Bonjour à tous et bienvenue dans ce dernier segment à destination du Cambodge.
Enchainement de vols
- 1
- 2
- 3K6809 - Economique - Ho Chi Minh City –> Siem Reap - ATR72-500
- 4VN920 - Economique - Phnom Penh –> Hanoi - A321
- 5VN019 - Premium Eco - Hanoi –> Paris - Airbus A350-900
- 6AF7518 - Economique - Paris - Toulouse - Airbus A318
TRANSIT A SGN INTERNATIONAL
Après la très longue attente de notre carte d'embarquement pour REP pour cause d'incompétence de l'agente en charge et de crise de flemme de sa collègue, après avoir expliqué que Madagascar n'est pas à côté de la France pas plus qu'un simple dessin animé, après m'être censuré de tenter d'expliquer qu'il fut un temps où la tenace politique de monsieur Ferry avaient mené Madagascar et la Cochinchine au même statut, nous reprenons notre cheminement vers la zone départ.
Pour cela nous passons un PIF sis dans une sorte de couloir (pas de photo) non sans avoir attendu l'arrivée de la personne en charge de la surveillance de l'écran auquel elle ne jettera pas le moindre coup d’œil lorsque les images de nos bagages à main y apparaîtront. Son collègue est aimable et une volée d'escaliers plus haut, nous y voilà.
SGN est un long couloir avec de part et d'autre des boutiques détaxées mais au prix élevés.

La zone à proximité des commodités offre une vue sur le tarmac.
A320 Jetstar en train de rompre le cordon ombilical.

A321 Néo Bamboo : il pollue moins vu sa légèreté ! (ok je sors)

Notre vol est affiché en porte 23.

Le contretemps au guichet des transferts, l'envie de mes compagnons de voyage de faire un petit tour des boutiques, la méconnaissance totale des lieux, la certitude que nous ne serons pas acceptés tous trois au salon et l'intuition que notre BP K6 et non VN pourrait nous valoir d'être refoulés me conduisent à ne pas chercher le Lotus Lounge.
En chemin nous croisons notre A350 en cours de nettoyage, avitaillement, ravitaillement.

Nous le verrons décoller un peu plus tard, soit moins de deux heures après notre arrivée.

Nous arrivons enfin au bout du bout, une mezzanine surplombant les portes "paxbus."

Avant de descendre, coup d'oeil aux boutiques qui font plus penser au fouillis de MBK qu'à un espace commercial d'aéroport.

Mes compagnons chinant, je salue cet A320 VietJetAir. Étonnante multiplication des opérateurs aériens depuis mon premier passage en ces lieux au lendemain d'une finale de Coupe du Monde perdue contre l'Italie. Le train a-t-il encore des clients ?

La porte 23, c'est tout en bas.

C'est ici même et d'est désert.

Vol en code share avec une classe affaires qui n'existe pas.

Pour l'instant le vol est à l'heure.

Nous prenons place sur les sièges alentours pour une vingtaine de minutes théoriques avant l'embarquement. En effet, l'heure approche et toujours personne en porte. Puis arrivent quelques agents moyennement motivés tout occupés à satisfaire leur Maître SmartPhone. Un premier retard est annoncé (20 minutes) puis un second. La demi-douzaine d'employés poursuit son esclavage volontaire à l'exception de l'un d'entre eux qui virevolte une tablette à la main de la porte 23 à la porte 24.
De mon côté, je m'en vais spotter.
A320 Air Asia à la livrée publicitaire. L'avion sandwich est né !

A-321 VN.

