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7 mois. Cela fait 7 mois que je prépare ce séjour à Dubaï !
Il y a deux ans, quand j'ai appris que l'exposition universelle aurait lieu dans cette ville, je me suis dit que cela serait l'occasion de m'y rendre et de découvrir ce nouvel eldorado. Puis est venu 2020, et sa pandémie qui nous as enfermé chez nous. L'exposition était décalé d'un an, partir à l'étranger devenait un parcours du combattant. Ce projet de séjour n'était plus d'actualité.
En mars 2021, après plusieurs mois de confinement, de couvres feux de plus en plus long, l'espoir de revivre presque le monde d'avant grâce à la vaccination m'a poussé à repenser à ce projet. On se souvient qu'à l'époque les polémiques fusaient sur les approvisionnements, sur le retard français et autres. Mais on annonçait que tous les français qui le désireraient pourrait recevoir leur première dose de vaccin d'ici la fin de l'été. Une certaine lueur d'espoir dans une période où l'on pouvait difficilement programmer quelque chose à l'avance. La décision est prise, vacances à Dubaï à la Toussaint, si bien évidemment c'est possible, et jusqu'à récemment j'ai souvent douté de pouvoir partir comme prévu.
Fidèle à Air France KLM, je réserve mes premiers billets en mars. Aller retour via Amsterdam en Business avec KLM. Cela me semble préférable d'être installé dans cette classe, surtout pour pouvoir dormir allongé de nuit au retour.
Ce voyage est encore loin. Je commence à me renseigner sur ce que je peux faire sur place en dehors de l'exposition universelle. Je m'interroge aussi sur la cabine business de KLM. Et je découvre ce site. Meilleure façon de comparer les cabines, mais aussi les compagnies aériennes. Ce sont ces lectures qui me font changer une première fois mon billet. La cabine Air France semble meilleure que KLM, ne serait ce que pour dormir et manger. Je change donc de compagnie (mais cela reste le même groupe) début avril pour le vol retour.
Je découvre aussi au même moment la cabine la Première. Encore une fois grâce aux contributeurs et passionnés de ce site, ainsi qu'à des YouTubeurs qui ont partagé leur expérience. Cette '"expérience" semble tellement irréelle (surtout en pleine période de confinement), et inaccessible pour le commun des mortels. Avant de succomber, je change une deuxième fois mon billet pour faire un vol direct vers Dubaï, en particulier pour éviter un transit. Toujours en business avec Air France.
Mais l'idée de découvrir La Première, surtout dans sa configuration 777, commence à m'obséder. Le prix est terriblement bas à l'époque (enfin, plus bas qu'à son habitude, mais beaucoup diront encore trop, mais tout est relatif).
Début mai c'est décidé, je change une nouvelle fois mon billet, mon aller se fera via la cabine La Première. Pourquoi pas le retour ? Les avis sont plutôt mitigés sur le sens DXB-CDG. En tout cas, l'expérience est amoindri par rapport au départ à CDG.
Réserver un billet La Première a impacté les dates de mon séjour, il l'a même retardé. La crise COVID a poussé l'avionneur à limiter ses vols et la mise à disposition de la cabine en attendant la reprise du traffic aérien. A l'époque, le premier vol prévu avec cette classe était fixé au 31 octobre, d'où mon départ aujourd'hui. Dans les faits, les vols en première d'AF ont redémarré cet été.
Le site Air France est vraiment agréable pour réserver et modifier son vol. Les conditions d'air-France actuelles sont avantageuses pour modifier ou annuler son vol en cas d'imprévu. En cette période incertaine il est agréable de pouvoir compter là dessus, surtout quand on réserve si tôt en avance.
Remarquez qu'en première, avec mon statut, j'ai le droit d'emporter 4 bagages en soute, 2 bagages cabine et 1 accessoire, soit jusqu'à 146kg de bagage. Heureusement je serai bien en dessous.
Le mardi avant le départ je joins la ligne dédiée La Première pour préparer mon départ depuis chez moi. Etonnamment je n'ai reçu aucune information pour m'indiquer la démarche à suivre ou me préciser ce numéro de téléphone trouvé dans le report d'Ateon.
