Bonjour à tous !
Toujours en galère avec mes reports à écrire, je vous propose le dernier vol de mon périple Londonien, avec le retour Londres - Lyon avec British Airways en J ! Je précise dès le début que les photos ne seront pas extra parce que… Bah je sais pas trop, je n'ai pas été très attentif.
En fin de FR, un petit bonus sur Londres sous la neige !
Le rappel du routing est ici :
Un petit soucis se présente alors :
Je n'ai AUCUN souvenir d'avoir réservé un vol chez Iberia depuis 2019.
Vérification faite, j'ai visiblement acheté un billet Madrid - London Heathrow un soir de début juin, probablement après quelques coups dans le nez vu qu'il s'agissait d'un jour d'apéro à mon travail.
Étant donné qu'il s'agit du vol court en gros porteur Iberia (ici un A330) le samedi 10 décembre, pour un tarif de 36€, je suppose que la réflexion a été "Oh, un vol en gros porteur pas cher, qui en plus me permet de fuir le monde de la Fête des Lumières à Lyon, go !".
Bref, en conséquence, je fais ce que toute personne censée ferait dans ce cas. Et non, ce n'est pas "Boah, 36€ c'est pas bien grave, ça sera pas grand chose de perdu si je ne prends pas le vol".
Mais plutôt :
"Et si je réservais un Lyon - Madrid et un London - Lyon en Business pour compléter le voyage ?"
C'est ainsi que je me retrouve avec un vol Lyon - Madrid le vendredi 9 décembre à midi, sur Iberia Express, pour 228€, et un London LHR - Lyon sur British Airways le lundi 12 décembre au soir, pour 192€. Des prix assez raisonnables pour de la J, mais qui ont tendance à faire un peu exploser le principe du "Oh, un billet pas cher, allez, zou !", surtout en ajoutant les logements sur place.
Routing et placement à bord
Le voyage, en résumé et mis à jour avec le nouveau vol MAD-LHR :
Enchainement de vols
- 1
- 2
- 3BA364 - Affaires - London LHR → Lyon - Airbus A320
Comme sa sœur Iberia, British Airways adopte la détestable habitude de facturer le choix du siège en Business pour les passagers non encartés (et les encartés bas niveau).
Et en plus, ça n'est clairement pas donné, 25£ les sièges du dernier rang de la J, 28£ devant (soit une bonne trentaine d'euros).
Le vol étant intégralement de nuit (peu d'intérêt pour le hublot donc), et ayant déjà dépensé BIEN ASSEZ d'argent dans ce voyage, je fais l'impasse sur le choix du siège lors de la réservation.
Il me faut attendre le check-in un jour avant le vol pour sélectionner mon siège. Malheureusement, à ce moment là, il ne reste plus que le 03C ou 03D. Vol de nuit, au couloir, ça ne me changera strictement rien, je pars donc sur le 03D au pif.

Pour ce vol, pas spécialement d'inédit sur FR, la liaison a déjà été reportée 13 fois dans ce sens, dont 3 fois en J.
Pour moi, c'est un peu plus original, premier vol sur BA maison-mère, premier LHR-LYS aussi donc, et seconde fois que je passerai à LHR dans le sens des départs, le précédent passage étant sur Air France en… 2013. Autant dire que je ne me souviens absolument pas de mon précédent séjour !
Ce vol sera donc, comme indiqué dans les stats du vol LYS-MAD, mon 79e de 2022, et le 260e de ma carrière d'avgeek ! J'atteindrai, grâce à ce vol, les 160.000 miles parcourus, soit quasiment 260.000km.
Le T3 de LHR (et non pas de Gibraltar. Pardon)
Après avoir laissé l'amie avec laquelle je me suis baladé à Londres à son Eurostar pour Bruxelles, direction les tréfonds du métro, pour atteindre la charmante Piccadilly Line.

Il me faudra 70 minutes pour rallier la station T2&3 de Heathrow, avec du retard causé par un problème technique sur la ligne.

C'est parti pour le cheminement vers le T3. Les transferts vers le T4 et le T5 sont réalisables gratuitement par le métro.

De longs couloirs, égayés par un moodlighting rouge…

En moins de cinq minutes, je suis devant l'entrée du T3, dans le grand froid londonien !

Dès l'extérieur, les zones de check-in sont indiquées. Curieusement, AF/KLM n'apparait pas alors qu'ils opèrent du T3 depuis plus d'un an (pour se rapprocher de Delta et Virgin).