FLASH BACK : COUP TORDU tente PAR EXPEDIA.
Je reviens m'asseoir et alors que l'attente commence à durer, je repense à ce jour de début juillet lorsque, mes notes de bac rentrées sur le serveur idoine, je reçois un mail comminatoire d'Expedia, mon OTA pour ce vol, m'invitant à changer mon routing car la correspondance à SGN serait devenue trop courte (55 minutes alors qu'une heure serait requise.) Les deux propositions, via HAN, incluent 8 heures d'attente dans cet aéroport. Je regarde chez d'autres OTA si notre routing est toujours en vente : c'est le cas. J'appelle alors le service Client, on me passe "le" spécialiste qui me décrit une situation apocalyptique. Je lui fais part de mon refus de changer quoi que ce soit, sauf compensations sonnantes et trébuchantes significatives vu que nous arriverions à REP avec 8 heures de retard, première journée perdue… Il s'énerve et de guère lasse me donne les coordonnées de VN à Paris sur un ton de "Demerden Sie Sich à la fin !" Je compose le numéro sans attendre, explique mon souci à une très aimable Linah qui me conseille de ne rien changer, les horaires de K6 étant variables et de la rappeler dix jours avant le départ. Ainsi rassuré, je contacte à nouveau "le" spécialiste Expédia, désormais un peu moins sûr de lui, et double notre conversation par un email de refus de tout changement suite à ma conversation avec VN.
Je ne vois pas d'explication à cette demande pressante d'Expedia, sinon peut-être d'avoir des clients supplémentaires pour le vol CDG-SGN et de chercher à faire de la place en nous reroutant sur HAN ?
En tous les cas, des voyageurs moins aguerris auraient certainement accepté l'une des deux propositions scélérates et perdu une journée de vacances.
EMBARQUEMENT PAX BUS
Avec quarante minutes de retard, l'embarquement commence enfin, le Cobus est là.

Je tente quelques prises de vue sur le tarmac mais ce n'est pas évident avec un bus plein comme un oeuf.
L'A321 de tout à l'heure.

A32X Flyone, compagne à bas coût dont le siège social est à Chisinau, Moldavie. Mais que diable fait-il là?
ATR VASCO, petite compagnie filiale de VN reportée à trois reprises sur le site, deux fois par TonTon Christian, une fois par RodoAF.

Nous arrivons en vue de notre ATR72-500.

Agé d'un peu moins de 10 ans, il a toujours volé pour Cambodia Angkor Air même si, jusqu'en 2013, il était immatriculé au Vietnam.

Les photos suivantes sont prises depuis le bus, car notre confinement à bord se poursuit.
Les bagages sont chargés et les bagagistes attendent à l'ombre.

Turbine gauche.

Pour passer le temps, je vous propose de décoder l'emblème de la compagnie : selon le magasine de bord de la compagnie :
-à droite, l'aile de Garuda, le dieu le plus puissant de la mythologie hindie.
-à gauche, le stupa d'Angkor, symbole de l'âme de la puissante et prospère civilisation angkorienne.
-la couleur pourpre est issue du mélange des 3 couleurs du drapeau cambodgien : rouge, bleu et blanc.

Meublons encore un peu avec cet A-320 en approche finale.

Cette nouvelle attente d'une petite vingtaine de minutes, heureusement, si le bus est bondé, il est climatisé et le public, majoritairement espagnol, reste calme, prend fin lorsque l'équipage commercial arrive en catastrophe : nous attendions donc 2 PNC !
Pendant ce temps, la soute a été fermée.

Nous faisons procession en bon ordre : les personnes assises aux premiers rangs ont été invitées à monter à bord les premières. La grande majorité des pax a joué le jeu.

La partie moderne de SGN avec VN, Air Asia et Qatar.

A BORD DU VOL k6 809 pour siem reap.
L'avion a moins de 10 ans, mais la cabine est déjà vintage

Les sièges sont usés.

Le pas est riquiqui, comme toujours sur ATR.

L'embarquement se poursuit.

Safety Card.


Sac vomito et son mode d'emploi. Je ne sais si, dans ces moments d'urgence absolue, l'utilisateur respecte la consigne.

magasine de bord. Les 10 ans de la compagnie sont célébrés à chaque page.

La flotte est assez embryonnaire.

Nous sommes à bord de l'un des trois ATR de la compagnie.

