Avis du vol Air France Paris Brest en classe Economique

Compagnie Air France
Vol AF7374
Classe Economique
Siege 2F
Avion Airbus A319
Temps de vol 01:02
Décollage 29 Aoû 19, 22:15
Arrivée à 29 Aoû 19, 23:17
AF   #24 sur 94 Compagnies Un minimum de 10 flights-reports sur les deux dernières années est nécessaire pour apparaitre dans le classement. 5953 avis
Ricercare
Par 431
Publié le 17 septembre 2019

Vorspiel


Ladies and Gentlemen,

Toujours plus loin dans le dévouement à ma noble tâche de critique aérien, je vous propose de me suivre aujourd'hui pour ce quatrième épisode de mon œuvre narrative extrême consistant à raconter la même ligne sous des formes diverses : j'ai nommé die Kunst der Paris-Brest ! Il s'agit certainement de l'épisode le moins riche en photographies de toute la série, et vous n'aurez même pas de bonus pour vous consoler ; pour cela, il faudra attendre le suivant où je vous emmènerai dans l'Aube et aux aurores. Il s'agit également d'un épisode fondateur, puisque pour leur plus grand plaisir mes lecteurs me verront tomber de Charybde en Scylla sur deux Paris → Brest consécutifs avec des retards qui m'emporteront toujours plus tard dans la nuit. "Sur deux Paris → Brest consécutifs" ? Oui, car en cliquant sur ce report vous vous êtes engagés dans la spirale suivante :


Routing


Spirale qui avait pour but, outre la satisfaction narrative de votre serviteur, d'évaluer la constance de l'offre des différents aéroports et salons visités (et de la compagnie, bien sûr) sur un laps de temps resserré et à divers moments de la journée. Et sachez-le, cette ambition encyclopédique n'est pas vaine ; elle me permettra de valoriser les éléments valorisables comme de sacquer les éléments sacquables nettement et sans bavure. La foudre ! Suspense… Mais avant d'en arriver là, je vous propose de nous rendre à l'aéroport. On y va ?


Dans le dédale Orlysien


La métaphore avait été brillamment introduite ici : si tous les astres sont convenablement alignés, les aéroports ont parfois le chic pour faire vivre au passager un sentiment d'errance permettant une auto-assimilation au Minotaure perdu dans son labyrinthe. Et je vais donc filer (comme Ariane) la métaphore aujourd'hui, étant donné que mon arrivée à Orly était placée sous les généreux et bienveillants auspices d'un dysfonctionnement de quelques heures du système d'information d'Air France. Dans ces conditions nombre d'informations n'étaient plus disponibles, à commencer par le choix de son siège ou la connaissance de sa porte d'embarquement, ou même sa carte d'embarquement étant donné qu'il était impossible de se connecter au site ou à l'application avec ses identifiants Flying Blue. qu'à cela ne tienne, je pouvais tout de même récupérer ces précieux éléments via KLM, royalement bénie soit-elle. Ce fut donc avec un cap que j'arrivai à Orly (mais l'avenir nous montrera que les différentes boussoles du groupe Air France-KLM peuvent induire le Minotaure en erreur).


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Et pour être plus précis, à Orly 1-2-3 (soleil !).


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C'est donc ici que je m'engage tel le chevalier Bayard, sans peur et sans reproche, dans le labyrinthe où errent des âmes en peine, égarées par la signalétique pourtant limpide de Paris qui les aime. N'ayez crainte, braves gens, et suivez-moi ! "Peuples ! écoutez le poète ! écoutez le rêveur sacré ! Dans votre nuit, sans lui complète, lui seul a le front éclairé !" (remercions ici pour son concours M. Victor Hugo – de l'Académie Française).
Et il n'est pas le seul à avoir le front éclairé visiblement, puisque les door-designers d'Aéroports de Paris ont su éviter l'écueil du genre sur le pictogramme de la table à langer en ne présentant qu'un hémi-langeur (il faut oser le néologisme. La langue n'est pas figée. Ce n'est pas une raison pour autant de parler d'hémi.e-langeur.euse, soyons clairs).


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Avanti ! C'est en haut à droite que ça se passe : ne vous fiez pas à la signalétique "arrivées" en sortant de ce couloir, malheureux !


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Car de l'autre côté, il est écrit "départs" ! Mouahahah ! Les mystificateurs orlysiens ont encore frappé !


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Arrivé à l'étage, une décision s'impose à ma conscience avec force et évidence : come on let's PIF again !