L'accueil est cordial. Il faut croire que c'est tabou de demander l'identité de l'appelant ou son numéro de réservation, car on me prend pour une autre personne dans mon organisation (déduction faîte semble-t-il à partir du numéro de téléphone fixe que j'ai utilisé pour appeler). On s'étonne car je n'ai aucun vol prévu ce dimanche, je ne suis effectivement pas la personne attendue au bout du fil. Une fois donné le numéro de ma réservation, mon vol est bien retrouvé, mon identité aussi.
On me demande le lieu de récupération (mon domicile mais cela aurait pu être un hôtel) et l'heure à laquelle je souhaite que la "limousine" m'attende. On me demande également le nombre de valises que j'aurai. Le service proposé par Hertz est en effet limité à 3 valises, alors que mon billet me permet 4 bagages en soute, en plus des deux bagages cabine et d'un accessoire. Pour une semaine, je n'aurais pas besoin d'autant. Du coup, je me suis demandé ce qui se serait passé si j'avais indiqué un nombre de bagages supérieur ? Une deuxième limousine ? ou plutôt certainement une proposition de retrait des bagages ? On m'indique que le nécessaire va être fait auprès du prestataire Hertz, et que je dois recevoir rapidement une confirmation. Si cela n'était pas le cas dans les 15 minutes, j'étais invité à reprendre contact avec mon interlocuteur.Mais en moins de 15 minutes j'ai bien reçu SMS et email pour me confirmer la bonne prise en compte de la réservation et de la prise en charge.
Désormais les Émirats arabes unis sont en zone verte. Tout les français peuvent s'y rendre sous réserve de présenter un test PCR négatif, et ceci même pour les personnes vaccinées.
Rendez-vous est donc pris dans un laboratoire de mon quartier pour le réaliser. Aucune anicroche, test réalisé 2 jours avant à 8h58, résultat négatif reçu à 21h17. Cela aurait été dommage d'attraper la covid juste quelques jours avant le vol.
La veille, j'ai la possibilité d'enregistrer mon vol. Question bête, est-ce vraiment nécessaire de le faire soi même lorsque l'on voyage en cabine La Première ? J'arrête mon snobisme, et valide l'enregistrement. Me voici avec une carte d'embarquement électronique qui ne risque pas vraiment de me servir. J'espère bien en effet la recevoir en version papier dans son bel écrin rouge demain.
Cet enregistrement me permet cependant de voir une nouvelle rubrique, jamais vue jusqu'à présent : Wi-Fi à bord.
Le pass Stream est gratuit au lieu de 30€ (vous remarquerez que si j'en ai envie, je peux souscrire à un pass payant). Mais on verra plus tard que l'accès au wifi a été plus compliqué que prévu.
Sur l'application mobile, j'avoue être amusé par l'option salon.
Mais impossible d'ajouter cette option !
Reste donc encore une longue journée avant de vivre "the expérience La Première". Oui je ronge mon frein.
Rendez-vous était donné à 8h30, soit 5 heures avant l'heure de décollage prévue. Cela serait dommage de ne pas profiter suffisamment du salon La Première, surtout pour une première fois.
Je reçois un sms 2 heure avant l’heure prévue pour me donner le prénom de mon chauffeur et son numéro de téléphone au cas où. Je sors à 8h29, la voiture s'avance dans ma rue quelques secondes plus tard.
Je serais donc conduit en tesla. La voiture est confortable, peut être moins qu'une classe S ou E.
Deux prise usb c et un câble pour recharger un iPhone sont à ma disposition. J’ai le choix de la radio ou du type de musique que je souhaite écouter. Le parcours a été préparé. Sylvain m’annonce qu’à cause d’un marathon sur le chemin nous allons passer par le sud.
Arrivée à 9h15
A peine arrivé, on prend en charge mes bagages. J'attend peu dans ce salon, juste le temps que mon accompagnateur s'occupe de l'enregistrement avec mon Passeport. Il me demande également si je dispose bien d'un test pcr négatif de moins de 72 heures rédigé en anglais.
Me voici avec l'écrin rouge stylé qui protège mon premier billet La Première.
Voie VIP en traversant le hall des départs du terminal 2E avec mon accompagnateur qui m’ouvre royalement la voie. En cette période de vacances de longues files d’attentes traversent le hall au delà de l'entrée de la police des frontières. Plus d’une heure d’attente pour passer la Securité dixit mon accompagnateur, longue attente également en vue aussi pour les passagers avec Sky Priority. Moins de 10 minutes pour moi, et encore parce que mon bagage à main a été mis de côté à cause de ma gourde vide !