Le terminal est bordé par une vaste esplanade couverte, c'est assez appréciable, surtout lorsqu'il fait une météo londonienne…

Étant donné qu'il y a un peu la queue aux comptoirs, même en J, direction les bornes autos qui permettent généreusement de choisir parmi UNE compagnie aérienne.

Après avoir chaleureusement remercié la borne, c'est donc muni de mon BP que je me dirige vers l'étage supérieur par l'escalator situé au niveau des comptoirs.

Il débouche entre les deux PIF : Le "classique" ici, où il n'y a pas trop d'attente…

Et le prioritaire, qui semble vide (vu d'ici).

Il y a en réalité un peu la queue, mais ça reste raisonnable…

Une dizaine de minutes pour passer l'obstacle avec des agents sympathiques, avant de de passer par un passage étroit pour rallier la zone airside.

Grâce aux dieux de LHR, le PIF prioritaire permet d'éviter le passage obligé par le tortueux duty-free, pour déboucher directement dans la zone d'attente principale du terminal, qui est bien remplie !

Heureusement pour moi, des lounges sont là pour me permettre de fuir la foule ! Je ne sais pas exactement si je peux accéder à tous les lounges Oneworld avec mon billet de J non encarté (enfin, encarté au plus bas niveau, mais c'est identique dans les faits), dans le doute, ça sera donc le salon BA.

Avant cela… Direction le duty-free pour y faire quelques emplettes. Oui, pour une fois qu'un PIF me permet d'éviter ce passage, il fallait que j'ai besoin d'y aller…

Les indications pour les salons sont claires et reprises régulièrement pendant le cheminement…

Le Galleries club fait salle comble
Pour accéder au Galleries Lounge, il faut passer par un charmant couloir d'hôpital bien peu avenant. Curieux, pour le maître des lieux !

On débouche devant une double entrée, Galleries First à gauche, et Club tout droit. Ca sera le Club pour moi. L'accueil est chaleureux, contrairement au salon qui CAILLE !
Le long du couloir d'accès à la zone principale du salon, avec pas mal de passagers installés, ce qui aurait du me mettre la puce à l'oreille…

… Et en effet, même si on ne s'en rend pas forcément compte sur ce cliché, c'est vraiment très rempli, avec aucun fauteuil libre (les rares libres du couloir avant ont été pris le temps que je fasse le tour de cette zone). Il me faudra donc m'installer à une table, pas très confortable, et en plus je devrais la partager avec un groupe d'hispanophones qui chercheront à causer avec moi alors que je veux juste faire mon ours asocial.
Ajoutons à cela la musique de Noël à un volume un peu trop élevé pour pouvoir l'ignorer, et vous obtenez une note confort bien mauvaise pour le salon !

Une vue sur le tarmac est disponible depuis la zone fauteuillée (oui, fauteuillée), avec une queue d'A320neo Iberia, un E-Jet KLM, et un mérou Emirates au fond !

Sur ce, direction le buffet ! On commence par le chaud, avec des pies à droite (des tourtes quoi, pas l'oiseau), et différents plats et accompagnements.

Un choix de salades assez varié également…

Et de quoi les accompagner, avec plusieurs sauces, et des moulins à poivre/sel pour les personnes ayant visiblement quelque chose à compenser.

Pas vu de cold cuts, mais les fameux sandwichs triangles semblent remplacer cela !
Curieusement, il n'y a quasiment rien en sucré (ou bien je ne l'ai pas trouvé ?), me voilà déçu.

Au niveau des boissons, c'est bien varié en soft…

Le thé est plus à l'honneur que le café, nous sommes bien en perfide Albion.

Les alcools sont situés au bar, tout au fond du salon (j'ai failli faire une crise cardiaque avant de trouver le bar, je m'imaginais déjà devoir survivre à un passage au salon sans alcool) !
C'est bien fourni là-aussi, avec plusieurs références de vins, de gins, de whisky, et d'autres alcools forts.

Ma sélection est assez légère, nous sommes en milieu d'après-midi et je n'ai pas grand faim. Ca sera donc du porc au curry, du riz, avec un peu de vin (et un Coca, visiblement).