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Si je peux suivre les préceptes de Chubby Checker sans passer par les comptoirs, bornes, faussaires (rayez la mention etc.) et ainsi maximiser mon temps de présence au salon, c'est je vous le rappelle grâce à ce BP à la mode de Hollande :


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Malheureusement le petit macaron carmin qui me donne droit à l'accès N°1 ne me permettra pas cette fois-ci d'obtenir une performance digne de mes habituels passages, avec une attente de 5 minutes dans la file pas si prioritaire qui m'aurait laissé le temps de danser deux twists. Je dédaigne donc le duty free, puisque des agapes rugyssantes m'attendent en bas.


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Alors allons-y. L'appel des club-sandwiches, du chorizo et des all-day-croissants m'étreint à tel point que je ne me préoccupe guère de l'esthétique du cadrage de mes clichés.


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Enfin ; je m'arrêterai tout de même pour réaliser un peu de spotting résumé par cette composition façon Seurat.


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Puis je m'engage dans une hâte contenue, histoire de ne point dévaler cet escalier façon pierre de Sisyphe et ainsi préserver ma dignité.


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C'est toujours par ici. À gauche toute, camarades !


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L'entrée de mon kolkhoze fait face à ces rangées de sièges permettant aux hordes affamées d'autant mieux contempler la comédie humaine de la nomenklatura se gavant de croissants-chorizo.


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Ayant passé l'âge de jouer aux pompiers, je dédaignerai la porte de gauche et m'engagerai dans la suivante.


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Le lounge-report


Elle s'ouvrira sur un royaume moins chargé en homo sapiens que la fois précédente. Dieu soit en location !


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En revanche, question restauration… le point positif étant qu'il reste quelques parts de quiche, et de la variété qui me plaît par ailleurs (il y a deux variétés de quiches servies au Premium Traveller).


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Mais on peut toujours compter sur les all-day-croissants et un fameux bol de cacahuètes.


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La machine à boissons chaudes.


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Et l'offre liquide, nettement plus abondante que son homologue solide. En revanche, n'ayant pas "le gosier qu'une armure d'acier matelasse" (qui a la référence ?), je commencerai par un Schweppes.


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Enfin, pour être plus exact, je commencerai par me mettre en quête d'une table. Celles qui sont libres ne sont pas débarrassées, ce n'est guère engageant.


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En reculant d'un cran, je trouve mon bonheur.


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Non sans avoir préalablement regroupé ce pot de yaourt et ce verre sur la table attenante. Ma pitance ne saurait s'accommoder des vestiges inélégants des précédents conflits ayant fait rage en ces lieux.


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Puisque je vous parlais de pitance, autant vous la présenter dans le détail. Deux clubs (corrects), trois tranches de chorizo (on n'est pas sur de la grande charcuterie), et une part de quiche qui sauve l'ensemble gustativement parlant.


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Sans oublier, naturellement, mon breuvage tonifiant. À votre santé !


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Il convient à ce moment du récit de vous avouer que ce toast over-the-air avait été envoyé à l'Okapi volant qui m'avait exhorté (en toute générosité, il n'y avait aucune volonté de déclencher une quelconque cirrhose chez votre serviteur) à agrémenter ce verre d'un peu de gin ou autre décoction équivalente. Soit, je m'en vais donc en quête du précieux breuvage et quitte temporairement cette perspective grandiose.


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JE TE TIENS, PERFIDE ET ANGLAIS NECTAR !!


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Je le compléterai ensuite de deux mesures de tonic, dans les règles de l'art ; puis m'exilerai à fond de cale.


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C'est tout à la contemplation de cet espace que j'apprendrai finalement que mon vol ne partira pas à l'heure. KLM a même la bonté de me préciser que je serai invité à subir un embarquement par paxbus. Cornichons de zouaves de tonnerre de Brest ! Naufrageurs ! Tchouk-tchouk-nougat !


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Mais le plus drôle dans cette histoire, c'est que le salon ferme à 21h. Allez oust, dehors Ricercare ! Ce n'est pas une jacquerie, c'est la nuit du 4 août !


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Et c'est en sortant du salon pour errer vers son destin de Minotaure piégé dans le labyrinthe du duty-free que votre serviteur engagera une conversation fort intéressante avec un autre passager expulsé de l'Olympe, et présent sur le même vol. De fait, vous pardonnerez, j'en suis sûr, le manque criant de photos entre cet instant et mon installation à bord ! Après mon précédent récit en mode misanthrope, j'avais promis à Valérie un suivant en mode philanthrope. Vœu exaucé !