9h37, me voici déjà dans le salon la première.
Arrivé au salon on me demande si je souhaite arriver au début, au milieu ou à la fin de l’embarquement. Je préfère arriver à la fin. Je laisse mon bagage à main à la consigne. Pour ma première visite dans ce salon j’ai le droit à une rapide visite.
Le salon n’est pas rempli, je dirais un peu plus de 10 pax. Clientèle internationale. J’ai l’impression d’être le seul français lorsque j'arrive. La plupart ont des départs matinaux. De nouveaux pax arrivent et partent au fur et à mesure dans le calme. Le calme est le maître mot dans ce salon.
Régulièrement on vient me demander si quelque chose me ferait plaisir. Je commence léger, un double expresso et une salade de fruit frais.
Les toilettes valent le détour, en rond
Comparé au nouveau salon du terminal 2F, la vue depuis le salon n'est pas aussi intéressante.
Du fait d'Halloween, le salon a été décoré en conséquence. C'est la fête de la citrouille.
Vous remarquerez les prises usb classique au dessus des fauteuils.
Le buffet a été remis en service, en particulier les fruits enrobés de chocolat Ducasse, délicieux.
Et le bar à eau n'a pas disparu. Dans le salon La Première on ne s'est pas encore converti aux gourdes et à la fontaine à eau.
Il est temps de passer à table pour gouter la cuisine selon Alain Ducasse
La carte est alléchante. J'ai certainement eu les yeux plus gros que le ventre. Mais les mets sont succulents. Accompagné par les vins et champagnes qu'il faut. Le service est parfait. Les plats s'enchainent parfaitement. Le serveur est parfaitement sympathique.
Avant de partir on m'offre ces deux madeleines.
Vers treize heure une nouvelle accompagnatrice vient me chercher au salon. Elle récupère mon bagage consigné puis m'accompagne à l'ascenseur qui permet d'accéder au côté piste. A la sortie de l'ascenseur une douanière vérifie que je dispose bien d'un test pcr valide en anglais.
Pas de surprise, l'embarquement en Première à CDG se fait en voiture par ma dernière accompagnatrice.
Arrivée dans l’avion via la passerelle réservée à la Première et à l’équipage depuis le tarmac.
Me voici enfin dans ma "suite".
Le steward de la première (Eric) me souhaite la bienvenue, suivi d'un chef de cabine.
On m’offre mes cadeaux de bienvenue : trousse Air France, chaussons, pyjama, verre de champagne et autres choses à grignoter.
La cheffe de cabine principale (Agathe) vient à son tour me souhaiter la bienvenue.
Avant le départ mon accompagnatrice vérifie que mon bagage est bien en soute, ce qui était bien le cas.
Vient enfin le tour du commandant de bord de me saluer en personne, qui me précise le départ dans 10-15 minutes, la durée du vol 6h25, et la météo, beau temps et 30° à l’arrivée. Je n'ai jamais été aussi bien accueilli dans un avion. Chaque fois on m'a appelé Monsieur C…
Aujourd’hui nous serons deux à partager l’avant de l’avion sur les 4 places La Première. Nous serons très vite séparés par un rideau.
Avant le départ Eric vient me préciser l’usage des différents boutons et trappes de la suite, et me demande quand je souhaite bénéficier du repas.
Niveau prises disponibles : une mini jack, une usb, et une prise de courant universelle. On voit des signes d'usure sur la signalétique.
Mes jambes ont eu suffisamment de place pendant tous le vol !
Et ma sacoche a été parfaitement attachée durant le vol.
Adieu mauvais temps de toussaint, à moi le soleil de Dubai.
Après le décollage je déguste un gin tonic avec glaçons et rondelle de citron préparé par Eric et accompagné de noix de cajou et de cranberries.