Vue de mon siège, les places se font de plus en plus rares…
Je ne l'ai pas pris en photo, mais des QR codes à scanner sont posés sur chaque table, avec l'invitation de le scanner pour commander sa nourriture. Sauf que cette fonctionnalité n'est dans les faits plus disponible, il y a juste de la pub, et la possibilité de réserver une douche.

En parlant d'hygiène, petit tour aux sanitaires, qui sont propres (et avec le PQ quasiment au niveau du sol, sans doute une coutume anglaise).

Une grosse heure après mon arrivée au salon, je parviens enfin à récupérer un fauteuil, mais c'est toujours bien rempli, je ne ferai donc pas de photos de ces assises.
Dehors, la nuit est totalement tombée, avec toujours l'A320neo Iberia et Emirates, mais KLM a été remplacé par un Airbus British Airways.

Les documents de voyage, l'embarquement doit commencer dans 45 minutes…

Iberia repousse enfin, avec 30 minutes de retard ! Il arrivera cependant au contact à MAD avec seulement +5', les horaires sont visiblement prévus larges (ou bien les vents étaient très porteurs).

Retard et process d'embarquement pas ouf
Un quart d'heure avant le début d'embarquement, je quitte le salon, la musique de Noël et le monde auront eu raison de moi.

D'après le FIDS, assez peu de vols partent après 18h, une trentaine de vols jusqu'à 22h30. C'est certes déjà bien, mais j'aurais cru plus pour un terminal aussi rempli !

Et là, c'est le drame. Le vol pour Kigali via Bruxelles est annulé. Bon, OK, on s'en fiche, mais c'est l'occasion de mettre en avant la seule ligne européenne de la confidentielle compagnie RwandAir, qui offre un produit pas vilain (voir ce report) !
Ce qui me chagrine un peu plus, c'est le retard de vingt minutes sur mon vol, alors que je viens de quitter le salon. Damned ! Notons qu'aucune info mail, SMS ou push sur l'appli BA ne me parviendra. Pas ouf.

Ca semble être une manie du vol BA364 ces derniers jours. Espérons qu'on ne fera pas comme la veille, avec une arrivée à plus d'une heure du matin…

Je me poserai donc quelques instants pour appeler Maman Kethu et lui raconter mon week-end, ça m'occupe et ça lui fait plaisir. Dès que la porte est affichée, j'en prends la direction. Les portes sont situées le long de ce large et aveugle couloir…

La 28, c'est mon arrêt !

La procédure est un peu atypique, dès l'arrivée en porte, le contrôle des billets a lieu.

On patiente ensuite dans une salle de pré-embarquement, sans WC, mais avec un distributeur de snacks (rentabilité de l'aéroport oblige).
Avec un affichage de la porte 1 heure avant le départ du vol, et une demi-heure avant l'embarquement, c'est presque pire que les pre-boarding Ryanair ou Easyjet…

Notre appareil est déjà en porte, il s'agit de l'A320 G-EUUH, livré neuf à British Airways en 2002.
Il est arrivé il y a presque 4 heures d'Alger, ce n'est donc pas lui qui nous met en retard, mais plutôt l'équipage, qui n'est visiblement pas encore là, vu le cockpit éteint.

A côté de la porte, une indication, je suppose à destination des PMR, pour qu'ils savent à quoi s'attendre. Il y a ce genre de panneaux un peu partout dans l'aéroport, c'est plutôt bienvenu.

Une demi-heure après mon arrivée en porte, la salle s'est pour le moins bien remplie ! Le nombre de sièges est largement insuffisant pour absorber un A320 complet.
L'équipage est arrivé à 18h40, et à 18h50, une des hôtesses en porte réalise une annonce pour nous prévenir que l'embarquement est un peu retardé, le commandant devant effectuer quelques vérifications techniques.

Le vol est encore un peu plus retardé d'après l'application…

Les fauves sont lâchés ! Et découverte de la cabine
A 19h, l'embarquement est finalement lancé. La priorité par zone est annoncée, mais comme les BP ont déjà été contrôlés et qu'il n'y a pas de nouveau contrôle pour accéder à la passerelle… C'est globalement une grosse ruée sur la porte.

Instant porte floue, mais belle ! J'aime bien la livrée BA :)

L'accueil est cordial et souriant, je découvre cette sympathique cabine que je trouve assez classe !

Vue sur le rang 2 avec la tablette neutralisant le siège central.

Détail de la tablette (à l'envers pour la voir à l'endroit, bref), et de la lingette fraîcheur toute moche.

