de train, 34 minutes de cheminement du quai de la gare au salon (détour vers l'entrée de la plateforme d'observation déduit) !
FRA est raisonnablement spotter-friendly en zone Schengen : il suffit de ne pas aller au salon ;)
La perte de temps à cause de la fermeture du périph' a été modérée (10-15 minutes : je m'attendais à pire), mais elle m'a beaucoup agacé.
Merci pour le commentaire, à bientôt !
Bien compliquée cette approche pour trouver le bon terminal à FRA quand même.
A bientôt !
Merci pour le commentaire, à bientôt !
Vue à travers trois vitres => avec le Latam que je vais enfin prendre dans 10 jours.
C’est rare de voir un FIDS affichant les destinations dans la langue locale => en effet et je trouve que c’est plus logique.
Les joies de se perdre à FRA, un peu pénible le cheminement.
A bientôt
De nos jours, le plus difficile pour afficher au FIDS en langue locale, c'est d'avoir la volonté de le faire.
Et encore, je ne me suis pas véritablement perdu, mais j'ai souvent cherché avant de trouver la bonne direction. Je n'ai pas souvenir ailleurs dans le monde d'un cheminement aussi long de la gare "de l'aéroport" à la porte d'embarquement.
Merci pour le commentaire, à bientôt !
Le S-Bahn vers l'aéroport est une façon très rapide de s'y rendre et avec un confort assez bon.
FRA est un aéroport immense, et on voit bien que le cheminement est assez long.
Le salon AF n'est clairement pas un salon de compétition pour y faire du mogoyage de qualité, mais on s'en sort avec quelque chose à manger.
A bord, wrap plutôt sympathique, c'est déjà bien d'en avoir un sur un vol court.
A bientôt !
Ce salon est en effet dans la catégorie "nice to have", mais pas suffisamment pour inciter à conserver le statut qui y donne accès.
Merci pour le commentaire, à bientôt !
Le salon à Francfort semble vraiment très plaisant, c'est un très bon point d'avoir une offre chaude honorable, le symétrique n'étant pas vrai puisque l'offre chaude du 2G est loin d'être convaincante (quiche et bacon)... en tout cas, quel périple pour y arriver !!
La présence de l'aile n'a pas été une entrave finalement pour nous offrir les très belles vues aériennes comme à l'accoutumée : quelle jolie lumière sur la cathédrale de Reims !!
Je le connais bien, celui-ci :-)
À bientôt
Les nuages ont rendu l'IFE extérieur moins intéressant lors de mon voyage suivant, pas encore publié.
A bientôt !
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