Par le jeu des code-share, le réseau est respectable.
L'A321 se rend deux fois par semaine à Pékin au départ de Sihanoukville, nouvelle colonie chinoise dans la région.

Seules les lignes bleu et jaune sont opérées en direct par K6.

Nous mettons enfin en route et nous voici au seuil de piste.

Décollage court avec la tondeuse à gazon .
Le hublot, opacifié comme toujours sur les ATR, n'empêche pas de profiter du paysage.

Au revoir Saïgon !

Nous obliquons à gauche ce qui donne une vue sur la piste dont nous venons de nous élancer.

La circulation paraît encore fluide.

Peu à peu nous survolons le périurbain.

PSU.
Le bouton central est absolument inutile. En effet, l'équipage sera aux abonnés absents durant tout le vol… ou presque.

Signes d'usure évidents après 10 ans de bons et loyaux services.

La PNCette -nous ne verrons pas son collègue- commence à distribuer les fiches d'entrée au Cambodge. Arrivée au centre de l'appareil, elle n'en a plus. J'imagine naïvement qu'elle va en chercher d'autres. Que nenni ! "No more" répond-elle agressivement à ma question innocente.
A partir de là, elle disparaît. Aucun service au cours de ce vol, pas même un verre d'eau.

Ne reste qu'à se consoler en admirant l'IFE naturel.
Le réseau hydrographique est pour le Cambodge l'égal de notre réseau d'artères et de veines.

Malgré un développement à marche forcée de sa capitale, le pays reste très largement rural.

Au centre du Cambodge, les rivières alimentent les rizières avant de converger…

vers le Tonlé Sap, le grand lac central.

Nous survolons alternativement la terre ferme et le lac.

On aperçoit un alignement de maisons flottantes le long du fleuve.

Le Tonlé Sap est une sorte de vésicule du Mékong : son remplissage dépend essentiellement des crues de celui-ci. Le canal qui relie le lac au fleuve présente la particularité d'un courant montant de l'aval vers l'amont.

La densité de maisons flottantes grandit alors que l'on s'approche de REP.



Les rizières rectilignes constituent l'essentiel du paysage. Jusqu'à 3 récoltes annuelles sont possibles.

Peu à peu les habitations apparaissent. Le réseau routier rural est constitué de pistes.


Comme partout ailleurs dans le monde, les lieux dédiés au sacré sont les plus imposants et les plus solides en apparence.

L'atterrissage est proche alors que nous atteignons les faubourgs de la 2ème ville du pays.

Atterrissage sans heurts et nous rejoignons notre point de stationnement.

A319 de Cambodia airways à notre gauche.

Nous contournons notre ATR72-500 pour rejoindre le cheminement vers l'aérogare.

Ici, pas de photophobie.

Dernier salut à notre aéronef qui nous a menés à bon port malgré un service inexistant et un retard de près d'une heure.

Nous pressons le pas par crainte de l'encombrement des guichets PAF, d'autant que nous n'avons pas les formulaires idoines et que le vol CZ, à l'arrière plan est en cours de débarquement.

A320 CZ.

Les jardiniers de REP.

Le retrait du formulaire d'immigration sera un peu folklorique. Une fois celui-ci renseigné, les choses s'accélèrent puisque nous nous sommes munis de e-visas. Cela nous évite la procession devant 5 ou 6 fonctionnaires du visa à l'arrivée.

Nos bagages tournent déjà sur le tapis 1 lorsque nous y arrivons.

Direction la sortie.

Pour terminer cet opus et après avoir soigneusement écarté tout risque de "bug photo", je vous propose de me suivre dans la zone archéologique d'Angkor. Non pour revoir une énième fois les monuments les plus célèbres que j'ai déjà présentés ici :
https://flight-report.com/fr/report/6301/Bangkok_Airways_PG_913_Bangkok_BKK_Siem_Reap_REP
et là:
https://flight-report.com/fr/report/6339/Bangkok_Airways_PG_906_Siem_Reap_REP_Bangkok_BKK
mais pour prendre le petit déjeuner.
Nous arrivons au petit matin dans un village.