Le pas est correct, sans plus. Il semble identique à ce qu'on peut trouver sur les A320 AF. Le siège est inclinable, et de type "slim". Cela ne m'a cependant pas dérangé pour ce vol assez court.

Mais ici, la boucle de ceinture n'est pas siglée…

Le plafonnier, pour les amateurs…

Des prises électriques et USB sont disponibles.

L'embarquement prend des plombes, il se terminera à 19h35. La J est pleine, et la Y semble l'être aussi.
Le commandant nous annonce qu'une grève dans l'aérien et les conditions météorologiques nous ont mis en retard.
De plus, un soucis dans le chargement des soutes a eu lieu, et il faut décharger des containers à bagages, nous ne devrions pas partir avant 20h…
Je remarque qu'un GP British Airways voyage en J avec son fils, et que leurs sièges ont été bloqués depuis plusieurs semaines d'après le plan cabine que j'ai consulté régulièrement. Dommage de la part de BA de permettre aux GP de choisir leurs sièges à l'avance, alors que les passagers qui paient, eux, doivent attendre l'OLCI s'ils ne veulent pas encore dégainer la carte bancaire…

Pour patienter, je jette un œil à la notice de sécurité.
Aucun verre de bienvenue n'est proposé aux passagers de J, il y aurait pourtant eu le temps !

Les pictogrammes sont bien détaillés, on y apprend même comment bien descendre un toboggan d'évacuation !

Par contre, comme sur BA Cityflyer, le gilet de sauvetage nécessite toujours un double-nœud pour être serré, je ne suis toujours pas convaincu que ça soit le plus ergonomique en cas de panique.

On repousse finalement à 19h57, avec un peu plus d'une heure de retard, pour un décollage à 20h10. J'en profite pour vous montrer avec cette photo toute moche que le rideau a la même teinte sombre que les sièges, et que les têtières sont réglables.
Après le décollage, le chef de cabine nous souhaite la bienvenue, et annonce un temps de vol de 1h10.

L'appareil dispose de Wifi, mais celui-ci n'est pas fonctionnel avant la croisière.

Deux pass sont disponibles, un "Messages" à 2£ et un pour la navigation et le streaming à 5£. Le tarif du 2e forfait est tout à fait correct, pour celui des messages, étant habitué au plan gratuit AF, ça me semble cher.

Bon appétit !
Le service débute rapidement en J, mais il est assez lent.
L'hôtesse (en formation) vient prendre les commandes des boissons individuellement, puis les amène au plateau. Mais on dirait qu'elle part au puits entre chaque verre tant c'est long.
Je pars sur un Gin'to, que l'hôtesse me propose "double". J'accepte, naturellement ! La tablette entre les deux sièges prend tout son sens avec autant de boissons :)
A noter, le service en Eco consiste en un verre d'eau, et un sachet de chips. Le reste est en BoB.

Le choix du repas est ensuite proposé oralement, avec 4 choix : Salade végétarienne, salade au saumon fumé, joue de boeuf ou pâtes aux champignons.
Je comprendrai trop tard qu'il est possible de choisir une salade ET un plat. Du pain est proposé, mais vous pouvez constater sur cette photo à quoi il ressemble…
Les couverts sont siglés.

Mon voisin, me voyant tout photographier, me demande si je fais un blog sur mes voyages. Je lui explique le concept de Flight Report (et je le salue, s'il tombe sur ce récit, du coup !).
Il me propose donc de faire une photo de ses pâtes aux champignons pour illustrer un deuxième choix de plat, merci à lui ! Ca semble assez appétissant aussi.
Ma voisine en 3C a pris une salade saumon fumé, qui est assez généreuse en poisson, et comporte un petit récipient de sauce au fromage (type "Boursin") pour accompagner le tout. C'est par contre globalement léger, une grosse entrée quoi.

Après avoir avalé le plat principal, qui est plutôt bon, même si peu généreux en viande, je m'attaque au dessert, un gâteau avec une crème vanille et un coulis aux fruits rouges.

Le voici entamé… Pendant que je mange mon dessert, l'hôtesse passe proposer des boissons fraîches ou chaudes, ou même d'autres plats (je suppose que le restant sera jeté à l'arrivée).
L'attention est délicate, mais vu que le service a mis longtemps à arriver au 3e rang, la descente est déjà bien entamée, je ne me sens donc pas de reprendre une joue de bœuf que je devrais gober en 5 minutes.