Petit comparatif entre la trousse Air-France des cabines La Première (à gauche) et Business
En première on nous offre :
- Une trousse rigide
- Un crayon chic
- Une brosse à dent et du dentifrice
- Quatre échantillons Carita : combleur fondamental sérum anti-ride lissant, combleur fondamental soin regard, crème des lagons et jeunesse originelle mains
- Un masque pour les yeux
- Des boules quies dans un étui cartonné
- Un peigne
- Un chausse pied
- Des bonnets pour les écouteurs
- Des chaussons et chaussettes dans un sac
- Un pyjama dans une sacoche en feutre
Nous recevons aussi un kit sanitaire contenant un masque chirurgical, une lingette nettoyante et un sachet de gel hydroalcoolique.
Les toilettes servent également de vestiaire pour se changer. Un abattant spécifique vient recouvrir complètement la cuvette.
Ce n'est pas moi qui ait appliqué ce protège cuvette.
Au début du vol, je lance une connexion via le wifi de l'avion. Mais mauvaise surprise, impossible de me connecter au wifi gratuit de la cabine La Première.
Je le signale à Eric, qui prend les dispositions nécessaires pour réparer ce problème, qui donnera lieu à un signalement dans le rapport du vol. Après avoir pris une photo de cet écran "désolé", un message sera envoyé depuis le cockpit à Air France à Paris pour réparer la situation. Près d'une heure plus tard, Eric reviendra avec un code pour activer le forfait stream.
Niveau débit, on dira que ce n'est pas mirobolant. Je ne suis pas certain que l'on puisse réellement regarder quelque chose en streaming dans de bonnes conditions.
En tout cas, j'ai transféré quelques photos de ce report durant le vol.
Comme indiqué plus haut, Eric m'a demandé avant le vol l'heure à laquelle je souhaitait manger (à 17h30 heure française). Il m'a également demandé en début de vol mon choix dans le menu.
A l'heure dite, la table était dressée.
Pour commencer du caviar anisé. L'accord est parfait. L'anis se sent subtilement. Un verre de vodka glacé vient l'accompagner ainsi que la fameuse petite cuillère en nacre pour la dégustation.
Suit un gaspacho de tomate et de melon, finement épicé, comme pour mieux l'apprécier à 35000 pieds d'altitude.
En entrée je choisi les noix de saints-Jacques et leurs légumes en escabèche. Idem, légèrement épicé, et délicieux.
En plat, je choisi la joue de veau confite à la messine, piquée d'anchois, avec ses pommes de terre fondantes aux oignons
Enfin en dessert, la sélection de fruit (fraise, raisin, mangue) et un sorbet citron.
Malgré l'insistance d'Eric, je pensais en rester là (il faut dire que j'avais bien profité du salon La Première quelques heures plus tôt). Mais il finit par me convaincre de prendre une partie de la collation prévue au menu. Il me tente en effet avec un Saint-Honoré de Philippe Urraca, meilleur ouvrier de France, accompagné d'un espresso.
Eric avait bien fait.
A 22h40, le commandant de bord nous annonce la descente vers Dubai. Dernière serviette chaude avant d'atterrir.
Juste avant l'atterrissage Eric glisse sur ma sacoche ce gentil petit mot. Cela a été un plaisir de voyager sur ce vol dans la cabine La Première.
(Carte Flightradar24)
Nous avons atterri à 23h12. Le vol a été sans encombre, à part une courte zone de turbulence au dessus de la Mer Noire.
A la sortie de l'avion, une accompagnatrice locale (du groupe Marhaba) nous attendait moi et l'autre passager La Première. Elle nous accompagnera jusqu'à la sortie de l'aéroport. Elle nous fera passer devant tout le monde dans le métro automatique qui permet de rejoindre le hall des arrivées (c'est à l'entrée de ce métro que le test pcr négatif requis est rapidement vérifié). Le passage devant un douanier dubaïote pour obtenir le visa d'entré sera très rapide. Tellement qu'il faudra attendre une dizaine de minutes pour récupérer mon bagage en soute, le premier bagage à sortir à 23h50.
A l'arrivée mon chauffeur HertzdriveU n'est pas encore là. Un accident de la circulation a réduit le traffic routier jusqu'à l'aéroport. Il me prendra en charge dans sa Lexus à 00h15.
L'expérience de mon premier vol en première classe a été excellente, et au delà de mes attentes. Elle a été sans stress de bout en bout. J'ai été choyé comme jamais.