Une maison tout ce qu'il y a de plus classique, réalisée avec les matériaux disponibles en abondance auxquels d'ajoute la tôle ondulée.

La vie s'éveille. Ce jeune homme prépare son petit-déjeuner.

Que voici.

Celui-ci plume un canard sous le regard indifférent des chanceux du jour.

Les enfants sourient timidement à l'objectif.

L'enclos où les bœufs ont passé la nuit.

Les anciens balaient sagement devant leur porte.

Nous prendrons notre petit-déjeuner en bordure de rizière.

Paysage de carte postale nonobstant l'éclairage de la saison de la mousson.


Nous nous rendons ensuite dans la maison de la guérisseuse. Dont voici l'adresse.

Un enfant joue à cache cache.

La guérisseuse n'est autre que la dame qui balayait un peu plus tôt devant sa porte. Jeune adolescente, elle apprit les base de son métier de son père, kru du village. Mais son apprentissage fut brutalement interrompu par l'arrivée des Khmers rouges auxquels elle fut une des rares de sa famille à survivre. Grâce à son jeune âge.

Sous le photomontage de la photo de mariage de son fils…

… la Kru consulte.

Aujourd'hui, c'est un petit enfant qui est souffrant.

Si l'on devine que le kru répond à un besoin social de conseil mais aussi de soins lorsque l'on habite loin de la ville et que l'on n'a pas les moyens de s'offrir les services d'un médecin et les médicaments prescrits, on perçoit que les jeunes générations cambodgiennes, plus rationnelles que leurs devancières, sont critiques vis-à-vis de ces pratiques. Même si l'on nous conta, dans le Mondolkiri, qu'un kru avait guéri du venin d'un serpent une dame déclarée perdue par la médecine…

Nous prenons congé de la guérisseuse et nous dirigeons vers Phnom Bakheng, premier temple construit vers 900 sur le site d'Angkor. Son nom signifie "sacré viril" : il est vraisemblablement dédié à Shiva symbolisé par son linga. Le temple sis au sommet d'une colline surplombait la première ville établie par Yasovarman Ier dans la plaine fertile.

4 escaliers, situés aux 4 points cardinaux permettaient aux prêtres et au roi d'atteindre le sommet de la colline.

Le gardien, qui travaille en famille, est aussi marchand.

La chapelle centrale.

Un financement américain permet la consolidation des ruines et le relèvement de certaines parties de l'édifice.

Depuis le temple, on aperçoit Angkor Wat.


La chaussée de pierre étant en travaux, une chaussée flottante a été aménagée.

On trouve de tout dans Angkor Wat : une marchande de jus de palme.

A défaut d'être gracieuse, la dame semble polyglotte.

Le jus est ainsi recueilli.


Je ne puis bien sûr faire l'impasse totale sur Angkor Wat, construit par Suryavarman II au début du XIIème siècle en tant que « temple d'État » et capitale.


Temple le mieux préservé d'Angkor, il est le seul à être resté un important centre religieux depuis sa fondation, initialement hindou et dédié à Vishnou, puis, bouddhiste.

Des moines remettent des bracelets et reçoivent les donations. Le plus âgé semble blasé et méfiant.

Le plus jeune a le port altier.

Un ami, qui a abandonné ou ne porte pas encore la robe safran, est venu pieusement le rejoindre.

Munis de ce que nous espérons être un porte-bonheur,

nous quittons Angkor Wat, non sans l'avoir visité, et poursuivons notre route.