Aboard AF7374


Tout au plus vous présenterai-je ma porte d'embarquement ; il ne s'agira pas en vérité d'un vulgaire embarquement par paxbus puisque les informations fournies par la royale compagnie des Pays-Bas étaient désormais erronées et qu'un changement de porte avait été opéré et notifié à mon camarade de voyage… par Air France dont les systèmes récupéraient petit à petit de la panne des heures précédentes.


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C'est ainsi que sans transition, porte, fuselage, etc. me voilà à bord. Au rang 2 d'un A319, donc avec cette vue légendaire.


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Et ce pas, fort correct pour un vol d'une cinquantaine de minutes.


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Et Bari, dans tout ça ?


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Trahison des images également pour la page corporate : ceci n'est pas une flotte, mais bel et bien sa représentation en deux dimensions.


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Je n'étais donc pas le seul à être à Versailles ce jour-là : Air France Madame y lançait sa saison.


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Mais évidemment, je ne passerai guère de temps à parcourir le lot de bord : je ne voyage #jamaissansmonZE. Vous le saviez, ça, j'imagine !


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Le graphic detail de la semaine (nouvelle rubrique par ailleurs, qui a été introduite dans les mois passés), en page 73, fera une plaisante lecture pour ce vol. Je préfère certes la dégustation à l'économie du bourgogne ; mais faute de grives…


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En attendant, ZE n'aura pas son siège puisque j'hérite de deux voisines adolescentes dont je vous épargne la transcription de la conversation dont j'ai bien malgré moi entendu quelques bribes. Tout cela mérite un sérieux thumb-down à la Mogoy.


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C'est à peine remis de ces émotions que j'écouterai l'annonce du CdB qui déclencha les rires d'une bonne partie de la cabine, puisqu'il disait en substance et avec une pointe de lassitude (feinte ?) dans la voix qu'il était "désolé pour ce retard suite à une accumulation de problèmes que nous traînons depuis ce matin… problèmes techniques sur l'appareil qu'il a fallu résoudre, problèmes avec l'escale à Orly, problèmes avec le contrôle aérien… pour le reste, vous êtes habitués : 50 minutes de temps de vol jusqu'à Brest, temps dégagé sur l'ensemble du parcours. Nous vous souhaitons un excellent vol et une bonne nuit !"
Je vous épargne les photos du roulage, rendues tout bonnement hideuses par la "réduction" de luminosité de la cabine qui ne sera que partielle, comme cela arrive régulièrement :


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Mais pour les plus thomistes d'entre vous, voici une preuve de notre décollage.


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Décollage suivi d'un peu de lecture consacrée aux vins de Bourgogne, donc, d'un peu de sommeil et d'une collation répondant parfaitement aux standards des vols métropolitains. Vous noterez mon ascèse avec ce verre d'eau (Évian, probablement millésime 2019).


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Le début de la descente est annoncé environ un quart d'heure après notre heure d'atterrissage théorique.


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Et les opérations vont bon train étant donné qu'il n'est que 23h02 lorsque, procédant au sacrifice rituel d'une So Fresh!, j'entends le niveau 100 être annoncé.


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Les verts et riants pâturages bretons s'offrent à ma vue éblouie alors que nous nous approchons du seuil de piste.


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Et c'est à 23h17 que nous nous arrêtons en porte. À noter, une superbe vue sur l'A318 qui décollera dans un peu plus de six heures, avec votre serviteur à son bord. La nuit va être courte !


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Mais en attendant, il convient de débarquer : et il faut avouer que mes voisines m'ont offert un instant anté-Danette, puisqu'elles sont restées bavarder pendant plusieurs minutes alors que l'appareil se vidait. Aussi, lorsque je parviens finalement dans le couloir, les rangées 1 à 10 avaient déjà entièrement débarqué. Iconoclastes ! Rhizopodes ! Athlètes complets ! J'en profite pour rattraper mon absence de photos à l'embarquement avec cette porte et cette console de contrôle-commande toujours non-contractuelle (mirez cette silhouette de 747). On a les réflexes ou on ne les a pas !


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Bonne nuit, les petits !


Mon devoir accompli, c'est l'âme légère que je m'engage dans la passerelle. Une idée m'obnubile : m'extraire au plus vite du terminal, puisque je me lève à 4 heures demain matin, vol de la muerte oblige.


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Et les choses sont bien faites : malgré la vile tentative de mes voisines de me maintenir davantage éveillé, je prendrai cette photo attestant de la réussite incontestable de ma manœuvre à 23h25.


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Et maintenant, au lit ! Un sommeil réparateur dont la durée prévisionnelle est estimée à 3 heures me fera le plus grand bien avant de reprendre les airs. Car vous l'aurez compris : Ricercare will return !