Avant de marathonner mon plateau, vue sur le gin servi à bord. Curieusement, c'est un gin américain, alors que le Royaume-Uni est un des plus grands producteurs de ce doux nectar !

Le commandant nous annonce une arrivée à 22h25, mais qu'il espère négocier une approche plus courte avec le contrôle. Direction donc les sanitaires sans attendre ! C'est propre, même si un peu vieillot.

Des amneties de J sont disponibles, c'est bienvenu sur un vol MC européen.

Une pensée à Katia, comme toujours…

De retour à ma place, mon plateau a été débarrassé, il ne me reste plus qu'à finir mon eau (pour éponger le gin) avant la préparation de la cabine pour l'atterrissage !

LYS sous la neige
On atterrit à 22h19, pour une arrivée en porte à 22h26, 50 minutes de retard. Après une annonce du commandant s'excusant pour le retard à l'arrivée, on peut débarquer dans la passerelle vitrée de LYS.

Je me presse, car j'ai aperçu un appareil Easyjet ayant atterri juste après nous en provenance de Lisbonne se parquer, nettement plus près du contrôle PAF que nous. Je n'ai pas envie de me faire dépasser par ces pax !

Dernier regard à notre A320, de très loin !

Dans les couloirs, on aperçoit un bel exemple de greenwashing, avec l'information que LYS "a atteint la neutralité carbone".

La PAF est là, contrairement aux passagers EasyJet qui n'ont pas encore pointé le bout de leur nez !

Quasiment pas d'attente donc à la PAF (avec bien évidemment les sas Parafe non opérationnels), et la région Aura me souhaite la bienvenue.

C'est Noël, et la taille du sapin est assez impressionnante !

Surprise en arrivant dehors : Il s'est mis à neiger, le sol se couvre rapidement d'un tapis blanc !

Magie du double gin tonic (précéde du vin au salon), je titube jusqu'à la gare TGV pour retrouver Madame Kethu qui est généreusement venue me chercher en voiture. Heureusement, parce que vu mon état, le trajet en transport jusqu'à chez moi m'aurait semblé bien long !

Et c'est ici que je vous laisse, avec la trace radar de ce vol assez direct, à une altitude plutôt basse de 29.000 pieds.