Merci de votre lecture et de vos commentaires et à bientôt !
Merci pour ce FR.
A quoi bon attendre des PNCs qui ne serviront à rien durant le vol ?
Etaient-ils(elles) chargé(e)s de sac duty free ? ;)
Si ma mémoire est bonne lors de ma seule expérience avec Cambodia Angkor Air en vol domestique, nous avions eu droit à une bouteille d'eau.
Et quoi encore ? lol
A bientôt.
Merci Clément pour le commentaire.
En effet, pourquoi attendre des PNC totalement inutiles, à l'instar de leur compagnie en fait.
"Si ma mémoire est bonne lors de ma seule expérience avec Cambodia Angkor Air en vol domestique, nous avions eu droit à une bouteille d'eau." ===> le progrès de l'expérience passager sans doute.
Point de sac de duty free mais la mine des mauvais jours !
A bientôt!
Merci Franck pour ce FR.
tout occupés à satisfaire leur Maître SmartPhone => un seul « appareil » vous manque et tout est dépeuplé.^^
Sac vomito et son mode d'emploi. Je ne sais si, dans ces moments d'urgence absolue, l'utilisateur respecte la consigne. => je confirme que prendre le temps de le déchirer pour l’ouvrir peut être très pénalisant.
pas même un verre d'eau => là le zéro est plus que justifié, car d’autres compagnies y arrivent très bien.
e-visas => je viens de me mettre un mémo dans mon agenda pour le faire.
Superbe bonus avec toujours ces magnifiques portraits.
A bientôt
Merci Valérie pour le commentaire.
Servir un verre d'eau en une heure à 70 pax n'est en effet pas insurmontable ou ruineux!
Le bonus essaye de sortir un peu des sentiers battus. Mais il sera peu vu terminant un vol Y en tondeuse à gazon.^^
Voici le lien du e-visa : www.evisa.gov.kh Attention, cela ne fonctionne pas pour une arrivée aux frontières terrestres.
A bientôt !
Merci Franck : j'arrive à REP avec Mi donc cela va m'être bien utile.
Merci Franck pour ce FR !
Ce vol ne restera pas dans les annales, surtout vu le comportement des PNC. C'est une des premières fois que je vois ça sur des FRs en Asie ^^
La prestation ne rattrape pas l'équipage puisqu'elle n'existe pas, la mauvaise note est donc méritée.
Merci Jules pour le commentaire.
Retard, absence de service, même MD ne faisait pas pire et servait un verre d'eau !
Heureusement que l'IFE naturel, malgré l'opacité qui voile les hublots des ATR était là pour garder la bonne humeur !
A bientôt !
Quand le service et le catering sont inexistants, il tout à fait normal d'y mettre un zéro.
Pas même un verre d'eau?
Ah ces formalités à l'arrivée à REP. Je vois que c'est toujours autant le cirque.
"Sous le photomontage de la photo de mariage de son fils…"=> si on ne regardait pas la photo de plus près, j'aurais cru voir le nouveau roi de Thaïlande
Angkor Wat, magnifique. Mais je préfère Bayon, bien plus mystérieuse.
Merci Franck
Merci Bernard pour le commentaire.
Je n'avais jamais expérimenté une telle absence de service à bord d'un avion. Et quand le rien est en plus fait de mauvaise grâce, ce n'est pas très brillant !
C'est toujours un peu le foutoir à REP .
"Mais je préfère Bayon, bien plus mystérieuse." ===> moi aussi et mes compagnons de voyage également. Le mystère était accru par la pluie qui tombait. D'où l'absence de photos, en ayant réalisé il y a 6 ans sous le soleil.
Rama X t’obnubile-t-il?
A bientôt !
Merci Franck pour ce FR,
Pour le positif, des clichés exceptionnels en vol et un bonus touristique passionnant comme tu sais bien le narrer.
Pour le reste, absence de gain d'XP, de service de boisson, et de distribution de fiches d'entrée...de quoi être un peu exaspéré.
Heureusement les paysages exceptionnels permet d'oublier le tout !
Très bonne soirée à toi et à bientôt !
Merci Benoît pour le commentaire.
Lorsque, comme on dit, une "expérience passager" est mauvaise, ne reste plus qu'à se consoler avec l'IFE extérieur si la météo se veut complice...