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Verdict

Air France

7.2/10
Cabine6.5
Equipage7.5
Divertissements7.5
Restauration7.5

Premium Traveller Lounge - Orly 1

6.9/10
Confort8.0
Restauration6.0
Divertissements7.0
Services6.5

Paris - ORY

8.0/10
Fluidité7.0
Accès8.0
Services8.0
Propreté9.0

Brest - BES

7.8/10
Fluidité9.0
Accès7.0
Services6.0
Propreté9.0

Conclusion

AF : bonne prestation de la compagnie dans l'ensemble, malgré cette demi-heure de retard à l'atterrissage. Le seul bémol à inscrire au passif du vol étant la perte de confort des sièges Recaro (déjà pas très confortables) en cas d'événement indésiré de type voisin.
ORY : léger engorgement à l'accès N°1, sinon du grand classique.
Premium Traveller Lounge : confortable, mais... ces assiettes, verres et pots de yaourt qui traînent, ça ne va pas. Ils seront in fine débarrassés par le personnel (aimable par ailleurs), mais je pense qu'ils auraient pu disparaître plus vite. Quant à la collation, la présence de la quiche sauve un peu l'offre à qui j'accorde un 6 flamboyant. Mais sans cela, on aurait plutôt été sur un 4,5 ou 5.
BES : RAS (et ça rime en plus).

Informations sur la ligne Paris (ORY) Brest (BES)

Les contributeurs de Flight-Report ont posté 23 avis concernant 4 compagnies sur la ligne Paris (ORY) → Brest (BES).


Pratique

La compagnie qui obtient la meilleure moyenne est Air France avec 7,5/10.

La durée moyenne des vols est de 1 heures et 9 minutes.

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10 Commentaires

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  • Comment 522745 by
    Esteban GOLD 19947 Commentaires
    Merci Bastien pour le partage et cet instant porte inhabituel au débarquement !

    A bientôt !
    • Comment 522783 by
      Ricercare AUTEUR 433 Commentaires
      Merci Stephan de ton commentaire !
      cet instant porte inhabituel au débarquement

      C'est dans ses moments où, se retournant face au flux de passagers s'engouffrant dans la passerelle pour saisir un instantané fugace de la Sublime Porte, que l'on se sent pleinement habité par son devoir de flight-reporter :-D
      À bientôt !
  • Comment 522774 by
    AirBretzel GOLD 11305 Commentaires
    Merci Bastien pour ce FR.
  • Comment 524125 by
    Chevelan SILVER 16641 Commentaires
    Le Paris-Brest est l'un de mes gâteau favori, et c'est un ancien pâtissier qui parle ! ^^

    Merci Bastien pour cette partition.
    • Comment 526404 by
      Ricercare AUTEUR 433 Commentaires
      Merci Hervé pour le commentaire !
      Le Paris-Brest est l'un de mes gâteau favori, et c'est un ancien pâtissier qui parle ! ^^

      J'espère que la réalisation de celui-ci fut correcte aux yeux acérés du critique de choix que tu es !!
      À bientôt !
  • Comment 525781 by
    mogoy 10181 Commentaires
    Merci Bastien ce FR.

    Horreur et cassation ! Failli, voilà que tu écorches la novlangue des justes et des purs. L'orthographe juste et pure est : [hémi·e-langeur·euse]. Je reconnais là, la bête immonde de la réaction rétive à toute avancée sociale et lexicographique. Convergence des luttes.

    Salon qui sauve la mise avec quiche et chorizo. Mais c'est tout de suite moins séduisant pour les Mahométans qui observent les règles.

    En vol, on ne gagne pas à tous les coups sur l'absence de voisin. Mais d'un autre côté, cette tranche de vie permet d'observer in situ ses - sinon semblables - congénères.
    • Comment 526415 by
      Ricercare AUTEUR 433 Commentaires
      Merci Quentin pour le commentaire !
      Je reconnais là, la bête immonde de la réaction rétive à toute avancée sociale et lexicographique.

      Damned ! Mon syndicalisme forcené est mis à jour. Convergence des luttes, voilà une synthèse parfaite qui ne manque pas de piquant. Merci d'avoir rétabli auprès des lecteurs du site la doxa syntaxique, cela est juste et bon.
      Salon qui sauve la mise avec quiche et chorizo. Mais c'est tout de suite moins séduisant pour les Mahométans qui observent les règles.

      N'est-ce pas ? Orly ne s'offre pas le luxe d'un chorizo hallal comme celui que tu avais trouvé à l'EAP...
      Mes congénères tenaient une conversation que je ne suis pas près d'oublier, mais que la décence m'interdit scrupuleusement de retranscrire. :)

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