Merci pour votre lecture et vos commentaires !
On se retrouve très bientôt, sur vos FR ou sur mon prochain récit :)
Et pour ceux qui veulent voir quelques photos de Londres sous la neige, c'est par ici !
Merci pour ce report Robin.
Prestation correcte mais cabine un peu vieillotte. Ça me permet de me faire une idée vu que je vais prendre le même vol dans moins de deux semaines, mais en éco.
Sympa les photos de Londres sous la neige. Il y avait une belle couche.
Merci pour ton commentaire Greg !
Tu auras au moins une petite prestation sur ton vol en éco, il me semble qu'il y a quelques années, c'était full BoB. En tout cas, une chose à retenir : Il ne sert à rien de se présenter en porte dès l'ouverture ^^
En effet, on a eu une bonne couche, entre 5 et 10cm ! :)
A bientôt !
Merci Robin pour le partage !
Une très chouette prestation de BA sur ce tronçon vraiment sympa.
Merci de toujours penser à elle même si certains esprits étroits n'apprécient pas (ce que je ne comprendrai jamais)
Les photos de Londres sous la neige sont absolument superbes, quel bonheur ça a dû être.
A bientôt !
Merci Stephan pour le com' !
BA est généreuse, rien à redire là dessus en effet !
Tu me l'apprends, et comme toi, je ne comprends absolument pas. Mais bon...
La neige à Londres, c'était en effet du bonheur, sauf pour le fait que je ne m'étais pas préparé à du vent avec -5°, autant dire que je me les caillais sérieusement ^^
A bientôt :)
Merci pour le FR.
Ce vol retardé est devenu une habitude malheureusement. Belle prestation comme quoi c'est possible sur un vol court. Sympa Londres sous la neige à contrario de Lyon.
A bientôt.
Merci pour le commentaire !
Un vol en fin de journée, avec les difficultés de LHR post Covid, + les grèves régulières au Royaume-Uni ces derniers mois... Ca ne pardonne pas !
Oui, malgré la PNC en formation, la cabine J pleine a été servie correctement, c'est plutôt appréciable !
La couche de neige à Lyon était... Plus anecdotique ^^
A bientôt !
Bonsoir merci pour ce partage. Je vois que BA est toujours généreuse sur les boissons. Et est plus généreuse en nourriture que ce que j'ai pu connaître en 2009 sur un Londres-Stockholm en J sur 767 (un plat chaud)! A bientôt.
Hello, merci pour le commentaire !
BA a bien compris qu'en filant double ration d'alcool à ses passagers, ils dormiraient + et se plaindraient moins :P
Juste un plat chaud sur un LHR ARN, c'est un peu chiche en effet ! Plaisant de voir que la compagnie s'améliore (quand la mode est plutôt dans l'autre sens).
A bientôt :)
Salut Robin et merci pour le FR!
Ouais je ne comprends pas pourquoi quand tu es en business tu dois en plus payer ton siege..
Je vois que tu enchaines les premieres c'est une bonne premiere fois avec BA mais.pour le coup ça va être plus difficile de faire mieux que IB avec un a350 tout neuf!
C'est vrai reporté que 13 fois et par beaucoup que part des illustres lyonnais ahah
La piccadilly line est charmante mais surtout lente comparé a la nouvelle elizabeth line pour rejoindre LHR, tu avais le temps j'imagine?
Lyon est l'une des tres rares destinations de BA (3 de memoire) à n'avoir jamais migré du T1 au T5 quand ce dernier a ouvert, sauf desfois par magie le vol part du T5 comme c'etait le cas pour mon dernier vol en J avec eux. Je peux aussi te dire que ce T3 airside est toujours blindé, l'enorme majorité des vols qui y partent sont des long courriers.
D'ailleurs du coup tu me fais decouvrir le salon BA du T3.
Impossible pour un british aussi!
Alors parlons stats, depuis tu m'as convaincu de repertorier tous mes vols ce qui est chose faite sur my flightradar.
J'ai volé 56 fois entre LHR et LYS avec BA et je peux t'affirmer que 2/3 des fois ce vol BA364 est arrivé en retard. Mon pere qui venait me chercher peut aussi te le confirmer lol.
La cabine est tres classe oui mais si tu vas faire un tour au dela des issues de secours tu seras surpris et pas dans le bon sens du terme!
Le catering a l'air pas mal, je sais pas ce que tu as pensé du dessert il est souvent trop sucré.
Tres belles photos de londres sous la neige, ce qui est beaucoup plus rare qu'à Lyon
Hello Chris !
Business is (not) Business chez IAG, ya pas de petits profits...
En effet, dur d'entrer en compétition avec un A350 Iberia. A part les couleurs de la cabine qui rendent mieux chez BA... ^^
En effet, c'est un passage obligé pour les FRistes de LYS visiblement :P
Hmm, oui, et aussi j'avais envie de prendre la Picadilly, après avoir pris l'Elisabeth à l'aller, j'aime bien les "vieux" métros londoniens !
L'affectation des terminaux aux destinations chez BA semble assez complexe à comprendre ^^
C'est bien cela qui me surprenait ! Même si j'aurais bien aimé trouver une tireuse à bière, j'étais un poil déçu :P
56 fois ? Wow, impressionnant ! (D'ailleurs, content que mon conseil pour flightradar ai porté ses fruits !).
BA364 semble être aussi fiable que le dernier vol de la journée LIS-LYS chez la TAP dis moi...
Et après les issues, le pas se réduit je suppose ? Déjà qu'il n'est pas immense devant... ^^
Pour le dessert, je n'ai pas de notes à ce sujet, je pense que j'étais trop enivré pour ça... Du coup je ne me rappelle plus du tout !
La neige à Londres était inattendue, je pensais en retrouver à Lyon au retour mais pas en trouver sur place ^^
A bientot :)
Merci pour le partage Robin,
Dommage que l'attente et le préembarquement gâchent la fête car le vol en lui même est agréable avec un catering copieux et qualitatif pour un vol court.
Londres était belle sous la neige.
A bientôt.
Merci pour ton commentaire Michel :)
Je ne sais pas si ce pré-embarquement est réalisé pour toutes les compagnies, mais c'est en effet un peu frustrant, quand on ne connait pas... Heureusement que l'alcool ensuite permet d'oublier ^^
Londres sous un épais manteau blanc, c'est juste magique :)
A bientôt !