Heureux que le bonus t'ait plu.
A bientôt mon ami !
Merci pour le partage Franck !
Et bien, ces zéros m'avaient intrigué mais je dois dire qu'ils sont tout à fait justifiés, incroyable cette réponse du No More et aucun service à bord, même pas de l'eau.
Superbe bonus comme à ton habitude !
Mes amitiés à J.
A bientôt !
Merci Stephan pour le commentaire.
"Et bien, ces zéros m'avaient intrigué" ===> tu commences pas la fin? ^^
"je dois dire qu'ils sont tout à fait justifiés" ===> évaluer et un métier mon ami.^^
Je dois dire aussi que l'attitude au minimum désinvolte pour ne pas dire impolie de la PNCette n'a choqué personne et que je suis le seul à avoir fait part de mon agacement.
A bientôt !
Merci pour cette suite Franck avec ce joli bonus très très local ^^
Mesquin ce comportement d'Expedia. Quand il est possible d'éviter les AGV en ligne, je le fais avec plaisir ^^
Un vol qui n’envoie pas beaucoup de rêve entre le retard, la cabine un peu vieillotte, le manque de service et l'amabilité du personnel... on va dire que ça a son charme lol,
A bientôt!
Merci Benji pour le commentaire.
Les agences de voyage ont souvent des tarifs intéressants sur des itinéraires différant de l'aller-retour basique. Mais comme toi, je les évite dans la mesure du possible. Il est vrai qu'un client néophyte s'eut fait bouffer sa première journée de découvertes. Mais j'eus gagné 5 XP!!!
"on va dire que ça a son charme" ===> absolument, et cela permet de nourrir un FR de CC en tondeuse à gazon !
A bientôt !
Merci pour ce FR ! Une compagnie originale et aux couleurs locales, mais pour le service on repassera... Par contre je ne savais pas du tout qu'ils opéraient des Airbus !
Ah Expedia... J'ai moi aussi eu une mésaventure récemment avec eux, ce qui confirme qu'il faut booker sur les sites des compagnies autant que possible (mais dans mon cas je n'avais pas vraiment eu le choix).
A bientôt !
Merci du commentaire.
K6 offre un peu d'exotisme à défaut de qualité.
"les sites des compagnies autant que possible (mais dans mon cas je n'avais pas vraiment eu le choix)." ==> itou ; ou alors c'était 500 euros plus cher par pax. Mais j'ai trouvé leur tentative particulièrement cavalière.
A bientôt !
Bonsoir Franck
Il faut se méfier d'Expédia, mais aussi de tous les autres qui essayes d'embobiner les gens, pour des raisons obscures...
Cambodia fait fuir le voyageur avec une prestation nulle et des PNCettes aux abonnées absentes
Heureusement l'arrivée ne c'est pas trop mal déroulée...
Excellent bonus avec ces portraits et la visite chez la guérisseuse, un grand moment !
Merci pour le partage, à bientôt l'ami.
Merci Hervé pour ton commentaire.
K6 n'envoie pas de rêve c'est sûr et après un vol LC dont l'horaire ne permet guère de dormir, le retard et l'attente dans le paxbus n'ont guère d'agrément.
Le e-visa est une bonne chose. Il fait gagner du temps… à condition que les formulaires de débarquement soient distribués à bord.
Le bonus est, à mon sens, ce qui donne du charme au FR. Le suivant, paru ce matin, est pas mal non plus.^^
A bientôt mon ami !
Merci Franck pour ce FR.
Toujours des tondeuses à REP. Il serait temps de changer !
Mais auraient gagné le grand bonheur de satisfaire la demande de cette oeuvre de charité.
Vol pas bien agréable, mais forcément belles vues qui annonce un très beau bonus.
Merci Quentin pour le commentaire.
"Toujours des tondeuses à REP. Il serait temps de changer !"===> Que nenni ! La tondeuse est parfaitement adaptée à la luxuriance de la végétation tropicale.^^
"Mais auraient gagné le grand bonheur de satisfaire la demande de cette oeuvre de charité." ===> Je ne suis ni Louis-Philippien ni bonne poire !
A bientôt !