Bien entendu, il s'agit d'une prestation d'exception, qu'une infime partie de la population connaîtra au moins une fois dans sa vie, ne serait-ce à cause de son coût, que beaucoup juge prohibitif. Le luxe a un prix qui ne se monnaie pas.
Merci à l'ensemble des personnels d'Air France (Eric en particulier) qui ont accompagné mon voyage du bas de mon immeuble au hall d'arrivées à Dubai. Vous avez su rendre ce voyage agréable.
Merci encore aux contributeurs et passionnés de ce site de nous faire partager leurs vols, et ainsi de m'avoir fait découvrir La Première d'Air France.
La question désormais est de savoir si je ne vais pas tomber de haut, lors de mes prochains vols en business ou en éco...
19 Commentaires
Le catering fait vraiment envie.
Petite question est-ce que le bar dans la première était ouvert? Bon nombre de rapports mentionnent le bar juste ici pour de la décoration.
Ahah question pas si bête
Lors de ma visite de présentation du salon, le bar m'a été présenté comme opérationnel, mais je ne l'ai pas vu fonctionner, mais il y avait bien du champagne dans un seau. A vrai dire, on vient régulièrement nous demander si tout se passe bien et si on a besoin de quelque chose. Les boissons doivent pouvoir se préparer derrière le comptoir du bar ou en cuisine. J'imagine que si je m'étais installé au comptoir, quelqu'un serai venu pour me servir le verre de mon choix.
La semaine à Dubai a été tout autant agréable.
Mise à part le wifi je ne vois en effet pas trop de point négatif sur ce vol.
Un voyage en F reste de l’exclusivité tant sur le vol que l’expérience acheminements et salon.
À bientôt
Le vol a été parfait, le problème de code wifi est assez anecdotique, Eric a su parfaitement résoudre le problème, et je peux heureusement me passer d'internet pendant quelques heures.
En tout cas, cela démontre qu'il est possible d'avoir un repas dans des conditions optimales, sans restrictions particulières par rapport au Covid, et avec du pain frais contrairement aux pains pas frais sous plastique servis cet été lors de mes vols en J.
Voler en Première est toujours un moment privilégié. On sent l'envie de bien faire de la part de votre steward.
A bientôt !
Finalement, je ne sais pas si tu as eu ce regret, mais le vol vers Dubai est finalement trop court pour apprécier le voyage. Surtout au retour d'ailleurs.
Roissy se réveille doucement, le vol était complet, mais c'était extrêmement fluide avec SkyPriority (au départ, je ne dirais pas la même chose de la PAF au retour...). Une bonne moitié du S3 (L) était désert. Désormais ce n'est peut-être plus la même histoire depuis avant-hier avec le retour du trafic vers les USA.
Le vois aussi que ton vol a pris le trajet nord, par la Mer Noire et l'Irak. On avait eu droit au sud, par la Grèce et Israël.
A bientôt !
Effectivement le vol a semblé court à l'aller avec le repas au milieu et au retour puisque j'ai dormi une bonne partie.
Une semaine après, je reste nostalgique de la chaleur et du soleil de Dubai.
A bientôt
Merci pour votre commentaire, je suis heureux d'avoir pu partager cette expérience sur ce site qui me l'a lui même fait découvrir.
A bientôt
Expérience assez confidentielle agrémentée de très jolies photos.
A bientôt
Avant l'ouverture des frontières américaines, le choix de destinations en La Première se comptent sur les doigts de la main, surtout que l'Asie est toujours fermée aux touristes. Même Singapore Airlines qui dispose de vols VTL n'arrive pas à remplir ses vols prévus au début comme quotidiens.
Tous les plats servis au salon à CDG donnent très envie. Définitivement la meilleure restauration First Class dans un salon à mon avis
Le chef Donckele a trouvé le bon équilibre des saveurs et épices pour contrecarrer les effets de la pressurisation à bord.
Mais il a laissé la place au chef Marcon depuis novembre. En espérant qu'il va relever le défi.
Effectivement, la First d'AF met à l'honneur la gastronomie à la Française, sans fausse note, contrairement aux autres classes (j'y reviendrai dans mon rapport retour). En tout état de cause, j'ai hâte de découvrir la cuisine du chef Donckele sur la terre ferme pour déguster ses mets sans le désagrément de la pressurisation.
A bientôt
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