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Aujourd'hui, je vous retrouve pour une nouvelle série de vols à destination du Maroc dans le cadre de mes études. Afin d'éviter les restrictions sanitaires en France, je décide de passer nouvel an au Maroc, mal m'en aura pris car un couvre-feu à 19h sera annoncé à la dernière minute.
Initialement, cet aller-retour devait être le dernier car je devais ensuite déménager pour le travail, en fait cela n'a pas été le cas mais j'y reviendrai plus tard. Dans ce contexte, j'ai pris l'aller-retour en J car j'avais très peu de vols à faire en 2021 et que j'avais besoin de bagages pour mon déménagement au retour.
Pour une fois, l'itinéraire est assez simple :
C'est en voiture que je rejoins l'aéroport où je me gare au P0 Express qui a l'avantage d'être gratuit pendant 30 minutes alors que le dépose-minute est limité à 10 minutes.
Il y a pas mal de monde à l'embarquement mais je ne suis pas plus surpris que cela car nous sommes juste avant nouvel-an.
Il aura fallu 30 minutes pour déposer mes bagages, je ne me souviens plus s'il y avait de l'attente ou si c'était plutôt à cause des documents, probablement une combinaison des 2.
D'habitude, je ne m'arrête pas trop dans les Duty Free, mais là j'ai craqué pour du Campari à un prix défiant toute concurrence.
Beaucoup de commerces n'ont pas ouvert le rideau ce matin faute de passagers. Seul le Prêt à Manger et le Relay sont ouverts.
Le salon la Croix-du-Sud est fermé car à l'époque il n'était pas possible de consommer sur place.
Tiens, il y a un CRJ-700 d'Air France Hop aux portes C, d'habitude c'est au nouveau hall A qu'il a l'habitude de séjourner.
La porte d'embarquement pour mon vol n'est pas encore annoncée. Je remarque aussi que le vol direct vers Casablanca avec Air Arabia Maroc a été annulé, j'ai bien fait de prendre mon billet avec Air France.
Finalement, le vol est annoncé en porte 51 à côté de la zone internationale.
Entretemps, je me suis arrêté au Prêt à Manger pour acheter un muffin qui s'avèrera excellent mais comme la consommation est interdite sur place, c'est en porte d'embarquement que je mange.
L'embarquement se passe en porte 51 (hall D), ce qui est plutôt inhabituel pour Air France qui a l'habitude de faire ses embarquements au hall B. J'ai été un peu surpris à l'annonce de l'embarquement à propos des masques disant que les personnes sans masques chirurgicaux devaient en acheter dans les distributeurs des toilettes. Il me semblait qu'Air France les donnaient à bord notamment pour ceux qui ont des masques en tissus.
Les passagers prioritaires sont appelés à embarquer en premier, nous serons un peu nombreux.
Notre avion est un Airbus A320.
L'avion est équipé du Wi-Fi avec Air France Connect.
Comme à mon habitude c'est au premier rang que je m'installe. Enfin techniquement c'est deuxième rang mais il y a un décalage d'une rangée à cause de la cloison.
Le pas est excellent bien que l'on ne puisse pas étendre ses jambes à l'infini à cause de la cloison.
Notre voisin qui rejoindra Orly repousse à 10h00 pendant que l'embarquement se poursuit.
Puis, c'est à notre tour de repousser à 10h25, nous avons à ce moment 10 minutes de retard. Je me dis que ce n'est pas bien grave même si je dois rencontrer un autre membre de Flight-Report au salon à Paris, cela devrait le faire.
Nous décollons 3 minutes plus tard de Toulouse. Vous remarquerez probablement que le centre de livraison d'Airbus est bien rempli.
Comme à l'aller, le service se limitera à un verre d'eau. Je ne sais pas trop quoi en penser car d'un côté je me dis que s'ils proposent un verre d'eau, ils peuvent proposer plus. De l'autre côté, si rien n'avait été proposé, ça aurait été critiqué aussi.
Le vol se passe sans à-coups jusqu'à l'approche où une petite surprise nous attend.
GATO, GATO, GATO
Peu avant d'atterrir, les moteurs vrombissent et nous commençons à remonter, s'en suit un long moment de silence avant que le pilote ne prenne la parole pour nous expliquer que l'avion devant nous a mis trop de temps à dégager la piste.
Nous nous représentons une bonne dizaine de minutes plus tard, la deuxième tentative est la bonne.
Dégagement de la piste
Dernier virage vers le terminal 2F, avec un intrus dans le fond qui est habituellement au terminal 2G qui est fermé depuis le début de la crise.
Nous rejoignons enfin notre point de stationnement au terminal 2F avec 10 minutes de retard sur le bloc, c'est pas bien méchant.
Voilà, c'est tout pour ce vol de préacheminement, j'espère que vous l'aurez apprécié. Il s'agissait de ma première remise de gaz à bord d'un avion de ligne.
A bientôt pour la suite !
A Toulouse, l'aéroport est facilement accessible en voiture et la gratuité du parking pendant 30 minutes est un plus. La fluidité habituellement bonne ici est réduite en période de pointe. Les services sont un peu décevants avec beaucoup de commerces fermés, peut-être plus que de raison. Rien à signaler pour la propreté.
Le vol ressemble au précédent, la cabine est correcte, la restauration à bord était très limitée à cette période mais il faut aussi tenir compte du contexte. Avec ce service limité, on ne voit pas beaucoup les PNC. L'offre de divertissements est très bien entre l'application Air France Play et Air France Connect, il ne manque plus que le retour de la presse papier !
L'aéroport de Paris CDG sera évalué avec le vol suivant .
Les contributeurs de Flight-Report ont posté 69 avis concernant 3 compagnies sur la ligne Toulouse (TLS) → Paris (CDG).
La compagnie qui obtient la meilleure moyenne est Air France avec 7,5/10.
La durée moyenne des vols est de 1 heures et 28 minutes.
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4 Commentaires
Clairement tu as raison, si on peut servir un verre d'eau on peut aussi servir autre chose,
A bientôt !
A tout de suite pour la suite
LYSflyer
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